Aussi loin que remontent mes souvenirs j’ai toujours été très porté sur le sexe et je me souviens, avec nostalgie et délectation, de longues et mémorables branlettes, seul parfois, mais surtout avec ma sœur.
N’ayant que deux ans d’écart, nous avons toujours été ensemble, ma sœur Sophie et moi Marc. Nos parents, Luc et Dany, exerçaient tous deux des professions libérales et nous étions pratiquement élevés par ma grand’mére maternelle, Josée, une veuve joyeuse, sympa et délurée.
Nous étions très complices et ne nous cachions rien de nos petits soucis de cœur, ni des envies de nos jeunes corps. C’est en nous regardant mutuellement que nous avons découvert et mieux compris notre sexualité.
Cela nous est venu tout naturellement un jour où nous avions décidé de nous regarder pisser. Ma sœur a alors voulu me toucher la pine, je lui ai dit d’accord, si tu me laisse toucher ta minette, ce fut le prélude de nos vrais jeux érotiques.
Au tout début nous n’étions pas vraiment gênés mais plutôt malhabiles, pressés, curieux et maladroits. Sophie me faisait souvent mal en me paluchant trop fort et moi, toujours actif, j’essayais de lui enfiler loin mes doigts, elle n’aimait pas. Mais, petit à petit, nous devenions plus calmes, plus attentifs et plus vicieux, nous trouvions les points sensibles et arrivions à nous donner beaucoup de plaisir en nous faisant bien mouiller et jouir.
J’aimais beaucoup écarter délicatement ses grosses lèvres, caresser son petit bouton et explorer son intimité bien mouillée.
Plus cochonne que moi, Sophie adorait que je masturbe son adorable trou du cul. Son petit œillet était très accueillant et après l’avoir bien préparé j’arrivais facilement à y introduire deux doigts. Sophie jouissait aussi librement de la chatte que du cul, je la régalais et je me régalais.
Sans le dire, J’étais très amoureux de ma sœur chérie, J’adorais sa façon de me caresser,de m’exciter, de me branler en mettant plein de salive et en m’enfonçant aussi son doigt dans l’anus. Je balançais chaque fois de grosses giclées de sperme sur ses mains, son ventre ou quelquefois sur ses vêtements.
Une fois, ma grand’mère nous a surpris pendant que j’étais en train de lui enfiler les doigts dans la chatte, elle nous a expliqué qu’entre frère et sœur nous pouvions nous toucher mais sans jamais aller plus loin.
Depuis ce jour nous ne nous cachions pas trop de mémé et elle en profitait pour glisser les mains discrètement sous ses jupes, pendant que je jutais sur les mains de ma sœur, tout en faisant mousser et mouiller sa minette.
Nous avons eu des petits copains et petites copines, il profitaient de nos expériences, nous nous racontions tout, ils faisaient tous, sans le savoir, partie de nos branlettes et de nos caresses incestueuses.
Puis nos jeux ont changés, maintenant, de plus en plus souvent, nous nous embrassions à pleine bouche, nous adorions nous sucer mutuellement la langue et les lèvres. Une fois que nous étions bien excités nous nous mettions nus et c’est encore avec la langue que nous explorions nos sexes. Bien sur, nous jutions beaucoup et nous avions pris l’habitude d’avaler nos jus intimes. Cela durait parfois très longtemps et ce n’est que le retour imminent de nos parents qui arrêtait nos branles.
Souvent nous délirions en imaginant ce qui pourrait se produire si papa et maman nous surprenaient. Nous aimions fantasmer sur les caresses osées que nous voudrions échanger avec nos parents. Cela nous mettait dans des états de transe pas possibles..
Peu à peu mémé était plus proche de nous, elle se touchait toujours sous ses robes mais elle venait nous mater de plus prés. Parfois même elle se laissait aller à une caresse sur ma queue ou sur la moule de ma sœur. Mais jamais plus…
Et puis, un après-midi ou je venais de gicler sur la figure de ma sœur, mémé s’est approché et m’a dit : aimerais-tu que je te nettoie la queue, mon grand ? Sans attendre ma réponse, elle prit ma pine dans sa bouche, la suça longuement, lapât les filaments de jute qui y restaient et me tritura les couilles jusqu’à ce que je me remette à triquer.
Puis elle me prit par le cou et me roula un magnifique patin en me disant : goutte un peu ton foutre ! C’est bon non ? Je ne sais pourquoi mais ce baiser et le goût de mon sperme m’ont fait devenir la bite très dure. Puis elle me complimenta : tu sais, mon chéri, je n’ai jamais sucé de chibre aussi gros que le tiens. Il faudra que je remercie ta maman de t’avoir fait aussi bien monté. Je n’étais pas trop étonné car ma sœur et plusieurs copines m’avaient déjà dit à peu prés les mêmes choses.
Une autre fois, en rentrant du tennis, je surpris mémé et Sophie s’embrassant. Je me doutais bien de leurs rapports, mais le fait de les surprendre m’a tout de suite excité. J’ai pu admirer le cul bien ouvert de ma sœur pendant que sa mamie la gouinait, j’ai assisté à toute leur séance en me paluchant mais sans intervenir. Je n’avais encore jamais vu deux femmes se dévorer la cramouille et le cul avec autant de joie, d’ardeur et de férocité mélangées. Ce qui me faisait surtout dresser la bite c’était la différence d’age bien visible de ces deux corps qui se livraient aux pires saloperies.
Un jour, pour mieux la faire mouiller, je demandais à mémé si elle avait déjà pensée se faire piner par son gendre ou se gouiner avec sa fille. Même pas surprise elle me dit y penser souvent et se branler en l’imaginant. Et toi, me dit-elle tu en as déjà rêvé de baiser avec tes parents ? Je lui expliquait que nous fantasmions souvent là-dessus avec Sophie qui rêvait de faire l’amour avec papa. Mais comment s’y prendre ? Provoque les situations équivoques, me dit elle et tu verras, un jour ce n’est pas ta grand’mére mais ta maman chérie qui te pomperas la bite. Qui sait !
Nos jeux de gamins ont changés, mémé nous a fait promettre de ne jamais baiser ensemble, elle nous a dit : vous aurez bien le temps plus tard. Ma grand’mère a plus joui avec ma sœur et moi qu’avec son défunt mari. Du moins c’est ce qu’elle nous disait.
Sophie et moi adorions lui sucer longuement la chatte en lui enfonçant plusieurs doigts dans le cul. Parfois ma mémé apportait son godemiché et là pendant longtemps elle se ramonait la chatoune devant ma sœur et moi. C’était impressionnant la quantité de mouille qu’elle se sortait du con avec son instrument. Lorsqu’elle était bien vidée, je prenait le gode et je pouvais enfin encorner ma sœur qui, déjà beaucoup chauffée d’avoir assistée au bourrage du con de mémé, ne mettait jamais longtemps à se vider la chatte.
Nous étions heureux, à 3 cela laissait plus de temps pour récupérer et plus de possibilités pour se tripoter.
Mais mon plus grand plaisir était de les lécher à tour de rôle et lorsque elles étaient bien chauffées de les laisser se dévorer la moule. Elles se mettaient tête-bêche et à grand renfort de coups de langues bien baveux elles se faisaient gicler la chougne comme deux vraies salopes. Après, pour me calmer, elles se jetaient sur ma bite et se disputaient mes giclées de foutre. C’était fantastique. Et mémé a eu des soucis de santé, sa tête n’allait plus, elle a du aller dans une maison. Ce fut très dur pour Sophie et pour moi