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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Entre mère et Tante (t) -

Cela faisait quatre mois que ma mère et moi avions dépassé les normes de l’amour quand mon appétit sexuel grandissait. Ma devise : toujours aller plus loin, encore plus loin…
Cette exaltation sexuelle de l’interdit grandit le jour où Sonia, la sœur de ma mère vint nous rendre visite. Elle était de deux ans son aînée, une femme brune de 50 ans, assez BCBG mais vraiment délicieuse, qui avait la réputation d’être très chaude… Légèrement plus forte que ma mère, mais vraiment bandante.
Elle et ma mère étaient vraiment très complices

et ne se cachaient rien, mais je ne savais pas si ma tante était au courant de la relation incestueuse de sa sœur.
Pour en revenir à sa visite, Sonia portait une jupe longue noire mais assez déboutonnée sur le côté découvrant à tout moment ses cuisses et un chemisier bleu turquoise très échancré.
Ma mère était en train de préparer le café et ma tante était assise à côté de moi dans le canapé quand elle se pencha pour chercher quelque chose dans son sac à main.
J’eus une vue royale sur sa poitrine cachée par un soutien-gorge bleu ciel. Elle se releva assez vite et aperçut mon regard.
« Tu veux une paire de jumelles me dit-elle en souriant ! -Non mais si tu pouvais défaire un ou deux boutons, ça serait pas plus mal ! —Eh bien comment parles-tu à ta tante ? —Tu sais, n’importe quel neveu ou jeune de mon âge ferait n’importe quoi pour voir, pour reluquer, voir toucher une telle poitrine, tante ou pas tante ! Tati, tu fais du combien ? 95 D, curiosité satisfaite ?
La conversation prit court car ma mère arriva avec le café. C’était pas trop mal engagé et c’est bien une des rares fois ou la présence de ma mère me gênait.
Il fallut attendre une bonne heure pour que ma mère aille faire une pose pipi. Réengageant la conversation, je lui demandais si la couleur de ses deux sous-vêtements était la même.
Ne voulant pas se sentir démantibulée par mes questions vicieuses elle me répondit que ça ne me regardait pas. Je fis celui qui se penchait pour reprendre du café mais je soulevais la jupe de ma tante.
-Ca va pas non, tu as perdu la tête mon pauvre Yan dit-elle en rabaissant les pans de sa jupe ! Elle avait l’air furieuse mais je ne sais pourquoi, je sentais le coup jouable.
Au lieu d’insister, je pris mon air de chien battu et ne répondit rien. –Mais enfin, tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? -Laisse-moi voir ta culotte s’il te plait !
Je m’étais accroupi devant elle, une main sur chaque genou malheureusement serrés l’un contre l’autre. J’argumentai quelques gentillesse et je sentais ma tante beaucoup moins catégorique et je desserrai l’étau en écartant lentement ses cuisses tout en remontant cette jupe bien trop longue.
Quel bonheur, je voyais la culotte de ma tante, la même couleur que son soutien-gorge mais assombri par une chatte qui me semblait assez fournie. Le temps de mon observation fut de courte durée car on entendit la porte des WC ; ma mère revenait.
Je me relevais et allais chercher un soda. Lorsque je revins, ma tante se leva à son tour pour un besoin. Je trouvais un prétexte et la suivais dans la foulée. Comme la porte des WC se situait en face de ma chambre, je guettais la sortie de ma tante. Au moment venu, je la laissai entrer dans la salle de bain, et quand elle commença de se laver les mains, je me collais derrière elle, une main sur chaque sein.
Elle n’osa pas crier de peur d’éveiller l’attention de ma mère ; je me frottais contre son cul et l’embrassais dans le cou, tout en lui pelotant les nichons !
-Tu sais Tatie, tout à l’heure je me suis régalé de voir ta culotte, et à en apercevoir ce qui dépasse, tu dois avoir un minou comme je les aime ! Tout en disant ça, ma tante sentait mon sexe gonfler derrière car mes frottements se faisaient plus intenses sur ses grosses fesses…
Si j’avais pu, je l’aurai sautée de suite comme une bête, mais elle desserra mon étreinte et redescendit au salon rejoindre ma mère.
Pour cette journée, la situation resta ainsi, encourageante pour les patients, sur leur faim pour les pressés ; vu les circonstances, il était difficile de faire plus. Quand ma tante fut partie, ma mère n’a pas du comprendre cette furie qui m’envahit, mais je lui ai sauté dessus et lui ai fait l’amour comme un sauvage !
Deux semaines s’étaient écoulées et la vision de la culotte de ma tante me hantait l’esprit. Alors que mes relations incestueuses avec ma mère se poursuivaient avec frénésie, lors d’un repas, je demandais à ma mère si elle avait averti ma tante de nos relations. –Pourquoi cette question me répondit-elle ?
-Simple curiosité mais comme tu es très proche de Tatie, je me demandais si tu l’avais mise dans la confidence.
Elle eut quelques instants de silence.
-Oui elle est au courant, cela te gêne ?
-A vrai dire, non ! Mais qu’en pense-t-elle ?
-Vu l’éloignement de ton père, que je me prenne du plaisir ne l’a pas étonné (surtout que c’était pas la dernière…) mais que je le trompe avec toi l’a surprise. –Pas choquée ?
-Choquée, pas temps que ça, mais intriguée, oui ! Mais pourquoi toutes ces questions, elle t’a dit quelque chose ?
Je ne répondis pas à la dernière question, et ma mère fut contrariée par ce silence. A plusieurs reprises, elle me parla mais je lui répondais soit à côté ou bizarrement.
-Que se passe-t-il Yan ?
-Je voudrais vous faire l’amour à toutes les deux, toi et Tatie !
A ma réponse, ma mère resta sur les talons ; je lui racontais l’épisode précédant.
Ma mère rentrait dans une colère folle et pendant plusieurs jours, pratiquement pas de conversations et aucun rapport. La situation était pesante et je ne savais pas comment faire pour m’en sortir PUIS…
Un soir où nous étions tous les deux en train de regarder les infos, ma mère leva le silence.
« Ta tante est d’accord, elle vient ce soir ! »
Cette réponse me coupa le souffle et j’eus du mal à réaliser ce que je venais d’entendre ; ma mère et ma tante pour moi tout seul !
Je pris ma mère dans mes bras et la serra très fort. L’émotion fut si forte que j’en pleurais. Tantôt je lui disais merci, tantôt je lui demandais pardon…
Elle s’absenta un moment puis revînt vêtue de sa robe courte en velours noir, attachée de bas en haut par une fermeture éclaire. J’adorai cette robe car elle moulait maman au maximum et faisait bien ressortir ses formes.
21h00, la sonnette retentit ; Sonia ma tante rentre dans l’arène du plaisir.
–Bonsoir cher neveu me dit-elle dans un sourire plein de sous-entendu !
Elle m’embrassait normalement ainsi que sa sœur, ma très chère mère. Elle est vêtue d’un tailleur couleur lie de vin et d’un chemisier noir. Les deux sœurs sont très sexy et leur assurance me décontenance. Alors que j’ai l’impossible fantasme à portée de main, j’ai une grave angoisse qui m’envahit, et je ne sais pas quoi faire. Les deux femmes se complimentent sur leur tenue et commencent à papoter devant la machine à café. Mon dieu que j’ai l’air con ! Il faut que je me ressaisisse. Essayant de camoufler mon malaise, je m’approche d’elles et les prends par la taille. Mes mains tremblent, et je n’arrive pas à me reprendre. De plus, les deux femmes se sont tues comme si elles attendaient la suite des évènements sans rien faire. Ressentant ma panique, ma mère brisa le silence. –Quelque chose ne va pas Yan ?
Afin d’apaiser cette panique, je choisi de jouer franc jeu.
-Je vous ai tellement espéré et désiré, envie de vous faire l’amour, j’ai tellement peur de vous décevoir que je ne sais pas comment commencer. Les deux femmes me regardèrent sans rien dire.
Lentement je rapprochais mes lèvres de celles de ma tante et l’embrassais pleine bouche. Mon autre main lâchait la taille de ma mère pour peloter les seins de sa sœur. Comme l’étreinte s’attardait un peu, ma mère interrompit l‘embrassade.
–Tu as dit les deux, c’est les deux ! Tu nous as voulu toutes les deux en même temps, il faudra savoir nous partager.
Suite à cette interruption, j’embrassai donc ma mère, puis suivant son conseil, vers ma tante et ainsi de suite. J’avais rapproché leurs deux têtes afin de pouvoir passer d’une bouche à l’autre plus facilement. A un moment donné, nos trois langues se touchaient presque et par une légère pression, les deux femmes se touchèrent la langue.
Comprenant mon manège, ma mère eut un instant de recul. Mais après une ou deux secondes de pose, c’est ma tante qui m’épaula. Elle saisit sa sœur par la nuque et lui roula un patin. Même dans mes plus grands fantasmes, je n’avais jamais imaginé un début de soirée aussi chaud. Ma tante était prête à se gouiner avec sa sœur.
Je pris les deux femmes par la main, et les invitais à me suivre, cette « mise en bouche » m’avait rendu un peu d’assurance.
Arrivés dans la chambre maternelle, les embrassades reprirent de plus belle, ma mère étant toujours réticente aux embrassades de sa sœur.
Comme je voulais immortaliser cette soirée, je demandais l’autorisation de prendre des photos, ce qui me fut accepté sous condition de les garder que pour moi et de ne pas les montrer.
Je ne me fis pas prier. La première fut très soft, les deux sœurs se tenant par la main, puis se regardant dans les yeux. Quand je leur demandais de s’embrasser, ma mère accusa le coup, puis devant l’initiative de sa sœur, se laissa faire. Mieux, elle répondait avec fougue, leur langue s’entremêlant dans une passion torride. Ma tante s’attaqua à la robe de sa sœur, et en un rien de temps, ma mère se retrouva en culotte. Elle rendit la politesse à son aînée et lui retira jupe et chemisier. J’avais devant moi, un spectacle de feu, ma mère et ma tante en culotte soutien-gorge. Bien entendu, quelques clichés furent indispensables.
Plus je demandais de choses, plus ma tante se faisait un plaisir d’exécuter.
Quand je demandai aux deux femmes de mettre leur main dans la culotte de l’autre, ma tante ne se fit pas prier et certains mouvements ne faisaient aucun doute sur son action. Maman tarda mais se résigna.
Le ton monta d’un cran quand les deux sœurs se mirent face à face et se caressèrent mutuellement. Je posai mon appareil et vint retirer le soutif de chacune de ses dames. Les seins de ma tante étaient beaucoup plus larges, marqués par de grosses auréoles marrons, tandis que ceux de ma mère étaient plus fermes. J’invitai les deux femmes à s’asseoir sur le lit afin de réunir un nouveau cliché « sein à l’air ». Je ne manquai surtout pas de prendre de près leur culotte car c’était très excitant.
Quand je m’approchai du lit, je poussai d’abord ma mère sur le dos et la déculottai. Je lui écartai grand les cuisses et me mis à lui lécher l’abricot. Pendant ce temps, ma tante léchait les seins de sa sœur. Elle retira elle-même sa culotte et m’invita à succéder à ma mère. Elle avait une chatte beaucoup plus fournie, avec de grosses lèvres. Lorsque ma langue s’enfonçait dans son vagin, elle eut une secousse et s’agrippa à mes cheveux.
Je pris la main de ma mère et l’invitai à prendre ma place entre les cuisses de sa sœur. C’était la première expérience lesbienne de ma mère, en plus avec sa sœur. Pendant qu’elle s’appliquait à donner du plaisir à Sonia, je m’étais positionné derrière ma mère et l’avais prise en levrette. Cette situation dura cinq bonnes minutes et il me fallait varier souvent, car je ne voulais pas évacuer ma semence sans avoir goûté à tous les orifices de mes deux partenaires.
Nous inversâmes les rôles et ma tante s’occupa de ma mère pendant que je la pistonnais.
Sonia avait un cul vraiment plus large que ma mère, mais bien taillé, avec des hanches fines ; un cul vraiment destiné à la sodomie ! Je me retirai pendant que ma mère prenait son pied en poussant des cris (manifestement, ma tante savait s’y prendre avec un sexe de femme…) et introduis ma langue sur sa rosette. Par moment, j’enfonçai mon pouce afin d’élargir les parois. Quand je pointai mon sexe à l’entrée de la grotte de ma tante, elle ondula le bassin comme pour me donner son accord. Je m’enfonçai par à-coups et à chaque pulsion, ma tante poussait un cri. A part ma mère et une copine, je n’avais encore jamais enculé une autre femme, mais je peux vous garantir que d’enculer Sonia, c’est royal. Comme elle bouge son cul, pour ne pas ressortir, tu t’accroches à ses nichons et tu l’encules à ras les couilles. Devant la fougue de notre rapport, on était en train d’écraser ma mère et ne pouvant plus me contenir, je jouis dans les entrailles de ma tante. Tous les instants de jouissance sont inoubliables mais je crois que celui-ci fut le plus violent. Je restai collé à Sonia un long moment le temps que je me calme et je m’excusai auprès de ma mère pour ne pouvoir lui prendre son cul de suite. Ce doit être de famille, car ma mère qui mit longtemps à me refuser cette pratique, l’adore maintenant…
Toute la nuit fut une succession de léchages et pénétrations. Le moment le plus fort de la nuit, fut quand ma tante et ma mère se frottèrent leur chatte poilue l’une contre l’autre ; aucun film pornographique m’a donné autant d’excitation. C’était beau, sensuel, deux femmes livrées à l’amour sans retenue !
Au cours de la nuit, je réussis quand même à sodomiser ma mère mais ce ne fut pas aussi intense qu’avec ma tante.
Au petit matin, je me levai le premier. Les deux sœurs étaient enlacées et dormaient. Je pris une douche, et lorsque je suis revenu dans la chambre, elles étaient en 69, insatiables les anciennes. Bien entendu, mon Canon ne loupa pas ça.
Leur ébat matinal terminé, je leur roulai à chacune un patin et alors que ma mère allait se lever je lui pris la nuque et l’invitai vers mon sexe. Elle commença de me pomper quand ma tante se mit à me lécher les couilles. Commencer la journée par une double fellation, il y a pire comme « torture ». Malgré toute la bonne volonté des deux femmes, j’avais du mal à reprendre une érection normale. Elles décidèrent d’alterner.
Chacune avait sa façon de sucer ; ma tante me suçait la bite lentement et à ras des couilles, tandis que ma mère allait plus vite, et suçait à moitié tige. Par contre, par moment, elle exerçait une branlette qui m’aida à rebander.
C’est une des plus belles fellations que je n’ai jamais eue car comme j’avais eu du mal à rebander, ma Tante et ma mère mirent un moment avant que je jouisse. C’est ma mère qui eut la palme. Quand elle sentit arriver ma semence, elle multiplia la cadence de la branlette et j’éjaculai sur sa langue.
Ce fut une nuit de rêve ou l’acte d’inceste n’est pas à bannir, car cette nuit fut un grand moment de passion et de plaisir !

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