Je m'appelle Paloma, et ai longtemps hésité avant de vous raconter mon histoire, mais ce que je vis depuis quelques temps est tellement fort que je ressens le besoin de le mettre sur papier.
Du haut de mes dix huit ans je suis une jolie fille, certes un peu rondelette, mais tout a fait désirable, le regard des hommes lorsqu’ils me caressent des yeux étant très révélateur.
Ma vie est un peu particulière en ce sens que je vis a Dubaï dans un milieu familial assez fermé mais aussi aisé.
Dotée d’une sexualité vierge de tout contact tiers mais cependant très présente en mon imaginaire, dois je vraiment vous le dire ?… je cultive un secret…
J’ai depuis longtemps découvert les plaisirs ressentis par mon corps, et je crée souvent des situations folles de sensualité par les attouchements de mes doigts parcourant le haut de mes cuisses et irradiant l’ensemble de mon sexe d’une tension terrible.
La piscine de la maison est mon terrain de jeu favori, et j’aime me blottir dans un des coins ou la pompe de la piscine relance l’eau un peu tiède qui me traverse le haut des jambes. C’est souvent là que mes doigts s’oublient et que leur extrémité s’abandonnent sur le bas de mon ventre, se glissant tout d’abord autour de mon clitoris.
Je le sens durcir très vite, et j’avoue que même dans l’eau, je deviens très vite humide de l’intérieur.
J’aime ces jeux des sens où mes doigts effleurent le dessus de mon organe sensible jusqu'à sa pointe dénudée et me déclenche des torrents de plaisir lorsque le contact s'établit.
Mes parents m’élevant dans une sorte d’écosystème hyper protégé de tout, mes contacts avec l’extérieur se limitent au chauffeur, et mes déplacements souvent uniquement avec mes parents depuis des années, et plus particulièrement avec mon Père.
Ces derniers sont dans l’immobilier, et j’accompagne très souvent mon Père en avion lors de ses déplacements.
Cette promiscuité constante à laquelle s’ajoute un bouillonnement d’idées permanent en moi, faites de désir et de sexe a eu pour effet d’avoir développé des envies que certains trouveront bizarres .
Il faut vous dire que je suis en permanence en compagnie de personnes bien plus âgées que moi, que ce soit mon Maître Répétiteur qui m’accorde des cours a la maison, ou les invités fréquents qui viennent chez nous.
Je me souviens de cette journée, ou, de sortie avec mon Père, je m’étais lancé ce défi de ne pas mettre de culotte sous ma jupe. Toute l'après midi, je m’étais déplacée ainsi en jupe légère, et j’avais découvert cette douceur volatile faite a la fois du souffle des courants d’air qui parcouraient mon entrejambe, et des frottements du haut de mes jambes l’une contre l’autre, ma vulve libre de toute empreinte.
Je goûtais au plaisir surréaliste d'être quasiment nue et offerte, le simple coton léger de ma jupe large et serrée a la taille, séparant mon clitoris mis a nu par l’excitation de ces mouvements, du regard des passants ou parfois des Clients de mon Père que nous visitions.
23 avril 2009
Le soir nous étions rentrés, et je filai a la douche assez rapidement, une furieuse envie de me caresser à laquelle s’ajoutait cette petite crispation au bas du ventre était devenue vraiment nécessaire.
De plus , j’aime jouer du jet de la pomme de douche dont j’alterne le chaud et le froid autant que la pression dirigée droit sur mon sexe, générant des sensations indefinissables, faites de picotements sur tout le haut de mes cuisses, au point que parfois au summum du plaisir je sens mes genoux défaillir.
C’est en sortant de la salle de bain que mon Père rappela, a ma Mère et moi que nous recevions ce soir là des amis , ou relations de travail de mes parents.
Ces soirées ne me déplaisaient pas, car elles étaient pour moi source d’un certain petit jeu pervers dont je raffolais.
Il était déjà 20h, et j’entendais notre personnel accueillir les Dames et les Messieurs au grand salon extérieur, qui entourait majestueusement notre piscine d’intérieur.
J’ai toujours soupçonné mes parents d’avoir pleine conscience de mon hypersensualité, car beaucoup de choses m'ont toujours été autorisées librement, telles le choix de mes vêtements, et plus largement, ma façon de m’habiller, ou… pas tout a fait…
La petite séance de la douche qui avait heureusement complété mes attouchements de l’après midi ne m’avaient pas complètement calmée, et j’aimais beaucoup cette sorte d’état érotique quasi permanent dans lequel je cherchais à me maintenir sans trop de peine.
L’idée du nouveau terrain de jeu qui allait s’offrir a moi tout a l’heure m’excitait encore davantage.
Je me retrouvais maintenant dans ma chambre en peignoir de bain devant faire le choix de ma tenue avant de descendre au salon.
Devant mon miroir en pied je me mis nue et regardai ma silhouette un instant, faite de ce mètre 58 et d’un 95B resplendissant.
C’est en regardant les pointes de mes seins encore un peu durcies par le désir non éteint et le frais de l’eau de la douche que me vint cette idée de ne pas mettre de soutien gorges ce soir là.
C’est ainsi que je descendis l’escalier, habillée d’un très léger corsage un peu déboutonné du haut, mes seins affleurant le vif du tissu et se faisant caresser par le moindre de mes mouvements, durcissant ainsi mes pointes visibles aux regards.
Je fis le choix d’une jupe blanche fendue sur le coté qui recouvrait un tanga vraiment très serré qui avait la particularité d’appuyer fort mon entrejambe, compressant mon clitoris, mais laissant un peu déborder mes grandes lèvres, la sensation était amusante, mais pouvait dans certaines situations créer un effet qui me réjouissait à l'avance.
Mes chaussures, ouvertes au bout, laissaient apparaître mes ongles vernis d’un ton pastel, et cambraient mes jambes en raison de leur petits talon, le tout enserrant mes jambes de longs lacets croisés du plus bel effet.
J’ai toujours aimé le léger silence que générait mon apparition dans le groupe de personnes qui étaient au salon, rompant le bruit des conversations en cours de ces gens , qui le verre à la main tournaient toutes leur regard vers moi… Mon visage , d’abord, puis tous ces yeux qui parcouraient mon corps de haut en bas me créaient l’effet d’un deshabillement lent et sensuel qui me faisait souvent tressaillir.
C’est en ces instants que je me disais qu’un jour, je m’amuserais certainement de multiples mains parcourant mon corps, depuis le haut de ma poitrine jusqu’en ses lieux les plus secrets, m‘amenant à des plaisirs faits d’orgasmes jusque là inconnus de mes sens.
J'ai le corps et la tête pleine de projets mettant en scène mes multiples fantasmes qui ne le resteront pas longtemps.
J'aimerais tant vous raconter les situations inavouables vécues et auxquelles mon Père n'est pas étranger.
Il faut dire que je ne lui facilite pas la vie lorsque je m'assois sur ses genoux, le corps simplement couvert et peut etre pas assez, d'un simple tee-shirt et le sexe à nu.
Est-il racontable, croyez vous, qu'en ces instants magiques je vous dise que je ressens souvent une humidité naturelle et que certains mouvement de ses jambes ont pour effet de durcir mon clitoris, si sensible à ces détails ?
Dites moi simplement si vraiment je dois continuer ici à vous décrire mon quotidien, auquel mon amie Julie n'est point absente.
Je le ferai volontiers et sans aucune décence
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