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Il s’est en particulier passé quelque chose avec mon beau-frère Claude.
Ma sœur Edwige et Claude, mon beau-frère, sont venus nous rejoindre pour une période de trois jours au Cap au bord de la Méditerranée où le soleil brille et le ciel est bleu. Ils n’ont pas logés avec nous dans notre trop petite location mais cela n’a pas empêché certaines choses entre moi et Claude. Le premier jour où ils étaient avec nous, nous sommes allés à la plage. Je n’avais pas ôté le haut de mon maillot que Marc me fit part à l’oreille que je pouvais faire comme les jours précédents, me mettre seins nus malgré la présence de Claude qui ne devait attendre que cela. Je fis donc glisser le haut de mon maillot dévoilant mes seins déjà halés par les bains de soleil précédents et de suite le regard de Claude s’est porté sur mes mamelles.
Ma sœur s’était mise également seins nus et Marc ne jetait que de brefs regards sur ses seins. Par précaution j’ai commencé à m’enduire de crème solaire surtout sur la poitrine ; les tissus sont fragiles et la peau si vulnérable à cet endroit du corps. Bien sûr Claude a demandé si il pouvait étaler la crème sur mon ventre et mes seins et quand j’ai croisé le regard de Marc, j’ai très bien vu qu’il en était hors de question alors que je n’aurais peut-être pas dit non à Claude. Il se rattrapa sur les seins de ma sœur, de sa femme, en les pelotant fermement en plus de déposer de la crème solaire. Marc en fit autant avec moi et mes tétons se mirent à durcir très fort et à pointer au maximum, ce qui n’échappa pas au regard des deux hommes, de Claude et Marc et je remarquai de mon côté qu’une belle bosse commençait à paraître dans leur maillot. Ce fut la fin des ‘festivités’ pour ce 1er jour.
Le second jour fut un peu plus chaud, déjà sur la plage Claude se tenait face à moi, si près qu’il avait presque mes pieds au niveau de son visage, allongé sur le ventre, Marc allongé à mes côtés. Je me trouvais sur le dos cuisses repliées et écartées et Claude ne pouvait ne pas ignorer la vue des poils noirs de ma chatte qui dépassaient de l’entrejambe de mon maillot. Sachant qu’il avait le regard rivé sur ma fente moulée par le tissu, je tirai sur le côté de mon maillot au niveau de ma chatte comme pour le remettre en place mais en prenant le soin de tirer bien haut dessus et de l’écarter de façon à lui dévoiler largement mes grandes lèvres, voir un peu plus. J’agissais de la sorte tout en croisant furtivement son regard et sa mine réjouie du spectacle que je lui offrais.
Une fois que nous avons quitté la plage, nous sommes montés tous les quatre dans la voiture, Marc conduisait, moi à ses côtés, ma sœur et Claude à l’arrière. Je me trouvais en maillot de bain, j’avais l’intention de prendre une douche dans notre location. Nous attendions Marc dans la voiture, il était allé acheter des cigarettes quand Claude se leva de la banquette arrière et se pencha vers moi pour me demander une cigarette. Je lui dis qu’il fallait que je cherche dans mon sac. Ma sœur se trouvait derrière et donc ne put voir la main de mon beau-frère se glisser sous mon maillot au niveau de mon ventre pour venir caresser mes poils, se glisser sur ma fente jusqu’à sentir un doigt s’introduire dans mon con et le fouiller profondément avec agilité. Je ne sais pourquoi malgré la situation risquée, nous n’étions pas seuls, je me laissai faire, peut-être avais-je au fond de moi envie d’aller plus loin que d’exciter Claude en m’exhibant. Il ne me fit pas jouire, il ne fallait pas faire perdurer le temps car ma sœur aurait pu soupçonner quelque chose et Marc pouvait revenir d’un moment à l’autre. Claude retira son doigt de ma chatte, ‘s’essuyant’ grossièrement au passage dans mes poils et repris sa position initiale sur la banquette.
Au moment du dernier jour, nous sommes retournés à nouveau à la plage, comme les jours précédents. Je ne m’étais pas encore mise seins nus et je fis part à Marc que j’avais une envie pressante ; il compris très bien que j’allais me rendre aux toilettes de la plage et cela n’ échappa point à Claude. Je me dirigeai vers les toilettes tranquillement et alors que j’en ouvrais la porte, je tombai nez à nez avec Claude. Je ne dis aucun mot et il me repoussa gentiment à l’intérieur. Nous étions tous les deux dans ce WC qui n ‘était pas des plus luxueux loin de là. Je me tenais debout face à Claude, le regardant sans mot dire alors qu’il faisait glisser les bretelles de mon maillot le long de mes bras dénudant mes seins d’une part et continuait à faire rouler le tissu sur mon corps jusqu’à ce que ce dernier tombe à mes chevilles. Je ne sais si mon maillot baignait au sol dans l’eau ou dans l’urine. J’étais absorbée par les caresses que me prodiguait Claude ; sur les seins, le ventre, les fesses jusqu’à ce que ses doigts viennent ‘jouer’ avec les poils de ma chatte puis se frayer un chemin entre les grandes lèves de ma chatte et caresser la fente déjà bien mouillée de désir.
J’avais posé ma tête sur son épaule, ses mains allaient partout sur mon corps alors que de mon côté je glissai la mienne dans son maillot pour sentir sous mes doigts une queue bien dure et dressée, je fis comme lui, je baissai son slip de bain qui glissa à ses pieds et je pris en main sa queue toute raide.
Je le branlais doucement tout en caressant de mes doigts la couronne de son gland que j’avais décalotté et comme nous n’étions pas dans un endroit désert je lui demandai à l’oreille s’il voulait juter dans ma chatte ou dans ma bouche. Claude me demanda si j’avalais et devant ma réponse positive, il me fit part qu’il voulait que je boive son foutre et que ma chatte il me la remplirait un autre jour si je voulais encore une fois de lui.
Comme le temps était compté et que Marc pouvait se demander pourquoi j’avais été si longue bien qu’il ne sache pas que Claude m’avait rejointe aux toilettes, Claude me fourra sa queue bandée dans mon con luisant de mouille, me ramonant un bref moment jusqu’à ce qu’il me fasse comprendre qu’il voulait prendre ma bouche. Je me suis accroupie face à lui, cuisses largement écartées, afin qu’il puisse voir ma chatte dégoulinante tandis que j’embouchais sa queue et le suçait profondément serrant mes lèvres sur sa tige et plus encore au moment d’arriver sur son gland. Je le suçais tout en le regardant dans les yeux. Sa queue était plus fine que celle de Marc mais un peu plus longue. Sous ma succion profonde, je sentais que Claude n’allait pas tarder à venir et lorsque je reçus un premier jet de sperme dans ma gorge, d’autres tout aussi abondants et chauds suivirent tandis que je lui caressais les couilles pour qu’il se vide bien à fond. J’avalai tout sans laisser une goutte jusqu’à ce que sa queue commence à mollir dans ma bouche. Il me fit plein de compliments sur la pipe que je lui avais prodiguée alors que je renfilais mon maillot tout humide d’avoir traîné au sol. Le temps ‘m’était compté’, j’avais l’impression que cela faisait longtemps que nous étions dans cette chiotte aux limites de l’hygiène alors que Claude se mettait face à la cuvette et un jet doré et puissant se répandait dans cette dernière. Claude était en train de pisser et je m’approchais pour regarder de plus près ce qui de son côté ne le gênait nullement. Alors que le jet diminuait d’intensité, je pense qu’il avait vidé sa vessie, seuls de petits filets de pisse sortaient à présent de son méat. Sans le prévenir je me penchai vers sa queue gobai le gland. Il fut tout aussi surpris que moi. C’était la première fois que je goûtais à de la pisse d’homme, jusque là, je ne connaissais que le goût de la mienne et même si je n’en ai eu que peu je reconnais que ce n’était pas désagréable du tout, loin de là, je ne sais si tous les hommes ont le même goût ou la même odeur d’urine mais celle de Claude «était bien agréable même si je n’ai pu récolter qu’une gorgée que j’ai avalée avec délice. Claude me demanda bien sûr si j’aimais boire la pisse et je lui répondis que c’était ma toute première fois et ne lui fit pas part que j’avais goûté à la mienne.
Je devais à présent regagner vite fait la plage et Marc et sa question ne se fit pas attendre comme quoi j’avais été quelque peu longue pour aller et revenir des toilettes et comme excuses j’ai prétexté qu’il y avait du monde par rapport au nombre de WC. Heureusement Claude revint bien plus tard que moi et ma sœur ne lui posa aucune question concernant son absence.
J’aurais pu lors de l’apparition de Claude dans les WC ne pas lui céder et me contenter de m’exhiber comme je l’avais fait auparavant mais j’avais à ce moment là envie de sexe et je n’ai pas su ou pas voulu lui dire non. Dans tous les cas depuis leur arrivée et cela durant quelques jours, Marc m’a baisée avec ardeur. Il était d’une excitation peu commune car il me parlait souvent des regards appuyés que Claude portait sur mes seins nus à la plage et me parlait que ce dernier si il avait pu, m’aurait baisée volontiers. J’en rajoutais un peu en lui parlant que Claude aurait pu me baiser la chatte et se faire sucer dans les chiottes de la plage et Marc y pensait en tant que fantasme pour lui et me prenait comme peu souvent sauf que lorsque je lui parlais que je me faisais niquer par un autre homme mais sans lui avouer la vérité ; sinon je pense que l’excitation aurait fait part à une grosse colère de jalousie.

Je ne dois pas regretter cette aventure car je n’ai pas dit non lorsque Claude à commencé à m’entreprendre et c’est quand même moi qui l’ai excité au départ. Et puis ce sont les vacances et peut-être que j’aurais regretté par la suite de ne pas avoir goûté au sexe avec mon beau-frère, bien que si cela n’avait pas été un membre de ma famille je l’aurais fait aussi mais je savais déjà que Claude ne demandait que cela, me baiser.

Laurence.

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