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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Un fétichiste amoureux (t) -

Depuis mon enfance, j’étais fétichiste des pieds féminins ; je ne savais pas pourquoi je regardais toujours les pieds des femmes en attandant une occasion ( qui est d’ailleurs presque impossible ) qui me permettait de toucher un pieds ou de l’embrasser. Parfois, et durant mes visites à ma tante, j’avais toujours essayé d’être à côté de ses magnifiques pieds, mais se fut toujours l’échec et je me contentais lorsqu’elle passait à la toilette, d’aller rechercher ses mules : je les dévorais avec mes baisers, je les sentais, et après je lèchais ses semelles poussiéreuses : c’était un moment magnifique mais j’étais obligé de les rendre à leur place aussi vite que possible ayant toujours peur d’être découvert.

 

Cela avait duré plusieurs années ( ayant honte de révéler mon fantasme aux filles ) jusqu’à l’âge de18ans : en effet je me suis inscrit à la fac. En première année et là-bas je voyais beaucoup de filles et par suite d’adorables pieds . Il y’avait cette fille dans ma classe : elle s’appelait R… elle était mince, brune, 170 cm, yeux noirs, toujours riante et surtout, elle possédait des pieds splendides : elle chaussait 39, sa peau était très blanche, ses orteils étaient proportionnés et garnis d’ongles ronds et petits toujours coupés courts. j’étais tombé amoureux d’elle et de ses pieds mais je n’osais pas lui dire ; je la suivait partout et j’admirais ses pieds de loin. Chaque jour, j’attendais avec patience que tous les étudiants quittèrent la classe et je me jetais au dessous du banc où elle s’asseyait et je commencait à lécher la barre de ferre où elle posait ses pieds ne perdant aucun grain de poussière apporté par ses pieds divins. Après une bonne demi heure de léchage, je commençais ensuite à lécher le sol au dessous de son banc pour une autre demi heure : je n’ai jamais laisser aucune trace de saleté. Trois mois ont passé de cette manière et le sol sous son banc était toujours le plus propre dans toute l’université.

Un jour je décidais de lui révéler mon amour, et lui demander d’être mon amie ; après la classe, je lui demandais si elle peut me parler, elle répondait par l’affirmative et me demandait de la suivre au café. Nous nous asseyons à table, et me regarda dans les yeux :

- Qu’est-ce que tu veux ? me demanda-t-elle.

Je réponds :

- Je vous trouve jolie accepterez-vous d’être mon amie ?

Elle me dit :

- Ecoute, j’aime ce vouvoiement mais je ne veux pas actuellement un ami . je suis désolée, je n’ai pas envie de garçons au moins durant ces quelques mois OK ?

Je ne pouvais plus résister et je commençais à la supplier :

- S’il vous plaît, je vous en supplie, acceptez, je ferai tout ce que vous voulez !

Voulant me faire déguerpir, elle me répond :

- Ah , vraiment, et si je te demande de me supplier ici, devant tous, à genoux ?

Je n’attendais pas la fin de sa phrase et je m’éfondrais devant elle :

- Je vous en supplie à genoux toute la journée.

Elle avait honte puisque certains étudiants nous regardaient, elle se leva et me fit signe de la main pour la suivre. Elle sorta de la café et se dirigea à un endroit discret à côté de la fac. elle me regarda et me dis :
- Je t’ai dis, je ne veux pas d’amis est-ce-que tu ne comprends pas ?

A ce moment là je déscendais de nouveau à genoux devant elle et lui suppliait :
- S’il vous plaît acceptez-moi comme chien, je ne vous dérangerai pas.

Elle ne croyait pas ce qu’elle entendait et elle voulait tester mes limites :

- Tu as dis chien ? Alors mets-toi à quatre pattes et aboie comme un vrai chien qui a retrouvé sa maitresse !

Directement je me mettais à quatre pattes et je commençais à aboyer à haute voix ce qui l’a étouffé de rire :

- Disons, je n’ai pas envie de garçons mais un chien, j’en est toujours envie.

Elle me tourna le dos et s’en alla. Le lendemain, j’avais honte de parler avec elle ; quant à elle, elle semblait tout oublier jusqu’au moment où elle me faisait signe du doigt pour venir ;

Elle me dit :

- Tu veux toujours être mon chien ?

- Bien sûr, je répondis.

- Alors je t’accepte, tu es mon chien maintenant, et je t’appellerai Max, OK ?

- Oui, Maitresse.

- Tu dis Maitresse et elle rit , je n’ai jamais songé être une dominatrice ; allons maintenant, quesque tu attends éspèce d’idiot ; couche-toi par terre pour que je te baptise officiellement !

Je me jette à plat ventre devant elle et j’attends ses ordres.

- Très bien, prends mon pied dans tes deux pattes et pose le sur ta tête et répète après moi ce je dis : je serai ton chien le plus fidèle qui demandera la mort pour lécher la saleté de tes semelles.

Je répétais ce qu’elle disait et après, elle me demandait d’embrasser son pieds comme signe de consentement ; j’étais aux anges : je suis officiellement son chien.

Elle me rendit à terre par un léger coup de pieds :

- Allons Max, au travail !

Je ne savais que faire : j’aboyais intensément et je commençais à lécher ses mains. Elle me gifla avec force et m’ordonna de coucher à ses pieds :

- Ne me touche jamais sans ma permission, entendu chien ?

Je presse doucement ma joue contre son pied gauche comme signe de soumission et je lui demande de me pardonner ; elle enleva son pied droit et le posa sur ma nuque et dit

- Bon, je te pardonnerai pour cette fois, et je te donne la permission d’embrasser et de lécher ma main.

A ce moment là, je prends son joli main et je le porte à mes lèvres tout en le couvrant de baisers ; après cinq minutes, j’entends maitresse R… me dire :

- Arrête d’embrasser, chien et commence à lécher !

Je lèche alors sa main impeccablement jusqu’elle m’ordonne de s’arrêter ; j’étais au paradis : je suis son chien et couché pour toujours à ses adorables pieds.

Soudainement, elle se leva et tout en riant me dit :

- A demain Max, ça suffit pour aujourd’hui et, avant de quitter elle ajouta : demain et chaque jour tu devras m’accueiller comme un vrai chien qui accueille sa Maitresse, OK ?

J’aboie alors comme signe de consentement.

Le lendemain, elle m’attendait devant la fac. Avec sa soeur, une lycéenne qui avait presque 16 ans. J’étais surpris par la présence de sa soeur et je ne savais quoi faire ; quand Maitresse R… me vit j’étais encore loin d’elle presque de 100 mètres. Elle me siffla et me clignota de bouts de ses doigts en me pointant le sol à ses pieds. Je me mettais à quatre pattes et je commençais à courir vers eux, ma langue pendante et haletant et quand j’arrivais, je prosternais devant ma maitresse et sa soeur.

- Mais R… vraiment tu possèdes un chien !

- Oui, comme tu vois il est mon chien, et il s’appelle Max, n’est-ce pas chien ?

- Ouaf, Ouaf, je répondais.

Elles éclatèrent de rire.

- Max, c’est ma soeur, et tu es son chien aussi, compris ?

- Ouaf, Ouaf !

- Dis donc R… est ce qu’il ne parle pas ?

- Bien sûr que non : les chiens ne parlent pas, n’est-ce-pas chien ?

- Ouaf, Ouaf !

- C’est vraiment un animal , mais qu’est-ce-qu’il fait ?

- Comme font tous les chiens. Regarde : chien accueille moi comme je t’ai ordonné de le faire !

Je commençais alors à exécuter ce que j’ai préparé toute la nuit pour plaire à ma Maîtresse et voici le processus :

1) Tout d’abord je prosterne devant ma Maîtresse et je rampe pour arriver à ses pieds.

2 ) Je glisse ma tête entre ses pieds sans la gêner.

3 ) Je demande la permission de Maîtresse pour la vénerer en aboyant et toujours les yeux par terre.

4 ) Si elle dit « vas-y chien », c’est-à dire elle m’a donné la permission ; au contraire, si elle me donne un coup de pieds à la tête cela signifie le refus : dans ce cas je reviens en arrière et je lui supplie de me gifler comme punition parcequ’elle avait été gênée.
.
5 ) Si la permission est donnée je procède de la manière suivante :

a ) je lève mes yeux vers ma maîtresse et j’aboie pour la remercier ;

b) je commence à embrasser les pieds de maîtresse et ses chaussures aussi ( tout le pied d’en bas et d’en haut ) et je n’arrête pas que si je reçois un coup de pieds sur la figure ou autre signe signifiant que maîtresse s’est rassasiée ;

c ) ensuite, je me mets à genoux, je recule mes deux pattes en arrière, je pends ma langue et j’aboie pour demander la permission de lécher ses semelles. Si elle me dit couche toi, c-à-d maîtresse ne veut pas que je nettoie ses semelles. Si par contre elle me dit ( lèche, nettoie, commence … ) je commence à lécher ses chaussures ; le léchage se fait de la manière suivante : je sors ma langue autant que je pouvais et je j’applique fortement toute sa surface sur la semelle, et je lèche de bas en haut ; de cette manière ma langue pourra aspirer toutes les saletés que je devait avaler. Je dois lécher les semelles intensément et rapidement car Maîtresse pourra m’ordonner de s’arrêter soudainement, et à ce moment là on passe au test :

- elle jette une feuille de Klinex par terre ;
- je la rattrape avec ma gueule et j’attends les ordres ;
- elle m’ordonne d’essuyer ses semelles avec le Klinex ;
- quand je termine, je lui montre le Klinex, il doit rester tout blanc, et tout à fait propre ;

d ) durant tout ce processus ( baisers et léchage ) Maîtresse pourra me donner la permission d’aboyer pour exprimer ma joie.

e ) ma récompense est de me faire promener à la laisse en public, et me permettre de répéter ce processus plusieurs fois.

Carla, la soeur de ma Maîtresse était ébahie : elle ne croyait pas ses yeux :

- Vraiment c’est un vrai chien.

- Oui, bien sûr, regarde : Max déchausse moi et donne moi ma chaussure immédiatement. Je fais ce que Maîtresse R…me demandait et je lui tends sa chaussure avec ma gueule ; elle la prend et me la tend de nouveau :

- sens ma chaussure et l’odeur de mes pieds Max, sens bien, il faut que tu mémorises cette odeur.

Je sentais le fond de la chaussure et aussi son joli pied déchaussé, et soudainement elle l’envoyait de toute ses forces dans la pelouse et cria à haute voix :

- Max, rapporte !

Je courais à quatre pattes suivant des yeux la chaussure projetée en l’air et après deux minutes je revenais en mordant la chaussure et je la mettait devant ma maîtresse . comme récompense elle me permet de la lécher et aussi d’embrasser son pied nu. Ensuite elle m’ordonna de la chausser.

Carla quittait sa soeur, et maîtresse R. allait au supérmarché ; mais tout d’abord elle m’envoie lécher la bare de fer et le sol au dessous de son banc : on avait cours après-midi et elle veut que le sol soit propre pour déposer ses pieds. Je montais en classe et je commençais ma tâche : je léchais le sol impeccablement en nettoyant toute trace délaissée par les chaussures de ma maîtresse.

Durant les cours je m’asseyais à côté de ma Maîtresse pour la servir. Soudain, celle-ci m’appela :

- chien, tu veux du chocolat ?

Je répondais à voix basse :

- Ouaf, ouaf !

Elle jettait par terre du chocolat, et puis elle se déchausse et l’écrase avec son pied nu :

- Mange, chien et tout de suite !

Directement, et sans prendre aucune précaution je prosternais à ses pieds et je commence à lécher les pieds de ma Maîtresse : je les dévorais, je mangeait ses pieds . Ma maîtresse étoufait de rire. Je commençais à sucer ses orteils un à un en passant ma langue entre eux et ensuite j’avalais son pied jusqu’au talon : je suçais son pied pour un quart d’heure comme une friandise. Après, ma Maîtresse me stoppait en me donnant un coup de pieds et m’ordonne de se mettre à ventre ; elle voulait m’utiliser comme repose-pieds après une longue marche dans les rues, et en même temps elle me pousse ses chaussures pour les lécher et les nettoyer.

Après les classes, elle m’ordonna d’aller avec elle à sa maison : elle voulait montrer son chien à la famille.

Je la suivais en portant ses livres comme une bête de somme, et, arrivés devant la porte de sa maison, elle se retourna vers moi et m’ordonna de se mettre à quatre pattes et puis elle sonna…

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