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- Dylan et sa mère (t) -

Auteur : Francis Laid

Je m’appelle Dylan, j’ai 19 ans. J’habite encore chez mes parents, ou devrais-je dire chez ma mère puisqu’elle est divorcée. Je ne me préoccupe pas vraiment de ce que mon père devient, Je suis de toute façon heureux et ravi d’être seul à coté de ma Maman chérie !
Je l’aime beaucoup et mes sentiments ne sont pas qu’un amour entre un fils et sa mère, c’est de l’amour passionnel, physique : je l’aime.

Mais depuis quelques années, étant réaliste, je me suis vite rendu compte que mon imagination, mes fantasmes étaient pour le moins impossible à concrétiser. Alors, j’ai vite trouvé un moyen de me consoler. Certains lisent des récits, ou regardent des vidéos, moi je me masturbe avec ses dessous dans la salle de bain ou dans sa chambre quand elle n’est pas la. Je me surprends à décharger sur ses bas, ses strings, faisant en sorte que sa lingerie se retrouve très vite dans la machine à laver.

Je vais maintenant vous décrire ma mère : Elle est blonde, elle a des cheveux assez longs. Elle est mince voir athlétique, elle est superbe et jeune encore, elle a 39 ans. Elle est sportive, active se préoccupe de son corps, elle est aussi sexy, pas trop, juste de quoi faire fondre les hommes qu’elles croisent dans la rue. J’imagine bien ces mecs se retournant, mâtant son cul mis en valeur par ses jeans très moulé, en disant « Hmm elle est bonne ! ». Moi aussi je pense cela, j’y mettrai bien mes mains et autre chose ! Mais bon c’est évidemment que des rêves irréalisables.

Vous me comprenez mieux maintenant pourquoi je fantasme sur elle, j’en deviens parfois un peu fou, mes pulsions me mène à porter ses vêtements, Le soir, je descend dans la salle de bain et je met sa robe qu’elle a porté dans la journée, ça m’excite au plus au point de savoir que ce tissus a frôler son corps. Quand à ses strings, c’est l’apothéose pour moi, je ne les portes pas, de peur de les élargir, mais je les sniff, je les renifle heureusement que ma folie a des limites car pour un peu je les mangerais ! Quoi que… Je les lèches, et ce goût salé m’emporte et me rend un peu plus chaque jour amoureux dans le premier sens du terme. Je multiplie mes masturbations, ignorant mes copines, restant à la maison, et finalement ma vie est peut être préoccupante car c’est devenue une obsession, je ne pense plus qu’à ma mère. Les amis, le boulot tout est devenu ennuyant.

Parfois dans un moment de lucidité, je me dis que puisque je l’aime, alors même dans mes pensées je devrais la respecter. Mais je ne peux pas, alors dans mon imagination, je suis son amant, et mes fantasmes sont pour le moins très hard. Souvent, à la fin de mes masturbations, un déclic arrive et je redescends sur terre, non pas que j’ai honte, mais j’ai l’impression que tout ce que je fais est inutile, sans issue que je gâche ma jeunesse.

Ma mère ne sait pas, j’espère, tout ce petit manège que je fais à la maison. Mais toutefois, elle se rend bien compte que je sors rarement, que je ne ramène pas de petites amies. Elle ne manque pas de me le rappeler en m’encourageant d’en trouver une.
Elle aussi reste seule, aucun homme n’est jamais entré à la maison, c’est invraisemblable dans le fond, mais j’en suis bien content, égoïstement. Cependant, je ne comprends pas qu’elle n’a pas encore eu d’amant alors qu’elle est si désirable, et qu’elle se promène souvent, qu’elle fait son jogging régulièrement. Alors parfois je me fais des illusions, je me dis que si elle ne recherche pas le nouvel amour, alors j’ai ma chance.

Elle est un mystère pour moi en même temps, que fait-elle le soir alors seule dans son lit ? Tout est envisageable, soit elle est sage et elle lit un bouquin, ou elle regarde la petite télé , soit elle se masturbe, en pensant à moi ? Ah si seulement je pouvais savoir.
J’ai fouillé un peu partout dans sa chambre, dans l’armoire, dans le tiroir, rien qui ne soit évocateur, aucun film adulte ,aucun livre érotique et aucun jouet sexuel. Dommage. Ca la rend trop sage hélas. Je n’ai jamais cherché à l’espionner, j’aimerais bien la voir nue, mais le risque de me faire prendre alors que je la regarderais grâce à une porte entrouverte me fait dire que je ne dois pas faire cela. De toute façon, le soir, c’est un régal pour moi, elle est en nuisette noire sexy pas transparente mais assez évocatrice de ses formes fines et magnifiques. Ses longues jambes me font littéralement fondre de désir. Je donnerais n’importe quoi pour un simple baiser sur sa bouche. J’en suis arrivé la. Quel bilan !

La semaine dernière, comme tout les samedi, elle part vers 13 heures, à pied, pour aller au marché. Elle adore faire ça, c’est un rituel. Elle en a souvent pour deux ou trois heures. Elle sort donc de la maison, elle est en mini jupe, et en t-shirt très fin et presque provoquant. Quand elle sort habillée comme ça, je suis jaloux de savoir qu’elle peut plaire à d’autres hommes que moi !
Pendant ce temps, c’est un rituel pour moi aussi, je monte dans sa chambre avec quelques un de ses habits dans la corbeille à linge, je me déshabille, essaye quelques vêtements, je me regarde dans la glace, je me caresse partout, je me re-déshabille et, à poil, je me masturbe sur un de ses dessous affriolant.

Cette fois encore je me fais ce plaisir traditionnel. J’ai pris une culotte blanche en dentelles, un soutien gorge, une robe pas encore lavée, qu’elle avait portée ce matin. Je rentre dans sa chambre déjà excité, car je sais pertinemment que je vais passer un bon moment de fantasmes et de plaisir. Je suis nu, j’entoure mon sexe avec un de ses bas. Que c’est bon. Je commence les va et viens, doucement, il faut que ce soit intense, que je jouisse à fond ! Alors que ma bite est bien tendue, que je suis nu dans sa chambre, j’entends un bruit en bas.
Que se passe-t-il ? Ma mère est déjà de retour ! Je panique à fond ! Et elle monte en plus ! La vache, je suis dans la merde ! Je n’ai pas le temps de me dire que comme ça j’en aurai le coeur net devant sa réaction. Je n’ai pas le temps de me rhabiller, je me mets en dessous du lit, emportant avec moi les dessous que je n’ai pas encore enduits de mon sperme. Je ne fais aucun bruit, je ne dois pas tousser, ni éternuer.

Elle entre dans la chambre. Je prie pour qu’elle ne se rende compte de rien. De là ou je suis, je ne vois que ses pieds et je ne peux même pas voir au dessus de ses genoux. Elle retire ses chaussures élégantes à talons hauts. Je vois glisser la mini-jupe qu’elle avait mise pour le marché, c’est excitant ! Elle est en train de se changer ! Sûrement parce qu’il fait trop froid dehors pour être aussi court vêtue. Sa culotte ! Elle a retiré sa culotte ! Elle glisse sur ses chevilles. Malgré la situation de panique, je bande de plus belle ! C’est au tour du soutien gorge qu’elle retire et jette négligemment à terre. Elle est nue… Moi aussi, je me dis : « mais t’es con Dylan ? Sort ! » Mais quelque chose d’inexplicable m’empêche et me bloque, je suis littéralement paralysé sous ce lit. J’aurais voulu le faire que je n’aurais pas réussi et que je n’aurai pas trouvé le courage de le faire. Me calmant un peu, alors que je suppose qu’elle fouille dans l’armoire pour trouver d’autre habits, je commence à me dire que c’est un bon plan, j’ai pas vu grand-chose, mes ces petits riens pour moi c’est beaucoup. Elle va sûrement mettre quelque chose de moins court, pour mieux se couvrir dehors et elle va repartir . Je n’ose pas descendre ma main vers mon sexe afin de me masturber, le bruit qui en résulterait ferait qu’elle serait au courant de ma présence. Elle met un string cette fois, un autre soutien gorge, puis un de ces jeans moulant.
- Dylan ?? Crie-t-elle, en m’appelant comme si elle supposait que j’étais dans ma propre chambre.
Je me demande ce qu’elle veut pourquoi m’appelle-t-elle ? La panique revient, et cette fois je rougis, je me dis que je suis foutu.
- Dylan ? Tu peux venir s’il te plait ? Dit elle d’une voix forte.
Je me dois faire une raison, elle sait que je ne sors pas, donc si je ne répond pas très vite, elle va me chercher et je ne serai pas dans ma chambre.
- Pourquoi tu ne réponds pas ? T’es où ?
Prenant mon courage à deux mains, je sais, j’aurai pu attendre qu’elle sorte pour me chercher sans intervenir, mais d’une voix timide et hésitante je lui dit :
- Je suis là maman mais ne me regarde pas, je suis au dessous de ton lit.
Elle sursaute, elle est saisie d’entendre ma voix dans sa chambre. Je venais de lui dire de ne pas regarder mais elle se baisse pour constater que non seulement je suis effectivement en dessous de son lit, mais qu’en plus je suis à poil !
- Allez sort de la, et rhabille toi.

Je sors alors, un peu désespéré, ne sachant pas ce qu’elle va me dire dans quelques minutes. Alors pour la première fois, je suis nu devant elle. Rougissant comme jamais, je remets mes vêtements d’une façon maladroite. Trébuchant, perdant presque l’équilibre. Elle ne rit pas à cette maladresse, mais elle ne manque pas une seule seconde de ce strip tease à l’envers. Elle semble même apprécier. Je suis de nouveau présentable je commence la conversation complètement désespéré et gêné :

- Tu voulais quoi maman ? Pourquoi tu m’a appelé ?
- Tu ne sors jamais, alors je voulais que tu viennes avec moi au marché
- Oh… Excuse moi, m’man. Je pense que c’est pas la peine de t’expliquer ce que je faisais mais excuse moi, je t’en prie.
- Ca va aller mon grand, je suis un peu surprise mais bon, ça te regarde, je regrette même d’être dans cette situation.
- Tu ne pouvais pas savoir…
- Non c’est sûr, je suis revenue me changer, ça caille dehors.
- J’ai rien vu rassure toi. D’ailleurs c’est bizarre mais quand je me suis rhabillé ça t’a plu ?
- Dylan ! Allons… Tu es un beau jeune homme c’est vrai, je peux t’admirer physiquement, te trouver beau mais bon faut pas que ça dégénère tu comprends ?
- Oui je comprends, mais je te trouve très belle aussi tu sais
- Merci, bon soyons franc entre nous, tu faisais quoi avant que je monte ?
- A ton avis ? Y’a pas 36 choses qu’on peut faire dans la chambre de sa mère alors qu’on est à poil !
- Oui je me doute mais explique moi quand même
- Maman ? C’est gênant de te dire ce que je faisais, c’est intime.
- Oui mais je suis troublée par la situation… Je ne sais pas ce qui ce passe… Vas y mon fils explique moi
- Tu y tiens vraiment ? Ce n’est pas franchement bien ce que j’ai fait.
- Oui ne t’inquiète pas. Vas y mon grand.

Alors je lui ai expliqué en détail ce que je venais de faire depuis son départ, elle m’écoutait, elle avalait mes paroles sans m’interrompre. Mes mots semblaient délicieux si je me base à ses yeux brillants et à son visage illuminé.
- Voila tu sais tout pour cet après midi. Et j’en fait autant le soir dans la salle de bain. ça fait pas mal d’années que je pense à toi de cette façon M’man
Sans dire un mot elle me surprend en se rapprochant de moi, m’entoure avec ses bras. Elle approche ses lèvres des miennes. Puis elle m’embrasse, c’est un baiser passionnel, pas du tout maternel. Nos langues se mêlent, on se roule une pelle tout simplement ! Ce moment inespéré impossible je l’ai vraiment vécu quelle chance que j’ai ! Ce premier pas vers le tabou vient d’être franchi. Je me demande si à un moment elle n’imposera pas (avec raison) une limite. Pour l’instant on s’embrasse goulûment. Je caresse ses hanches et son dos, elle en fait autant. Ce baiser est heureusement interminable, magique, sublime. C’est si soft par rapport à tout ce que j’avais imaginé, pourtant c’est bien plus excitant, déconcertant, inexplicable tant la passion est grande, ce que je ressens (et elle sûrement aussi ) est bien plus fort que le premier baiser avec ma première petite amie.

On se dit des « je t’aime » à répétition, ce ne sont pas que des mots, c’est concret, on s’aime vraiment comme homme et femme. L’interdit n’est plus interdit. L’amour a pris la place du tabou qui semble du coup dérisoire. Je me surprends à passer une main en dessous de son t-shirt, et l’autre faisant en sorte de retirer son jeans. Elle passe et repasse sa main au niveau de mes fesses. Alors qu’on s’embrassait de plus en plus fort, elle a fermé les yeux. Un peu à la fois, sans vraiment le vouloir on se déshabillait réciproquement. Je découvrais son corps, au fur et à mesure. Elle était à moitié nue, et elle n’avait plus que son string, rien d’autre. Elle était de plus en plus belle chaque minute. Elle avait retiré mon pantalon qui traînait à mes pieds et elle avait fait glisser ma culotte aussi. Pour la première fois Sa main parcourait sans hésitation ma queue une nouvelle fois tendue. Je suis déboussolé de ce qu’elle entreprend, la voila à genoux devant moi Et d’une voix douce et passionnée elle me dit :
- Hmm on ne devrait pas.

Ça ne l’empêchait pas d’avoir sa bouche en alignement devant ma queue. Elle s’approche, le bout de mon gland laisse apparaître le liquide pré éjaculatoire. Voila que le bout de sa langue tourne autour du bout de mon sexe. Elle devient gourmande, pousse des « hmmm » de plaisirs. A mon tour, par instant, je ferme les yeux, puis je les ouvres de nouveau car une telle expérience est rare et unique. Sans aucune gène elle écarte son string afin de toucher sa chatte. Je fixe les yeux dessus, j’ai l’impression d’un effet de zoom tant je me fixe sur ses lèvres dépourvue de tout poil. Elle est rasée de prés. Sa langue lèche l’ensemble de mon sexe, ainsi que mes couilles, aucun centimètre n’est épargné par sa langue gourmande. Puis la moitié de ma tige se retrouve dans sa bouche, ma mère me suce, hmmm que c’est bon. Experte, sachant que je vais rapidement jouir, elle se relève vite, retire son string mouillé, elle prend ma main sans dire un mot. Elle se dirige et s’allonge sur le lit et j’en fais autant.
- Embrasse-moi, me dit-elle en murmurant. Je veux que tu embrasses l’ensemble de mon corps…

Immédiatement à sa demande, j’ai commencé à embrasser ses seins, ses petits mamelons, entouré par de petites aréoles roses. J’ai ensuite exploré le reste du corps de ma mère avec ma langue. De temps en temps, elle poussait quelques râles de plaisirs en se touchant et se caressant la chatte doucement. Finalement, après avoir joué pendant un moment avec son nombril, je suis arrivé à sa chatte. Soigneusement je léchais ses lèvres c’était exquis. Un parfum émanait de sa chatte. Elle aimait manifestement cela car elle a saisi ma tête à deux mains, en la forçant doucement vers son minou !
- Oh oui lèche moi, a-t-elle murmuré.

Je place ma bouche sur son vagin et je continuais à lécher et à embrasser sa chatte. Elle a ouvert les jambes, je suçait et goûtais l’unique saveur liquide produit par son corps. Elle est maintenant en permanence frémissante, elle avait une courte séquence de spasmes et elle libérait alors la pression sur ma tête.
- Viens en moi, S’il te plaît… demanda-t-elle.

On se regardait d’une manière différente. Elle était plus que ma tendre et douce mère, elle était une autre femme, avec un look sensuel, avec la luxurieuse brillance de ses yeux verts. J’ai été surpris de constater que, c’était la première fois que je la regardais ainsi. L’extrémité de ma tige frottait contre ses lèvres, et j’avais une légère peur de pénétrer cet endroit si particulier du corps de ma mère. Constatant mon hésitation, elle provoque une légère pression sur mon entrejambe qui a suffi à insérer la moitié de mon sexe dans son vagin impatient. Maman respirait fortement, ses mains étroitement enroulées autour de ma taille, tirant mon corps contre le sien. Une deuxième pression et je me suis retrouvé pleinement inséré dans sa chatte. J’étais tellement heureux que, même si j’ai essayé de garder le contrôle de la situation, il n’a fallu que quelques coups avant que je ne sente une exquise sensation, sachant que les fluides drainés par l’intermédiaire de mon sexe allait bientôt arriver. J’éjaculais alors, peut être trop vite, mais impossible de me retenir d’avantage. C’était le summum du plaisir. Une jouissance proche du KO. Si forte que j’avais l’impression de lutter pour éviter un évanouissement ! Alors que je suis à bout de souffle et le corps maintenant détendu, ma mère me caresse le dos, et j’ai glissé mon sexe hors de son corps. Mon visage était enfoui dans ses longs cheveux blonds, savourant son doux parfum. Maintenant que j’avais accompli mon rêve. La réalité revenait un peu à la fois, je réalisais ce que nous venions de faire. J’avais une légère peur de faire face à ma mère. Quand j’ai finalement eu le courage de la regarder, elle a eu un timide sourire. Elle était dans le même état d’esprit que moi

- Comment te sens-tu ? a t-elle demandé.
Je lui ai assuré que je me sentais bien que c’était sublime, au delà de tout ce que l’on peut imaginer. Nous avons ensuite échangé des caresses jusqu’à ce que mon sexe soit complètement ramolli. Maintenant que nous avons réalisé et écouté les envies et désirs de nos deux corps, nous voici de nouveau face à la réalité, on se dit qu’on aurait pas du faire ça. C’est une sorte de culpabilité. Puis on se rassure, ce que nous avons fait n’était pas quelque chose de mal.

Bien sûr, la société affirme qu’une mère et son fils ne doivent pas avoir des rapports sexuels les uns avec les autres. Mais on ne doit pas se sentir coupable pour ce que nous avons fait. Nous sommes tout les deux adultes, conscient, consentant. Je me suis réveillé le lendemain matin avec un sentiment étrange, comme si j’avais fait un beau rêve. Heureusement, non, j’ai vu maman, nue, dormir près de moi tranquillement sur son dos. Ce n’était pas un rêve !

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