Il y a maintenant six années de passées et mon désir de revoir Yolanda se fait sentir de plus en plus fort pourquoi cela, c’est ce que je vais vous raconter en suivant. J’avais quinze ans et je dois vous avouer que je n’étais pas un garçon déluré, non tout simplement bien dans ma condition de jeune collégien qui se complaisait à bosser ses cours et se divertir sur ma console et me balader dans la nature curieux de la faune et de la flore, et c’est aussi cette année là que mes parents proposèrent à mes tante et oncle de recevoir Yolanda leur fille donc ma cousine chez nous pour les grandes vacances ce que j’ignorais car je n’avais pas été mis dans la confidence et ce fut pour moi une surprise. Yolanda était mon ainée de deux ans, lorsqu’elle débarqua début Juin je fus surpris de voir une jeune fille qui attendait sur le pas de la porte, mes parents n’étant pas encore rentrés des champs, il est vrai que j’ai omis de vous dire que je suis fils de paysans. Oh paysans aisés tout de même, trente vaches laitières, un élevage de canards et d’oies, en culture du maïs, haricots verts et notre potager que seule maman entretient car en campagne se sont les maîtresse de maison qui en ont la charge. Ceci étant dit revenons à la jeune fille sur le perron de la maison.
- Bonjour vous désirez voir mes parents ?
- Oui, mais je suis Yolanda tu ne me reconnais pas ?
- Excuse-moi voilà bien longtemps que nous nous sommes vus et physiquement tu as bien changé. La dernière fois que nous avons été en présence elle devait avoir une dizaine d’année et moi 8. Malgré la différence d’age Yolanda et moi sommes de même taille 1m72.
- Bon nous n’allons pas rester sur le pas de la porte, entrons dis-je en ouvrant les parents ne vont pas tarder à moins qu’ils ne passent chez les grands-parents, pour l’instant nous allons mettre tes valises dans ma chambre et lorsque maman arrivera elle t’installera. Tu veux goutter il y a de quoi faire du chocolat où bien de la citronnade spécialité de maman dans le frigo.
- Merci tu es gentil. Maintenant je dois vous que je ne savais plus quoi dire pour converser. Et c’est à ce moment précis que je vis par la fenêtre le tracteur apparaître au bout du chemin.
- Nous avons de la chance voilà les parents qui arrivent, allons à leur rencontre. Quand il fut stoppé maman en descendit suivit de papa.
- Yolanda je ne t’attendais que semaine prochaine, mais c’est parfait, embrassade familliale et retour à l’intérieur tandis que papa allait remiser le tracteur dans l’ancien batiment où était entreposé le foin et qui désormais abrité les tracteurs, herses, et autres engin servant à travailler la terre. Maman me demanda si je voulais bien aller ramasser les oeufs aux poulailler tandis qu’elle installerait la cousine, et Yolanda se proposa de m’accompagner dès qu’elle aurait changé de tenue.
- Pour l’instant lui dit maman, vas donc te changer dans la salle de bains, je m’occupe de préparer ta chambre. J’attendis Yolanda au salon, au pas trop longtemps car en deux temps trois mouvements elle fit son apparition , elle avait revétu un short et un tee-shirt et chaussé des chaussures plates.
- Je suis prète, nous pouvons y aller. Une fois dans la cour je me dirigeais vers le poulailler flanqué de ma cousine, je ne sais pourquoi mais nous étions côte à côte et aucun de nous ne semblait vouloir prendre la parole, ce n’est qu’une fois arrivé sur le lieux de ramassage que ma cousine me demanda ce qu’il y avait d’interressant à voir ou à faire.
- Oh tu sais ici rien de bien passionnant mis à part la nature et les petits travaux de la ferme.
- Tu dois t’ennuyer, tu n’as pas de copains?
- Non mis à part la Jacqueline de la ferme voisine, personne.
- Elle est mignonne, quel âge a-t-elle?
- Comme moi nous sommes dans la même classe au collège.
- C’est ta petite amie? , vous sortez ensemble?
- Oui il nous arrive de sortir ensemble, mais c’est simplement une copine.
- Tu n’as jamais essayé avec elle?
- Non, elle a des vues sur un fils de paysan du village voisin.
- Oui mis cela n’a rien à y voir, moi je sais que lorsque l’envie se fait sentir et que passe près de moi de quoi me satisfaire je me fais plaisir.
- Ne me dis pas que tu fais cela avec n’importe qui.
- Eh alors j’ai satisfait mon envie et le garçon aussi. Et tout en discutant de ce brulant sujet nous ramassion les oeufs et étions arrivés à la dernière cachette lorsque Yolanda me demanda s’il y avait un coin pour uriner.
- Non mais tu peux faire dans un coin ce ne sont pas les poules qui le diront.
- Bon tu surveilles au cas où. Oui à part moi personne ne vient là. Et tout en lui disant cela elle avait baissé short et petite culotte et s’était accroupie pour se soulager. Lorsqu’elle eut terminé et remis de l’ordre dans sa tenue elle s’approcha de moi et me dit.
- J’espère que tu n’as pas regardé.
- Bien sur que non,
- Menteur, t’es comme les autres du coin de l’oeil mais vous ne voulez pas l’avouer, mais n’est crainte si l’envie se fait sentir je saurais me débrouiller. Et nos oeufs dans le panier nous réintégramment la demeure familliale.
- Yolanda j’ai du me résoudre à te loger dans la chambre de ton cousin, car grand-mère s’est invitée et je l’ai installée à ta place.
- Ce n’est pas grave tatie comme celà je n’aurais pas à supporter ses ronflements, et quand arrive-t-elle grand-mère ?
- Ce soir vous irez la chercher à l’arrêt du bus au village car j’ai encore du travail et le repas à préparer et ton oncle ferdinand ne rentrera que vers les 23hrs car il est parti à la Faucheraie leur prêter main forte . Je vous demanderais donc de dresser les couverts avant de partir moi je m’en retourne pour la traite. Maman partie je me mis à mettre la table et Yolanda alla dans la chambre ranger ses affaires dans le placard, elle avait pratiquement tout remisé sur les étagères et la penderie quand je l’eus rejointe elle s’affairait à regrouper ses sous vètements.
- Alors cousin ma lingerie t’interresse.
- Non je viens seulement te chercher pour aller vers le ruisseau avant de partir pour le village. Et elle toute souriante continua de me narguer en me balançant une de ses petites culottes au visage.
- Bon arrette elle ne vont point te blesser, à peut-être voudrais-tu les voir sur moi coquin. Je ne répondis point et allait vres la fenêtre regarder vers le potager de maman, Yolanda me rejoint et se colla à mon dos, je sentis immédiatement ses deux seins, ils me semblaient durs comme de la pierre, je n’osais bouger de crainte d’avouer mon trouble. Ma cousine semblait ne pas vouloir abandonner.
- Alors cousin tu sens mes nichons contre ton dos et elle se mit à se frotter contre moi, doucement puis me saisissant par les épaules m’obligea à lui faire face nos corps étant toujours collés je sentais cette fois sa poitrine contre la mienne et je ne pouvais lui échapper de ce fait elle aussi ne pouvait ne pas s’appercevoir que je bandais, mon sexe avait me semble t-il doubler de volume et était dur comme le chène.
- Ben mon bonhomme cela se voit que tu n’as pas de petite amie à en juger de la chose que je sens contre ma motte, je crois qu’il était temps que je vienne par ici. Voyons voir cela, allez sors la de sa cachette, fais lui prendre l’air. Comme je ne bougeais pas c’est elle qui se chargea de la chose après s’être agenouillée. Lorsqu’elle extripa mon sexe de mon caleçon, celui-ci était tendu au son maximum il m’arrivait de bander surtout au réveil mais pas de la sorte là ma queue était pratiquement à la verticale. Yolanda les yeux écarquillés me complimenta tout en salivant de désir. Avant que je puisse réagir elle m’avait déjà enfourné, ses lèvres refemées en anneaux autour de ma queue elle se mit à me pomper vigoureusement et avec délectation, oh il ne me fallut pas longtemps pour lui emplir la bouche de mon sperme à peine ais-je eu le temps de sentir la lave monter le long de ma verge, elle faillit s’étouffer, n’arrivant pas à absorber le flot de liquide épais qui se répandait dans sa gorge. Afin de reprendre son souffle elle me lacha et je profitais de cet instant de répis pour me réajuster, après avoir tant bien que mal avaler la décharge qui emplissait sa gorge elle me promit de s’occuper de mon cas plus tard, nous n’avions plus le temps pour celà. Pour nous rendre à la gare je connaissais un petit chemin qui longeait le ruisseau et menait pile sur la gare, chemin faisant Yolanda ne cessa de me harceler de questions toutes portant sur le sexe, je finis par savoir que ses seins commencèrent à pousser lorsqu’elle atteignit ses douze ans, que ses règles firent leurs apparitions à treize et que depuis lors elle se masturbait pratiquement tous les jours, sa première expérience sexuelle à quinze ans et depuis elle s’évertuait au moins une fois par mois à se trouver un garçon pour prendre du plaisir.
- Tu vois rien que de te raconter cela, ma culotte est trempée je vais devoir l’enlever car cela me gène. Regardant autour de nous elle vérifia que nous étions bien seuls et me demanda de surveiller tandis qu’elle se dénudait pour enlever sa lingerie souillée.
- Oh juste à temps pour un peu mon short subissait le même sort.
- Comme tu y vas toi.
- Ben oui tu ne crois pas, approche. Je passais alors de l’autre côté du buisson et elle m’invita à toucher son minou dont une magnifique toinson brune ornait son bas ventre. Je plaquais ma main contre sa motte et je constatais effectivement l’humidité.
- Rien de bien méchant.
- Glisse tes doigts dans la fente. Oui là c’était vraiment liquéfié.
- Bon nous sommes d’accord me dit-elle en s’essuyant avec son vètement qu’elle rangea dans la poche de son short lorsqu’elle l’eut remis. Nous reprimes notre progression vers la gare quand nous entendîmes du bruit sur notre droite, doucement en évitant de faire du bruit nous nous dirigeames vers les buissons, là une spectacle de taille nous figea sur place mais le plus suroris des deux c’était moi, il y avait là sur une couverture un couple la fille était à genoux et son partenaire la besognait à grand coups de reins entrant et sortant de sa fente, elle hurlant de bonheur tandis que lui soufflait comme un bucheron. Sur la pointe des pieds nous quittâmes notre observatoire pour filer vers la gare.
-Tu vois tout le monde se donne du plaisir, pourquoi pas toi ?
- Cela ne me déplairait pas, mais je ne vois personne d’autre comme fille dans le coin hormis la Jacqueline et il se trouve qu’elle n’est pas disponible.
- Que tu dis, la prochaine fois que tu la verras seule à la sortie des cours propose lui de rentrer par ce chemin et tente ton coup, si elle est en manque elle ne refusera pas.
- Oui bon je verrai à tenter ma chance lorsque nous serons seuls à la sortie des cours. Nous arrivions a la gare quand le train fit entendre son sifflement annonçant l’entrée en gare et pour une fois il n’y avait pas grand monde à en descendre seulement notre grand mère et deux autres personnes. Grand-mère était surprise de voir Yolanda à mes côtés.
- Que fais-tu là ma petite fille adorée? je ne m’attendais pas à te voir ici, tes parents ont tout de mème compris que le bon air de la campagne te ferait le plus grand bien. Aller nous allons rentrer car je suis fatiguée de ce voyage ce n’est pas la durée du trajet mais plus le bruit des rails qui m’incommode. Nous primes Yolanda et moi un sac chacun et nous nous mîmes en marche vers la ferme.
- Voyons les enfants c’est bien trop long par là, prenons plutôt le chemin qui longe le ruisseau nous y serons rendu plus rapidement, vous n’avez pas pitié de mes pauvres jambes.
- Grand-mère si nous prenions un taxi, lui dit Yolanda cela te sera moins pénible, le chemin doit ètre en mauvais état et te fatiguera encore plus.
- Oui tu as raison ma chérie. En moins de dix minutes nous avions regagné l’habitation.