Ma cousine Christine et moi sommes très proches. Etudiants l’un et l’autre, nous nous voyons souvent et partageons nos confidences, y compris en ce qui concerne le sexe. Je la sais donc très libérée de ce point de vue là. De taille moyenne, brune aux cheveux mi-longs et légèrement frisés, elle ne possède pas un corps de mannequin mais ces formes épanouies la rendent très désirable. Elle porte en plus souvent un parfum que je trouve enivrant. En bref, vous avez compris qu’elle m’attire beaucoup.
Un après-midi d’été, nous allons au cinéma ensemble. Je ne me prive pas d’admirer fréquemment à la dérobée ses cuisses satinées largement mises en valeur par sa mini jupe. Je décide de l’inviter chez moi pour prendre un rafraîchissement. Je lui sers une vodka et j’en prends une également. L’alcool aidant, nous en arrivons à parler de jeux érotiques et de soumission ! Christine me confie alors qu’elle n’a encore jamais pratiqué ce genre de rapports mais qu’ils lui semblent de nature à lever les inhibitions des 2 partenaires. Mon verre de vodka à la main, je lui avoue à mon tour que j’aimerais bien soumettre une partenaire à mes désirs d’exhibition et de plaisirs buccaux, mais que çà reste surtout un fantasme. Elle me regarde sans rien dire. Inspiré par la vodka, j’ose lui proposer une strip-bataille. Elle accepte, à ma grande joie.
Nous commençons. Les premiers tours sont équilibrés et nous nous retrouvons tous les deux pieds nus. Le jeu va donc devenir très intéressant ! Le tour suivant, je retourne un 8 et elle un 7. Elle se lève pour retirer sa jupe mais j’interviens alors en lui disant :
• Laisse-moi le faire moi-même !
Elle sourit et se rapproche de moi ; soulevant légèrement le tee-shirt, je déboutonne la jupe puis la laisse tomber à ses pieds. Je découvre alors entièrement ses belles cuisses et une petite culotte couleur chair. Je respire également son parfum et je décide :
• J’ai le droit de toucher, aussi !
Et, joignant le geste à la parole, je caresse le derrière de ses cuisses. Les lèvres entre-ouvertes, elle semble apprécier la caresse. J’ai un début d’érection qu’elle ne peut voir encore. Elle me dit alors :
• Tour suivant !
Elle tire 1 as, et je dois m’incliner.
• C’est moi qui enlève aussi ! me dit-elle
Je me lève et elle déboutonne mon pantalon. Le contact de ses mains m’électrise et mon érection se renforce. Le pantalon descend à mes pieds. Elle caresse elle-aussi mes cuisses avec un plaisir évident et je vois son regard traîner sur la bosse de mon slip.
• Tour suivant ! dis-je alors
Je retourne un roi et elle aussi. Il faut rejouer. Je propose alors que le perdant du tour suivant enlève 2 vêtements d’un coup. Je prends ainsi le risque de me trouver nu alors qu’il lui reste encore 3 vêtements mais j’ai mon idée derrière la tête. Elle accepte et retourne un valet. Je la bats avec une dame. Elle se lève et dit simplement :
• Bon !
Cela devient très excitant ! Je passe mes mains sous son tee-shirt et commence à le relever sur son soutien-gorge couleur chair également ; Christine le fait passer par dessus ses épaules et le retire. Je la fais se retourner et j’admire au passage ses belles fesses encore couvertes par la culotte. Je dégrafe alors le soutif qui tombe par terre. Puis, la faisant se retourner à nouveau je découvre pour la première fois ses seins lourds. Elle est vraiment très excitante ainsi en petite culotte ! Je respire son parfum à plein nez et je m’assois pour pouvoir enfouir mon visage sur son ventre ; elle se laisse faire. Je passe alors mes mains dans l’élastique du slip et je roule légèrement la culotte vers le bas jusqu’à faire apparaître les premiers poils pubiens. Qu’elle est bandante, presque nue. Je l’imagine soudain soumise à mes phantasmes lubriques, en train de lui faire avaler mon sexe … Jamais je n’ai trouvé ma cousine aussi belle. Je me recule pour mieux l’admirer ; ses seins se redressent légèrement sous l’effet du désir que je sens monter en elle. Je la retourne alors. Elle se laisse toujours faire. Je roule également l’élastique de sa culotte pour découvrir la naissance de ses fesses. Ainsi arrangé, le petit vêtement ne cache plus que le strict minimum et elle semble plus nue que nue. Une grosse érection déforme mon slip. Il est temps de passer au tour suivant !
Je tire un 10 et elle un valet. En riant, elle empoigne mon tee-shirt et me l’enlève aussitôt. Puis elle passe ses mains sur mon torse nu ; avec sa poitrine à portée de main, je la bois des yeux. Elle passe alors perfidement une main sur mon slip distendu, m’arrachant un gémissement de plaisir.
• Il ne faut pas le conserver à l’étroit ! me dit-elle
• Tour suivant ! articule-je nerveusement
Au tour suivant, nous tirons tous les 2 un 9. Je saute sur l’occasion et propose que le perdant du tour suivant subisse un gage. Elle accepte. Je tire alors une dame. Elle retourne la carte suivante qui est également une dame ! Le cœur battant, je propose alors que le perdant soit soumis à l’autre pendant une heure. Elle marque une légère hésitation avant de répondre :
• Après tout pourquoi pas ? c’est le moment ou jamais !
Je retourne la carte suivante qui est un 8 ; elle sourit devant ce tirage défavorable et me dit lascivement :
• Je sens que je vais m’amuser !
Et elle retourne… un 7. Elle me regarde, incrédule ! Je suis moi-aussi muet de bonheur !
• On dirait que tu as perdu, cette fois.
• Oui …
• Tu vas donc te soumettre à tous mes caprices ?
• Tu en rêvais, pas vrai, de me soumettre ? Eh bien d’accord. Fais de moi ce que tu veux. Tu peux assouvir tes désirs secrets, même les plus cochons. Mais pendant une heure, pas plus !
Le rêve devient réalité ! Et en plus, j’ai l’impression qu’elle est heureuse d’avoir perdu. Ivre de désir, je la fais se lever. Je caresse ses cuisses si douces et elle frémit. Je passe alors mes mains entre l’élastique du slip et la peau et je fais glisser avec une lenteur calculée la petite culotte sur ses cuisses et sur ses jambes. Réceptive à ce doux déculottage, je la vois passer sa langue sur sa lèvre supérieure. Je découvre une fine et alléchante toison brune. Le petit vêtement devenu inutile tombe à ses pieds. Enfin elle est toute nue devant moi et je peux en plus tout exiger d’elle.
• Danse pour moi ! fais-moi bander encore plus !
• Tu vas voir !
• Je vais mettre un peu de musique pour t’inspirer.
J’allume alors la FM au hasard et elle entame une danse lascive. Vicieusement elle passe la main entre ses cuisses et commence à se caresser lentement pour m’emmener au comble du désir. Je finis mon verre de vodka en l’admirant … et le piège se referme alors sur moi ! je sens subitement mon plaisir monter. J’approche vivement le verre pour ne pas tacher la moquette et éjacule abondamment dans le reste de vodka qui blanchit rapidement. Une bonne dizaine de giclées viennent former une grosse flaque de sperme qui flotte sur la vodka !
• Pauvre chou ! il n’a pas pu se retenir, me dit Christine fascinée. Tout ce sperme qui aurait pu finir ailleurs ! Je suis sure que tu avais d’autres idées pour çà !
croit-elle bon d’ajouter pour ajouter à ma frustration. Quel idiot ! pense-je d’avoir raté une si bonne occasion d’être satisfait autrement. J’essaie cependant de maîtriser mon orgasme en jouissant sans toucher mon sexe. Les dernières gouttes écoulées, je pose le verre. Mon sexe est resté en érection et pour me redonner des forces je décide de corser le jeu. Je lui explique alors que je vais commencer par l’attacher puis je vais la caresser partout pour qu’elle ne puisse avoir la tentation de se défendre.
• Agenouille-toi sur le canapé, lui intime-je.
Après être allé chercher une cordelette, je lui lie gentiment les mains derrière le dos puis je passe alors le bout de corde restant autour de ses pieds. Elle est ainsi complètement immobilisée.
• Mais c’est que tu es complètement à ma merci maintenant !
• Oui … répondit-elle simplement en me regardant
• je vais te caresser autant que je le voudrais mais tu ne devras émettre aucun son. Sinon, tu auras une fessée.
• Essaie toujours !
Avisant une plume de faisan que j’avais trouvée un jour à la campagne, je commence à la promener sur son corps nu, à caresser le dessous de ses seins, à en asticoter la pointe, à caresser ses cuisses en évitant sa chatte; elle frémit légèrement. J’accentue alors le mouvement et passe la plume entre ses jambes. Elle se tortille et s’agite de plus en plus. Je pose la plume et vois à ce moment mon verre posé sur la table. Une idée très cochonne me traverse alors l’esprit … Le fond du verre est nappé d’un liquide blanchâtre résultat du mélange entre la vodka et ma semence. Si j’osais ! Je contemple Christine agenouillée, les seins pointés, prêtre à se soumettre à mes désirs ; je dis :
• En fait, si tu perds, tu devras boire le contenu de mon verre ! comme tu l’as dit tout à l’heure, ce serait dommage de le perdre.
Elle me regarde en écarquillant les yeux car elle ne peut répondre !
• Oui ! je vais accentuer mes caresses et si j’entends le moindre son, je te ferai boire le verre de sperme !
Je commence à promener mes mains sur son corps satiné et sur sa chatte que je trouve trempée. Sûr de ma victoire, je caresse très doucement son sexe et elle ouvre légèrement la bouche dans une plainte muette. Elle n’a pas encore joui et je sens qu’elle n’en peut plus ! J’en profite pour caresser encore et encore son corps magnifique. Elle se mord la lèvre inférieure pour retarder l’inévitable et le gage qui s’ensuivra.
• Allez ! laisse-toi aller, murmure-je ; laisse-moi te faire déguster mon sperme au verre !
Mais elle veut résister. Je m’applique car je sais que je vais être satisfait par un spectacle encore plus excitant. Je me mets à parcourir sa chatte et l’intérieur de ses cuisses en de longues caresses. Je tente alors :
• Çà te plait ?
• Oh oui ! répond-elle … oh non !
Elle se mord la lèvre comprenant son irrémédiable erreur.
• Bien. Tu es prête pour mon apéritif ? demande-je
Elle hésite un moment, puis déclare :
• Chose promise, chose due. Puisque tu le veux, je vais boire ton sperme, dit-elle, encore haletante.
Sa soumission me rend fou de désir. Je prends le verre. Un gros paquet blanchâtre flotte sur le fond de vodka qui a blanchi légèrement. J’en fais tourner le contenu et j’approche le verre du visage de Christine :
• Ouvre la bouche !
Christine, encore tremblante d’excitation, entrouvre les lèvres. Je lui incline alors doucement la tête en arrière pour verser l’abondant contenu du verre dans sa bouche. Pour faire durer le plaisir, je fais se rapprocher lentement le liquide blanchâtre du bord du verre puis verse une partie du jus dans sa gorge. Le jus disparait dans sa bouche et je la vois déglutir.
• C’était bon ? demande-je vicieusement
Mais il en reste encore la plus grande partie dans le verre. En fait, c’est surtout la Vodka que je viens de lui faire avaler. L’amas de sperme est redescendu au fond du verre. Passant doucement ma main entre ses jambes, je trouve sa chatte toute humide ! je demande:
• Tu ne m’as pas répondu. C’était bon ?
• Oui …
• C’est normal, ce que tu viens de boire, c’était surtout l’alcool ; regarde ! dis-je en approchant le verre, il reste le meilleur !
Christine contemple fixement le verre et surtout son contenu.
• Quelle chance tu as ! tu vas te régaler. Ouvre bien la bouche !
J’incline à nouveau le verre vers ses lèvres. L’amas de sperme glisse vers le bord. Puis, je le vois tomber mollement sur sa langue avant de disparaître au fond de sa bouche. Je maintiens le verre incliné pour que la moindre goutte finisse dans sa bouche et j’admire ainsi quelques secondes Christine la bouche ouverte :
• Avale tout, maintenant ! ordonne-je.
Elle le fait. Elle vient de boire tout mon foutre ! Cette scène m’a rendu fou d’excitation. Et çà se voit. Une envie irrépressible de profiter de la situation me saisit.
• Merveilleux ! lui dis-je Tu es très obéissante. Maintenant, je vais m’occuper de toi mais si tu veux que je te détache tu devras satisfaire un autre de mes désirs buccaux avant.
• … lequel ?
• Je crois que tu n’as pas pu savourer le gout de mon sperme pur. Je vais compléter ton éducation. Tu vas me faire jouir dans ta bouche et tu garderas tout jusqu’à ce que je te permette d’avaler.
• Mais j’ai les mains attachées !
• Ne t’en fais pas, j’imprimerai le mouvement.
J’approche mon sexe et lui mets dans la bouche. Une sensation de chaleur délicieuse envahit ma bite. Saisissant sa tête, je commence alors de lents va et viens dans sa bouche.
• Hmm ! c’est trop bon. Ma douce cochonne, après un tel traitement, qu’est-ce que tu vas prendre ! ta bouche va déborder !
C’est certes un peu exagérer, mais çà me fait plaisir de le dire ! J’arrive à maîtriser la montée de mon plaisir. Je vais enfin pouvoir m’assouvir dans sa bouche. Pour faire durer le plaisir, je me retire un moment pour lui demander :
• Hmm ! Je vais bientôt remplir ta petite bouche de foutre tiède. C’est assez cochon comme phantasme ?
• Ton imagination est débordante. Heureusement, que tu n’as qu’une heure devant toi, sinon, bonjour l’overdose !
• Eh oui ! je vais encore te gorger de sperme ! Prête ?
Sans lui laisser le temps de répondre, je replace mon sexe entre ses lèvres et je sens sa petite langue s’agiter sur mon gland. C’en est trop, j’explose enfin à grandes giclées en la regardant dans les yeux et en gémissant longuement de plaisir ! Depuis le temps que j’attendais çà ! Mon orgasme est interminable mais elle s’applique à tout garder. Une fois calmé, je sorts délicatement mon sexe de sa bouche.
• Montre-moi ! lui dis-je
Elle incline la tête et ouvre la bouche. Je vois bien le liquide blanchâtre qui baigne sa langue.
• Garde-le et savoure-le bien ! Je vais te masturber jusqu’à ce que tu orgasmes !
Je recommence alors à lui caresser les seins, les cuisses et la chatte. Je me concentre rapidement sur son clitoris. Elle apprécie et émet de fréquents :
• Hmm ! Hmm !
• C’est bon de savoir que tu prends ton pied avec mon sperme plein la bouche ! que ta petite langue trempe dedans !
• Hmm ! Hmm !
Je fais durer le plaisir plusieurs minutes. Quand je la sens à bout, je lui dis :
• Montre-moi encore !
Elle obéit et je vois sa bouche presque pleine du mélange de sperme et de salive.
• Je vais te faire jouir. Tu peux avaler maintenant.
J’accentue mes mouvements sur son clitoris et je la vois déglutir précipitamment. Elle vient de boire tout mon foutre pour la deuxième fois ! La bouche enfin libre, elle laisse enfin libre court à son plaisir et crie de bonheur son orgasme trop longtemps contenu.
• Oh oui ! oh oui ! continue !
Je m’active sur son clitoris encore et encore, jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Elle s’écroule alors sur canapé.
Après cette jouissance partagée et l’heure étant presque écoulée, je la détache. Je lui dis simplement alors :
• Merci de ces merveilleux plaisirs que tu m’as donné !
Nous nous endormons ensuite ensemble et je rêve à d’autres soumissions toujours plus osées …