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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Dormir avec maman (t) -

Petit, j’avais l’habitude de dormir avec maman quand j’étais malade.

En grandissant, mon père décida que ce n’était plus très sain et il m’interdit purement et simplement l’accès à la couche conjugale…

Une nuit cependant, je fus pris de convulsions (j’avais une santé fragile, étant sujet à de violentes crises d’asthme) et ma mère, passant outre l’interdit paternel, se glissa dans mon lit pour tenter d’apaiser les souffrances de son fils bien aimé…

Il n’y avait bien entendu aucun sous entendu sexuel dans sa démarche sinon l’intention bien légitime de veiller sur son fils chéri, le seul garçon de la maison : j’ai également deux grandes sœurs qui ne vivaient déjà plus chez nous à l’époque …

 

Elle me prit tendrement dans ses bras, et, voyant que je me calmais, ne tardait pas à s’endormir contre moi.

Je sentais son souffle régulier dans mon cou et, surtout, son corps inerte pressant le mien.

Je dois préciser que jamais auparavant je n’avais regardé ma mère autrement que comme la gentille maman qu’elle avait toujours été pour moi.

De la sentir abandonnée ainsi tout contre moi provoqua une douce chaleur dans mon bas ventre très vite suivi par une érection conséquente…

J’avais honte de mon attitude mais j’avais aussi envie d’essayer de profiter de la situation.

Je m’assurais qu’elle dormait profondément puis, sûr de son sommeil, je commençais à m’enhardir.

Elle était en nuisette et il ne me fut pas difficile de glisser mes mains dessous pour partir à la rencontre de son opulente poitrine, pur objet de convoitise…

Ma mère était encore une très belle femme.

De taille moyenne, très brune, elle avait gardé de son origine italienne les formes plantureuses des filles du Sud.

Mais, toujours très chaste, elle s’habillait de manière à ne jamais dévoiler ses appâts…

Le choc que j’ai ressenti au contact de ses seins lourds et fermes, l’extase de pétrir à pleines mains et sans retenue le corps tout entier dévoilé de ma chère maman fut pour moi la plus formidable expérience érotique de toute ma vie.

Malgré tout ce qui a pu arriver par la suite, je garde un souvenir très ému de ce premier émoi charnel…

J’étais puceau, j’avais juste alors embrassé quelques filles au lycée, peloté dans les boums les plus audacieuses, et maintenant, disponible dans mon lit, un corps souple et onctueux, tiède et élastique, que mes deux mains n’arrivaient pas alors à couvrir en entier tant le désir était fort…

J’étais manifestement trop excité car, alors que je pétrissais à deux mains son cul ferme aux fesses pleines, elle se réveilla brutalement.

Je m’écartais aussitôt et disparaissais de l’autre côté du lit.

Je feignais de dormir mais elle alluma la lumière et me secoua violemment.

Je fis semblant de me réveiller mais j’étais piètre comédien…

 

- Michel, tu peux m’expliquer ce que tu fais ?

- Mais rien maman ! Je dors.

- Je vais me coucher, on en parlera demain…

 

Elle remit alors en ordre sa nuisette et je m’aperçus horrifié que dans mon excitation j’avais arraché une bretelle et qu’elle avait du mal à contenir la masse volumineuse de sa poitrine à l’intérieur de la fine étoffe.

Se tenant les seins bras croisés, elle me jeta un regard méprisant et blessé et sortit rapidement de ma chambre…

J’étais abasourdi par la rapidité avec laquelle les évènements s’étaient enchaînés et, surtout, encore sous le choc de mon audace.

Je bandais comme un taureau et, la tête envahie par des fantasmes inavouables où maman avait toujours la vedette, je me masturbais frénétiquement et je jouis presque aussitôt …

A partir de cet instant, je n’eus plus qu’une idée en tête : la baiser !

Le lendemain, dès le réveil, je pris conscience que j’avais été trop loin et réfléchis à un moyen de minimiser la portée des évènements.

Mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ce que j’avais découvert et, parcouru de frissons à l’idée de ce que je m’imaginais lui faire subir, je me branlais en fermant les yeux.

Enfin rassasié, je décidais d’aller affronter les reproches de maman…

Elle était dans la cuisine, sagement vêtue d’une ample robe de chambre épaisse et pudique.

A la voir ainsi fagotée, on ne pouvait vraiment pas imaginer à quel point son joli corps était attractif et désirable…

Un silence gêné s’instaura entre nous.

Consciente qu’elle devait faire le premier pas, elle se jeta à l’eau :

 

- tu vas m’expliquer ce qui t’a pris cette nuit Michel ! Je suis très choquée par ton attitude.

- je ne vois pas de quoi tu veux parler maman !!!

- écoute Michel, je comprends tout à fait qu’à ton âge…enfin…tu vois ce que je veux dire… mais je suis ta MERE Michel !!! Et certainement pas une de tes petites copines de classe… tu comprends ce que je te dis ?

- Bon maman, je me suis endormi et tu m’as soudain réveillé en colère. Je ne sais pas pourquoi tu étais si énervée mais je t’assure que je n’ai rien à me reprocher… tu ne vas pas insinuer que…

- d’accord Michel…tu le prends comme ça très bien…n’en parlons plus et continuons à vivre comme si rien n’était arrivé mais sache que je ne suis pas dupe alors surtout n’aie plus jamais ce genre d’attitude avec moi c’est bien compris ?

- je te répète que je ne sais pas de quoi tu parles maman mais tu peux dormir tranquille…

- ne sois pas insolent en plus Michel tu es fou ou quoi !

- bon, je dois y aller, je vais être en retard au bahut… bonne journée m’man…

J’étais encore jeune à l’époque mais j’avais pourtant instinctivement compris une chose capitale : J’avais eu l’ascendant sur ma mère lors de notre petite mise au point.

C’est elle qui était restée sur la défensive et, pire, c’est elle qui avait paru coupable.

J’avais bien compris que quelque chose de trouble venait de se nouer entre ma mère et moi mais je ne pouvais pas l’expliquer…

Avec l’expérience, j’aurais tout de suite compris ce que je pouvais tirer d’une telle révélation mais je ne savais pas encore que certaines personnes se révèlent sexuellement soumises et que cette soumission est le moteur même de leur libido.

Sans le savoir, je venais de réveiller la vraie nature sexuelle de ma mère et mon comportement durant les mois qui suivirent ne fit qu’accentuer l’issue inéluctable de notre future relation…

Comme je le lui avais promis, je fis exactement comme si rien ne s’était passé.

Pour mon anniversaire j’invitais quelques potes à venir fêter l’évènement à la maison.

Ma mère avait fait un gâteau et on a descendu des bières en matant des vidéos.

Mes parents étaient sortis et on avait la villa pour nous…

Ils sont rentrés vers 18 heures juste le temps de se changer car ils devaient dîner au resto avec des amis.

Quand ma mère a déboulé dans le salon, l’atmosphère s’est soudain chargée d’électricité.

Elle avait mis un tailleur strict, avec un petit haut moulant, une jupe fendue et des talons aiguilles.

Elle était maquillée, parfumée, bien coiffée… on lui donnait 10 ans de moins et elle fit un effet terrible à mes copains.

Puis mon père est arrivé, très digne dans son costume sombre et, après nous avoir salué, ils sont sortis.

 

- ben dis donc Michel, ton père ne doit pas s’ennuyer !

- ouais putain t’as raison, elle est trop bonne ta mère !

- c’est vrai bordel, quand tu vois la mienne, y’a pas photo !!!

 

Et ainsi de suite… ils ont continué comme ça à délirer sur ma mère en me complimentant sur la chance que j’avais, etc,etc…

J’étais bien sûr très fier de constater que ma mère faisait fantasmer mes amis, d’où ma détermination à poursuivre mon but : finir entre ses cuisses…

J’ai dit que je n’avais plus jamais manifesté la moindre audace vis à vis de maman depuis l’épisode de la nuisette et c’est vrai.

Néanmoins, je continuais allégrement à me branler tous les soirs en me remémorant son corps offert dans mon lit et même si je me comportais comme un fils modèle avec elle, j’essayais toujours de la surprendre en petite tenue le matin, dans la salle de bain ou ailleurs.

Je le faisais discrètement mais j’avais quand même du mal à me contenir les fois où j’étais enfin récompensé, la surprenant au détour d’un couloir en culotte, ou une autre fois enroulée dans une serviette de bain qui dissimulait difficilement sa généreuse anatomie.

Fiévreux, je me précipitais alors dans ma chambre pour me masturber, des images interdites plein la tête…

De son coté, plus le temps passait et plus ma mère adoptait un étrange comportement avec moi.

Elle toujours si prude n’hésitait pas, dès que mon père était absent, à se présenter devant moi dans des tenues de plus en plus suggestives.

Il ne me fallut pas longtemps pour admettre que sa démarche n’était pas innocente et, après plusieurs mois de ce petit jeu, j’allais être récompensé au delà de mes rêves les plus extrêmes…

L’été suivant, mon père dut s’absenter de la maison pour une semaine…

Je me retrouvais donc seul avec maman.

Il faisait cette année là une chaleur caniculaire et le seul moyen de ne pas suffoquer était de profiter pleinement des avantages de la piscine familiale.

Ma mère et moi passions donc le plus clair de notre temps allongés sur un transat ou dans l’eau.

Mais ce qui était vraiment nouveau, c’est qu’elle n’hésitait pas le moins du monde à parader sous mes yeux en maillot 2 pièces qui ne dissimulait pratiquement rien de ses formes plantureuses.

J’avais constamment la trique et bien du mal à le dissimuler.

L’air de rien, elle jetait souvent un regard en coin pour découvrir amusée l’effet qu’elle produisait sur moi.

Un peu honteux, je me réfugiais rapidement dans la piscine afin de calmer mes érections continues.

Loin de la choquer, elle faisait au contraire tout pour me maintenir dans cet indicible état :

Elle faisait du mono sous mon nez, me demandait innocemment de lui passer de la crème sur le dos, derrière les cuisses, sur les épaules.

Le contact de sa peau satinée m’électrisait mais elle semblait au contraire le rechercher.

Au bout de quelques jours, le doute ne fut plus permis : maman m’allumait ouvertement.

Je décidais donc de tenter le tout pour le tout le soir même…

A 21 heures, comme la nuit tombait, nous nous apprêtions à manger en terrasse après quelques apéros.

Maman avait enfilé un sweet en éponge hyper moulant qui lui arrivait au-dessus du nombril et un slip de bain blanc de la taille d’un mouchoir finissait de l’habiller.

Comme nous avions un peu abusé du pastis, (elle ne boit jamais d’alcool) ses grands yeux noirs brillaient dans la pénombre et elle se montrait extrêmement volubile.

Elle riait aux éclats de mes plaisanteries, prenait des poses lascives sur sa chaise, me laissant au bord de l’apoplexie !!!

Nous avons dîné légèrement en nous enfilant 2 bouteilles de rosé.

Bien pompette, elle m’a souhaité bonne nuit puis est montée se coucher à 23 heures.

J’ai accompagné des yeux sa croupe magnifique qui ondulait devant moi et elle a du sentir le poids de mon désir : elle s’est arrêtée, s’est retournée et m’a jeté un regard brûlant avant de disparaître dans les escaliers…

Il devait être 1 heure du matin quand je me suis mis à hurler.

Très rapidement, ma mère s’est précipitée dans ma chambre pour voir ce qui se passait.

Elle a allumé la lumière et j’ai eu un choc : elle avait une nuisette transparente qui ne cachait rien.

J’ai simulé une crise d’asthme et un cauchemar, elle m’a pris dans ses bras pour me réconforter et le contact de ses gros nichons contre ma poitrine m’a foudroyé.

 

- Tout va bien mon chéri, maman est là !

- Maman, je ne me sens pas bien du tout…je peux dormir avec toi ?

- Michel ! Tu es bien trop grand pour dormir avec moi ! Calme-toi, ça va passer.

- Allez maman s’il te plait ! Rien qu’une fois…je suis vraiment pas bien…

 

Elle me serrait dans ses bras et les effluves que son corps dégageait étaient ensorcelantes.

 

- Bon, tu es calmé, je vais me coucher, reste tranquille maintenant d’accord ?

- Oui maman…bonne nuit…

 

La vision de son cul en transparence tandis qu’elle s’éloignait m’a conforté dans l’idée que je ne pouvais en rester là.

J’ai attendu 5 minutes puis je l’ai appelée :

 

- Maman !!!

- Quoi encore ?

- Je peux venir ?

- Je t’ai demandé d’être raisonnable ! Dépêche-toi de dormir…

- excuse-moi…bonne nuit maman…

 

Résigné, dépité, je restais assis dans mon lit et entrepris de me masturber pour me calmer.

- Michel !

- Oui maman !

- Tu peux venir si tu veux…

 

Fou de joie, j’essayais de calmer un peu la trique qui me tordait le ventre puis, après avoir enfilé un tricot, me dirigeais vers la chambre de ma mère.

La lumière était éteinte et je distinguais maman allongée sous un drap.

 

- Allez viens te coucher et dépêche-toi de dormir.

 

Je me glissais dans son lit et, immobile, je n’osais faire un geste.

J’entendais sa respiration régulière juste contre moi et, en me retournant, j’effleurais son corps.

Quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir qu’elle était toute nue !

N’en pouvant plus, je commençais à la caresser, d’abord timidement puis avec des gestes plus appuyés.

Je massais son dos de manière circulaire en élargissant le cercle à chaque passage.

Je caressais maintenant ses fesses et elle se laissait faire.

En glissant ma main entre ses cuisses, je ne pus croire ce que je découvrais : elle était trempée !!!

A l’idée que je faisais mouiller ma mère, je perdis toute retenue et, tout en continuant à la doigter, je me frottais sans retenue contre sa cuisse nue.

Il ne me fallut que quelques secondes pour éjaculer abondamment contre sa hanche.

Maman ne disait toujours rien mais elle commençait à onduler son bassin à la rencontre de mes doigts toujours enfouis dans sa chatte.

Elle donnait maintenant de violents coups de reins et je faisais aller et venir mes doigts à l’intérieur de cette gaine brûlante et dégoulinante de secrétions féminines.

Je bandais à nouveau comme un âne et le lui fis sentir en me pressant contre son dos.

Elle prit alors ma queue entre ses doigts et commença à me branler.

J’appuyais sur sa tête, pour lui faire comprendre ce que j’attendais d’elle.

Docilement, elle se laissa glisser contre moi en me léchant au passage puis, comme dans un rêve, je sentis ses lèvres chaudes qui se refermaient autour de mon gland.

Sa langue tournoyait autour de mon prépuce avec une agilité étourdissante.

Elle alternait, me titillant du bout des lèvres pour ensuite avaler entièrement ma queue en la pompant bruyamment.

Elle me garda dans sa bouche bien longtemps après que j’eus joui au fond de sa gorge, me nettoyant à petits coups de langues savants.

J’étais aux anges : pour ma première pipe, je venais de me faire sucer à fond par ma mère !!!

 

 

Elle jouait maintenant avec mes couilles, les soupesant, les malaxant très tendrement tout en essayant de redonner vigueur à mon membre qui avait déjà craché 2 fois…

Elle me suçait très lentement tout en me regardant dans les yeux et la vision de sa bouche charnue distendue par ma grosse érection avait un côté surnaturel : je ne pouvais croire que maman était en train de me sucer la queue dans son lit, au beau milieu de la nuit.

Je me répendis à nouveau dans sa bouche mais je n’avais plus grand chose à cracher…

Le lendemain matin, maman était debout avant moi.

Je me réveillais à 10 heures, toujours dans son lit.

Je dus me pincer pour réaliser ce que nous avions fait cette nuit : j’avais branlé ma mère et elle m’avait sucé, plusieurs fois !

J’avais un peu d’appréhension à l’idée d’aller la retrouver car j’avais un peu peur de sa réaction mais je m’habillais et descendis la rejoindre …

Quand je la vis, toutes mes craintes se dissipèrent.

Elle avait enfilé un short en éponge extrêmement serré qui moulait de manière quasi chirurgicale sa chatte, elle ne portait rien en haut et je fus saisi par la beauté de ses seins : un galbe parfait, ils se dressaient fièrement vers le ciel, les mamelons agressifs dardant vers moi de manière insolente.

Lourds, pleins, laiteux, ils étaient incroyablement appétissants pour une femme de son âge.

 

- bonjour mon chéri, tu as bien dormi ?

Elle était rayonnante, visiblement pas du tout troublée par nos activités nocturnes.

 

- salut m’man, oui très bien et toi ?

- oh oui…. J’ai passé la meilleure nuit possible depuis bien longtemps…

- moi, c’était la meilleure de ma vie !

- écoute Michel, tu sais que ce que nous avons fait n’est pas bien du tout…mais ça ne me dérange pas…je n’ai pas de remords…si tu es d’accord, on peut continuer mais ce sera notre secret…personne ne doit le savoir tu m’entends ?

 

Plutôt que de répondre, ivre de joie par ce qu’elle venait de me proposer, je m’approchais d’elle et la pris dans mes bras.

Je fus parcouru de frissons quand ses seins s’écrasèrent contre moi.

Me frottant contre son pubis tout en malaxant ses fesses à pleines mains, nos bouches se rencontrèrent et nos langues se mélangèrent.

C’était un baiser profond et passionné et nous eûmes du mal à l’interrompre.

Puis, agenouillée entre mes jambes, au beau milieu de la cuisine, elle me tailla une pipe d’enfer.

Le bruit de succion décuplant mon excitation, je me vidais entièrement dans sa bouche grande ouverte.

Gourmande, elle continua à téter mon gland violacé, jusqu’à faire disparaître la dernière goutte de sperme, me laissant enfin repu et anéanti de plaisir…

Apres le déjeuner, nous nous sommes allongés sur les transats au bord de la piscine.

Il faisait encore une chaleur suffocante et nous étions nus tous les deux, protégés des regards indiscrets par la rangée de cyprès qui clôturaient le jardin.

Je ne me lassais pas de détailler, ébloui, son corps sublime et elle a rigolé de me voir si bouleversé.

 

- Tu sais Michel, je commençais à désespérer par ton manque d’initiative.

- Qu’est-ce que tu veux dire maman ?

- Ça fait un moment que j’attendais que tu te manifestes enfin !

- Explique-toi…

- Tu te souviens quand j’ai dormi avec toi l’année dernière et que j’ai quitté ta chambre furieuse ?

- Comment j’aurais pu oublier ?

- Et bien je n’étais pas furieuse du tout en fait, j’étais troublée…Mais j’avais honte d’avoir pu être excitée par mon propre fils alors j’ai préféré m’enfuir avant que tu ne t’aperçoives de mon état.

- Qu’essaies-tu de me dire maman ?

- Je ne dormais pas Michel, et j’étais trempée d’excitation mais ce n’était tout simplement pas le moment…enfin, ce n’est pas grave vu que c’est quand même arrivé maintenant…

- Viens te baigner maman…

 

Nous avons fait quelques brasses côte à côte puis je l’ai embrassée…je l’écrasais contre le rebord de la piscine, lui dévorant la bouche tout en fouillant sans ménagement son intimité avec mes doigts curieux…malgré toute cette eau, je sentais qu’elle mouillait comme une fontaine.

Puis elle a fait la planche, présentant sa chatte offerte à mon visage et j’ai plongé.

Je ne savais trop m’y prendre mais j’étais attentif et gourmand, elle n’a pas tardé à gémir de plaisir tandis que je léchais avec application sa fente et son clitoris.

Je lui bouffais la chatte, berceau de mon existence, et elle adorait ça !

Elle a eu un orgasme fulgurant, son corps a vibré sous mes coups de langue, puis elle est sortie de l’eau et s’est allongée sur un matelas, au bord de la piscine.

 

- Viens Michel, il est tant pour toi de découvrir autre chose que les caresses, tu es puceau n’est-ce pas ?

- oui maman…

- viens mon minou, maman va tout t’apprendre…

 

Encore ruisselant, je suis allé me blottir dans ses bras.

Serrés l’un contre l’autre, nous nous sommes à nouveau passionnément embrassés, à pleine langue, alors que nos mains partaient à la découverte de nos corps respectifs.

Elle m’a à nouveau pris en bouche, mais juste un instant, pour s’assurer de ma vigueur.

Elle s’est alors installée à califourchon sur moi et, guidant mon sexe d’une main experte, elle s’est empalée dessus jusqu’à la garde.

Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais imaginé que ce pouvait être aussi bon !

J’allais et venais à l’intérieur de son vagin, dans un rodéo plein de fureur, et elle en imposait le tempo, me chevauchant avec une fougue à la limite de l’hystérie.

Ses hanches, que j’avais fermement agrippées, montaient et descendaient en cadence alors qu’elle se livrait à notre coït bestial sans aucune retenue.

Elle haletait, gémissant de plus en plus bruyamment.

Pour la faire taire, dans la crainte qu’elle n’éveille les soupçons de nos proches voisins, j’attirais son visage vers le mien et nos dents se choquèrent, dans un bouche à bouche effréné.

J’explosais dans son ventre, des étoiles plein la tête, et elle hurla, jouissant à son tour.

Puis, débordants de reconnaissance, nous avons continué à nous manger la bouche, tout en nous pelotant avec une affection d’amants comblés.

Riant aux éclats, nous nous sommes alors baignés comme des collégiens, avec l’insouciance propre aux corps qui exultent…

Plus tard, durant l’apéro et sans avoir rien demandé, elle s’est agenouillée à mes pieds et m’a sucé avec dévotion, un sourire extatique aux lèvres quand j’ai éjaculé sur son visage.

De voir ma mère couverte de sperme m’a fait prendre conscience de ma chance et, tandis qu’elle me nettoyait avec ferveur, je me suis mis à rêver à tout ce que j’avais encore envie de lui faire subir.

Le soir, nous avons eu une bonne conversation…

Sagement vêtue d’une petite robe en mousseline rose, elle était à croquer.

Nos ébats coupables avaient l’air de lui réussir car elle paraissait juvénile malgré son âge.

Nous mangions une salade composée quand elle s’est décidée

 

- Michel, il faut que tu sois sincère, réponds-moi avec franchise s’il te plaît… tu dois me prendre pour la dernière des traînées non ?

- Mais non, pourquoi tu dis ça maman ?

- Tu sais aussi bien que moi que les mères ne font jamais avec leur fils ce que nous faisons voyons…alors je me disais…je pensais que tu devais vraiment me considérer comme une salope…je me trompe ?

- Ecoute maman, je me fous de savoir ce que les autres font avec leurs enfants…en ce qui me concerne, je suis très heureux de vivre tout ça avec toi et je plains tous ceux qui n’ont pas la chance d’avoir une mère aussi formidable que toi !

- Oh mon minou comme tu es mignon !!! Mais sincèrement ça me gêne ce que tu dois penser…

 

Même si je pensais au fond de moi qu’effectivement elle agissait comme une chienne en chaleur, il était tout à fait hors de questions que je lui en fasse part…j’avais bien trop envie de continuer à profiter de la situation pour risquer de tout gâcher avec des états d’âmes bien dérisoires par rapport à tout ce que j’avais encore envie de faire avec elle.

Il fallait donc la rassurer et lui ôter sa mauvaise conscience pour qu’elle redevienne vite la furie assoiffée de sexe que je n’avais encore qu’entrevue…

 

- c’est toi qui décides maman…mais je serais vraiment enchanté de continuer à apprendre avec toi…

- Tu sais Michel, il faut que je te dise…ce n’est pas que je n’aime pas ton père…mais il faut que tu comprennes qu’avec lui…au lit…c’est vraiment pas la joie…bien sûr que j’ai eu plein d’occasions de le tromper…mais je ne suis pas comme ça, j’avais peur qu’il en souffre en l’apprenant…tandis qu’avec toi ! C’est pas pareil…c’est tellement énorme qu’il ne pourra jamais s’en douter…c’est pourquoi il faut vraiment que tu me promettes de n’en parler à personne !!! Vraiment personne tu m’entends…dans ses conditions, je me ferais une joie de continuer ton initiation mon chéri…

- tu n’as aucune craintes à avoir maman…je serais muet comme une tombe…

- Très bien… je suis fatiguée…on va se coucher ?

 

Elle avait dit cela avec un sourire mi-complice, mi-canaille !

Le ventre en feu, je la suivais dans les escaliers, savourant d’avance la nuit qui m’attendait…

On s’est déshabillé, on s’est allongé, on s’est embrassé, caressé, léché, tété, sucé, dévoré, chevauché, pénétré, on a joui un nombre incalculable de fois…on ne s’arrêtait que pour se nourrir, prendre des forces et somnoler…

Elle était insatiable, jamais repue, toujours en attente, disponible, ouverte et accueillante.

On a passé 36 heures au lit et on a fait l’amour presque autant de fois…

Moi sur elle, elle sur moi, de face, de dos, en levrette, avec la bouche, les mains, entre ses seins… elle ne m’a refusé que son cul : la sodomie lui faisait trop mal !!! Mais j’adorais me branler entre ses fesses fermes et jouir sur ses reins.

Enfin, hagards, les yeux cernés par les excès, épuisés par cette frénésie sexuelle sans fin, nous nous sommes quittés à regrets et j’ai regagné ma chambre et je me suis effondré sur mon lit où j’ai dormi 13 heures d’affilée…

C’est la bouche vorace de maman qui m’a tiré de mon sommeil.

Lovée entre mes cuisses, elle me dévorait la queue, les yeux clos, langue experte et agile, lèvres gloutonnes.

Elle a tout avalé, m’a souri, du sperme plein la bouche, puis est sortie de ma chambre en chantonnant…

On a encore baisé plusieurs fois dans et autour de la piscine puis nous nous sommes habillés… mon père était attendu dans le courant de la soirée…

Le soir même, nous prenions un petit repas familial tous les trois en terrasse et mon père fut très bavard, nous félicitant sur notre bonne mine et nos bronzages prononcés…

Parfois, je captais le regard grave de maman posé sur moi alors je lui souriais de manière éclatante, comme un gentil fils à sa mère quoi !

Elle avait tort d’avoir peur de mes réactions car j’étais vraiment bien décidé à poursuivre cette relation contre nature et cela coûte que coûte…

C’est mon père qui me tira de ma rêverie brutalement :

 

- Alors Michel, tu passes de bonnes vacances, tu n’es pas tous les soirs dehors j’espère…tu t’occupes un peu de ta mère au moins ?

- ça va papa…non, je ne sors pas beaucoup…on a été au ciné avec maman… et puis elle a pas besoin de moi pour s’occuper…

 

Je voyais ma mère très embarrassée mais mon père ne vit pas son trouble…comment aurait-il pu se douter d’ailleurs !

Superbe maman ! De la voir ainsi toute réservée et penaude, si sage dans son ample chemise et son pantalon taille large alors que quelques heures auparavant elle pompait ma bite comme si sa vie en dépendait…j’ai également compris une autre chose très importante ce soir là : l’extraordinaire pouvoir féminin dans l’art de l’esquive et de la dissimulation.

Maman n’avait eu aucun mal à se glisser immédiatement dans son rôle d’épouse soumise et de mère modèle.

Et mon père, à force d’avoir oublié de la regarder n’y voyait que du feu…pauvre vanité masculine…pauvres pantins que nous sommes tous…

Mais le retour de mon père au domicile conjugal posait un problème difficile à résoudre : Esclaves de nos sens, nous avions beaucoup de mal à résister à l’appel de la chair avec maman ! Il faut voir comment, dès que mon père avait le dos tourné, nous nous jetions l’un sur l’autre pour nous étreindre, nous caresser, nous embrasser…

Ne subsistait entre nous plus qu’un rituel immuable : dès que papa partait au travail le matin, à 7 heures très précises, maman me rejoignait dans ma chambre et, agenouillée au pied de mon lit, elle me réveillait en suçant ma queue. Elle avalait tout puis venait se blottir dans mes bras et j’en profitais pour la couvrir de caresses…

Parfois, quand je n’avais pas cours trop tôt, nous prenions le temps de baiser longuement dans mon lit, sous la douche et même dans la cuisine ou sur le canapé du salon.

Sinon, je me contentais de la tripoter à la moindre occasion et elle faisait semblant de se débattre mais je voyais bien qu’elle n’attendait que ça !

Papa continuait à ne rien voir et, malgré le peu d’occasions qui s’offraient à nous, nous savions en profiter pleinement le moment venu…

Dès que papa ne dormait pas à la maison, je passais la nuit dans son lit et nous en étions quittes pour une nuit blanche qui nous laissait épuisés mais comblés au petit matin.

Cette relation incestueuse a ainsi duré plusieurs années, ma mère se révélant la plus formidable des partenaires sexuelles, je n’étais pas du tout tenté d’aller voir ailleurs…

Mon père s’inquiétait parfois par mon manque de petites amies et, tandis que je pilonnais sans vergogne sa femme, debout, contre le lavabo de la salle de bain, alors qu’il venait juste de sortir, je me dis, en éjaculant par saccades dans le vagin maternel, que décidément, je n’avais nullement besoin d’une petite amie : Maman comblait mes moindres désirs…

Absent tout un week-end à cause d’un séminaire, papa était parti le matin et, rêvassant plutôt que de suivre les cours, j’avais hâte que la journée se termine pour enfin la retrouver avec la promesse de passer 2 jours au lit avec elle…

Effectivement, elle m’attendait à poil à la maison et je n’eus même pas le temps d’enlever mon manteau qu’elle était déjà à genoux, fouillant ma braguette avec précipitation pour déballer l’objet de sa convoitise et l’avaler goulûment, me menant à l’orgasme très rapidement…

C’est ce que je préférais chez elle : elle prenait un réel plaisir à me sucer et son plaisir était contagieux !

Beaucoup de femmes pratiquent la fellation uniquement dans le but de satisfaire leur partenaire.

Mais maman, comme elle me l’avait expliqué, adorait ça plus que tout et il lui arrivait souvent de jouir rien que de sentir mon sperme envahir sa bouche.

Nous étions au lit, je venais juste de me branler entre ses seins quand elle prit un air grave :

 

- Ce que j’ai à te dire ne va pas te faire plaisir Michel mais laisse-moi terminer sans me couper ok ?

- Oh la la !!! Qu’est-ce qui t’arrive maman ?

- Voilà ! Ça fait maintenant un bon moment que nous fonctionnons comme un petit couple n’est-ce pas ?

- Tu trouves ? En tout cas je ne m’en lasse pas…j’ai toujours autant envie de toi maman !

- Justement Michel, tu es suffisamment âgé maintenant pour envisager de faire ta vie…et ta vie elle est sans moi mon chéri…non ! Je t’ai demandé de me laisser parler…ton père commence vraiment à s’inquiéter à ton sujet…le pauvre ! S’il savait…ce que je veux te dire, c’est que ce week-end représente la fin de notre liaison…on ne peut pas continuer comme ça Michel…c’est trop malsain et ça ne mène nulle part…donc tu vas me faire le plaisir de rapidement te trouver une petite amie et plus tard tu devras songer à te marier et fonder une famille à ton tour…on ne peut plus vivre ainsi mon grand…je te jure que c’est pour ton bien et tu le comprendras plus tard…alors profitons en bien une dernière fois et promets-moi que tu ne feras pas d’histoires…cette situation ne peut plus durer…tu comprends ?

 

J’étais anéanti ! Comment pouvait-elle dire ça ? On s’éclatait tellement bien tous les deux.

Je décidais de ne pas y penser et me concentrais sur sa chatte que je dévorais à pleines dents puis je me suis présenté en position de 69 et elle a gobé mon sexe dans sa bouche immense.

On a joui simultanément, mon visage enfoui au plus profond entre ses cuisses, j’ai continué à la laper, mon sexe toujours prisonnier de ses lèvres…

Le lendemain, nous étions allongé sur le canapé devant un quelconque programme quand j’ai eu une idée fulgurante.

Rien que d’y penser, je me suis retrouvé avec une érection monumentale qui n’a bien sûr pas échappé à maman.

En roucoulant, elle s’est saisie de ma bite et, admirative, m’a félicité pour ma vigueur inépuisable tout en la branlant langoureusement…

Je l’ai déshabillée puis fait mettre à 4 pattes sur le tapis.

Outrageusement provocante dans cette posture obscène, je lui ai écarté les jambes pour la cambrer le plus possible.

Le spectacle aurait fait bander un mort !

Je me suis agenouillé derrière elle et j’ai commencé par lui bouffer la chatte mais je suis très vite passé à l’orifice supérieur dans lequel j’ai introduit ma langue le plus profondément possible.

Elle en a hurlé de stupeur mais je continuais à fouiller son anus à pleine bouche.

Elle m’a supplié d’arrêter mais je suis bien plus fort qu’elle et, en écartant ses belles fesses à pleines mains, j’ai continué à lui dévorer le cul !

Une fois bien lubrifiée, j’ai introduit mon gland au bord de ses sphincters et, fasciné, j’ai suivi la lente progression de ma poussée.

Elle me hurlait d’arrêter mais c’était merveilleux de voir ma queue poursuivre son chemin entre ses reins.

Lui dilatant toujours l’anus, mes mains sont parties à la rencontre de ses gros nichons que je me suis mis à pétrir sans le moindre respect, tirant violemment sur les mamelons afin qu’elle comprenne qui était le maître

Elle sanglotait maintenant alors que j’avais presque fini ma progression et, ébloui par la vision de mon sexe disparaissant entièrement entre ses fesses, je me demandais combien d’hommes à travers les générations pouvaient s’enorgueillir d’avoir enculé leur propre mère.

J’ai eu un orgasme fulgurant, certainement le plus puissant que j’ai jamais ressenti, et je suis sorti avec précaution mais le mal était fait : Elle est restée longtemps dans cette position, le visage baigné de larmes, le corps parcouru de spasmes et de hoquets.

J’ai passé le reste du week-end à la sodomiser et à me faire sucer quand bon me semblait, la traitant comme une esclave sans lui adresser la parole.

Plus je la traitais comme une chienne et plus j’avais la gaule !

En l’enculant, je lui tirais les cheveux pour voir son visage.

Elle pleurait en silence mais de grosses larmes roulaient sur ses joues et ça m’excitait terriblement.

Avant de jouir, je sortais de son cul, la faisait pivoter pour lui envoyer toute la purée sur la gueule.

Satisfait par le spectacle de mon sperme maculant son visage, je la laissais en larmes et meurtrie, obligée de rester nue en permanence afin de me satisfaire à la moindre occasion…

Comme elle était constamment trempée, je suppose que ce traitement était loin de lui déplaire malgré la douleur et l’humiliation qu’elle semblait ressentir.

Ce fut la dernière fois que je fis « des choses » avec ma mère.

Le retour de mon père marquant définitivement la fin de notre relation contre nature.

Nous n’en avons même plus jamais parlé.

Par la suite, j’ai eu une fiancée régulière, pour la plus grande joie de papa puis je me suis marié…

Bien des années plus tard, nous devions être amené à partager la même chambre d’hôtel avec maman… mais c’est une autre histoire !!!

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