Enfin, je retrouvais cette garce de Kellie Bruner. Cette chienne m’avait largué au bout de seulement quatre mois, juste parce que j’avais embrassé une autre fille. Nous n’étions encore même pas véritablement ensemble ! Cela me fit mal au-delà de tout ce qu’il est possible d’expliquer, et rien de ce que je lui dis ne la fit changer d’avis. J’avais été plutôt dominateur durant cette relation. Je faisais l’amour quand j’en avais envie. Et là, tout avait changé. C’est elle qui avait pris le contrôle, et je ne pouvais pas le supporter. Après avoir pleuré tout au long des deux derniers mois, je pris la décision de la mettre dans l’embarras, de lui faire payer tout le mal qu’elle m’avait fait. Elle ne m’intéressait plus. Elle ne suscitait plus aucune réaction en moi. Mais ce soir là, elle se montra à la soirée à laquelle j’étais moi-même invité. Elle était accompagnée d’un garçon et de sa meilleure amie, Monica White. Je souris intérieurement en pensant à ce que j’allais lui faire subir. J’avais décidé de lui botter le cul en public, fille ou pas. Elle était à moi. Elle portait un tee-shirt blanc, un short blanc, ainsi que des baskets blanches et des chaussettes blanches. Rien d’érotique dans tout ça. Et puis tout serait sale lorsque j’en aurais fini avec elle.
Je la regardais de loin, rire et parler avec ses amis. Je bouillonnais en me rappelant comment elle disait à tout le monde que j’étais toujours après elle et que je n’étais que de la boue sous ses pieds. Je me dirigeai vers elle, lentement. Je voulais avoir pleinement à l’esprit toutes ces images, d’avant et d’après. Lorsque je fus proche, elle me vit. Une petite grimace sur son visage et elle me salua froidement.
« Salut Tim ». Puis elle se détourna de moi. Je tendis la main et la saisis par le bras. Elle tourna la tête vers moi avec une moue dégoûtée. Son copain s’était absenté, je n’avais pas à craindre une bagarre avec lui. Dès que j’en aurais eu fini avec la petite Kellie, je prévoyais de rentrer rapidement chez moi avant l’arrivée des flics. « Salut toi-même » répondis-je calmement « qu’est-ce qu’une merde comme toi fait dehors ce soir ? »
« Tu es un porc » répliqua -t-elle en essayant de dégager son bras.
« Non, pas si vite Kellie, je n’en ai pas fini avec toi… » Je souris d’une manière glaciale et l’obligeai à me faire face complètement avant de libérer son bras. « Je crois qu’il est temps que tu prennes une bonne leçon, Kellie »
Elle me regarda curieusement.
« J’espère que tu n’as pas oublié de payer ta prime d’assurance… » dis-je avec un sourire.
Elle répliqua « Je n’ai pas besoin d’assurance pour toi, tu ne me fais pas peur du tout. Je crois plutôt que si tu ne fiches pas la paix, je me servirai de ta figure comme d’un paillasson… »
Ses amis se mirent à rire à ces mots. Manifestement, cette fille ne me prenait pas au sérieux. Brutalement son sourire disparut et elle me regarda avec de la colère dans les yeux :
« A genoux, Tim… et lèche-moi les pieds »
Je la regardai, sidéré. Quelle audace ! J’étais là, sur le point de lui casser la figure et elle, elle m’ordonnait de lui lécher les pieds ! Elle pouvait dire que son ordre m’avait surpris.
« Allez, Tim. Montre à tes amis comment tu te traînes à mes pieds. Tu te souviens ? Comment je t’ai fait mettre à genoux lorsque tu es venu chez moi, cette nuit là… »
Je me souvenais. Mais je n’avais pas touché à ses pieds. Je l’avais juste suppliée de m’accorder une seconde chance.
« Tu ne m’échapperas pas, Kellie » en disant cela, je ramenai mon bras en arrière, prêt à frapper. Au moment où je portai le coup, elle se pencha. J’étais stupéfait. Au même moment, je vis monter sa jambe droite. Soudainement, sa chaussure vint directement vers mon visage. Avant que j’aie pu réagir, son pied me percuta sur le côté du visage et toute la pièce se mit à tourner autour de moi. J’avais l’impression de regarder une image à travers une glace teintée, ou quelque chose de ce genre, j’étais en train de flotter. Je sentis quelque chose me heurter brutalement et j’entendis des rires. Dès que je parvins à redonner une orientation à la pièce, je compris que le choc avait été produit par ma propre chute contre le sol. Les rires provenaient de toute l’assistance, Kellie comprise. Même dans mon état d’hébétement, je compris ce qui était arrivé. Cette garce, que je détestais plus que tout, m’avait envoyé au tapis d’un coup de pied au visage. Je ne pouvais y croire ! J’avais été pratiquement mis KO par ses pieds ! La honte me brûlait les joues. Je décidai qu’il n’était pas trop tard pour sauver mon honneur, en la prenant à part. Je me mis à secouer la tête pour m’éclaircir les idées et m’étant mis à genoux, je vis Kellie, occupée à délacer ses chaussures… Elle leva les yeux pour me parler :
« J’espère que tu trouves toujours que mes pieds sont mignons, parce qu’ils vont venir te cogner la figure copieusement dans les minutes qui viennent… Et sois reconnaissant, ils sont trop doux pour te blesser. Mais tu vas avoir mal… » Elle retira alors chaussures et chaussettes, révélant deux pieds véritablement charmants. On ne pouvait pas lui enlever ça : En dépit de la haine que je lui vouais, je devais admettre que cette fille avaient les pieds les plus adorables que j’avais jamais vus. Mais je la méprisais toujours et n’avais aucune intention de me faire tabasser par une fille aux pieds doux et charmants. Je me redressai et vins vers elle.
« C’était un coup heureux, garce, maintenant, prépare-toi à souffrir un peu… » sifflai-je.
« Oh, Tim, quel goût ont mes pieds ? » répondit-elle.
Par réflexe, je regardai ses pieds et fus captivé par leur peau douce et bronzée, par les ongles roses. Je me dis qu’il était temps qu’elle goûte à son tour à l’humiliation. Je levai les poings et me mis en garde :
« Tiens, garce, prends ça ! » Je suis un bon combattant, et elle le savait. Ce que j’ignorais en revanche, c’est qu’elle était encore meilleure que moi. Elle esquiva mon coup de poing et lança sa jambe vers mon visage, percutant ma bouche avec son pied droit. Je clignai des yeux et elle frappa de nouveau ma bouche avec le dessus de son pied. Nos amis riaient et l’encourageaient. Kellie n’était plus elle-même qu’un large sourire. Elle s’amusait. J’étais furieux de sentir qu’elle me surpassait émotionnellement mais qu’elle jouait aussi avec moi physiquement. Je me mis à hurler et me jetai sur elle. Le jour suivant, des témoins me dirent que j’avais fait presqu’un tour complet et que le bruit de la plante de son pied me percutant en pleine face rappelait celui d’un battoir sur la surface d’un lac.
Je ne me souviens que de deux choses : la plante de son pied semblait douce comme de la crème, et le monde peut s’obscurcir atrocement en une fraction de seconde. Une autre chose me revient, du moment où je gisais sur le sol. Du coin de l’oeil, je voyais une foule embrumée de garçons et de filles qui tapaient leur main contre celle de Kellie. Et plein de voix. « Je n’ai jamais vu personne se faire cartonner aussi violemment » « nom de nom, elle l’a vraiment démoli ! » « Son haleine aura l’odeur de tes pieds pendant le reste de la semaine » « Il a de la chance, j’ai décidé de le laisser vivre » Elle me vit reprendre mes esprits. J’étais alors parvenu à me retourner sur le ventre et à me remettre à quatre pattes. Kellie vint avec arrogance se placer devant moi, ses pieds à dix centimètres de mon visage. Je levai les yeux vers elle, ce qui lui offrit l’occasion de faire un pas en arrière et de me lancer son pied en pleine figure Plaf ! La partie bombée du dessous du pied m’atteint de plein fouet et ma tête s’en alla violemment vers l’arrière. Je voyais double, tentant de conserver mon équilibre sur les mains et les genoux. Les témoins de la scène m’ont dit que je ressemblais à l’un de ces chiens dont la tête dodeline et que l’on place sur la plage arrière des voitures. Je me mis à me traîner misérablement à travers la pièce, comme un animal en état d’ébriété, ne sachant même plus où j’allais. Kellie marchait à côté de moi.
« Arrête-toi ici » m’ordonna-t-elle en pointant son doigt vers le sol.
Je m’arrêtai.
« Maintenant, regarde-moi »
Je tournai ma tête vers la droite, la suppliant presque du regard.
« Présente-moi tes excuses, ou tu te prends encore mon pied dans la figure »
Honnêtement, j’étais terrifié. J’étais tout à fait prêt à m’excuser. Mais c’est une telle garce, elle avait décidé de s’amuser encore.
« Trop tard ! Goûte ça ! » avec cela, elle leva son genou et propulsa son pied d’une douceur meurtrière dans mon visage tuméfié. Plaf ! Ma tête allait d’avant en arrière. « Tiens, prends encore ça ! » Je l’entendais comme si elle était dans le lointain. Debout devant moi, je voyais son genou, les orteils qu’elle retroussait vers l’arrière, la blancheur crémeuse qui venait vers moi en un éclair Plaf ! « Eh Tim, ça a bon goût ? » Plaf ! « Et celui-là ? » Plaf ! « Je ne savais pas que tu savais loucher ! » Plaf ! Plaf ! plaf ! Plaf ! Ma tête partait violemment en haut et en bas Plaf ! Encore un coup de pied et je me retrouvai sur le dos, le monde tournant tout autour de moi. Je distinguai Kellie, debout au-dessus de moi, ses pieds de chaque côté de ma tête. Dans le brouillard, je vis Kellie soulever son pied et le poser fermement sur mon visage. Elle commença à m’écraser durement. Le mélange d’incroyable douceur (stupéfiant comme ses pieds étaient doux. Je n’aurais jamais imaginé que quelque chose d’aussi doux puisse être aussi redoutable), ma haine pour elle, et la conscience qu’elle humiliait aussi absolument en n’utilisant que ses pieds, tout cela réveilla paradoxalement mon organe sexuel. J’entrai en érection alors même qu’elle broyait mon visage sous son pied, cette arme si douce. Elle s’en rendit compte et le montra du doigt « Regardez ça ! » « Il va éjaculer ! » Mon Dieu, comment imaginer que quelqu’un qui a perdu tout honneur aux pieds d’une fille puisse encore éprouver du désir pour ce qui l’a détruit ! Monica, retire-lui son pantalon. ».
Monica s’exécuta prestement et bientôt mon sexe s’agita de manière incontrôlée dans les airs. Kellie se mit à rire. « Encore quelques secondes et il va nous montrer quelle lavette il est ! » Et effectivement, encore deux torsions de mon visage sous la pression de son pied, puis le sperme se mit à se déverser. Je devais avoir un drôle d’air avec mes jambes battant l’air pour tenter d’échapper à la pression du pied de Kellie Brunner qui m’écrasait la figure contre le sol.
« Pitié… » suppliais-je, étouffé par le poids de son pied
« Qu’est-ce que c’est ? » demanda-t-elle
« Pitié, je… je ferai tout ce que tu voudras… je te demande pardon…
Je l’entendis rire. Elle me maintint plaqué au sol avec son pied.
« C’est à moi de décider si tu as reçu une leçon suffisante. Quand tu es à la merci de mes pieds, tu dois attendre que j’en ai fini avec toi ! D’ailleurs, je n’ai pas décidé si tu mérites de vivre. »
Elle retira son pied de mon visage (me permettant enfin d’accéder à un oxygène pur) et m’ordonna de me traîner à genoux vers le mur. Etourdi, je parvins à me mettre à genoux et à faire ce qu’elle demandait. J’étais à ce moment complètement terrifié par cette garce aux pieds parfaits. Je la haïssais tant. Je l’aurais tuée si j’avais eu un revolver. Mais j’avais tellement peur d’elle à présent, je ne voulais pas lui donner une occasion de me blesser de manière permanente. Je m’étais fait tabasser par une fille ! Une ex petite amie qui ressemblait trop à un mannequin pour avoir pu faire ce qu’elle venait de me faire. Des pieds trop bien dessinés, trop bronzés pour être si dangereux. Et je me mis à ramper vers le mur les gars, à quatre pattes, parce qu’elle m’en avait donné l’ordre. Et pourtant je ne voulais pas. Je ne voulais pas être physiquement sous son contrôle.
« C’est bien » « Fais-moi face » Je me tournai vers elle.
« Prosterne-toi devant moi. Implore mon pardon ! » « Implore ma pitié ! » Elle se mit à rire « Implore mes pieds, pour qu’ils aient pitié de toi ! »
« S’il te plaît, pardonne-moi… » « S’il te plaît… Je ne ferai jamais… »
« C’est vraiment chiant ! » m’interrompit elle. Je pense que je vais continuer à me servir de ton visage comme d’une cible d’entraînement. Elle pivota sur son talon gauche et envoya la plante de son pied droit contre mon visage. De nouveau, les lumières devinrent diffuses et tournèrent en couleurs étranges. Le plafond réapparut. De nouveau, Kellie se tenait au-dessus de moi.
« Tu es lamentable. Je pense que je vais mettre fin à ton calvaire… » Elle plaça alors ses deux mains contre le mur et monta sur ma tête, pieds joints sur ma figure. Le poids était incroyable, je ne voyais plus rien. Le monde était doux et sombre. Et je n’avais plus d’air. Trop faible pour me débattre, je me mis à avoir des spasmes, suffoquant sous ses pieds. Je sentais mon corps se convulser tandis que mes poumons cherchaient désespérément un oxygène qu’ils ne pouvaient trouver dans les replis de ses plantes de pied. Elle riait au-dessus de moi. J’étais en train de perdre connaissance. Ce n’est pas possible pensais-je en moi-même, je suis en train de mourir. Elle me tue avec ses pieds. Je meurs sous son contrôle, de la plante de ses pieds…
Le monde disparut. Je repris conscience quelques secondes plus tard, toujours au sol. Kellie se tenait toujours au-dessus de moi, mais elle avait retiré ses pieds de ma figure. Elle avait simplement gardé un pied posé sur ma poitrine. Me voyant éveillé, elle me marcha sur la poitrine pour aller vers le canapé. Je voyais l’éclat blanc de ses plantes de pieds crémeuses tandis qu’elle s’éloignait de moi. Parvenue au canapé, elle prit place et croisa sa jambe droite par dessus sa jambe gauche. Elle s’adressa alors à moi :
« Sauf si tu as envie que j’imprime définitivement l’empreinte de mes pieds sur ta trogne, tu vas venir ramper ici comme un petit chien… » Elle ferma les yeux et s’adossa confortablement, avec un sourire sur le visage. Je me mis à ramper docilement, bien que toujours un peu tremblant. Elle m’ordonna de me traîner vers elle jusqu’à ce que mon visage ne soit plus qu’à deux centimètres de son pied. Avec le même sourire, les yeux toujours fermés, elle ajouta :
« Puisque je t’accorde la vie sauve, tu vas devoir me lécher les pieds » Elle eut un petit rire et parut se détendre un peu plus Je me consumais de honte. Je ne pouvais supporter l’idée de devoir ainsi accepter son pied dans ma bouche. Pas après toutes ces vaines tentatives de la faire revenir avec moi. Pas après toutes ces humiliations de la soirée. Mais je voulais vivre. Alors je m’inclinai pour prendre un orteil mince dans ma bouche. Il était invraisemblablement doux, et l’ironie eut le même effet sur mon sexe une nouvelle fois. J’étais toujours nu et mon sexe se durcit comme de l’acier. Je me mis à sucer comme un animal obéissant, son orteil doux et crémeux glissant à l’intérieur et à l’extérieur de ma bouche dans un mouvement de va et vient. La sensation ne ressemblait à rien de ce que j’aurais imaginé. Je suçais les doigts de pied d’une garce, ce n’était pas volontaire. Mes yeux s’embuèrent de larmes, mais mon sexe se gonflait de sperme. lorsqu’elle retira son orteil de ma bouche pour forcer ma bouche contre la plante satinée de son pied, je perdis tout contrôle. Alors que ma langue et mes lèvres embrassaient langoureusement son pied, le sperme se mit à jaillir. Un gémissement étouffé sortit de ma bouche tandis que j’éjaculais trait après trait contre le canapé. J’eus de la chance, Kellie ne fut pas atteinte. Elle se contenta de rire. Lorsque j’eus terminé, elle repoussa ma tête avec son pied. Je tombai et restai au sol sur le dos, attendant qu’elle dise autre chose. Elle ne me demanda rien d’autre ce soir là que de lui remettre ses chaussettes et ses chaussures. Ah, et quand Kellie s’en alla, Monica, qui était restée en retrait, m’obligea à lui sucer les orteils pour la remercier d’avoir convaincu Kellie de ne pas me mettre à mort sous ses pieds.
Je suçai donc les charmant orteils de Monica et léchai ses pieds doux. Avant de partir à son tour, elle décréta qu’il serait amusant de me mettre KO d’un coup de pied au visage. Ce qu’elle fit. Je sus ensuite qu’elle en avait parlé à Kellie, un peu plus tard.
Le reste de mon année en fut considérablement modifiée. Tout le monde savait ce que Kellie m’avait fait. Monica prit beaucoup de plaisir à se servir de ma bouche comme d’une machine à se faire masser les pieds. D’autres filles y vinrent aussi, à l’exception de Kellie. Elle ne s’intéressait vraiment plus à moi. Pendant que je lui suçai les doigts de pieds, Monica m’expliqua que Kellie me trouvait dégoûtant et qu’elle avait voulu que je lui lèche les pieds dans le seul but de m’avilir. Elle avait décidé de laisser Monica me frapper à coups de pied, en attendant qu’elle change d’avis. Et Monica en profitait, m’assommant d’un coup de pied en pleine figure après chaque séance de léchage de ses pieds.
Je quittai la ville à l’été, pour New York. Personne ne connaît mon passé au lycée où je vais. Mais je n’oublierai jamais ces souvenirs douloureux de cette nuit où je fus battu par Kellie Brunner et à la merci de ses pieds…
Auteur : Inconnu