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- Une exhibe dans un cinéma. (t) -

Avec la complicité de Jacques, on décide d’emmener ma femme dans un ciné porno pour l’exhiber à des mateurs.
Mon pote élabore un scénario précis. Comme Chantal ne le connaît pas, il va se placer d’abord dans la salle et je devrais venir nous placer à côté de lui. Pour assurer le coup d’abord et sécuriser ma jeune femme. Je lui exhiberai Chantal et les mateurs dans la salle pourront en profiter.
Chantal est très belle. Elle est très excitée à l’idée de se montrer à des voyeurs dans un ciné porno. Elle a peur c’est certain mais le plaisir prends le dessus sur la prudence.
On décide d’y aller un après midi. Jacques me conseille un ciné sur les Champs. Il nous y attendra.
C’est l’été, je demande à Chantal de passer une jupe en coton légère et courte, un chemisier ample et long, assez ouvert sur le devant sans soutien gorge et fermé à la taille par une large ceinture de cuir maintenue très lâche. Elle garde les jambes nues avec

juste une petite culotte de coton blanche. J’imagine déjà la tache claire que le tissu fera dans la faible lumière du cinéma. Un large collier enjolive son décolleté. Elle est vraiment appétissante. Elle a remonté les manches de son chemisier jusqu’aux coudes. Elle endosse un imperméable qu’elle laisse ouvert pour montrer ses jambes en marchant.
On gare l’auto dans un parking non loin du cinéma.
En marchant sur le trottoir des Champs, elle attire les regards des hommes et des femmes. Il fait un beau soleil.
Quand on entre dans le cinéma, l’obscurité est complète. Le contraste avec la lumière du dehors est trop fort et nous aveugle. La salle est totalement dans le noir et il nous faut quelques minutes pour commencer à voir que la salle est bien remplie. Pratiquement que des hommes.
Je prends Chantal par la taille et l’attire à moi pour la rassurer. Je la sens tendue, les sens en alerte. Elle écoute, essaye de voir. Moi aussi je ne suis pas rassuré, surtout que je ne vois pas mon complice qui devait se tenir vers l’arrière de la salle. Il y a trop de monde, bien plus qu’on se l’était imaginé. La sécurité serait de rester dans le fond de la salle pour être tranquille sans être tout de suite repérés. J’hésite mais je suis trop excité d’avoir réussi à entraîner Chantal dans ce milieu en sachant qu’elle était décidée à se montrer.
On reste quelques instants debout dans couloir. On est vite repérés, des têtes se tournent vers nous et nous scrutent. Je sens que la respiration de Chantal s’est accélérée légèrement. Je la regarde, elle me sourit. Elle est déjà excitée de l’effet qu‘elle fait dans la salle. Je cherche Jacques et finis par le voir dans les premiers rangs. Quelques rangées derrière lui il y a des places de libres. Je me décide et tenant ma femme par la taille, je m’avance dans l’allée qui descend vers l’écran.
A chaque fauteuil, les têtes se tournent vers nous, vers Chantal plus précisément. Les mecs ici savent que c’est un ciné d’exhibe. Cette belle nana avec un mec qui l’accompagne, c’est sûrement un bon coup !
J’entraîne Chantal vers le milieu de la salle, vers une zone où il y a des places de libres. On s’assoit presque au début de la rangée. Je laisse volontairement des places de chaque côté de nous. Elle est à ma droite. Tout de suite deux mecs se glissent devant et derrière nous. Un autre se place immédiatement à la droite de Chantal. Il fixe la jeune femme avec insolence, sans retenue mais reste quand même très discret et respectueux. Chantal un peu effrayée, se colle à moi. Je repère Jacques trois rangées devant nous. Il semble furieux car il est isolé et ne voit rien. Chantal ne sait pas qu’il est dans la salle. Elle ne le connaît pas. Bien vite les rangs devant et derrière nous se remplissent. Des ombres déambulent dans l’allée dont on est séparés que par deux fauteuils. Chantal se penche vers moi et me murmure qu’elle a peur. Je la prends dans mes bras par les épaules pour la protéger. Elle est rassurée. Les mateurs tout autour matent avec insistance. Ils sont à l’affût. Celui qui est à sa droite, un veinard, ne regarde plus le film ; il fixe tour à tour les jambes, le visage de sa voisine. Devant ils se retournent sans cesse de peur de rater une image, le regard en coin pour faire semblant sans en avoir l’air. Derrière ils se penchent souvent vers nous. Il va se passer quelque chose qu’il ne faut pas rater.
Chantal reste blottie contre moi, tournée vers moi, je la tiens dans bras. Elle offre son dos à son voisin.
Devant, je vois Jacques qui tente de se rapprocher. En vain, les meilleures places sont déjà prises.
Je suis déjà tout excité simplement de voir tous ces mecs s’intéresser à la femme qui est dans mes bras et je me sens pris d’une violente érection : excitation mêlée à la peur. Tous ces mecs attendent de voir le cul de la femme : ils sont en planque !
Je lui parle doucement pour la rassurer. Je lui demande de s’adosser au fauteuil, de se redresser et de se maintenir droite. Elle refuse d’abord car elle n’est pas rassurée surtout que dès qu’elle bouge un peu tous les regards convergent vers elle ; il faut que je la rassure à nouveau pour qu’elle se laisse faire. Elle allonge ses jambes, se laisse aller, les bras sur les accoudoirs. Personne ne bouge. Celui qui est juste devant se retourne et lui sourit. Elle prend à nouveau peur et se recroqueville contre moi. Cela va être dur ! Je lui parle doucement pour lui rappeler que tous ces mecs sont des voyeurs et qu’ils ont tout intérêt que cela se passe bien. Elle se rassure. Je la sens qui respire de plus en plus vite. Elle est visiblement excitée par cette situation. Elle regarde plusieurs fois autour d’elle tous ces regards qui la désirent et la déshabillent. Je la surprends qui se frotte les jambes comme pour se calmer ou se branler. De ma main libre, je défais les boutons de son imperméable et dénoue la ceinture à la taille. J’ouvre le vêtement. Elle reste blottie contre moi, ne montrant rien. Autour, on s’agite, on se retourne, on se penche, dans l’allée, on s’approche. Chantal est toute tremblante mais se laisse faire. Elle halète de plus en plus fort, excitée, toujours blottie contre moi. Je glisse une main dans son chemisier et lui caresse les seins. Ses bouts répondent immédiatement à la caresse. Je défais les boutons jusqu’à la taille. Elle se colle encore plus à moi les mateurs ne voient encore rien. Mais ils attendent, ils vont voir.
Je lui prend la bouche et on échange un baiser excitée, elle me donne sa langue je cherche à l’exciter au maximum pour réduire ses réserves et sa peur. Et cela marche.
D’un coup d’œil autour de nous, je repère les gars de devant tournés vers nous et je sens la respiration de ceux qui sont derrière, penchés tout près de nous.
Tout en l’embrassant, j’ai posé ma main sur ses cuisses que l’imperméable qui s’est ouvert ne couvre plus. Je la force à se séparer un peu de moi pour la montrer et lentement je remonte sa la jupe sur ses cuisses. Chantal a peur et elle me prend la main pour m’arrêter. Je la rassure à nouveau. Elle se laisse faire, abandonne et je lui découvre ses cuisses qui sont nues. Arrivé à la culotte blanche, je continue. Elle tremble de peur et d’excitation mêlées. Soudain, je la sens qui remue le bassin comme pour m’aider à dégager ses fesses sur le fauteuil. Elle est partie dans le jeu ! Sa jupe est maintenant remontée jusqu’à la taille et laisse voir sa culotte, tâche blanche à la lumière blafarde de la salle et de l’écran. Elle a toujours sa tête et son visage blottis contre mon épaule. Je vois son voisin de droite qui se branle, la bite à l’air. Je le vois soudain qui avance une main pour la poser sur la cuisse près de lui. Chantal se crispe et d’un signe de tête je fais comprendre à l’intrus d’arrêter. Il retire immédiatement sa main en s’excusant. Elle ne veut pas qu’on la touche.
Chantal halète, toute à son exhibe, les yeux fermés, elle se laisse regarder, mater.
Par moments, elle ouvre les yeux pour regarder les voyeurs. Ils forment un groupe autour de nous. Impressionnant !
Je lui demande un baiser, cela la fait s’écarter légèrement de moi tant elle était encore collée à moi de peur. Doucement, je passe une main sous le chemisier et tout en lui caressant les seins, j’écarte le tissu pour ouvrir le vêtement blanc. Elle me laisse faire, poursuivant son baiser. Sa poitrine apparaît lentement à la lumière sautillante de l’écran. Lentement je l’écarte de moi. Elle s’adosse au dossier du fauteuil. Elle se laisse toujours faire, de plus en plus excitée. Elle respire de plus en plus fort. Ainsi exposée, j’écarte toujours avec douceur complètement le chemisier. Elle est nue jusqu’à la ceinture. Ses seins blancs ont leur pointe toute dressée d’excitation. Je m’écarte pour la laisser mieux voir aux mateurs qui sont de plus en plus nombreux. Les seins nus, simplement habillés du collier coloré qu’elle porte s’offrent à la convoitise des hommes dans la salle. Elle garde les yeux fermés cette fois mais ne fait rien pour se cacher. Son voisin de droite se branle de plus belle sans gêne à quelques centimètres de sa cuisse. Chantal le voit, fixe le gland qui s’agite près d’elle. Elle halète.
Soudain, le gars juste derrière elle, passe une main et s’empare d’un sein. Comme j’allais lui demander de retirer sa main, je m’aperçois que Chantal ne dit rien et même elle répond en se tortillant sur son siège devant la caresse. Elle n’a plus peur. Je laisse faire. Je regarde son voisin de droite. Encouragé par la passivité de Chantal qui se laisse peloter les seins, il passe sa main entre les cuisses près de lui. La jeune femme au lieu de refuser l’intrus, ouvre ses jambes, le laissant s’emparer de son sexe. Le gars glisse rapidement sa main dans le slip, écartant le fin tissu de la culotte. Les poils du pubis apparaissent à la lumière et sans attendre les doigts pénètrent le sexe luisant de sécrétion. Il entreprends un va te vient rapide, branlant le petit bouton à l’entrée de sa caverne. Chantal a sa tête basculée en arrière offrant à tous, le spectacle de son corps nus caressé par des mains venues de l’ombre. Elle pousse des petits cris qui ressemblent plus à des gémissements étouffés pour ne pas alerter l’entourage. Son voisin la branle de plus en plus vite alors que par derrière une autre main est venue s’emparer de l’autre sein. Le type de devant, lui se penche vers elle et attrapant le slip il tire dessus pour le baisser et mettre Chantal encore plus nue ; elle soulève son bassin et ses fesses pour faciliter la manœuvre. Et elle se retrouve avec sa culotte baissée à mi cuisse. Elle est maintenant nue, poitrine et ventre. L’attroupement devient de plus en plus dense. Cela me fait peur. Rapidement, je lui demande de se rhabiller car autour, c’est bientôt l’émeute et on bouge au fond de la salle. Elle se rajuste, les types autour se rajustent. On se lève et tous s’écartent pour nous laisser sortir de la salle. Quel pied !
Dehors il fait soleil, Jacques nous rejoint. Il n’a rien vu mais il a entendu les commentaires ; les types ont été bluffés par la beauté et la soumission de la femme. Elle est heureuse et s’amuse. Elle nous avoue qu’elle a perdu toute notion de danger tant elle a été excitée par la situation ; on décide d’aller boire un verre.
Au café on s’installe dans une salle au fond. Jacques repère vite un type qui ne fait que mater Chantal. Il est à une table juste en face d’elle. Elle est assise contre le mur sur une banquette. On devine très vite, à son insistance à nous regarder, qu’il devait être au ciné et qu’il nous a suivis. C’est un type bien propre sur lui, la quarantaine, assez bien. Chantal alertée croise et décroise ses jambes. Elle allume, joue à le regarder en une sorte de défit. Il y a du monde dans cette salle du café, et on reste discrets et cachés. Chantal se déplace légèrement pour s’extraite de la vue des autres consommateurs. Espiègle, elle remonte sa jupe et lui montre sa culotte blanche. Elle ouvre même son chemisier pour lui montrer ses seins pendant quelques secondes. Elle est vraiment gonflée !
On décide de rentrer. On regagne le parking où est garée l’auto. On invite l’inconnu à nous suivre. Chantal est d’accord. Au niveau de la voiture, Jacques qui a pris les initiatives lui enlève son imperméable et lui ouvre largement le chemisier. L’inconnu s’approche et mate ; il sort très vite sa bite de son pantalon et se met à se branler. Pendant ce temps Jacques pelote Chantal ; il lui baisse sa culotte à mi-cuisse ; pour bien la montrer au branleur, il la couche contre le capot de l’auto, nue, ventre et poitrine ; il se met à lui branler la chatte sous les yeux du voyeur. Puis il l’a prend par derrière et, debout, il se met à la baiser. Ma femme adorée se laisse faire, elle se laisse baiser dans un parking sous les yeux d’un inconnu. Moi, je prends des photos !
Lentement, maintenant, il la pousse vers la bite du branleur et lui demande de le sucer. Chantal, pliée en deux, baisée en levrette, prend la bite dans la bouche et se met à la sucer. Très vite le mec montre des signes de jouissance. Chantal le branle et il éjacule devant lui en longues giclées de sperme. Repus, il se rajuste et Jacques se retire du ventre de Chantal. Elle se rajuste à son tour, en souriant, elle nous montre que cela lui a bien plu. L’inconnu nous remercie et s’éloigne encore incrédule de ce qui vient de lui arriver.
On entre dans l’auto, Jacques demande à Chantal de passer derrière avec lui et là, il lui propose de le sucer, ce qu’elle fait sans attendre. Tandis qu’elle s’applique à lécher et sucer son gland, il lui pelote les seins et les fesses. Très vite à son tour, il montre des signes de plaisir et en râlant, il se déverse dans la bouche qui le suce. Chantal maintient son emprise sur le sexe, recueillant chaque goutte de la semence qu’elle avale jusqu’à la dernière goutte. Je prends toujours des photos.
Ravis tous les trois, on se sépare quelques minutes plus tard et on rentre heureux chez nous.
Si elle vous a plu je vous la montre.

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