Après quelques déboires sentimentaux, j’avais perdu boulot, appartement, dans la dèche la plus complète, je fus recueilli par ma tante Paule, une femme de 60 ans, blonde, grande, aux formes paysannes, une croupe large et haute, une poitrine lourde et pleine, elle vivait seule dans une grande demeure, elle eût sans doute pitié de moi, et accepta de me loger quelques temps, histoire de retomber sur mes pattes ! J’avais la fâcheuse habitude de sortir assez souvent, et de rentrer à des heures impossibles, ce qui me mettait en plein conflit avec ma tante Paule.
Cette fois ci, je crois bien voir dépassé toutes les bornes, je rentrais aux petites heures, vers 6 heures du matin, j’essayais de faire le moins de bruit possible, mais en franchissant la porte, je fis tomber un vase, j’entendis Paule hurler de sa chambre, j’entendis ensuite ses pas dans la cage d’escaliers, elle m’aperçut et me crucifia du regard.
- Espèce d’ivrogne, c’est à cette heure que tu rentres, tu n’as pas honte, à peine 30 ans, et regarde-moi dans quel état tu es !!!
Elle était rouge de rage, je la regardais droit dans les yeux, je souriais, et je pris une fameuse paire de claques. Je ne savais plus qui j’étais, ni où j’étais, la seule chose que je voyais, c’était cette femme, se tenant repliée, ramassant les morceaux du vase. Elle pestait à voix haute :
- Incroyable, ce petit c…n’en branle pas une, il sort, il boit, …
Elle ne finit pas sa phrase que je rajoutais :
- ET IL A TRES ENVIE DE TE BAISER, MA BELLE SALOPE, JE BANDE POUR TON GROS CUL, ET TES GROS NICHONS.
C’est quand je bois que je me libère le mieux, et là je lui avouais la vérité, j’avais fantasmé plus d’une fois sur son corps, que j’imaginais rond, plein, chaud. Paule se tenait toujours dans la même position, retournée, penchée vers l’avant, je pouvais imaginer que sous son large peignoir, elle avait un gros cul, de grosses fesses, une grosse paire de nichons bien gonflés, des ballons énormes avec des gros pis. Je m’approchais d’elle et relevais sa robe de nuit, elle devait sans doute être aussi nerveuse et apeurée que moi, mais je jouais le tout pour le tout. Je me mis directement à bander en voyant son gros derrière blanc, quelles fesses, énormes, rondes, Elle était toute nue sous le vêtement, je la retroussais complètement, et jetais le peignoir par terre.
Elle se tourna brusquement, à poil, rouge jusqu’aux oreilles, elle voulut ouvrir la bouche pour dire je ne sais quoi et l’en empêchais en plaquant ma bouche sur la sienne, mon ventre contre le sien, et mes mains sur ses gros nibards. Paule résista quelques secondes, puis, elle succomba, se laissa aller, et resta passive, elle ouvrit ses lèvres et accueillit ma langue en elle. Je la sentais ouverte, offerte, soumise, je ne savais plus quoi faire, comment continuer, elle m’apporta la solution en disant :
- Nous serions sans doute mieux au lit, viens dans ma chambre, j’ai aussi très envie de toi, je ne devrais pas, mais je suis toute excitée, toute humide, en pensant à ton gros sexe !
Nous nous retrouvions dans sa chambre, dans son lit, elle se coucha et me tendit la main, en m’invitant à la rejoindre, je me déshabillais en triple vitesse, et me couchais sur elle. Le sexe tendu, gonflé, excité, nos corps étaient chauds, souples, attirés comme des aimants, je frottais mon sexe contre son ventre, mes mains caressaient ses grosses mamelles, je l’embrassais à pleine bouche, elle me caressait les cheveux, le dos, les épaules, les reins.
Je sentais son épais pubis mouillé, chaud, attirant, ma langue s’attaqua aux seins, suçant les gros tétons roses, je les mordillais, les suçais, les avalais, je descendis plus bas, sur le ventre, déposant des baisers humides, puis la chaleur se fît plus intense, Paule écarta les cuisses charnues, pour me présenter un sexe large, odorant, couvert d’une toison bien fournie, dégoulinante de mouille, je lui léchais les grandes lèvres, lui aspirant le clitoris érigé, durci, elle devenait de plus en plus chaude, elle avança son bassin plus contre moi, je lui enfonçais la langue loin dans la chatte, lui broutant le minou, elle mouillait, elle gémissait, ondulait de la chatte, elle soupirait.
Elle contractait les muscles de sa chatte baveuse, ma langue allait et venait en elle, mes mains jouant toujours avec ses gros bouts, je sentais ma bite durcir, gonfler, palpiter, j’avais très envie de la pénétrer, de la baiser bestialement, de la faire crier.
Je sentis qu’elle jouissait quand elle m’aspergea le visage de sa cyprine abondante, elle encercla mon visage entre ses jambes et cria :
- oui, je jouis, ta tantine Paule jouit comme une grosse vache, c’est bon ta langue, tu lèches comme un dieu, tu me rends folle, je mouille, c’est bon, viens sur moi chéri, viens bourrer ta salope de Paule, j’ai envie de ta queue en moi, viens me la mettre, je n’en peux plus d’attendre, je suis en feu, baise-moi, enfile-moi, bourre-moi, mon chéri !
Je ne me le fis pas dire deux fois, je pris mon sexe en main et le lui enfonçais d’un coup sec dans la chatte, elle poussa un « AH » de surprise, quand je fus enfoncé complètement en elle, je restais immobile un instant savourant cette chatte, puis, très lentement, j’entrepris de lents va-et-vient, ressortant complètement, entrant à nouveau dans son con baveux, ses grandes lèvres m’aspiraient comme une ventouse, quelle formidable sensation, quelle femelle en rut !
Je me mis à la pistonner sans aucune douceur à présent, je lui donnais de grands coups de reins, elle appréciait la salope, elle poussait des cris de plus en plus forts, elle se pressait les seins, tirant sur les mamelons, elle remuait son corps dans tous les sens, le lit craquait sous nos mouvements.
- Alors, elle est bonne à baiser ta tantine, tu aimes remplir sa grosse chatte, tu vas jouir mon beau salaud, tu vas gicler en elle, et l’inonder!
- Oui, j’aime te baiser ainsi, j’aime te matraquer avec ma grosse queue, je vais jouir et te remplir de mon jus.
Je donnais encore quelques coups de reins puissants en elle et me vidais dans son ventre, j’éjaculais toute la sauce en même temps qu’elle criait son orgasme.
Je giclais en elle, en force, en quantité, la semence coulait entre ses cuisses, je tombais sur elle épuisé, nous étions en sueur, exténués, nous nous endormîmes ainsi, l’un dans l’autre