Les jours qui suivirent les présentations avec ma voisine, je mis pas mal de temps à redescendre les pieds sur terre. Je me demandais quand je saurais que le moment était venu ?
Mais c’est bien connu, les femmes ont un sixième sens … à peine avais-je commencé à reprendre pied dans la réalité que je reçu un étrange courrier dans ma boîte aux lettres … !
Sur l’enveloppe, pas de timbre, pas non plus de message à l’intérieur … non ! Juste une enveloppe avec un préservatif à l’intérieur ! J’en étais sûr c’était elle … !
Je ne savais toujours pas quand elle avait prévu que nous nous revoyions mais je savais qu’elle le souhaitait et c’était le plus important.
Sa moto n’était pas là, je supposai donc, tout naturellement, qu’elle n’était pas encore rentrée.
Pendant que je vaquais à mes occupations, j’avais toujours une oreille attentive aux bruits de la rue et mon cœur s’accélérait au bruit sourd des grosses bécanes.
En fin d’après-midi, j’entendis une moto ralentir et stationner quelques instants devant l’immeuble. Je passai la tête et contatai que c’était Laurence !
En une fraction de seconde, je décidai de simplement entre-ouvrir ma porte pour lui signaler ma présence, puis je m’installai sur mon lit plongé dans un gros bouquin d’histoire de l’art.
Quelques minutes après, je l’entendis monter les marches. Arrivée sur mon palier, elle s’arrêta et toqua à la porte puis la poussa et avança dans l’appartement en m’appelant.
Je levai les yeux de mon bouquin et la vit apparaître devant moi vêtue de sa combinaison de moto.
Elle avait coupé ses cheveux, sa nouvelle coupe lui allait aussi bien que sa longue « crinière blonde » tout en lui donnant un air plus sage qui, compte tenu de ce que je connaissais d’elle, était encore plus excitant !
Sans rien dire, elle approcha, saisit l’enveloppe contenant le préservatif que j’avais laissée bien en vue à son attention.
Elle s’éventa délicatement avec avant de me dire : « J’ai repris de ce petit Muscat qui descend si bien … ! ça te dirait une petite pause apéritif ? »
Je posai mon livre et me levai pour la rejoindre. Je l’embrassai tendrement sur la bouche pour lui dire bonjour puis je passai ma main dans ses cheveux en la complimentant sur sa nouvelle coupe.
Elle me repondit simplement : « Nouvelle coupe, nouvelle vie … ! Tu viens ? »
Je pris mes clefs, éteignis la lumière et la suivis dans l’escalier.
Laurence ouvrit la porte et me précéda dans son appartement. Il y avait maintenant une garde-robe et une table de nuit en plus qui étaient venues compléter son ameublement.
Nous avons très peu parlé, ce soir-là car les mots n’auraient pas suffi pour traduire l’intensité du désir qui envahissait son regard.
Elle posa son sac, retira ses bottes, puis, commença à défaire sa grosse combinaison de moto. Je la laissai faire car cela semblait requérir un certain savoir faire.
Lorsqu’il ne lui resta que son tea-shirt et ses sous-vêtements, elle vint vers moi et commença à me déshabiller.
Je ne pu m’empêcher de lui enlever ce qui lui restait sur le dos. Nous nous retrouvâmes alors entièrement nus devant son grand lit.
D’une brève impulsion, elle me fit reculer d’un bon mètre puis elle s’allongea à plat ventre sur le lit en vixant clairement ma verge qui commençait sérieusement à se raidir sans pouvoir encore parler de gaule d’enfer !
Je fis le tour du lit, puis je commençai à progresser lettement mais sûrement vers elle. Je débutai mes préliminaires en embrassant du bout des lèvres chaque recoins de ses douces jambes avant de remonter vers son petit cul d’enfer qui me faisait fantasmer depuis le début !
Je le couvris de baisers et de caresses avant de continuer à cheminer à la découverte de son dos et de ses épaules.
Je veillais à ce que ma verge maintenant raide comme un pieux se promène allègrement entre ses fesses pendant que je couvrais son cou de tendres bisous.
Elle se retourna pour me faire face et m’embrassa comme jamais une femme ne m’avait embrasser, comme si elle était en manque de tendresse plus qu’en manque de sexe !
Mes sécrétions perlaient de plus en plus généreusement à la pointe de mon sexe. Laurence s’en rendit compte et me « culbuta » sans la moindre hésitation.
Elle saisit le préservatif qu’elle avait déposé sur la table de nuit et me l’enfila en moins de temps qu’il ne faut pour le dire !
Le plus naturellement du monde, elle me grimpa dessus et s’enfonça délicatement sur ma verge qui n’attendait que ça !
Elle m’embrassait, couvrait mon torse de baisers, se redressait pour bien s’enfoncer sur mon gros gourdin pendant que je m’occupais de sa petite poitrine si excitante.
Son mouvement du bassin était purement et simplement démoniaque !
Elle se dandinait et frottait vigoureusement son clitoris contre mon pubis avant d’enchainer sur de profonds va-et-vient puis de reprendre ce merveilleux cycle !
Je ne resistai pas bien longtemps à ce traitement emplissant le préservatif de ma généreuse semence.
Elle se dandina encore quelques instants, calmant petit à petit ses ardeurs avant de se blottir contre mon torse.
Sans me regarder, elle me dit cette phrase qui résonne encore dans ma tête aujourd’hui : « Je ne sais pas quel avenir nous avons ensemble mais je ne t’oublierai jamais car tu m’a rendu le goût des hommes ! »
Ensuite, ma belle cavalière est partie sous la douche pour se refraichir. Je l’ai ensuite imitée pendant qu’elle nous préparait le repas. Nous avons mangé ensemble puis nous avons « remis le couvert ».
Cette fois-ci dans une levrette incroyable qui me permit de graver dans ma mémoire le déhanchement merveilleux de son petit cul sous mes coups de butoir profonds qui nous conduisirent conjointement jusqu’à l’extase ultime !
Un peu comme lors de ma première fois avec Mylène, nous restâmes des amants épisodiques, ne voulant pas prendre le risque d’afaiblir cette passion charnelle par l’usure de la vie quotidienne.
De temps à autres, nous nous affichions sagement en société comme des amis mais jamais personne ne sû la nature réelle de la complicité qui nous unit de nombreux mois.
Depuis lors, nos routes se sont séparées mais jamais nous n’oublierons, ni ne regretterons la manière dont nous avons vécus ces instants qui nous permirent à l’un comme à l’autre de retrouver la confiance en vue de nouvelles rencontres plus décisives.