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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- L’esclave des femmes de ménage (t) -

Contexte : Un immeuble de bureaux parisien tard le soir : un retardataire à son poste de travail. Paul, jeune informaticien débutant, contraint d’effectuer des heures supplémentaires, afin d’atteindre les objectifs draconiens fixés par son chef de projet (ou plutôt ‘ sa’ chef de projet), sait qu’il ne pourra y parvenir. Il est seul, stressé, desespéré par la perspective de perdre son job, en cas d’échec. Son cerveau, saturé d’endomorphine, finit par divaguer sérieusement, lui dictant d’échapper, coûte que coûte, à cette désagréable situation apparemment sans issue : le genre de sensations qu’il éprouvait lors d’examens scolaires particulièrement ardus. D’ un stress extrême, à l’excitation sexuelle, il n’y a qu’un pas. Le côté obscur de son esprit finit par prendre le dessus. Hagard, fébrile, une irrépressible envie masturbatoire l’envahit. Il ressent le besoin d’être puni, humilié, pour son incapacité à honorer son contrat.

De la fuite

Brusquement, Paul se lève, rejette sa chaise en arrière et se précipite hors de son box de travail. Il rejoint le couloir principal de l’étage et déambule dans la travée, désoeuvré, d’un pas vif, tandis que défile, dans un brouillard bourdonnant, l’alignement symétrique des portes. ‘Etudes’, ‘Exploitation’, ‘Contentieux ’, ‘Courrier’, ‘C.E’…, la litanie des plaques ovoides,

dénominatrices des services de l’entreprise, de forme semblable à des cartouches égyptiens,   défile devant ses yeux. Soudain, une porte entre-ouverte, laissant filtrer une lumière blafarde l’attire comme un éphémère. Il entre dans la pièce, machinalement, sans savoir ni pourquoi, ni comment, ces pas l’ont mené là plutôt qu’ailleurs. Une atmosphère chaude, moite, règne en ces lieux. Une buée se forme rapidement sur ses lunettes, ralentissant, stoppant sa marche inexorable vers nulle part. Hébété, il retire ses lunettes et essuie ses verres machinalement. Le souffle court, il ne parvient pas à déterminer la vocation de cette pièce, dans laquelle il n’a jamais pénétré auparavant.

Du franchissement

Concentré par une tâche à la fois simple et mécanique, l’esprit de Paul parvient petit à petit à s’apaiser. Un élément nouveau, toutefois commence à gagner ses sens, ou plutôt un sens : celui de l’odorat. Une odeur de vestiaires, de transpiration, plus particulièrement de pieds. Paul remet ses lunettes et distingue petit à petit son nouvel environnement : carrelage blanc, bancs, quatre casiers métalliques étroits et gris, douches, lavabos, vêtements épars, chaussures dispersées, féminines. Des prénoms inscrits sur les étiquettes des casiers : Farida, Malika, Désirée, Maria. Un picotement caractéristique commence à se répandre dans les organes génitaux du jeune homme. Sans état d’âme, instinctivement, il s’approche d’un des bancs, s’agenouille, non, s’applatit devant une paire de chaussures, en l’occurence des mules compensées en liège, dont la semelle intérieure, salie, révèle un usage répété et intensif. Il plonge son nez directement sous une des larges bandes de vynil blanc, dont l’utilité est de retenir l’avant du pied plaqué à cette même semelle. Un arôme à la fois vinaigré et amoniaqué envahit ses narines. Son excitation va croissante, accrue par la vision, noircie et nettement marquée, de l’empreinte des orteils, sur la pointe interne et découverte des mules. Certain d’être le seul employé encore présent à l’étage, tout en étant, inconsciemment et délicieusement stimulé par l’éventuelle possibilité d’être découvert par une tierce personne, il s’engage dans une masturbation fiévreuse, à même le sol, à plat ventre. Il peut enfin laisser libre cours à son besoin d’abnégation masochiste, s’imaginant anéanti par le pied autoritaire et méprisant de ‘sa’ chef de projet, pour punir sa grave incompétence professionnelle.

Du flagrant délit

Paradoxalement porté par le caractère avilissant de son acte, le jeune homme ne peut retenir des gémissements de plus en plus indiscrets. Au plus fort de ceux-ci, de nouvelles plaintes, plus aigues, leurs font soudain écho, suivies d’une tempête d’éclats de rires. Tétanisé, livide, Paul, se retourne, pour visualiser la source importune de ces rires. Il ne fait qu’exposer ainsi, l’indécence de son état. Quatre silhouettes féminines, revêtues de blouses de nylon rose se découpent dans l’encadrement de la porte, sur laquelle une plaque, toujours ovoide, énonce : ‘Entretien ménager’. A la vue de son membre librement dévoilé, les femmes de ménage s’en revenant de leur tournée à travers les étages, redoublent de rire. Sans hésiter, en territoire conquis, elles entrent toutes dans ce qui est, de fait, leur local de travail. L’une d’elles pousse un chariot, ressemblant à un grand caddie, rempli de produits ménagers, seaux et balais. Toujours secouées de rire, elles entourent, cernent le corps allongé du jeune homme sur le sol cimenté.

De l’humiliation la plus vile

L’une d’elles, la plus agée, celle qui pousse le chariot, prend la parole :

‘Regardez moi ça ! Tandis qu’on se tue à la tâche, il y a des rats qui viennent renifler et manger nos chaussures.‘

‘Alors, petit rat, elles sentent bon au moins mes chaussures ?’

Ponctuant sa dernière phrase, Farida, donne un violent coup de pied dans les parties exposées du jeune homme.

‘AAArghh!’

Le souffle coupé, Paul se tord de douleur, toujours tétanisé.

Encouragée, par le manque de réaction du jeune homme, la matrone s’approche de sa tête et lui balance un crachat au visage.

‘Tiens, petit rat, ça t’aideras peut être à nettoyer mes pieds fatigués, à cause des saloperies que vous faites dans vos bureaux!’

Sur ce, Farida extrait de sa pantoufle usée, un pied large, massif, sale et moite, qu’elle écrase aussitôt sur le nez du jeune homme.

‘Allez, renifle mon pied. Il sent encore bien plus fort que mes chaussures. Allez, vas-y.Qu’est-ce que tu attends ?’

Farida presse sa plante et remue ses orteils en tous sens sur la figure de Paul impuissant, étalant la salive de son crachat sur son nez, sa bouche et jusque dans ses yeux.

Terrorisé, le jeune informaticien, est assailli par une épouvantable odeur mêlée, de salive et de sueur de pied négligé, sans compter la douleur subie par l’écrasement vigoureux, qu’engendre le pied lourd et charnu de Farida sur son visage. Ses compagnes, tordues de rire, encouragées par son attitude dominatrice, tiennent, elles aussi, à participer plus activement à cette humiliation collective. Comment ne pas apprécier, en effet, l’avilissement d’un homme faisant partie d’une catégorie de personnel habituellement hautaine et méprisante à leur égard.

De l’organisation improvisée du jeu

‘Allons Farida’, dit Désirée, la jeune, grande et lourde antillaise, en poussant gentiment celle-ci ‘Tu vois bien que ce pauvre petit monsieur, a surtout besoin de changer d’air ‘. Ce faisant, s’appuyant au mur, Désirée abandonne ses claquettes, monte de tout son poids sur la tête de Paul et commence à essuyer ses grands pieds sur sa figure.

La douleur est cette fois intolérable. Bien que toujours paralysé par la peur, Paul ne peut réprimer un cri. Désirée n’en a cure. Hormis elles, personne n’est là pour prêter l’oreille à sa détresse. Cela la met au contraire en joie, lui faisant augmenter la pression et la lourdeur de son mouvement. Ses grands pieds noirs et ridés pressent son visage comme raisin au fouloir. Le nez de Paul cède soudain dans un craquement sinistre, ce qui ne l’empêche toutefois pas de continuer à sentir cette odeur désagréablement rance, conséquente au peu de soin qu’ont certaines femmes de leurs pieds.

‘Regarde ’, dit Maria, ‘Ce porc te met du sang plein les pieds’.

‘C’est ma foi vrai’, dit Désirée en pliant la jambe pour regarder la plante d’un de ses pieds, tout en maintenant l’autre fermement écrasé sur la figure du jeune homme. Elle consent enfin à descendre de son piédestal improvisé, mais seulement pour s’assoir sur le banc contigu et tendre les plantes de ses pieds ensanglantées à la bouche de Paul.

‘Allez nettoie tes cochonneries sale rat’, dit-elle tout en remuant ses doigts de pieds sous son nez fracturé.

Croyant peut être pouvoir échapper à sa cruauté, Paul tend sa langue sèche et se met à éponger son propre sang sous les pieds de la cruelle femme de ménage antillaise. L’assemblée féminine continue à s’esclaffer. L’immonde tâche achevée, Malika décide d’agir elle aussi.

‘Je vais laver cette figure de cochon, avant qu’il n’en mette partout’.

Elle relève sa jupe et sa blouse, enjambe le corps de Paul et s’accroupit de dos tout contre son visage. Elle se met alors à uriner abondamment sur sa figure, à travers sa culotte, longuement, patiemment. L’urine dilue, emporte effectivement le sang, en une rigole continue vers l’évacuation centrale de la pièce. Pour finir, Malika s’assoie de tout son poids humide sur le visage maintenant lavé et libère un pet bruyant et nauséabond sur le nez torturé.

Nouvelle tempête de rires. Malika se relève, enlève sa culotte trempée, se dirige vers son casier personnel, l’ouvre et en retire une paire de ciseaux, avec laquelle elle entreprend de découper deux petites bandes de tissu imbibé d’urine, qu’elle roule en forme de tampons. Elle revient vers Paul, maintenant en état de choc, lui relève légèrement la tête et lui glisse avec force, un à un, les tampons dans chacune de ses narines. Puis elle lui balance une volée de gifles extrêmement violentes et dit :

‘Maintenant, on peut lui marcher dessus tant qu’on veut, il ne saignera plus et ne fera plus de cochonneries!’

‘Oui, mais il ne pourra plus sentir nos pieds non plus’ dit Maria.’Et moi, je veux qu’il sente mes pieds, ce porc. Je trouve ça plus amusant que de lui marcher sur la tête. Une ordure, ça doit sentir l’ordure.’

‘Bon OK’, dit Farida.’On lui marche plus dessus! On le déshabille, on lui enlève ses tampons, on le met sous la table et on s’en sert comme repose-pieds, pendant qu’on joue aux cartes. D’accord les filles ?’

‘Chouette’ dit Maria. D’un commun accord, les quatres femmes de ménages placent la table au-dessus de Paul, rapprochent quatre chaises, et confortablement installées, commencent à jouer aux cartes, bavardant de tout et de rien, ignorant jusqu’à l’existence du pauvre jeune garcon sous elles, qui souffre sous le poids aggravé des quatres paires de pieds reposant, fermement sur son corps trempé et meurtri. Et tandis que leurs mains jouent avec les cartes, leurs pieds, eux, jouent à entrer et sortir continuellement de leurs pantoufles et claquettes de travail à même son corps. Maria, quand à elle, a exigé et obtenu la place d’honneur, c’est-à-dire, près de la tête de Paul. Elle a pu ainsi, retirer ses espadrilles nauséabondes de ses pieds non moins puants, afin de les poser avec délectation, bien à plat sur le visage tuméfié du jeune homme, qui dut tout le reste de la nuit, respirer tant bien que mal dans cette odeur de fromage fermenté, au son des rires incontrôlés des quatres bougresses.

Signé : Gendi

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