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- Ma femme baisée par un chien sur la plage (1) (t) -

Nous étions en vacance sur la côte atlantique. Nous évitions les endroits bondés bien que cela soit les seuls où il était possible de se baigner, car c’était les seuls à être surveillés, et nous marchions suffisamment pour arriver sur des plages semi-désertes où nous pouvions, pas trop loin d’un couple ou d’un voyeur que nous avions sélectionné, nous caresser. Je prenais beaucoup de plaisir à exhiber ma chérie devant des étrangers quand ceux-ci se montraient intéressés. Et il nous arrivait aussi quelques fois d’aller plus loin que l’exhibition, mais c’est une autre histoire que je vous raconterai peut-être une autre fois, si mes histoires vous plaisent.
Un jour où nous n’avions trouvé personne, nous nous étions posés face à la mer, nus au soleil, au pied de la pinède qui arrivait jusque sur la plage de sable blanc. J’étais en

train de caresser la chatte toute coulante de ma petite salope qui, bien installée sur le dos, se laissait faire les yeux fermés. Je surveillais les alentours quand soudain, je vis arriver au loin un homme qui promenait son chien, je décidais de continuer sans rien dire à ma femme. Je surveillais l’inconnu qui s’approchait, son chien, un grand chien noir, style dogue allemand, courait tout autour de lui.
Quand l’homme fut en face de nous, qu’il se rendit compte de nos occupations et s’arrêta pour nous regarder faire. Je le regardais dans les yeux en lui souriant, pour lui faire comprendre qu’il pouvait regarder à loisir.
Voyant qu’il ne nous dérangeait nullement, il s’approcha doucement de nous en sortant sa bite de son maillot de bain, et en se mettant à la caresser, les yeux rivés sur la vulve béante de ma femme.
Vu qu’il ne s’occupait plus trop de son chien, celui-ci s’approcha de nous et, certainement attiré par les effluves de la chatte en chaleur de ma chérie, il approcha sa truffe de son con baveux.
Je me remémorais notre aventure au cinéma en Hollande, et me dis que l’occasion était trop belle de tenter une expérience avec ce chien maintenant, me souvenant de notre excitation commune dans la salle obscure.
Le chien dut trouver l’odeur agréable, car sortant sa longue langue, il vint prélever un peu du nectar qui s’en écoulait abondamment.
Je lui laissais la place en retirant ma main et rassurais ma petite salope en tentant de la convaincre de se laisser faire, si toutefois elle trouvait cela agréable, et bien sûr que c’était agréable, alors pourquoi bouder un plaisir si étrange et si fort, elle se détendit et écarta les jambes au maximum.
Je l’embrassais en la rassurant, lui disant que je l’aimais, que je voulais qu’elle se laisse aller au plaisir, lui rappelant que j’aimais plus que tout la voir jouir, alors pourquoi ne pas essayer, je lui rappelais qu’elle avait bien été excitée en voyant le film en Hollande, qu’il fallait maintenant qu’elle se lâche.
Je fis tourner sa tête dans la direction du propriétaire du molosse, qui s’était approché, avait retiré son maillot, et caressait sa bite qui avait atteint une taille hors du commun, longue et bien grosse, avec un gland encore plus large que la hampe pourtant déjà bien large. Il regardait son veinard de chien lécher cette moule qui coulait d’autant plus qu’il la lapait.
On regardait donc tous les deux cette langue envelopper tout l’entrejambe de ma chérie dans un mouvement ascendant, qui partant de son cul se terminait sur son ventre après bien sur avoir fait son effet d’un plaisir dévastateur sur sa chatte.
Voyant qu’elle ne quittait pas son chibre tendu du regard, il s’agenouilla à côté de ma femme pour qu’elle puisse enfin s’en saisir et se mit à lui caresser ses petits seins tout pointus. Il faisait rouler ses pointes entre ses doigts la faisant gémir encore plus fort.
Elle, voulant l’attirer vers sa bouche, se contorsionnait pour ne pas perdre le bénéfice du plaisir que lui procurait le chien avec sa langue mais voyant que sa position n’était pas idéale pour cela, je lui dis de se mettre à genoux pour s’occuper du bel os à moelle qu’elle avait trouvé, la petite chienne !
L’animal la voyant dans cette position de chienne prête à saillir, vu la taille réduite de mon amour de salope, n’eut qu’à s’avancer pour se retrouver les pattes de devant de part et d’autre de ma femme et avoir ses fesses bien placées pour une saillie en règle.
Ma queue me faisait mal tellement elle était dure tant j’étais excité de voir ma femme transformée en chienne prête à se faire monter par cette bête en rut et en plus devant un inconnu. Je dirigeais la queue pointue de la bête dans le con de ma femme et laissais faire l’animal excité.
Dès qu’il sentit sa queue rentrer dans le ventre de ma femme, il se mit à la pistonner à toute vitesse, et je vis, incrédule, la pine d’abord fine, grossir démesurément dans le con accueillant de ma salope de femme pour devenir un gros gourdin rouge avec une boule énorme à sa base, puis je vis, je le croyais pas, cette boule entrer dans sa chatte dilatée.
Toute à son plaisir, elle s’était arrêtée de sucer la queue du type pour se concentrer sur ce qu’elle sentait : un chien était en train de la baiser et en plus elle aimait sentir cette queue qui lui semblait énorme, qui giclait dans son ventre des flots de foutre bestial chaud.
Elle râlait de plaisir et, en serrant les cuisses, maintenait le molosse prisonnier des contractions de son vagin. Elle sentait cette énormité répandre son foutre comme de la lave liquide dans son ventre à n’en plus finir et la remplir de sperme animal.
Quand enfin il se libéra de son emprise, un flot de jus canin sortit de son con de chienne et elle s’effondra sur sa serviette sans lâcher la bite raide du gars, à laquelle elle était accrochée.
Nous étions deux à n’avoir pas encore joui et à être bandés à mort, excités comme des fous par ce à quoi nous venions d’assister, par cet accouplement superbe de la belle et de la bête.
L’animal, bien qu’aillant joui, vint derrière elle pour nettoyer son propre sperme qui sortait de la fente bien ouverte de mon amour de salope, elle, se cambrant au maximum, s’offrait encore à son amant sous nos yeux ébahis.
C’en était trop, nous branlant au dessus d’elle nous nous sommes répandus sur son dos d’une quantité de sperme qui bien qu’abondante paraissait bien ridicule à côté de ce que lui avait administré le chien.

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