Je ne sais pas comment s’est passée la nuit chez vous, mais chez moi j’ai eu le droit à des rafales de vent terribles qui ont secoué mes volets roulants : Je n’arrivais pas à m’endormir. Alors au lieu de rester bêtement à ne rien faire et à m’énerver pour rien, j’ai pris les devants en trouvant une occupation très … relaxante : me masturber.
Pour cela, j’ai eu la bonne idée de jouer avec mes boules de Geisha que je garde toujours à porter de bras. Et comme prévu, après avoir passé un moment particulièrement agréable, je me suis endormie comme un bébé malgré tout le bruit.
Ce matin en me réveillant, quelle agréable sensation en constatant que j’avais toujours mes boules en moi. Du coup, j’ai décidé de les garder juste le temps d’aérer ma chambre, mais comme j’ai très rapidement ressenti leur effet stimulant, j’ai continué de les porter à la fois pendant mon petit-déjeuner et en allant sous la douche.
Malgré le manque de sommeil manifeste, je me sentais super bien et mon côté salope était bien réveillé, lui ! Du coup, j’ai décidé de porter une minijupe noire sans culotte mais avec des bas et des talons hauts.
Au fait, avec ou sans mes boules ?
Me suis-je demandée une fois habillée alors que je les tenais dans mes mains…
La réponse était si évidente :
Avec, bien sur !
Et comme je me sentais particulièrement sexe ce matin, j’en ai profité également pour porter mon rosebud. Une fois tous mes trous remplis, il était temps d’aller prendre le train pour partir travailler.
Quelle douce sensation dès les premiers pas…
Une fois dans la rue, je me suis mise à marcher façon mannequin jusqu’à la gare pour bien ressentir mes boules en moi. Les gens me regardaient à cause de ma démarche si particulière … Ah ! S’ils avaient su la raison.
En arrivant dans la gare, il fallait descendre les marches pour aller sur le quai … je n’ai jamais ressenti autant de plaisir à descendre des marches 
Une fois sur le quai, je me suis rendue compte que tous les bancs étaient occupés. Je devais donc rester debout. Ce n’était finalement pas plus mal car j’ai joué avec la gravité. Je laissais descendre les boules et j’attendais de sentir la première sur le point de sortir complètement pour contracter mon vagin et les faire remonter au plus profond de mon intimité … plus amusant à faire que plaisant … et encore.
Un petit gris est arrivé. Je suis montée à bord en cherchant où j’allais m’asseoir. Sur ma droite, j’ai vu une jeune femme que je vois souvent le matin : brune, très joliment maquillé, des yeux clairs, assez classe. Je suis allée m’asseoir en face d’elle … un bon prétexte pour la contempler (elle s’est malheureusement endormie pendant le trajet). Pendant que je m’installais, un jeune homme est venu se mettre à côté de la miss. Il était très beau, visiblement musclé mais timide car il fuyait systématiquement mon regard dès que je le regardais.
Honnêtement, je ne savais pas lequel des deux regarder, alors je passais de l’un à l’autre sans arrêt. Légèrement avachie sur le siège, les jambes décroisées pour mieux ressentir certaines sensations, je jouais avec mes boules. Aussi discrètement que possible, j’écartais les cuisses pour laisser glisser tout doucement les geisha, et lorsque je sentais ma fente grande ouverte, je contractais mes muscles pour les sentir remonter dans mon vagin. C’était d’autant plus difficile que je mouillais abondamment et que je sentais les boules glisser très facilement en moi, j’étais toujours à la limite de les faire sortir … c’est ça qui était super excitant
Je sentais le plaisir en moi, ma respiration s’était accélérée et je devais faire très attention pour ne pas trop le montrer … c’était loin d’être facile, je vous l’assure … et malgré tous mes efforts, j’ai fini par avoir un tout petit orgasme qui m’a obligé à me pincer fortement les lèvres pour ne pas gémir dans le RER ! Cela ne m’a pas empêché de continuer de jouer avec mes boules de Geisha jusqu’au terminus.
Ensuite, une fois sur Paris, je suis tombée nez à nez avec une femme de 30-40 ans qui portait un jean super moulant qui lui faisait des fesses bien rondes comme je les aime je l’ai suivi un bon moment (visiblement elle travaille à coté de mon bureau). Elle marchait un peu vite, et avec mes geishas j’avais un peu de mal à la suivre
Une fois arrivée au bureau, j’ai ressenti le besoin de les enlever. J’aurai dû aller aux toilettes pour cela, mais j’ai tenté un dernier petit délire : Assise sur ma chaise, je me suis détendue afin de les faire sortir très lentement, et lorsque mon collègue est venu me chercher pour aller prendre le café, il ne me restait plus qu’à aller les chercher sous ma jupe afin de les ranger discrètement dans mon sac … ni vu ni connu
Au cours de la matinée, je n’ai pas pu m’empêcher d’envoyer un mail à une collègue de travail, que je connais assez intimement, pour convenir d’un rendez vous avec elle afin de lui raconter tout ce que j’ai fait depuis le matin. Friande de mes petites aventures, elle m’a invité au restaurant le midi même.
A l’heure du déjeuné, elle était si impatiente de tout savoir, qu’elle m’a passé un coup de fil pour que je la rejoigne immédiatement en bas de l’immeuble. La connaissant un peu, je la sentais déjà bien excitée par ce que je m’apprêtais à lui raconter …
Nous sommes allées dans un resto où elle a l’habitude d’aller. Une fois dans l’établissement, elle a interpellée le patron pour qu’il nous place à une table dans un coin, histoire de ne pas être dérangées. Une fois assise, je n’ai pas eu d’autre choix que de commencer à lui raconter tout ce que j’avais fait depuis cette nuit. Elle était captivée, elle n’hésitait pas à me demander des détails … je revivais tout dans les moindre détails, du coup j’étais de nouveau toute excitée.
Parfois, emportée par mon enthousiasme je me mettais à parler un peu fort. Heureusement ma copine me demandait de me calmer
Mon récit s’est terminé au moment ou nous commencions notre dessert. Ma collègue s’est alors mise à me regarder avec des yeux de biches mais sans rien me dire … et comme je ne savais pas trop quoi faire, je me suis tue aussi.
Alors que je guettais une réaction ou un mot venant d’elle, j’ai senti son pied se poser sur ma cheville. Elle me souriait, je lui ai rendu son sourire. Elle me l’a caressé avant de commencer à remonter son pied le long de mes mollets, puis de mes cuisses. J’avais déjà écarté mes jambes en grand et j’attendais qu’elle remonte jusqu’à mon entrejambe. Son gros orteil est venu se frotter contre ma fente juteuse à souhait. Délicatement elle a commencé à se frotter sur mon clito – quelle adresse avec ses pieds, je n’en revenais pas !
Ensuite son gros orteil, est revenu se présenter devant mon orifice pour le caresser une fois ou deux avant de me le pénétrer. C’était trop pour moi, je n’arrivais plus à retenir mes boules que j’avais remises pour l’occasion car je voulais lui en faire la surprise d’une manière ou d’une autre car je sais qu’elle adore ça, un peu comme moi qui fantasme sur son piercing sur la langue
Du coup, tel un ressort je présume, la première boule est venue en contact avec son pied. Il fallait voir sa tête quand elle a compris ce que c’était
Le serveur est venu à ce moment nous apporter nos cafés et l’addition.
La salope, elle s’amusait avec mes boules en les faisant entrer/sortir selon sa volonté. C’était devenue vraiment très bon, trop bon même … vous connaissez certainement la scène du restaurant dans le film « Quand harry rencontre sally » dans laquelle Meg Ryan simule un orgasme ? Et bien là, je ne simulais rien du tout par contre je serrai de toutes mes forces poings pour ne pas manifester bruyamment mon plaisir.
Ma salope de collègue, a appelé le serveur pour régler la note tout en continuant à me pénétrer avec son gros orteil ! Je n’en pouvais plus. Je baissais la tête en me cachant le visage avec mes cheveux afin que le serveur ne puisse pas me voir en plein orgasme … il devait bien se demander ce qui m’arrivait
- Elle a un fou rire, lui a-t-elle sorti.
- Ah bon ! lui répondit-il pas vraiment convaincu.
Et il est parti
- Viens avec moi aux toilettes.
- Laisses moi deux minutes
- Pas le temps
Elle s’est levée pour m’entraîner par le bras – j’avais encore les jambes toutes tremblantes, mais j’y suis allée quand même.
Dans le coin pour dames, nous nous sommes engouffrées dans la première toilette libre. Après nous y être enfermées, elle s’est tournée vers moi pour relever ma jupe sur mes hanches sans même me demander mon avis
Vas y montre moi.
J’ai posé une jambe sur la cuvette des WC, et sans attendre, elle s’est emparée de la ficelle qui sortait de mon vagin et tout doucement elle a tirée dessus. Une première boule est sortie. Elle m’a caressé la chatte. Puis elle a sorti la seconde. Elle a ensuite portée à sa bouche les boules de geisha qu’elle venait de m’extraire du vagin.
Tu sais, j’adore ta mouille – et elle s’est mise à les lécher
Je la regardais faire, j’étais encore toute excitée.
Après quelques minutes, mes boules étaient toutes propres. Ma collègue me les a rendu et s’est agenouillée devant moi. J’ai vu sa petite langue percée sortir de sa bouche pour venir me bouffer la chatte comme une affamée pendant qu’elle me pelotait les fesses !
Je n’avais plus envie de résister, et je me suis complètement abandonnée à elle en soupirant de plaisirs plus ou moins bruyamment. Je suis arrivée très rapidement à un point ou j’avais toutes les peines du monde pour tenir sur mes jambes.
A force de me tripoter, elle a fini par se rendre compte que je portais aussi mon rosebud, alors même s’il s’agit plus d’un bijou que d’un plug, elle s’est amusée avec, ce qui n’était pas fait pour me déplaire.
Au final, j’ai eu un nouvel orgasme d’une forte intensité mais qui s’est dissipé quasi immédiatement ! Ce qui m’a un peu décontenancé vu mon état d’excitation.
Bref, en rentrant au bureau, j’ai enlevé définitivement mes boules de geisha. L’après midi a été très dur … on se demande bien pourquoi