Mes chers voisins qui sont partis en vacances – mais pas en lune de miel – m’ont confié les clefs de leur appartement pour la semaine afin que j’aille m’occuper de leurs animaux et de leurs plantes. Donc dimanche soir je me suis collée à cette fastidieuse tâche car il avait fait chaud dans la journée et j’avais un peu peur pour les fleurs de Sophie.
Je suis d’abord descendue pour relever le courrier du samedi, puis j’ai arrosé tous les pots
intérieurs, et il y en a ! Ensuite j’ai nettoyé la cage de leurs bestiaux – ça pue ! Et enfin, je suis allée sur la terrasse m’occuper des nombreuses jardinières. Heureusement qu’ils ont un tuyau d’arrosage pour m’aider.
Le problème est que le tuyau est percé à de nombreux endroits. J’ai bien essayé d’arroser malgré tout, mais je me suis retrouvée avec un arrosage qui était à peine plus efficace qu’un goutte à goutte ! Pour mon grand malheur, je me suis donc retrouvée obligée d’utiliser leur arrosoir. Au bout de trois ou quatre remplissages je commençais à en avoir plein les pattes, et je ne vous dis pas quand j’en suis arrivée à mon dixième…
Par chance, j’avais à la maison un homme fort et prêt à tout pour me rendre service. J’ai donc appelé mon amant au secours. Quelle idiote ! J’aurai du y penser avant, car avec lui les choses n’ont pas traîné. La prochaine fois je l’enverrai directement. En attendant, je l’ai regardé faire assise dans la balancelle de mes voisins et c’était très reposant 
Quant il a eu fini, je lui demandé de venir s’asseoir deux minutes à coté de moi pour souffler. Je me suis poussée pour lui faire un peu de place. Il est venu et il m’a passé sa main dans le dos pour se coller tout contre moi.
Je serai bien restée comme ça des heures dans la balancelle avec lui, mais j’ai vite compris qu’il avait une idée derrière la tête.
Petit à petit ses doigts ont commencé à se diriger vers la jupe que je portais. Ensuite avec deux doigts seulement, il a commencé à la remonter. Je le regardais avec un petit sourire amusé. Il a continué jusqu’à ce que ma petite culotte soit apparente. Il y a ensuite glissé sa main pour me caresser. Evidemment je me laissais faire. J’ai juste regardé si les voisins d’en face nous regardais, j’aurai bien aimé que ce soit le cas.
Délicatement il s’est occupé de mon clito, qui est vite devenu très sensible. Et puis pour me faire plaisir, il a fini par me doigter. C’était très bon.
Une petite gâterie, ça te dit ?
En guise de réponse, il a commencé à déboutonner son pantalon. Sa belle verge s’est dressée devant moi. Je l’ai prise dans une main pour la branler le temps qu’elle devienne bien dure, ce qui n’a pas prit bien longtemps.
Je me suis alors couchée sur le côté pour le sucer pendant qu’il continuait de me doigter. Je sentais comme un petit courant d’air frais qui chatouillait ma petite chatte, mais c’était très agréable. Par contre la position s’est vite révélée inconfortable, alors j’en ai adopté une plus classique en m’agenouillant entre ses jambes qu’il avait gentiment écarté pour me laisser un peu de place. Comme j’adore lui pomper le dard, je faisais tout pour lui donner un maximum de plaisir. En plus, comme ces derniers temps il est particulièrement endurant, je ne le ménageais pas vraiment.
- Tu peux venir sur moi maintenant ?
- Bien sur.
Je me suis d’abord entièrement déshabillée, il commençait à faire un peu froid à mon goût, mais je savais que j’allais me réchauffer rapidement. Une fois nue, je me suis assise sur sa grosse bite en me mettant face à lui. Je mouillais tellement, que son sexe est entré dans mon vagin comme dans du beurre. Par contre comme la balancelle bougeait pas mal à chacun de mes mouvements, je me suis agrippée à la barre supérieure. Tout de suite les choses étaient plus simples pour moi : je me suis déchaînée avec des mouvement de bas en haut, mais aussi d’avant en arrière et circulaires. Mon beau black semblait particulièrement excité par toute l’énergie que je déployais pour lui faire plaisir.
- Tournes toi stp !
- Bien sur
Et je me suis tournée pour lui offrir mon dos et mes fesses qu’il s’est mis immédiatement à caresser pendant que, toujours agrippée à la barre supérieure de la balancelle, je me déchaînais sur sa belle bite qui commençait à me donner pas mal de plaisir.
Ca faisait longtemps que je n’avais pas baisé dehors. Nous étions sur la terrasse de mes voisins, à la vue de tout le monde. Je n’étais pas particulièrement discrète car mon côté exhibitionniste espérait que nos ébats soient suivis par un large public
J’ai fini par fatiguer un peu, et mon amant s’en est rendu compte aussi. Il m’a proposé de me coucher sur la balancelle pour mieux me prendre par derrière. Complètement essoufflée, je me suis allongée sur les coussins de la balancelle en relevant mon petit derrière pour être plus facilement prise en levrette.
Il m’a bourré, et c’est bien le terme approprié, pendant un sacré moment, avant de me retourner comme une crêpe et d’en remettre une couche. Ce n’était pas si reposant que ça, mais par contre qu’es ce que c’était bien.
- Je ne vais pas tenir encore très longtemps !
- Ce n’est pas grave … Tu veux m’enculer pour finir ?
-
Je me suis mise à quatre pattes sur les coussins pendant que mon copain se mettait à genoux derrière moi, et il m’a sodomisé tout en douceur. Il a commencé lentement, puis il a accéléré les va-et-vient
Allez ! Vas-y ! Défonces moi ! …
J’étais entrain d’avoir un orgasme, et je voulais qu’il jouisse en même temps – je trouve ça encore plus intense. Je ne l’ai » malheureusement » pas excité assez fort et il a jouit seulement au moment ou mon plaisir commençait à retomber – Pas grave, il a quand même éjaculé sur moi dans la foulée.
Par contre quand j’ai senti le sperme qui dégoulinait sur mon dos, je me suis un peu énervée car on aurait pu en mettre partout. Du coup, je l’ai obligé à me lécher pour enlever toute la semence dont il m’avait aspergé – vengeance très agréable au demeurant – avant de rentrer à la maison.
J’espère qu’il y avait de nombreux témoins de notre exhibition sur la balancelle de nos voisins