Une heure que j'étais là à fumer joint sur joints dans ce coin sombre du Parc sans que Fred ne vienne me tenir compagnie comme il me l'avait promit…
Quel salopard, celui-là. ; Fumer a deux, c'est quand même autre chose que de se faire son petit machin toute seule.
Et puis me donner rendez vous dans ce coin que je ne connaissais pas, j'aime pas du tout.
J'ai mes habitudes, moi, d'autant que ce que j'avais dans une de me poches, c'était un peu plus que de l'herbe, quoi…
Ce coin à tout ce qui ressemble à un endroit maté par les flics.
Et avec mon père qui bosse a la maison poulaga, j'ai vraiment pas envie de me faire chopper par ces connards.
Voilà où j'en étais de mes réflexions en cette nuit d'été dans un parc de Province, moi Melissa fille de Flic, en conflit permanent avec mon Père depuis longtemps.
Hors de question de fumer à la maison, bien sûr, alors je m'échappais la nuit, avec un Pote, et on se faisait nos petits trucs tranquille.
Si je vous raconte cette histoire, c'est parce que, en guerre avec mon Père, je vécus cette situation qui me donnait l'occasion de le rendre fou.
C'est possible, ca ? Ben ouais, j'en jubile encore.
Et pourtant… Mon connard de Père ce soir la a bien fait passer sa réputation avant une humiliation dont seule lui et moi pouvions connaître l'existence.
Ce soir-là, ça n'a pas raté, de toutes façons, je le sentais arriver, ce coup là…
Ronde de Flic ! et Hop ! je me fais avoir, la torche en plein dans la gueule, le joint à la main.
« Mais on dirait bien qu'elle tient entre les mains une matière illicite, la petite, là… »
Le Flic s'approche sans baisser la lampe et me tient par le bras, me mettant à la lumière de l'éclairage public.
Encore un peu aveuglée, je distingue deux autres flics, tout en me disant qu'ils allaient me faire le coup du Méchant et du Gentil en version sous titrée.
On me fit tourner le dos et je ne pus les voir vraiment, ces cons.
- Bon, disait l'un… On résume, la p'tite jeune. : Il est 2 h du mat, et même pas la peine de te fouiller pour voir ta came, alors je vais y aller direct : tu fais chier, on t'embarque.
Mais on peut fermer les yeux si tu fais ta gentille avec nous.
- Bande de Cons ! Vous imaginez vraiment que je vais vous toucher ?
Je dois dire que je n'en menais pas large avec mon t shirt sans sous tif et le fait que j'étais partie tellement vite de la maison que je n'avais pas mis de culotte.
J'attendais la voix de l'autre, ne sachant pas si le premier avait été gentil ou si l'autre pouvait être plus méchant
- Arrêtes Julien, elle est vachement jeune, on la laisse partir.
Et alors là ! le choc !
La voix de mon Père !
Le Julien en question se lança dans des propos ahurissants, genre « tu ne disais pas ça, Jean-Luc (mon Père), quand il y a une semaine tu as proposé à la jeune pute de l'enfiler séance tenante.
Silence, puis…:
- Bon, on arrête de rigoler, là, continua le Julien..
Tu nous suces, et on te laisse te barrer en courant. Tu nous suces pas, on appelle les collègues.
Je tentai un « Vous savez ce qu'il fait dans la vie mon Père ? »
- Tu vas te taire, oui ! ? tonna le Jean-Luc en question
Je me retournai et le fixai droit dans les yeux, en souriant :
- Alors comme ça vous voulez vraiment pas savoir ce que fait mon Père comme boulot ? Dis-je à … mon Père
Je crus qu'il allait exploser, quand le premier appela un groupe de deux autres flics qui passaient pas loin.
- Hé les gars, venez, je crois qu'on tient une grave délinquante mais qui a une chance de s'en tirer, là. Vous venez ?
Me voilà donc au pied du mur.
Quatre gaillards dont mon Père, à la limite de l'apoplexie, les trois autres, rigolards, prêts à abaisser leurs braguettes.
Ce que fit d'ailleurs l'un d'entre eux.
Rien à foutre de me faire embarquer par vous, dis-je.
Par contre, si je dois sucer vos bites, je veux commencer par celui-là, le petit gros, là, dis je en désignant mon Père.
Je réalisais effectivement que je tenais là une occasion inespérée de mettre mon Père dans une situation où, bien qu'apparemment j'étais en situation de faiblesse et dominée par ces hommes, je pouvais mettre mon Flic de Père en pièces.
Mon seul regret en cet instant concernait Fred, ou plutôt son absence.
Non pas que je ne maîtrisais pas la situation de l'instant, mais Fred, en dehors de ses dérapages nocturnes avec moi et du fait que nous étions amis d'enfance, était un petit génie du multimédia, et il traînait toujours avec son petit caméscope dans la poche, toujours prêt a filmer tout et n'importe quoi.
La stratégie du moment consistait a faire croire à ces imbéciles qu'ils allaient jouir de leur statut de Flic Dominateurs, alors qu'en fait personne ne savait que j'étais la fille de l'un d'entre eux et que de surcroît le Mec en question était trop fier et con pour arrêter tout ce cirque en clamant simplement que j'étais sa fille.
C'est clair que d'être Flic et de tomber sur sa fille en train de se camer en pleine nuit, ca craint...
Pendant que je menais mes réflexions toutes personnelles, j'étais la cible visuelle de tous ces mecs, qui commençaient a prendre conscience du fait qu'ils avaient en face d'eux une super blonde d'un mètre 70, un 95c à déclencher des émeutes, corps d'enfer, le tout simplement vêtue d'une simple robe légère, sans la moindre culotte, la chatte simplement masquée à leurs yeux par l'épaisseur du tissu léger..
Je m'attardais sur mon Père.
Dans la pénombre, je le voyais rouler des yeux comme un fou.
Je me disais «c'est pas possible, il va le dire, que je suis sa fille, il ne peut pas laisser continuer ce jeu idiot»
En attendant le jeu idiot continuait, les deux autres flics commençaient eux aussi à êtres amusés par l'enjeu, et je venais d'apprendre que mon Père se tapait des putes en les faisant chanter dans le cadre de son boulot en les obligeant à être baisées gratos, ce qui me rendait dominante, mais cela, seul mon Père et moi le savions.
C'était incroyable, le contraste existant entre ma position de faiblesse apparente et la réalité de ma position de force par rapport à mon Père.
Les trois flics commençaient a devenir nerveux, certains se touchaient le sexe, l'un d'entre eux l'ayant déjà sorti.
Je provoquai mon Père une dernière fois :
Ben alors le P'tit gros, t'as l'air d'être le chef, toi... tu vas laisser faire ça ? Et si j'y prenais goût ?
Je me dirigeai vers lui. Il recula d'un Pas.
Les autres rigolaient.
«Tu vas pas laisser cette petite salope te provoquer comme ça, jean Luc ?» dit l'un d'entre eux.
Le Jean-Luc changeait de couleur.
Je le regardai droit dans les yeux et défi sans hésiter son ceinturon.
Je crus qu'il allait craquer.
«Enlèves tes mains de là,» dit il, puis ses collègues se rapprochant, son regard devint fuyant, et il continua lui même de se déboutonner.
À propos de boutons, je défis moi-même les 2 premiers boutons de ma robe.
Ma poitrine explosa littéralement, chacun de mes seins s'échappant de leur carcan.
Je considérai alors les autres flics et leurs attributs.
Ils bandaient comme des cerfs en rut, leur engin à la main.
À ce stade de la situation, je dois avouer que le tournant que cela prenait ne me déplaisait pas à bien des égards.
L'idée de me faire défoncer par trois mecs tout a fait consommables, en uniforme et bien montés sous les yeux de mon Père avait quelque chose de vraiment très excitant.
Ce qui l'était davantage, c'est que j'allais mettre en bouche le sexe de mon géniteur, ce soir là, qu'il le veuille ou pas.
Je répétai :
- Je suce le P'tit gros d'abord.
Mais disant cela je me saisis de chaque main de deux sexes pris au hasard. je les sentais, gorgés de désir, chaud et fermes, les serrant légèrement, cela eu un effet auquel je ne pensais pas vraiment : mon corps réagit, à cela. Je sentis comme une humidité se déclarer au bas de mon corps qui était pourtant au repos sexuellement parlant avant que tout cela n'arrivât.
Puis je m'agenouillai face à mon Père en me saisissant de son membre.
Ce fut plus fort que moi : J'explosai de rire ! Il ne bandait pas, et je le fis savoir :
Mais tu bandes mou, mon P'tit Père ?
Une hilarité générale se propagea. Mon Père devenait ridicule, et ça me plaisait.
Je n'en avais pas fini avec lui.
En attendant, les sexes bien durs que j'avais touchés m'avaient fait de l'effet, et maintenant c'était certain : Je mouillais.
Je voulus alors «en rajouter un peu». Je me reculai, relevai mon mètre soixante-dix de toute sa hauteur, puis relevai petit à petit le bas de ma jupe.
Mes seins à ce moment pointaient littéralement tels des obus, leurs pointes saillantes, ne cachant plus le désir qui m'avait envahi.
Les deux boutons du bas de ma robe ne jouaient plus leur rôle, maintenant, ma main étant remontée le long de ma cuisse nue.
J'aimais cela, je me caressais, et maintenant les 4 hommes étaient figés.
Le bout de mes doigts se rapprochait de mon sexe mouillé, et je sentais maintenant mes lèvres dilatées.
Je m'assis sur le banc, et j'écartai délibérément mes cuisses, montrant dans un rai de lumière de l'éclairage public ma chatte brillante de cyprine.
Je fixais à mon tour ces trois sexes érigés tout en me caressant devant leur propriétaires, mon doigt jouant avec mon clitoris, l'entourant parfois vite , puis plus lentement passant sur son petit bout dur que je dégageai de mon autre main.
Deux des gars se branlaient maintenant dont un furieusement, il avait les yeux carrément sortis de la tête.
C'est lorsqu'il me vit introduire deux de mes doigts dans ma chatte, au début lentement, puis en créant ensuite un mouvement de va et viens qu'il n'y tint plus.
Je le vis fermer les yeux et son sexe cracher son sperme sous sa main qu'il ne contrôlait plus.
Un immense rire me parcouru :
Et Allons donc ! Un Flic qui bande mou, et un éjaculateur précoce, m'écriai je !
Je voulu alors passer aux choses sérieuses et me levai pour marcher en direction de mon Père.
Il était livide.
Je me mis a genou devant lui, les autres flics tout près de moi.
Je me saisis de son sexe tout mou et me le mis en bouche sans hésitation tout en relevant les yeux, ne voulant pas rater un certain spectacle.
Ma langue se fit vivante, pernicieuse, parfois lente parfois vive, jouant de la pression de ma bouche sur ce sexe paternel.
Il ne fallut pas plus de 30 secondes pour que cette forme flasque se raffermisse.
En même temps que ma bouche s'activait, mes doigts s'emplissaient de ses couilles, les massant, tandis que mon autre main se saisissait de ce sexe qui, malgré l'apparent dégoût caché de mon Père, prenait forme et même bien davantage.
Il fermait les yeux maintenant, sans doute était-il en train de se dire qu'il se faisait tailler une pipe monumentale par sa fille chérie en pleine nuit dans un Parc de Province sous les yeux de ses collègues, en cet instant.
Il me vint alors à l'esprit l'idée d'une perversité inouïe.
J'accélérai certains mouvements, des mains , de la langue qui s'enroulant autour de son gland lui transmettait toute sa chaleur, le branlant puissamment d'une main, jusqu'à ce que je sente venir son plaisir, parfaitement incontrôlable de sa part, au stade d'excitation où je l'avais amené.
Je sentis son sexe se gonfler, mais je ne voulais pas qu'il arrive au point de non-retour, ayant alors de tout autres projets en tête .
Lorsque je le sentis au bord de l'éjaculation, je m'arrêtai Net !
Je me relevai, puis le regardant de toute ma hauteur, je lui dis, à la stupéfaction de ses collègues :
- Maintenant il va falloir que tu me prennes en levrette, si tu veux jouir.
Puis aux autres :
- Flippez pas, les gars, il y en aura pour tout le monde.
Décidément, ce soir-là je me sentais en grande forme, surtout depuis que j'avais repéré Fred qui avait fini par se pointer, et qui depuis un buisson à 5 mètres de là filmait toute la scène.
Il y eut un silence.
Je jouissais littéralement d'avoir marqué un point.
Voilà tous ces hommes qui, persuadés détenir une sorte de pouvoir sur moi, étaient là, figés, bouche bée !
Alors qu'ils pensaient me faire souffrir d'une certaine manière, j'en redemandais ; Une seule condition : Être prise en levrette par « le p'tit gros »
Honnêtement, j'étais persuadée que mon Père allait mettre fin à cette situation qui devenait grotesque.
Non pas que j'avais peur de quoique ce soit, mais tout de même…
Prendre sa fille par derrière devant ses collègues sans rien dire au seul prétexte qu'on a honte de l'avoir prise en flag de fumette dans un square, ca relève quand même du surréalisme. Et pourtant…
En attendant, il était là, le sexe encore en érection de ma fellation experte d'il y a 30 secondes.
Il tenta bien un « Bon ca va , maintenant, on va rentrer, les gars. »
Les autres explosèrent de rire et s'étonnèrent de son comportement, rappelant son enthousiasme lorsqu'il sodomisait celle qu'ils appelaient « la jeune pute de l'autre jour ».
J'en rajoutai un peu en disant, « tiens, va falloir me la raconter, cette histoire… »
Celui qui venait de jouir, le fute toujours détaché se rapprocha de moi et me mis la main sur la poitrine. Je fis un bond en arrière :
- Ah non ! toi tu me touche pas, sinon je crie et je vous fais un scandale comme vous n'en aurez jamais entendu, et alors là, fini la rigolade.
Je veux le p'tit gros !
Il recula, puis, s'adressant à mon Jean-luc de Père :
- Bon tu la sautes, cette salope, qu'on en finisse ?
J'adorais l'image que donnait mon Père en cet instant.
À la fois tétanisé, la bite en l'air, les yeux roulants comme un fou, mais en détresse.
Je détachai le haut de ma robe, dégageant la fermeté de mon 95D, leur aspect ne pouvant nier mon état d'excitation, car oui, c'est vrai, d'avoir vu l'éjaculation du Flic en uniforme, et entourée de ces trois sexe en parfaite érection, tous désirant mon corps de manière indiscutable, cela me faisait mouiller, la pointe de mes seins me trahissait au delà de toute ambigüité, et très clairement, mile fois Oui, j'avais envie d'être baisée.
Je tenais entre mes doigts la pointe de mes seins, les faisant rouler, je les sentais durs, soulevant de mes mains ma poitrine, la dirigeant vers mon Père, comme une provocation, bien pire, une attaque personnelle.
En cet instant le bas de mon ventre entretenais une tension qui se répercutait jusqu'à la pointe de mon clitoris, que je caressais d'une façon bien a moi, en frottant mes cuisses l'une contre l'autre.
Trempée entre mes jambes, le contact de ma peau m'excitait davantage.
Je défis le dernier bouton de ma robe, et l'ensemble de mon corps était maintenant complètement à nu.
Les Flics étaient au bord de l'apoplexie.
Puis j'abattis le coup fatal : j'écartai mes cuisses, et passai ma main droite entre mes jambes, un doigt remontant vers mon sexe détrempé, me pénétrant un peu, puis dégageant ma main, en exposa le plat, brillant de cyprine à la face de mon public.
Puis je me retournai, choisis un petit coin de gazon bien plat et a l'abri des regards, certes, mais toujours dans l'axe du caméscope de Fred que j'avais maintenant bien repéré.
Alors je me mis a genoux, me positionnai lentement en levrette, et relevai bien ma robe sur mon dos.
J'écartai les cuisses, montrant leur haut, ruisselant presque sous l'effet de l'excitation.
Ca n'était plus une envie, ce que je ressentais étais un besoin, et peu importe que ce soit mon Père, Paul, Pierre ou Jacques, il me fallait absolument une bite bien dure au fond de moi et tout de suite.
Les mains bien a plat sur le sol, je retournai la tête, attendant le coït, ne retenant plus l'envie bien réelle d'être prise comme une chienne.
Mon Père n'y tenait plus, le sexe pointé vers les étoiles, la Bête qui était en lui s'avança, ses mains s'appliquèrent d'abord sur mes fesses qu'il devait ressentir fermes et rebondies à souhait, puis ses doigts glissèrent sur l'arrière de mes cuisses, glissant ensuite entre elles, ses doigts se mélangeant à mon liquide secret, et remontant encore, me pénétra en légers va et viens.
Il faisait cela tout en se branlant de l'autre main, et les autres s'étaient rapprochés de part et d'autre de moi, l'un à ma gauche, se saisissant de mon sein gauche, l'autre faisant de même avec mon mamelon droit qu'il malaxait adroitement tandis que le troisième s'était positionné de manière telle qu'il frottait son sexe dur comme du béton sur mon flanc droit, tout en me caressant la pointe du clito par dessous mon ventre.
Non de Dieu ! Ce Salopard de Flic faisait ça bien !
Plusieurs fois, je sentis venir le plaisir ultime et du faire des efforts inhumain pour ne pas sombrer dans les délices de l'orgasme.
ça n'est pas celui là que j'attendais, non, je voulais de la bite, et pas n'importe laquelle
J'étais là, les sens en feu, Pénétrée par le doigt de mon Père qui bougeait en moi de plus en plus vite, les seins caressés, trituré par des doigts il faut bien l'avouer… experts, et puis cette branlette de mon Clito devenu hyper dur, je n'y tint plus, autant être une salope jusqu'au bout, je me saisis du premier sexe venu, celui de droite, et le mis en bouche.
Il était dur, turgescent, je le suçai avidement, c'était un plaisir sans pareil de sentir en ma bouche ce membre d'une virilité folle, son propriétaire en uniforme de Policier municipal au bord de l'éjaculation.
Je sentis les mains de mon Père remonter ma jupe complètement tandis que du pied il écarta une de mes jambes, puis je senti l'approche de son gland contre ma vulve.
Je tentai de me reculer, voulant provoquer cette pénétration qui tardait. Je compris qu'il s'était saisi de son sexe, et le frottait contre l'entrée de mon vagin, étalant ma cyprine, se frottant sur mon clitoris innervé de désir.
Je reculais mes hanches, j'avais besoin de lui en moi, le désir était fort, le besoin puissant, j'avais mal de ce vide au fond de moi, l'entre jambe mouillé comme jamais.
Il entra en moi d'un coup.
D'un coup je senti son sexe chaud et dur, me pénétrer jusqu'a la garde et rester ainsi 4 ou 5 secondes, comme planté, sans bouger, ses mains faisant doucement osciller mon corps, ce geste accentuant le contact de lui a l'intérieur de moi, puis il se retira un peu et se réintroduit avec la même puissance.
Je le sentais bien, et ses mouvement tout d'abord lents déclenchaient en moi des spasmes de désir, le ventre en feu et mon corps entier a sa merci.
Le sexe que j'avais en bouche commençait à être doté de soubresauts très significatifs.
Tout en donnant à ma langue des mouvements rotatifs agaçants le gland à l'extrême, de ma main rendue libre, je soutins les bourses, mi caressant, mi pressant, jusqu'à cette sorte d'explosion de flux qui fit le Mec retenir son cri de toutes ses forces.
Il jouit abondamment, se laissant tomber sur le coté, le sexe entre ses mains, et agité de spasmes
Les mouvements de mon Père devinrent plus rapide, et j'aimais la sensation du mouvement de son sexe fort qui coulissait en moi, me comblant a chaque fois de sa chaude fermeté.
Une fois de plus , je tentai de me retenir, y parvenant juste le temps de sentir sur mon flanc la chaleur du sperme de mon acolyte de droite, le surdoué en caresses de clito.
Je senti alors quelque chose venir, comme une tension qui se rappelle a mes sens, comme une série de spasmes, ou quelque chose comme ça, un orgasme qui ne fut pas ponctuel, mais qui dura, me laissant cette impression de parfait irréel, alors que je goûtais encore ce sexe, qui en même temps qu'il effectuait ses va et vient incessants me transmettait la cadence de ses tensions incontrôlées.
Ses va et vient s'accéléraient et je sentais aussi qu'ils se faisaient plus courts, puis il y eut ce mouvement de lui qui s'enfonçait plus vivement encore mais ne se retira pas cette fois ci.
Je le sentis jouir en moi, me transmettant toute la chaleur du plaisir qu'il venait de déposer au fond de mon corps.
Un brusque état de faiblesse m'envahit, mon corps entier venait de n'être que plaisir, au delà de tout, un plaisir extrême à l'orgasme abouti, sans faille et parfait.
La suite fut étourdissante de rapidité.
Tout d'abord ce grand silence, nulle fanfaronnade de quiconque.
Simplement 5 adultes qui avaient accédé à un plaisir sans pareil.
Ensuite ce geste de Fred, toujours caché et vu que de moi, lorsque, le pouce en l'air, il me signifiait « Tout est dans la boite »
Puis Chacun se réajusta, et je ne pus à aucun moment croiser le regard de mon Père.
Contre toute attente, ils partirent sans un mot, me laissant assise, les jambes écartées, et le sexe ruisselant du sperme paternel, les regardant, le sourire aux lèvres, avec au fond de mon corps un incestueux plaisir, et au fond de mon esprit une idée d'une immonde perversité, qui me dictait l'usage que j'allais faire d'une certaine cassette Vidéo hors du commun.
Enfin quand le champ fut libre, Fred se précipita vers moi, les yeux exorbités, les lunettes complètement de travers tenant d'une main son sac à dos contenant son couteux matériel, et l'autre main … se tenant le sexe au travers du jean.
- Bon sang, Mélissa ! s'écria t-il…, Tu…tu…tu as vu !
J'éclatai d'un rire franc.
- Comment ca, Fred, « si j'ai vu ? » Mais j'y étais !
Je le voyais plisser des yeux, les lèvres crispées, sa main au bas du ventre et me disant doucement « j'ai mal, si tu savais »
- Ne t'inquiète pas, mon Freddy, je vais te soigner ça tout de suite, lui répondis-je, tout en lui défaisant son ceinturon.
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