J’étais un peu énervée sur le quai du RER vendredi soir car je venais de rater mon train à cause d’un affichage défectueux qui disait qu’il était à l’approche alors que je le voyais s’éloigner!
Je fulminais donc en faisant les cent pas jusqu’à ce que je vois, arrivant au loin, une fille habillée un peu provoc’ et son mec. Bien qu’il me semblait ne pas les connaître, la fille me faisait des coucous de la main.
Ce genre de fille un peu vulgaire m’a toujours plu : elle portait un mini-short noir tenu par des bretelles, un haut blanc assez moulant et suffisamment court pour montrer son nombril, et des chaussures à talons très hauts qui l’obligeaient à dandiner pas mal du cul pour marcher. Sinon physiquement, elle était plutôt fine avec de longues jambes musclées, blonde avec quelques mèches et ses cheveux lui tombaient sur les épaules.
Le mec, par contre, était plus « classique » avec ses grosses lunettes de soleil, un tee-shirt coloré et un bermuda en jean. Pas très grand mais bronzé contrairement à sa copine.
C’est pas possible … Ce ne sont pas eux tout de même ! … Mais si
Ils se dirigeaient bien vers moi. Tous les mecs se retournaient vers eux, ou devrais-je dire, sur elle – il faut dire qu’elle faisait presque pute habillée comme ça. En fait, c’est lui que j’ai reconnu lorsqu’il a relevé ses lunettes de soleil … c’était Christophe mon voisin et elle, sa femme forcement, Sophie ! Je n’en revenais pas, elle qui est habillée plutôt classe d’habitude… Elle a bien changé depuis qu’elle s’est mariée!
Maintenant qu’ils étaient à moins de deux mètres de moi, il n’y avait pas de doute : c’était bien eux. Il faut dire qu’avec le maquillage qu’elle avait sur sa jolie frimousse et notamment autour des yeux, sa nouvelle coupe de cheveux, le piercing au nez que je découvrais pour la première fois, et cette tenue digne d’une pute de Pigalle … il y avait de quoi ne pas la reconnaître.
Christophe m’a fait la bise le premier, c’est à peine si j’ai pu lui dire bonjour tellement j’étais abasourdie de voir Sophie se balader habillée en prostituée. Ensuite, elle est venue me dire bonjour en me faisant un petit bisou sur la bouche ! Le contact de ses lèvres sur les miennes m’a ramené à la réalité.
Nous avons commencé a échangé des banalités, mais je n’osais pas lui demander pourquoi elle s’était habillée ainsi ! Les regards des gens sur le quai se posaient sur nous. Les mecs bavaient et les femmes la détestaient. Voir la réaction des autres voyageurs a commencé à m’exciter pas mal, même si l’idée d’être associée à une pute me gênait quand même un peu!
Comme d’habitude le RER est arrivé avec cinq bonnes minutes de retard. Nous nous sommes dirigés vers les portes. J’étais la première à pouvoir entrer, et je suis vite partie réserver trois places. Une fois assise, je me suis rendue compte que mes voisins étaient loin derrière moi. Cela m’a permis de constater, une fois encore, le pouvoir d’attraction du beau petit cul de Sophie sur les regards masculins
Elle s’est assise face à moi, et lui à sa droite. Elle a croisé ses jambes et posé la main sur la cuisse ce son mari. Le train est parti. Nous avons reprit notre discussion.
…
Elle : Tu n’as pas chaud
Moi : Un peu
Elle a alors commencé à attraper délicatement son haut avec deux doigts pour s’aérer … elle faisait ça si sensuellement avec la tête légèrement en arrière et en gémissant pour signifier qu’elle avait chaud
Moi : Tu es en chaleur ma belle ?
Elle : c’a se pourrait
C’est alors qu’elle a commencé à me frôler la jambe avec la sienne. Je me suis alors mise à la regarder pour lui dire d’arrêter, mais visiblement elle en avait décidé autrement car elle s’est mise à caresser la cuisse de son mari de façon plus soutenu tout en continuant d’effleurer mes mollets.
Plus le temps passait, et plus cette coquine remontait vers mes cuisses. Je savais qu’il n’y avait pas grand-chose à faire pour la calmer, et puis moi ça me plaisait alors je me suis laissée faire. De plus Christophe nous regardait et avait prit la main de sa femme pour la poser très haut sur sa cuisse.
J’ai fini par prendre l’initiative en relevant volontairement ma robe sur mes cuisses. Elle a apprécié le geste en faisant un petit mouvement de la tête et en me faisant un sourire complice. Elle a retiré ses chaussures, et pour la première fois, elle a remonté sa jambe jusqu’à mon genou avant de la tendre sous ma robe.
Quelle salope ! Elle me faisait déjà mouiller abondamment !
Au début, je sentais qu’elle tâtonnait pour trouver son chemin, mais rapidement j’ai senti ses orteils commencer à toucher tout doucement ma petite chatte.
C’était amusant, car pendant que nous fleuretions gentiment, les gens autour de nous jetaient des regards curieux et maintenant que ça devenait assez torride, les voyageurs se tournaient vers l’extérieur ou bien sur leur téléphone portable. Il n’y avait plus que mon voisin qui nous regardait
Je sentais le gros orteil de Sophie glisser le long de ma belle fente. Par moment elle s’amusait à me caresser mon clitoris en faisant de petits cercles. Il était devenu très sensible. Je ne savais pas pourquoi elle se comportait comme ça, mais j’espérais seulement qu’elle continue encoe un peu.
Sinon j’étais tellement concentrée sur le plaisir que me donnait Sophie, que je n’avais pas remarqué que la jeune mariée était quasiment entrain de branler son mari à travers son pantalon : il était devenu tout rouge le pauvre.
Pour être excitée, je l’étais, et ma petite chatte mouillait abondamment et je m’en rendais surtout compte quand je sentais ses orteils pénétrer en moi : ils glissaient comme dans du beurre dans ma chatte.
Le RER est arrivé trop rapidement – pour une fois, il aurait pu être en retard ! – chez nous. Je ne pouvais pas me lever tout de suite car cette salope continuais de me caresser pendant que les gens défilaient devant nous pour sortir. Elle a attendu le dernier moment pour se lever et partir en courant avec ses chaussures dans les mains ! Je lui ai emboîté le pas, suivi de prêt par Christophe qui devait bander comme un taureau. Notre gare est fréquentée par de nombreux jeunes, je ne vous dis pas l’effet qu’elle a provoqué. Moi je la suivais de prêt pour assouvir une de mes passions : regarder son beau petit cul. J’ai insisté auprès d’elle pour prendre les escaliers afin de profiter à fond du spectacle, mais comme il faisait un peu chaud à son goût, elle a préféré l’escalator ! C’était bien quand même, car j’ai profité du fait qu’on soit les uns sur les autres pour lui mettre une main aux fesses et je l’ai pincé un peu fort juste comme ça, pour le plaisir…
En sortant de la gare, nous sommes allées jusqu’à chez nous bras dessus bras dessous, laissant son mari de côté. Elle était tellement excitée qu’elle n’arrêtait pas de me bécoter – c’était assez plaisant. Nous sommes entrées dans notre immeuble en riant comme des folles. Nous avons appelé l’ascenseur, et au moment de monter dedans, elle a demandé à son mari de monter à pieds
Ca ne te fera pas de mal !
Il n’a rien dit, et il s’est dirigé vers les escaliers. La porte à peine refermée, elle m’a sauté au coup et m’a embrassé. J’avais beau m’y attendre, je fus surprise quand même. L’ascenseur est rapidement arrivé à notre palier. Les portes se sont ouvertes puis refermées alors que nous étions encore dedans à nous étreindre passionnément. Je ne peux pas dire combien de temps après, mais elles se sont encore ouvertes, cette fois c’est mon voisin qui appelait l’ascenseur à notre recherche.
A cause de lui, nous avons du nous arrêter là !
Je suis rentrée chez moi et eux chez eux. Mon copain m’avait laissé un message me disant qu’il aurait un peu de retard. J’en ai profité pour me préparer et l’attendre ensuite dans notre chambre.
Quand il est rentré, je lui ai demandé de me rejoindre. J’étais nue dans le lit, et je m’étais occupée en jouant avec quelques godes et vibros … histoire d’entretenir le feu
Il m’a rejoint, et directement je lui ai taillé une pipe dont il se souviendra un moment … mais, moi bizarrement en le suçant je n’arrêtais pas de penser à ma voisine !!!