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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Mon incroyable grand mere (t) -

J’ai toujours bien aimé ma grand-mère, avec qui je me suis toujours merveilleusement bien entendu. Ce n’est pas comme mon père qui cherche toujours à éviter sa belle-mère.

Lors de l’aventure que je vais vous relater, Mamie, une fort jolie femme, grande et bien charpentée, admirablement bien conservée, aux formes pleines et au ventre plat, qui portait allègrement ses soixante sept ans.

Elle habite un petit village proche d’Avignon, où elle s’est retirée à la retraite, et d’où elle se rend plusieurs fois par an à Arras, chez l’oncle Albert. Chez nous elle ne fait que passer, en raison de ses relations difficiles avec mon père ; toutefois je la vois encore assez souvent car j’aime aller chez elle.

 

Actuellement mes parents sont descendus plusieurs jours à Bordeaux pour le mariage d’une cousine de mon père. Ma grand-mère que je viens d’aller chercher à la gare à Paris, se rend justement à Arras, et profite de cette absence pour faire escale chez nous à Sceaux. Son voyage a été particulièrement pénible car il fait une chaleur épouvantable, Mamie est littéralement liquéfiée en descendant du train. Immédiatement après nos embrassades, elle a voulu aller prendre une boisson rafraîchissante, et a voulu prendre un taxi aller à Sceaux, décrétant qu’il lui était impossible de poursuivre son voyage dans les transport en commun par une telle chaleur.

Arrivés à l’appartement, je m’applique à aérer les pièces qui ont été dans l’ombre toute la journée avec les fenêtres et volets fermés pour empêcher la pénétration de la chaleur. Mamie va aussitôt prendre une douche pour se rafraîchir, pendant que je prépare le repas du soir, salade composée et charcuterie.

En sortant de sa douche Mamie se plaint toujours de la chaleur, je lui suggère alors de se mettre à son aise puisque nous sommes seuls, et je lui propose de finir la soirée en chemise de nuit. Pour ma part je n’ai conservé sur moi que mon short. Comme ma grand-mère n’a pas été prévoyante, et n’a emporté avec elle qu’une chemise de nuit assez chaude, je l’invite à en trouver une parmi celles de ma mère.

Quelle n’est pas ma surprise ne voyant ma grand-mère venir se mettre à table, elle porte bien une chemise de nuit de ma mère, convenable par sa coupe, mais très suggestive par le tissu qui la compose. C’est une fine chemise, certainement la moins chaude, mais aussi la plus transparente que Maman puisse posséder, et que je ne connaissait d’ailleurs pas, et pour cause… Je n’ose rien lui dire, mais c’est comme si Mamie était nue devant moi, je ne distingue pas, je vois ses seins lourds et gonflés et les larges aréoles qui se dessinent sous le tissu, ainsi que le triangle noir qui souligne le ventre de ma grand-mère. Celle-ci, insouciante ou inconsciente, ne semble pas se rendre compte de la légèreté de sa tenue et de l’incongruité de la situation : elle se promène presque nue devant son petit fils, mais elle se comporte comme d’habitude, sans la moindre gêne, me questionnant sur la famille tout en dressant la table, pendant que je termine la préparation du repas.

Ce repas, justement, se déroule étrangement pour moi, devinez mon état car même s’il s’agit de ma grand-mère, c’est tout de même une femme pour ainsi dire nue qui mange à côté de moi, et quelle femme !

Je fais tout mon possible pour cacher mon émotion, pour me concentrer sur mon assiette, mais mon regard revient sans cesse sur cette poitrine si près de mes yeux. Tout en devisant, Mamie qui ne semble se douter de rien, me trouve distrait et évasif dans mes réponses à ses question ; ne croyez-vous pas qu’on peut l’être pour moins que cela ‘

Après le repas, Mamie s’installe devant la télévision et m’invite à venir près d’elle sur le canapé pour parler un peu. Je suis alors encore plus proche d’elle qu’à table, et rien ne vient atténuer la vue que j’ai de ses seins blancs et fermes, de son ventre plat, de ses hanches larges et rondes, et du triangle foncé qui marque la jonction de ses cuisses longues et musclées.

Tout en parlant elle s’aperçoit de mon troubles, lui aussi bien visible sous mon short, et remarque que je la détaille avec insistance, c’est alors que posant le regard sur ses genoux elle se rend compte de la transparence de son vêtement. Elle rougit un peu et se tourne, rabattant son bras sur sa poitrine , tentant de cacher ses seins : ‘ Mais c’est qu’elle est très transparente cette chemise, je n’ai pas fait attention, où avais-je la tête, ce n’est pas étonnant que tu m’inspecte de cette façon voyeur ; n’aurais-tu pas pu me le dire ; et dire que je viens de passer tout ce temps comme çà ‘

Devant mon air déconfit, et l’inutilité de sa tentative pour masquer sa nudité, elle se décontracte et ajoute : ‘ et puis ne soyons pas hypocrite, maintenant il est trop tard pour que je m’offusque, cela fait plus d’une heure que tu peux me détailler ‘. Puis elle reprend en me regardant : ‘ celà ne t’offusque pas je pense à voir ton air. Maintenant tu sais comment je suis faite, tes copines sont sans doute mieux que ta vieille grand-mère ‘

Son regard revenant sur la bosse de mon short elle ajoute, changeant de ton : ‘ tout de même on dirait que çà ne te laisse pas indifférent ‘, puis changeant de sujet : ‘ qu’avons-nous à la télé ce soir ‘… Je ne sais si le programme est intéressant mais j’avoue avoir d’autres préoccupations : la situation me donne à penser que j’aimerais toucher les seins que je distingue nettement au travers de la mousseline, le ventre, les cuisses, le sexe.

Comme nous avons l’habitude de le faire, je lance quelques blagues à Mamie et la chahute un peu, ce qu’elle aime, n’hésitant pas à répliquer. Je profite de ce jeu de mains pour me permettre, comme par inadvertance, quelques privautés. Lorsque l’on se calme, je laisse traîner ma main sur sa cuisse et simule une caresse machinale pendant qu’elle s’absorbe à nouveau sur l’écran, tout en me parlant de choses et d’autres. Comme elle ne sembla pas réagir à ma caresse, je m’enhardis et remonte vers sa hanche sans provoquer de réaction. Ayant posé ma tête sur son épaule, elle m’entoure les miennes de son bras, et semble apprécier cette intimité. Devenant plus entreprenant, je caresse à nouveau sa cuisse, mais plus vers l’intérieur, et remonte lentement vers l’entrejambes à travers le tissu. Quand j’atteints le bas ventre elle sursaute et me regardant d’un air étonné elle me dit : ‘ mais voyons mon grand, tu t’égares ‘. Elle a pris son ton de réprimande, mais elle ne paraît nullement fâchée. Alors, sans relâcher ma pression je lui répond effrontément : ‘ Excuse-moi Mamie, mais de te voir ainsi çà m’émoustille et puis tu est si belle, je t’adore ‘.

Elle se met à rire et me dit : ‘ ce n’est pas ton père qui me dirait cela, lui qui préfère mes talons à mes doigts de pieds ‘. Ce rire me détend, car comme elle ne se recule pas et même me serre un peu plus fort, j’en profite pour lui saisir le sein droit. Elle n’est pas dupe de ma manoeuvre car elle dit toujours en riant : ‘ C’est cela, profites-en ‘, mais elle ne me repousse toujours pas, alors je l’embrasse sur la joue, le cou, le menton, puis prenant mon courage à deux mains, je me lance et l’embrasse sur les lèvres. Elle a à nouveau l’air surprise, mais ne se recule toujours pas, alors avec la langue je force la barrière de ses lèvres. C’est alors qu’il se passe une chose inouïe, elle répond à mon baiser, et nos langues se cherchent, s’emmêlent, je m’essouffle, mais elle ne me lâche pas.

Pendant ce temps je poursuis mon exploration, mais maintenant mes mains sont sous le tissu, directement en contact avec sa peau si douce, si chaude. Je la sens légèrement trembler, mais elle laisse faire, et même elle participe car lentement elle entrouvre ses cuisses. Je les abandonne alors et continue à remonter haut sa chemise, jusqu’à ce qu’elle éprouve le besoin de m’aider à la lui enlever.

Elle m’observe attentivement dans les yeux, sans sourire, se demandant sans doute jusqu’ou je veux aller, mais se demandant sans doute aussi jusqu’ou elle va accepter d’aller. Pourtant elle ne marque aucune réticence, et lorsqu’elle est vraiment nue, elle tire alors mon short vers le bas pour me l’enlever. Je l’aide sans la quitter des yeux, et lui caresse doucement les seins, insistant sur les tétons durcis, ce qui semble la bouleverser.

Nous n’avons pas prononcé une parole, mais lentement elle s’allonge sur le canapé, me caressant le sexe d’une main, et de l’autre entraînant ma main vers son propre sexe. Du majeur je pénètre entre les lèvres humides et chaudes, et vient titiller son petit bouton rose. Elle se tortille sous la caresse, nous sommes en nage, mais qu’importe le moment est très important pour moi, et sans doute aussi pour Mamie.

Je suis très excité, très dur, et Mamie semble attendre quelque chose sans oser le réclamer. Ses seins dardent fièrement leurs tétons durcis par le désir. Tout en continuant sa lente masturbation, elle se met à gémir sous les caresses que je prodigue à son bouton qui a atteint une bonne taille et qui roule sous mon doigt. Enfin, n’y tenant plus n’y l’un ni l’autre, elle m’attire sur elle. Je n’ai pas besoin de dessin et mon sexe trouve facilement l’entrée de sa grotte. Je la pénètre alors lentement, m’enfonçant dans une fournaise humide, large et profonde, jusqu’au plus profond d’elle-même. Alors Mamie pousse un soupir de bonheur, je suis dans son vagin, celui qui a enfanté ma mère. Tout naturellement, bien que ce soit la première fois que je fais l’amour, je trouve le rythme d’aller et venue qui m’amène trop rapidement à mon goût à l’orgasme. C’est fait, j’ai baisé ma grand-mère, c’est comme une délivrance lorsque je me déverse en elle à longs jets. C’est merveilleux, Mamie halète en souriant, les yeux clos, et je comprends qu’elle aussi apprécie le dénouement. Je m’effondre sur elle, écrasant ses seins, et étouffant un peu Mamie qui me soutient pour reprendre un peu sa respiration. Lorsque je me retire, c’est presque à regret que nous nous séparons, et Mamie me saisit le visage à deux mains pour m’embrasser tendrement sur les lèvres.

J’appréhendais un peu le retour au calme et la reprise de nos esprits, me demandant quelle attitude j’allais adopter, mais c’est Mamie qui parle : ‘ C’est merveilleux ce que tu viens de me faire… même si c’est mal je ne regrette pas…. ‘ Je proteste : ‘ Pourquoi est-ce mal, moi je suis content… et toi tu n’as pas aimé ‘… ‘ -- ‘ Si j’ai beaucoup aimé au contraire mon chéri, mais je suis ta grand-mère, et ce que nous venons de faire est un inceste ; c’est interdit par la société et par sa morale. Personnellement je ne regrette rien, mais je ne voudrais surtout pas que cela t’affecte. ‘ -- ‘ Moi non plus Mamie je ne regrette pas ce qu’on vient de faire, c’est si inespéré pour moi et je suis si content que tu m’aies laissé faire. Inceste ou pas, je m’en fout ‘ -- ‘ Si tu le prends ainsi alors c’est bien, mais gardons cela secret, il faut que ça reste entre nous, personne ne comprendrait, et surtout il ne faudrait pas que tes parents l’apprennent car il y aurait fort à craindre qu’il t’empêche de me revoir. ‘ -- ‘ C’est promis Mamie, mais est-ce qu’on recommencera ‘… ‘. En riant elle me donne une petite claque sur le sexe et m’embrasse sur le nez en disant : ‘ Voyou,… je veux bien mais il faudra être très discrets et prudents ‘

Cette nuit là nous l’avons passée ensemble dans les bras l’un de l’autre, sans autres marques d’affection que quelques baisers d’une grand-mère à son petit-fils et inversement.

Bien que ceci ce soit passé il y a plus de dix ans, je m’en souvient parfaitement chaque instant. Aujourd’hui j’ai vingt cinq ans, je suis marié depuis deux ans a une charmante jeune femme que j’adore, mais à plusieurs reprise avant mon mariage, nous avons renouvelé nos étreintes Mamie et moi. Aujourd’hui nous ne faisons plus qu’en parler car Mamie n’éprouvait plus guère de plaisir les dernières fois, et sa santé s’est légèrement altéré : C’est plus raisonnable ainsi dit-elle, mais je lui suis très reconnaissante de ce que nous avons fait, d’autant plus qu’avec elle j’ai fait des tas de choses que je n’oserais pas faire avec ma femme. Cela a rendu notre complicité plus grande et nos souvenirs plus extraordinaires.

Ce récit peut sembler bien banal auprès d’autres récits de ce site, mais il a le mérite d’être véridique, même si quelques lieux et âges ont été modifiés, mais si peu….

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