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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Donna (t) -

Donna n’était pas à proprement parler une beauté. Un visage quelconque, des petits seins, et pas un corps de rêve. Un peu enveloppée, sans être grosse. « Bien charpentée » pourrait être l’expression politiquement correcte. Elle ne portait pas de bijoux, ne mettait ni maquillage, ni vernis, ni parfum. Elle était toujours en jeans, avec un simple pull, mais elle semblait porter une grande variété de chaussures, et elle avait de tout petits pieds. C’était une petite dure et elle se battait régulièrement avec d’autres filles, combats dont elle sortait généralement victorieuse. Je pensais qu’elle était lesbienne, mais elle avait plutôt la réputation d’être une vraie salope. D’ailleurs, elle ne pouvait pas être lesbienne puisqu’elle était sortie pendant un mois avec mon meilleur ami. Je ne sus pas grand’ chose de sa relation avec Bill, mais j’appris que c’est elle qui avait rompu et que Bill en avait été très affecté. Etant un ami loyal, je vouais donc une haine cordiale à Donna.

Une semaine après la rupture, je fis la rencontre de Donna au cours d’une soirée et elle me demanda de la raccompagner chez elle. Je ne sais si c’est parce que je m’ennuyais ou si c’est parce qu’elle portait une intéressante paire de chaussures, mais j’acceptai. Arrivés à la maison de ses parents, elle me dit :

« J’ai quelque chose à te montrer. Coupe le moteur et entre avec moi ».

 

Donna descendit de la voiture et je la suivis chez elle. Ses parents n’étaient pas à la maison. Elle prépara des boissons pour elle et moi et partit s’installer confortablement dans le fauteuil inclinable du salon.

« Qu’est-ce que tu veux me montrer ? » lui demandai-je.

Elle s’enfonça plus profondément dans son fauteuil, faisant monter du même coup le repose pied à la rencontre de ses talons, et leva ses pieds en l’air. Elle portait des bottines de cuir noir à lacets et talons aiguilles, et elle me demanda de les lui retirer pour elle. Bon, je suis intensément fétichiste des pieds. J’AIME les pieds des femmes, mais je déteste tout ce fourbi sur la soumission qu’on peut trouver dans les magazines. Alors lorsqu’elle m’ordonna de lui retirer ses chaussures, je me mis à protester fièrement :

« A quoi est-ce que je ressemble ? A ton esclave ? »
« Oh s’il te plaiiiiit ! » supplia-t-elle, « tu ne fais jamais rien de gentil pour moi. Ne pourrions nous pas être amis ? »

Je fus surpris par SA soudaine soumission, et je baissai un peu ma garde.

« Pas après ce que tu as fait à Bill, Donna » dis-je d’un ton plus doux. Elle avait trompé Bill avec son plus jeune frère et en avait fait la risée du lycée. J’avais pourtant tenté de le prévenir qu’elle était une chaude salope, mais il n’avait rien voulu entendre. Maintenant, elle ne lui adressait même plus un regard.

« Je suis désolée. Que puis-je faire pour arranger les choses vis à vis de toi ? » demanda-t-elle gentiment  « Vis à vis de moi ? Donna… il faut que tu ailles lui parler à LUI. Tu l’as complètement ignoré toute la semaine, il est anéanti »
« Si je m’excuse auprès de lui, est-ce que tu accepteras de me retirer mes chaussures ? »
« Je… je crois » balbutiai-je. Ma garde s’abaissait de plus en plus. Peut-être trop.

Elle me fit un sourire avant de laisser délibérément retomber son regard sur ses pieds, comme si elle suggérait qu’elle ne les lèverait pas pour moi. Je me sentis obligé de venir me mettre à genoux devant elle pour déchausser ses petits pieds.

La bottine droite se défit facilement et glissa de son petit pied avec une sorte de bruit de succion. Mon coeur rata un battement et mon sexe se mit à se raidir lorsque je vis son pied. Elle portait des collants noirs à résille et je pouvais voir que ses ongles étaient vernis en rose. Un arôme de cuir légèrement salé submergea mes sens. La plante de son pied était mince au niveau du talon, plus large vers les orteils, un peu en forme de sablier en raison de sa cambrure très prononcée. Les résilles mettaient en valeur les courbes et les sillons que ma langue mourrait d’envie d’explorer. La couture du collant caressait son talon, flottait en suspension au-dessus de la peau douce au niveau de la cambrure avant de reprendre contact avec la partie bombée de l’avant de son pied. La couture s’achevait entre le gros orteil et le second orteil, mettant en évidence leur différence de taille, et une délicieuse petite gerbe de nylon s’ébouriffait au-dessus du bout de ses mignons doigts de pied. Ses orteils étaient courts et charnus, ils dessinaient un arc régulier à partir du gros orteil, qui étaient un peu plus long que les autres.

Je dus probablement regarder son pied fraîchement dénudé un peu trop longtemps, mais mon esprit essayait de comprendre pourquoi ses jolis pieds étaient si bien entretenus et mis en valeur, alors que le reste de son corps était si banal. Mon cerveau ne trouva aucune réponse, mais mon sexe se durcit car il percevait le frisson érotique que dégage une femme consciente de la beauté et du pouvoir de ses pieds.  La bottine gauche me posa plus de difficultés. Elle avait un noeud de lacet super serré que je ne parvenais pas à défaire avec mes ongles courts. De plus, mon esprit était tellement préoccupé par l’image de ses orteils roses en bas résille que mes mains en tremblaient. Elle me suggéra d’utiliser mes dents.

« Pas question ! » me récriai-je, tentant de paraître indigné. »Et de toutes les façons, que voulais-tu me montrer ? ajoutai-je, impatienté.
« Tu ne m’apprécies pas, n’est ce pas ? » demanda-t-elle.
« Non » répondis-je avec un air défi, comme pour combattre le pouvoir qu’elle commençait à exercer sur moi. Je me sentais comme entraîné sur un chemin sombre et dangereux par une force irrésistible qui devenait de plus en plus puissante au fur et à mesure que je la combattais. J’essayai de ne pas penser à ce qu’elle était en train de me faire, mais je ne pus m’empêcher de fixer mon regard quelques secondes de trop sur ses succulents orteils, et elle s’en rendit compte.

« Qu’est-ce que tu regardes ? Tu aimes mon vernis à ongles ? » Elle m’avait posé cette question totalement à l’improviste, en pointant ses orteils vers mon visage. Je fus complètement pris de court « Oui… je veux dire non, enfin… »

J’essayai de me comporter normalement, mais j’étais fasciné par le jeu qu’elle était en train de jouer avec moi. Je tentai d’enchaîner, en balbutiant :

« Pourquoi ne mets-tu… enfin, tu ne mets jamais de maquillage, ou de bijoux… mais tu portes des chaussures très chères, des bas résille que personne ne voit, tu te vernis les ongles des pieds mais tu ne mets pas de rouge à lèvres… »
« Est-ce que ça te dérange ? »
« Non… eh bien… »
« Je ne le pensais pas non plus. Tu n’as qu’à imaginer que le vernis est l’équivalent d’un maquillage pour mes pieds… Voilà. Tu veux les embrasser ? » me demanda-t-elle en souriant, mais en gardant un ton sérieux.
« Arrête ! J’étais simplement… curieux. » Je perdais pied, et j’essayais pourtant de m’en défendre
« Ainsi tu veux juste savoir pourquoi je m’occupe autant de mes pieds ? »
« Euh… Je crois…Oui… »
« Hmmm, intéressant. Mais pourquoi est-ce que je te le dirais, puisque tu ne m’apprécies même pas ? Hein ? Faisons un marché : retire-moi mon autre bottine et je te dirai tout ce que tu veux savoir. »

Je désirais de toutes mes forces savoir pourquoi elle concentrait toute son attention sur ses pieds. Les femmes fétichistes des pieds sont si rares, je n’avais jamais été si près d’en rencontrer une. Je pense que je dus me révéler trop impatient parce que ma bouche s’abaissa immédiatement vers son pied gauche et que mes dents se mirent à tirer sur le noeud des lacets. Je l’entendis rire d’un petit rire satisfait au spectacle de mon regain d’enthousiasme. Après quelques secondes de lutte, je finis par défaire le lacet. Je tirai sa bottine lentement, sensuellement, tenant mon visage très près du petit pied que je révélais à la lumière. Ma langue était pratiquement sur le point de sortir de ma bouche pour y goûter, mais je repris le contrôle de moi-même juste à temps, feignant la nonchalance. Elle remua ses doigts de pieds libérés, en soupirant avec sensualité.

« Alors, tu vas me dire ? » demandai-je.
« D’accord. Je pense que mes pieds sont mon meilleur atout, physiquement parlant. Je m’en suis toujours occupé, et tout le monde m’en fait des compliments… les femmes surtout. Les hommes sont trop timides pour avouer qu’ils sont fétichistes des pieds… Le plus drôle, c’est que c’est pourtant si fréquent. » Elle regardait ses pieds. Elle pointa ses orteils vers moi, traçant du pied droit une ligne de ma poitrine à mon nombril, et ajouta :
« Tu trouves que mes pieds sont jolis, n’est-ce pas ? »
« Euh… qu’est-ce qui te fais penser… je veux dire… »
« Est-ce que tu te rends compte à quel point tu regardes les pieds des filles ? » me demanda-t-elle avec un sourire moqueur, en caressant ma poitrine du bout des orteils. Beaucoup de mes amies l’ont remarqué. Elles trouvent ça drôle, elles t’allument tout le temps avec ça. Et tu ne le sais même pas, n’est-ce pas ? Tu te contentes de rentrer chez toi tous les jours avec une érection et tu te masturbes, n’est-ce pas ? »

J’étais tellement embarrassé que j’en restai muet.

« J’en étais sûre » ajouta Donna en souriant « alors dis-moi la vérité, est-ce que tu trouves que mes pieds sont jolis ? »
« Oui » murmurai-je.
« Est-ce qu’ils te donnent envie de te branler ? »
« Non ! répliquai-je vivement, extrêmement gêné.
« Oh, comme c’est dommage » Elle resta muette quelques instants. Elle regardait ses pieds, les frottant doucement l’un contre l’autre. Puis elle se remit à me parler avec le ton fâché d’une petite fille « J’avais espéré que tu m’expliquerais à quoi tu pensais lorsque tu te branlais sur les pieds d’une fille. J’avais été chez l’esthéticienne aujourd’hui, juste pour toi. Tu sais, je voulais t’autoriser à faire tout ce que tu voulais avec MES pieds… aussi longtemps que tu aurais voulu… Mais puisqu’ils ne t’excitent pas, je crois qu’il vaut mieux que tu t’en ailles… »
« Attends » l’interrompis-je. Ma tête tournait, je ne savais plus où j’en étais « J’ai menti… Je… j’aime tes pieds, je me branlerai tout de suite en les regardant, si tu veux… » Je n’osais même pas la regarder dans les yeux en disant cela…
« Oooh, mais c’est beaucoup mieux ! » dit-elle avec un rire cruel qui trahissait son comportement de petite fille. « Mais puisque tu m’as menti, je pense qu’il est normal que tu te rachètes en me présentant tes excuses et en me faisant un bon massage des pieds »

Elle leva alors un pied vers mon visage, me présentant ses orteils pour que je les embrasse et lui demande pardon. A ce moment, je compris que j’étais en train de devenir cette lavette soumise dont je détestais l’image. Mais j’étais incapable de résister à l’envie de me rendre à elle et à ses pieds. Je pris ses pieds dans mes mains, portai ses orteils pointés à mes lèvres, et les embrassai délicatement l’un après l’autre. Fermant les yeux, je dis « Je te demande pardon d’avoir menti et de ne pas t’avoir dit combien tes pieds m’excitaient. Ce sont les pieds les plus mignons et les plus sexy que j’aie jamais vus, je les masserai pour toi, je ferai tout ce que tu voudras… » Et je me remis en embrasser ses orteils. Elle hocha la tête en signe d’acceptation, avec un petit air hautain, avant de remarquer.

« Mais il n’y a aucune raison de te branler lorsque mes pieds sont là. Branle-toi quand tu es seul… Ce que je veux, c’est que tu me MONTRES à quel point ils te rendent fou, mais d’abord, masse-moi les pieds comme un bon garçon… »

Du talon aux orteils, je me mis à caresser, frôler, masser et chatouiller ses magnifiques petits pieds. Donna se mit à se tortiller dans son fauteuil en me disant à quel point elle trouvait ça bon. Après que j’eus décelé un point particulièrement sensible au creux de ses orteils, elle commença à haleter et à gémir. Elle finit par dire que c’était si sexy qu’elle finirait par jouir si je continuais….

Elle commença à retirer son jeans parce qu’elle voulait « que je lui fasse » ses pieds nus. Je l’aidai à retirer jeans et collant, sans perdre une miette du massage de ses pieds pour autant. Ses doigts se mirent à faire l’amour à son clitoris trempé tandis que je me repaissais du spectacle de ses pieds parfaits enfin nus. Ses talons, la partie avant du dessous de son pied et le dessous du bout de ses orteils étaient très lisses et d’un rose brillant. Le reste de la plante des pieds était plissée et d’une blancheur neigeuse, accentuant la beauté de sa cambrure haute et sensuelle. Je chatouillai avec ma langue l’extérieur de ses plantes de pied incurvées comme des sabliers, et tout son corps se mit à frémir. Mon sexe se raidit encore plus tandis que ma bouche avide s’emplissait de leur goût salé. Mon coeur battait de plus en plus fort, j’avais du mal à me contrôler. Je léchais ses plantes de pied sur toute leur longueur, à grands coups de langue et elle gémissait sous la pression de ma langue contre sa chair si tendre. Chaque fois que ma langue cessait un instant de caresser ses orteils, elle gémissait « mmm…oh mon dieu »

Au dernier passage de ma langue aplatie, pressée contre sa plante de pied savoureuse, j’ouvris bien la bouche et engloutis d’un coup tous ses orteils nus et roses « Oh… oui…juste entre mes orteils ! » se mit elle à crier, écartant ses petits doigts de pied.

Lorsque ma langue se glissa dans chacun des petits espaces interdigitaux, elle arqua son dos et cesser de respirer pour un temps qui me parut une éternité. Elle inspira ensuite fortement, retint de nouveau son souffle et s’arqua encore plus « Oh dieu…je vais jouir ! » s’exclama-t-elle, tandis que ma langue et mes lèvres devenaient folles sur ses orteils et que je lui caressais la plante des pieds. Finalement elle laissa échapper un cri perçant d’extase torturée et son corps s’agita de soubresauts convulsifs et violents. Je ne cessai pas de lui lécher les orteils avant plusieurs minutes et elle continua à jouir même lorsque ma langue les eut enfin quittés.

J’avais failli éjaculer dans mon pantalon… Lorsque je lui dit cela, elle me demanda de lui montrer mon sexe, puis voulut savoir si je préférais une fellation ou me branler contre ses pieds nus. Même après tout ça, je restais gêné d’avouer mon insatiable fétichisme pour les pieds. Enfin, quel garçon normal au bord du plus bel orgasme de sa vie refuserait une fellation ? Finalement, je repris mes esprits et plaçait ses petits orteils autour de mon sexe turgescent. Elle rit et dit « Oooo… tu aimes VRAIMENT mes pieds, n’est-ce pas ? » La salive dont j’avais enduits ses pieds fournit le lubrifiant idéal et 30 secondes après que j’eus commencé à frotter mon sexe entre ses pieds, j’éjaculai un long trait de sperme contre le mur, au-dessus de sa tête. On aurait presque pu entendre un « splash ! » Mon corps continuait à se convulser et de longs jets de sperme gluant se répandirent sur elle. Elle se retrouva couverte de sperme des pieds à la tête après m’avoir copieusement trait entre ses jolis orteils. Le reste de ma charge coula directement sur ses pieds, tapissant ses plantes de pied au niveau de la cambrure. Lorsque j’eus terminé, elle porta son pied droit à sa bouche et se mit à le nettoyer sensuellement avec ses lèvres et sa langue. Je pris son autre pied et en fis de même. Elle gémit tandis que je léchais de nouveau le dessous de ses pieds nus, goûtant pour la première fois mon propre sperme. Le goût me plut tant que je me mis à lécher tout le long de ses jambes jusqu’à sa fente. Je finis par lui lécher la chatte jusqu’à ce qu’elle atteigne un nouvel orgasme.

Mon excitation étant remontée, je la pénétrai, à moitié agenouillé. Je me mis à aller et venir en elle, et elle m’annonça que je ferais mieux de jouir rapidement, parce que ses parents ne tarderaient plus à rentrer. Je lui objectai qu’il faut plus de temps la seconde fois, et que je n’étais pas prêt. Elle sourit et replia ses jambes contre sa poitrine. Elle mit alors ses pieds nus dans ma figure, avant de jouer à agacer mes lèvres avec ses adorables petits orteils. Elle demanda si ses pieds étaient suffisamment sexy pour me faire jouir rapidement. J’essayai de dévorer ses orteils, mais elle retira prestement ses pieds.

« Si tu veux encore me sucer les doigts de pied, je pense qu’il faut que tu me supplies de t’accorder ce privilège »

Toute ma volonté était en miettes. Je me mis à ramper, à la supplier de me laisser lui lécher les pieds, à jurer que je ferai n’importe quoi pour elle, n’importe quand…

« Ainsi donc, tu SERAS mon esclave ? » C’était plus un constat qu’une question, et elle continua à remuer ses orteils devant mes yeux, hors d’atteinte de ma langue.
« Oui ! N’importe quoi ! Je t’en supplie…. je ferai tout ce que tu voudras ! » Je me sentais lamentable et en même temps, excité comme jamais auparavant…

Elle accepta et tout ce que je sais, c’est qu’un instant après, ses orteils doux et savoureux s’introduisaient dans ma bouche. Je n’avais jamais joui comme j’ai joui alors, et l’expérience en fut presque mortelle. J’étais si excité que je me contractai entièrement et que tout mon bas-ventre me sembla être en feu. Je lui fis l’amour tout en suçant ses pieds nus. J’avais l’impression que du sperme allait me jaillir par tous les orifices. L’orgasme le plus intense que j’aie jamais connu.

J’étais exténué et mes jambes étaient en coton, mais je parvins à me rhabiller avant que ses parents ne franchissent la porte. Lorsqu’ils arrivèrent, quelques instants plus tard, elle me présenta à eux en leur disant que c’était moi qui la remplacerait le lendemain pour tondre le gazon et tailler la haie, pendant qu’elle irait à la plage. Elle me prit ensuite par le bras et me raccompagna, pieds nus, à ma voiture.

J’étais furieux, mais je ne voulais pas me disputer avant d’être sorti de chez elle. Arrivé à la voiture, je me tournai vers elle, mais elle se haussa sur la pointe des pieds et me fit un énorme baiser. Eloignant son visage du mien, elle leva une main vers mon visage et pressa ses collants résille sous mon nez. L’odeur de ses pieds me fit de nouveau me sentir faible au niveau des genoux, je me sentis incapable de me disputer avec elle. Elle me regarda alors droit dans les yeux et me dit :

« Rapporte ça chez toi ce soir, et si tu t’avisais d’oublier que tu es MON ESCLAVE, goûtes-y et branle-toi en pensant à mes pieds. Et souviens-toi bien que tu ne goûteras plus JAMAIS à mes pieds nus si tu ne fais pas très exactement tout ce que je te dis de faire. Compris ? Maintenant, je suis certaine que tu viendras demain pour tondre la pelouse et tailler la haie. N’est-ce pas ? »

Auteur : Inconnu

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