J’ai entretenu jusqu’à l’âge de 20 ans une relation des plus torrides avec une de mes cousines qui partageait avec moi des activités d’un ordre très…sexuel.
Mégane était la fille de mon entourage la plus jolie qui soit.
De grande taille, avec un corps fait d’une symbiose parfaite de finesse et de formes féminines magnifiquement équilibrées, chacun de mes regards porté sur elle me créait une sorte d’émoi des sens, construits d’un plaisir visuel, certes, mais aussi de ces petites douleurs au ventre, à la fois pernicieuses et agréables.
J’aimais sa façon de bouger, de s’habiller, ses robes aux tailles serrées lui moulant les hanches, puis s’ouvrant largement vers le bas, toujours d’une longueur laissant apparaître le bas de ses cuisses sans jamais confiner à la vulgarité.
Il s’est trouvé, par le plus incroyable des bonheur, qu’elle m’a très tôt porté une attention toute spéciale, et que nos tendres jeux d’enfants ont évolué vers des câlins très confidentiels.
Nous avions l’un et l’autre fait la chose pour la première fois ensembles et cela, tant pour elle que pour moi, reste un souvenir véritablement gravé en nos cœurs et nos corps.
Je dois vous dire que nous sommes allés bien au delà de ce simple « dépucelage mutuel », et je vous narre ici l’une de nos aventures parmi les plus torrides qui soient.
C’était le week-end d’après Noël, et nos parents nous avaient laissés seuls pour ces deux jours là.
Nous avions la maison bien à nous, libres pour la première fois de tout, absolument tout.
Nous avions 19 ans, alors.
Dès que nous fûmes seuls, nous décidâmes de préparer notre week-end en allant faire les courses et nous approvisionner en gourmandises alimentaires, bien décidés à ne plus sortir de la maison pendant deux jours, ne nous amusant qu’avec nos corps.
Nous étions excités il est vrai, car nous étions aussi passés a un sex-Shop discret ou nous avions acheté son tout premier Vibro.
C’est au retour vers le parking, ayant terminé nos achats et poussant le Caddie plein que commença le plus incandescent des moments avec Mégane
Nous pensions être seuls dans ce parking, et il semble que les baisers et caresses déjà échangées jusque là devaient avoir une suite.
Finalement l’endroit s’y prêtait puisque nous étions garés de manière telle que l'arrière de la voiture, où nous étions debout, ne donnait pas vers les voies de circulations, mais vers une sorte de séparation à barreaux donnant sur une zone technique, elle même située a environ 1m50.
Mégane m’enlaça, donnant dos aux barreaux, et m’embrassait en relevant sa jambe et mettant sa chaussure sur l’ouverture du coffre largement ouvert, offrant ainsi son intimité nue à une caresse inaboutie tout a l’heure.
En fait, ce silence, cette promiscuité de elle et moi, le contact de son corps, sa nudité relative, la sensation d’humidité entre ses jambes, faisaient que j’étais très excité, et que l’envie de sexe se faisait impérieuse.
J’entendis un léger bruit derrière elle.
Il semblait que la zone technique n’était pas vraiment déserte.
Je ne lui dis rien, car je caressais l’espoir que nous ne soyons pas seuls.
Sa jambe relevée m’offrait un accès total a son intimité, et si j’avais longtemps souri en entendant mes copains de Faculté théoriser sur le fait qu’il existait des Femmes dites «Vaginales» et d’autres «Clitoridiennes», c’est parce que je savais qu’il en existait aussi qui étaient vaginales ET clitoridiennes, et pour cause, ma Cousine en était.
Mon doigt maintenant excitait son clitoris autant qu’elle aimait, et je sentais son petit bouton devenir dur.
Nos différents ébats m’avaient montré qu’elle était dotée d’un clito que certains qualifieraient «hors du commun».
Lorsque je le lui caressais, il prenait une dimension telle que je pouvais le prendre, et le branler du bout des doigts comme on pourrait le faire avec un sexe d’homme.
J’adorais cela. la prendre entre mes doigts, les serrer légèrement, lui décapuchonner le clitoris, puis le cacher, et refaire ce geste délicatement tout en modulant l’enserrement des doigts.
Je sais aussi qu’elle en raffolait.
Je m’adonnais à cette activité, lorsque par dessus son épaule, je vis au travers des barreaux apparaître deux Hommes, visiblement ouvriers de maintenance qui marchaient, avec l’air de ceux qui ont fini leur journée et souhaitent rentrer chez eux.
Je ne dis rien, activant mes doigts sur un clitoris à l’air visiblement enjoué, sa propriétaire ayant déposé sa tête sur mon épaule, les yeux cachés dans mon cou, et s’oubliant à quelques gémissements caractéristiques.
Lorsque je ralentissais mon mouvement, elle m’encourageait, d’un «non, je t’en prie, continue...» , et je savais ainsi qu’elle était dans un état second que je lui connaissais bien.
L’un des hommes nous vit et donna un coup de coude a son collègue, puis ils s’immobilisèrent.
Ce qu’ils voyaient n’était que le dos de ma Cousine, mais aussi sa cuisse découverte par le fait qu’elle était relevée, et puis... le mouvement de ma main.
En cet instant, elle me disait, «j’ai envie, j’ai envie, c’est bon, continue...» en dirigeant sa main vers mon sexe qu’elle sentait gonflé au travers du pantalon.
Elle mouillait énormément, comme a son habitude, oserai-je dire, et il me vint à l’idée en cette période de Noël, d’offrir un cadeau à ces hommes.
Alors en un mouvement de mes bras, je la retournai tout en la couchant à l’arrière du 4X4 dont on avait déjà ouvert la grande porte arrière, merveille de véhicule au plancher plat lorsque l’on ouvrait le coffre.
Les pieds posés au sol, les genoux repliés et le corps bien a plat à l’intérieur, les yeux fermés vers le plafond, elle ne savait rien de la présence de ces hommes qui s’étaient rapprochés et qui étaient maintenant à un Mètre de moi, simplement séparés par les barreaux écartés entre eux d’environ 15cm.
Je m’allongeai vivement à coté d’elle tout en l’embrassant.
Nos langues s'entremêlèrent en même temps que de la main droite je déboutonnai le bas de sa robe jusqu’au dessus du ventre et lui écartai les jambes vraiment en grand.
Le simple poids du tissu fit le reste... elle fut nue, jambes écartée, la chatte trempée, le tout à un mètre des regards des hommes qui maintenant étaient tout contre la grille.
Je lui caressais le clitoris de manière experte, tour à tour l’enserrant de mes doigts, le mettant a nu puis le recouvrant, elle mouillait comme jamais, et tout l’intérieur de ses cuisses satinées était recouvert de sa cyprine.
Mégane était souvent impatiente à l’orgasme, et elle commençait à me dire, au rythme de mes caresses «fait moi jouir, fait moi jouir»
Je n’en avais nulle intention, et la présence des Ouvriers, complices silencieux, commençaient à m’inspirer tout a fait d’autres projets, car j'aperçus qu’ils s’étaient valeureusement pris en main, ayant posé leurs outils, et leurs sexes respectifs faisant maintenant l’objet de manipulations outrancières.
J’amenais ma Cousine à la limite du plaisir ultime. Je connaissais bien son corps, et par les débuts de contraction de son ventre, je savais le moment de ce qui pouvait être un non retour.
Aussi étais-je assidu, mais attentif.
Elle avait ouvert ma braguette et tenait mon sexe maintenant bandé en sa main fermement, elle le branlait furieusement en me disant «j’en ai envie, je t’en prie»
Alors je m’arrêtai de la caresser Net.
Elle était à deux doigts de l’orgasme.
Ses yeux étaient révulsés, elle avait complètement décollé, n’avait plus le sens de la réalité.
Je l’y ramenai doucement à ma façon.
Je me mis à califourchon sur son corps, les genoux appuyés sur le plancher de la voiture, puis, lui tenant les mains, je reculai petit a petit tout en la relevant, lui cachant de mon buste la vue des Hommes derrière, tout près de nous.
Elle murmura tout doucement, «Non, non, je ne tiendrai pas sur mes jambes»
Puis les yeux fermés et moi la soutenant, je la mis debout alors qu’elle vacillait.
Elle ouvrit les yeux.
Je la vis interdite, les yeux encore complètement dans le vague.
La vue de deux inconnus souriants, la bite à la main, et manifestant il faut bien le dire... une érection indiscutable, le tout à un mètre d’elle avec juste moi entre elle et ces sexes tendus la rendit comme tétanisée.
Ses jambes la supportaient à peine.
Je pris vivement un tapis de sol du 4X4, le projetai au sol à 20 cm des Ouvriers, puis n’eut aucune difficulté à lui plier les jambes.
Elle tomba presque au sol, les genoux sur le tapis judicieusement placé, moi la retenant puissamment sous les bras, sa poitrine découverte effleurant les barreaux.
En une seconde, son visage portant encore le masque du désir inassouvi fut à 5 centimètres du sexe tendu à mort d’un des Hommes.
Elle eut un mouvement instinctif de recul en même temps que je lui écartais les jambes et introduit mon doigt dans sa chatte complètement trempée tout en la soutenant par les épaules, ce qui lui fit renverser la tête en arrière, pinçant les lèvres et fermant les yeux sous l’effet du plaisir.
Tandis que de la main gauche je me saisissais du vibro dans son sac à main, l’homme avança son sexe et toucha ses lèvres qu'elle avait encore fermées à ce moment là.
Je donnai à mes doigts un mouvement de va et viens rapide qui rappela a son corps l’état dans lequel elle était, et elle laissa échapper un «ahhhh...» en ouvrant grand la bouche, fermant à nouveau les yeux.
C’est ce moment que choisi l’homme pour y introduire son sexe délicatement.
Lorsqu’elle referma la bouche, ma Cousine senti ce sexe gonflé, dont je dois dire, vu de près qu’il était tout simplement énorme.
Elle fronça les sourcils, mais mes doigts commettant leur œuvre, elle s’abandonna, saisissant le sexe introduit, le serrant, et l’homme assurant lui même un début de mouvement de va et viens.
C’était le spectacle vivant et incroyable de ma Cousine, elle même excitée à l’extrême limite d’un orgasme, s’adonnant à une fellation à un parfait Inconnu auquel j’assistais, a 20 cm de mes yeux.
Je pouvais voir le mouvement de ses lèvres sur ce Sexe turgescent en même temps que je la doigtais, cherchant des doigts de mon autre main le bouton de mise en marche de mon cadeau de Noël à Mégane, Vibromasseur magique s'apprêtant à porter un coup dont j’allais décider s’il allait être décisif.
Le mouvement de mes deux doigts à l’intérieur de son sexe maintenant bien ouvert faisait trembler tout son corps et elle s'adonnait finalement à cette Pipe un peu forcée il faut bien le dire, avec bonheur, au vu de ses deux mains qui enserraient le sexe de l’inconnu.
Je croyais parfois voir une forme de folie dans ses yeux, tant le plaisir l’envahissait, son corps vibrant, ses mains tremblantes parfois, l’irrégularité de ses mouvement pendant la fellation, poussant parfois un petit cri entre deux mouvement de sa langue autour de ce sexe impressionnant, lorsque mes doigts allaient plus au fond d’elle.
Je la connaissais bien et savais m'arrêter lorsque l’orgasme n’était pas loin.
À un moment pourtant, elle failli l’atteindre.
J’arrêtai mon mouvement, et je vis ses yeux se révulser.
Je lui criai un «Non ! Pas maintenant» qui la rappela a moi» et elle n’évolua pas vers le plaisir ultime.
Elle m’en voulait, car elle m’avait plusieurs fois dit qu’elle n’aimait pas cela.
Ses yeux me suppliaient, je la sentais limite.
Je retirai mes doigts, ce qui la fit me regarder, la bouche pleine, mais le regard comme affolé.
Je lui écartai avec force les jambes appuyées sur ses genoux et elle n’en comprit pas tout de suite la raison, car son sexe était à ce stade béant de désir, de besoin de pénétration.
Puis lorsqu’elle senti le contact du vibro, non encore actif, elle descendit son corps avec force, recherchant l’objet, le désirant puissamment au fond de son vagin.
L’inconnu à la bite énorme fermait maintenant les yeux, je le sentais limite, lui aussi.
C’est ce moment que choisit enfin l’autre homme pour relâcher son sexe et toucher la poitrine de Mégane.
Je m’étonnais jusqu’ici que des seins aussi étonnant de volume et de fermeté puissent laisser insensible un Mâle normalement constitué.
Il ôta les boutons supérieur et dégagea complètement ses seins dont les pointes étaient érigées et avança sa bouche au travers des barreaux, se saisit d’un sein et lui lécha la pointe, ce qui fit Mégane plaquer son buste contre la grille, offrant sa poitrine à cette bouche désireuse.
Je surveillais l’autre homme ou plutôt son état, car il était pour moi hors de question qu’il éjacula dans la bouche de ma Cousine qui de son coté ne maîtrisait plus rien de la situation dont j’étais Maître d’œuvre.
J’actionnai le vibro en mode lent et le fis pénétrer, d’abord doucement l’entre jambe de Mégane dont les cuisses étaient maintenant bien ouvertes tout en repoussant l’homme debout de l’autre main.
Bien m’en pris, car à peine éloigné, il se tourna d’un quart de tour tandis qu’un jet puissant fut émis.
Spectaculaire, le Bonhomme.. Ou Efficace, ma Cousine !
L’autre homme n’attendit pas, il se releva, se détachant de la poitrine de Mégane et lui présenta son sexe en bouche.
A ce moment, ma Cousine avait en son vagin un puissant Vibromasseur en mode lent, mais introduit de 15 centimètres en elle, et bougeant de 5 en va et viens réguliers animés de ma main.
Je passai en un mode plus actif, et le résultat ne se fit pas attendre, elle cria presque, son vagin coulant littéralement de cyprine et le sexe de l’autre homme bien en bouche, c’était maintenant son bassin qui s’activait, les yeux fermés qui lorsqu’ils s’ouvraient étaient vides de conscience.
Le vibro la rendit folle.
Elle s’écarta de l’homme qui se saisit de son sexe et «se finit » a la main en deux mouvements, puis se saisissant de deux barreaux avec force, elle s’en aida pour s’enfoncer le gode en elle par ses mouvements de bassins qu’elle contrôlait à peine.
Je décidai alors de lui accorder un orgasme mérité.
Je mis le cadeau du Père Noël à sa puissance maximale, tout en l’agitant moi même de haut en bas.
Ma Cousine accroupie s’enfilait alors un Gode vibrant de 20 centimètres de long dans la chatte. Accrochée au barreaux, elle courrait littéralement après cet orgasme, s’enfonçant l’objet par ses va et viens jusqu’à pousser un véritable cri qui rompu le silence du parking, résonnant en écho.
En même temps que je retirai vivement l’objet du délit en elle un liquide m'inonda la main droite me laissant un instant interloqué.
Ma Cousine pour la première fois de sa vie se découvrait Femme fontaine à mes yeux
Elle avait joui.
Les hommes en face étaient sidérés.
Encore la bite à la main, la bouche ouverte, je suis certain qu’ils n‘avaient jamais vécu cela.
Ma Cousine était épuisée, crispée contre les barreaux, les tenant encore de ses mains fermées.
Je la décrochai, l’aida à s’asseoir dans la voiture, et vida en vrac le contenu du Caddie à l’arrière.
Lorsque je claquai la porte du Coffre, je jetai un œil vers les Ouvriers, toujours pétrifiés et n’ayant pas bougé d’un poil.
L’un d’eux reprenait ses sens et me lança... « Merci pour tout ! Elle est sensationnelle, votre Femme , mais pourquoi vous ne la baisez pas ?»
Je le regardai en souriant, puis, évitant la flaque au sol, signature du passage de ma Cousine en cet endroit, j’ouvris la porte chauffeur avant de m’installer au volant, puis me ravisant, je lui répondit, reprenant ses derniers mots..
« Pourquoi je ne la baise pas ? C’est pas ma Femme , c’est ma Cousine »
Puis heureux de mon effet, je mis le contact, non sans avoir mis la ceinture à Mégane, complètement déshabillée et le regard fixe, un sourire au lèvres.
Je me souviens encore de la bouche ouverte des deux hommes, le sexe encore à la main, que je voyais médusés dans le rétroviseur.
J’avais moi même une érection d’enfer, mais j’avais appris à contrôler ces effets là.
Mon Plaisir à moi se situait bien au delà d’une simple éjaculation générant un plaisir de quelques secondes, quelque part dans les méandres d’une forme de domination, qui sait ?
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