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- Douce Tante (t) -

 

Ma tante s’appelle Claudine. Ce n’est pas ma vraie tante, disons qu’elle est un peu éloigné de la famille, c’est peut être pour cela que je n’ai cessé de fantasmer sur elle. Des nuits durant, je n’ai cessé de penser à elle, mais jamais je n’ai pensé qu’un jour, elle serait à moi pour une nuit. Une nuit, cela fait presqu’un an déjà. Pour moi, c’etait encore hier.

J’etais partis au Maroc, mon pays natal, dans notre maison. Mon ‘oncle’ et ma tante Claudine etaient de passage chez nous, nous les avions hébergé pour quelques jours. Je n’arrive toujours pas à décrire ce qui m’attire chez elle. c’est une femme de 45 ans, mais qui a conservé quelque chose de pulpeux, je n’arrive pas à décrire.

Un beau jour, mes parents et mon oncle sont partis à Tanger pour y faire des courses, ma tante a préféré rester, moi je n’avais pas envie d’y aller. Je voulais rester avec elle. Le matin, après leur départ, nous somme parti à la plage, je l’ai accompagné car je ne voulais pas la savoir seul, d’autant plus qu’elle ne parlait pas arabe. Le soleil frappait déjà, mais un faible vent maritime rafraîchissait les rues.

La plage etait inondée de personnes, mais nous avons réussis à trouver une place un peu éloignée du reste de la foule. Ma tante n’etait pas très chaude pour se baigner, elle préférait prendre des couleurs au soleil. c’est alors qu’elle me demanda de lui passer de la crème sur le dos. J’etais à la fois très touché et effrayé, elle, la toucher de près.

Je lui passais la crème sur le dos, je commençais à lui en passer sur le haut des épaules, délicatement, puis je descendais progressivement vers le bas du dos, mais je m’arrêtai. Elle me remercia, et se mit à plat ventre pour lire tranquillement. Je discutai un peu avec elle, je ne trouvai pas mes mots, elle me senti troublé. J’approchai ma visage du sien, lui demandai ce qu’elle lisait, puis soudainement, je lui dit que je la trouvai très attirante. Elle ne répondit rien, et figea, puis se détendit pour reprendre sa lecture, un petit sourire se dessina sur son visage mature.

Je la regardai, je me dis qu’avec mes 20 ans, elle pourrait être ma mère, mais je ne pouvais résister, je fis glisser ma main jusqu’à ses fesses bien arrondis, des fesses de femmes :) . Délicatement, elle semblait apprécier, je fis glisser le bout de mes doigts à l’intérieur de son maillot de bain, elle se retourna, et me dit d’un ton conciliant: ‘non, Akim, non s’il te plait’. Je baissai les yeux, et m’arrêtai. Pendant une heure, je restait assis à regarder les jeunes filles de mon âge passer devant moi, les autres années je ne perdais pas une minute pour les aborder et les draguer comme le ferait n’importe quel jeune homme de mon âge. Mais cette année, je ne l’expliquais pas, je n’avais d’yeux que pour ma tante.

Nous sommes rentrer sur le coup des 17h, les gens rentraient de la plage, la soirée se préparait, le soleil commençait a perdre de sa vivacité pour laisser place au cré puscule naissant. En arrivant à la maison mes parents avaient laissé un message comme quoi il reviendraient probablement pas avant demain matin, mon père n’aime pas rouler de nuit. Apres ce qui s’etait passé à la plage, je ne pouvais me faire à l’idée de rester avec elle toute une soirée, et toute une nuit. Je pris une douce, et me mis en short jean, torse nue. Elle se leva pour aller prendre la sienne, elle me dit qu’elle n’avait pas envie de sortir se promener, alors je décidai de nous faire du thé à la menthe, dans la tradition arabe. En se levant, elle s’approcha de moi, et déposa ses lèvres sur les miennes. Immobile je suis resté pendant plusieurs minutes. Je repris mes esprits et me dirigea vers la cuisine.

Elle sortis de la salle de bain vêtue d’un caftan blanc, presque transparent. Je distinguais aisément ses seins de taille moyennes, et sa culotte. Nous nous assîmes sur les banquettes, bûmes le thé en regardant la télé. Je m’approchai d’elle, commençai à déposer des baisers sur ses épaules, puis je me dirigeai vers son cou. Subitement, nous nous embrassâmes voluptueusement, nos langues se mélangèrent, puis elle me repoussa doucement. Je lui chuchotai dans l’oreille : ‘Claudine, laisse moi t’aimer, rien que pour ce soir. Laisse moi t’aimer, laisse moi être ton amant, ne regarde pas qui je suis, laisse moi te désirer’ Mes mots se perdaient dans le salon, mais ma tante les accepta. Je la pris par les mains, et l’emmenai dans la chambre qui donnait sur la rue. Je fermais les volets mais laissait les fenêtres ouvertes. J’installai par terre de grosses couvertures, pour s’allonger. Dehors les gens vivaient, sortaient, on entendais les gens parler, rires, les femmes marcher, les hommes courir après. Sur le balcon, je regardais les maisons en face, les terrasses blanches qui se perdaient dans la soirée. Le soleil crachait ses derniers rayons de soleil. Une lueur dorée pénetrait la salle ,je fermai les voles. Et retirai mon short jean.

Je m’approchai de ma tante, mon coeur battait la chamade. Je la pris dans mes bras, l’enlaçait et l’embrassait, de plus vive. Je retirai son caftan. Je la sentai crispé, j’avais en face moi un corps scrupuleux, pour moi ma tante n’existait plus. J’vais la femme que j’avais si longtemps desiré. J’embrassai ses seins, suçai le bout de ses seins, qui se réveillaient. Elle passa es mains dans mes cheveux, je descendais vers son ventre, embrassai son nombril, puis, mon visage se posa devant la culotte, ses hanches etaient ceux d’une femme mature. Je posai mes mais sur ses fesses, mes doigts passaient sous sa culotte et chatouillaient ses fesses, je la sentai frémir. Je n’osai pas en faire plus. Ses mains se posèrent sur les miennes et je compris ce qu’elle voulait. Je fis descendre sa culotte , puis le retirai. Je decouvrai son sexe, une chatte pulpeuse et poilue, je distinguaient ses grosses levres pas encore humides. J’etais on ne peut plus intimidé. Je passai mes doits entre ses levres, les caressaient elle gémît .Alors j’approchai ma langue, et commencai à la lecher, doucement, tendrement, j’aimai le gout de ses levres, je senti mon penis se durcir immediatement. Ses levres etaient trmempées. Alors, je me suis levé, et j’ai retiré mon caleçon devenu inutile :) Elle se mit accroupi et se mit à sucer mon penis. Je sentai qu’elle avait de l’experience, elle fit passer sa langue en spiral autour de mon gland, elle me suceait frenetiquement. Je faillis jouir dans sa bouche, je l’ai repoussé. Puis nous nous dommes allongé sur les couvertures. Elle s’allongea sur le dos et ecarta legerement les jambes. Je me remis à la lecher une derniere fois, je l’embrassai à nouveau sur la bouche, sur les seins, je n’en pouvais plus. Je me glissé entre ses jambes, mais une peur m’immobilisa, elle le senti, alors elle saisit mon penis de sa main gauche et le dirigea vers l’entrée de son vagin. Je donnai un coup de reins pour le penetrer, elle se mordit les levres. Je me mis a aller et venir doucement mais profondement, d’abord doucement, puis frenetiquement. JE lui carressait en meme temps le visage, une main posée sur son sein gauche, je plongeai ma langue dans sa bouche. Je donnai de vais coup de butoirs elle se mit à gémir, mais j’ettoufais ses cris en plongeant ma langue dans sa bouche.

J’aimai lui faire l’amour, je carressai ses cuisses, ses fesses. A bout de force je me retirai, et m’allongeai sur le coté. Mon penis etait toujours dur et droit, elle m’embrassa et me chevaucha, saisissant mon penis et se l’enfourra dans sa chatte. Elle se mit à rythmer le coit. Ses parois de son vagin etaient comme du velour,c’etait torride ,je me mit à mon tour a mon gemir, et se fut à son tour d’ettoufer mes vris par des baisers volptueux, et passait sa langue sur mes levres, m’embrassait, et accelera le coit, je cherchai mes dernieres forces en la remettant sur le dos en me glissant à nouveau entre ses jambes. J’accelerai le rythme, cette fois ci, je la laissai gemir. Je sentai l’orgasme approcher, elle aussi, soudain nos corps s’immobiliserent et je jouis en elle. Je savais qu’elle prenait la pillule.Alors le temps semblait s’arreter quelques secondes, puis je retombais sur elle pour l’embrasser. Je me laissai tomber à ses coté. Elle avait toujours les jambes ecartées. Une odeur de transpiration et de sexe regnait dans la piece. Son entre jambe etait innodée. Elle se leva et parit en direction de la salle de bain. Je me levai, et la suivai.

Nous primes notre douche ensemble, je lui carressait le dos et les fesses avev mon gant de toilette. Ca lui faisait plaisir. Soudain me penis se redressa, je la pris par les hanches, la courba et la pris par derriere, le je de la douche tiede nous arrosait pendant que je la prennait par derriere. Je donnais de vrai coup de butoirs, elle se mit à gemir puis a crier, et finit par hurler. Heureusement le bruit de la douche ettoufait le bruit. Cette fois ci je me retirai à temps, elle se retourna, pris mon ses par sa main gauche, le mit dans sa bouche, et je jouis à l’interieur. Elle pris tout dans la bouche, s’en lecha les babines, puis me tout le penis. Nous soimmes restées enlassée toute la nuit, completement nus. nous n’avons pas refais l’amour, nous etions epuisés, et nous avions suffisament profité de l’absence de mes parents et de mon oncle.

Le lendemain matin, nous avions tout rangé pour ne laisser aucune traces ! Mes parents arriverent. La vie reprenait comme si de rien n’etait. Il me restait encore un mois à passer au maroc avant de repartir en france. Et par malchance, mon oncle et ma tante resterenet avec nous pendant presque la totalité des vacances.Cela m’etait insuportable. Le mois, etait un mois d’enfer, et me faisait soufrir. Aujourd’hui, il m’arrive de penser encore à cette torride journée. Depuis, je ne l’ai plus jamais vue. Je n’en ai pas le courage. Voila, vous savez tout de ma tante.

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