« J’étais quelque peu angoissée en me rendant chez le gynécologue, à mon huitième mois de grossesse. Certes, je devrais avoir l’habitude: c’est notre cinquième enfant, à mon mari et à moi, mais après tout, j’ai déjà quarante ans.
Après avoir défait les boutons du bas de ma robe, je retirai mes chaussures et mon slip et m’étendis sur la table d’examen, levant les jambes pour poser mes pieds dans des étriers et écartant les pans du vêtement pour que le docteur puisse palper mon ventre et, après avoir enfilé
un gant de plastique, procéder à un toucher vaginal. Il me demanda ensuite d’étendre les bras au-dessus de ma tête pour respirer profondément, ce que je fis. Il vint alors appuyer ses mains sur mes poignets, et je sentis à ma grande stupéfaction qu’il me passait des bracelets pour les attacher à la tête de la table. Je tentai de me lever pour protester, et me rendis alors compte que mes pieds étaient également fixés aux étriers. Il m’avait liée des quatre membres à la table d’examen!
Après avoir enlevé son gant, il se remit à toucher mon ventre, non plus en le palpant mais en le caressant longuement, puis il l’embrassa et se mit même à le lécher tandis qu’il portait ses caresses vers l’intérieur de mes cuisses.
Furieuse mais incapable dans ma position de me débattre, ne voulant pas en outre risquer de blesser le bébé, je dus me laisser faire jusqu’à ce qu’il arrête de me caresser pour défaire lentement les boutons qui restaient à ma robe, de la ceinture jusqu’en haut. Puis il acheva d’en écarter les pans, et eut la vision de mon corps nu à l’exception d’un soutien-gorge blanc.
Je pensai qu’il allait l’enlever pour s’en prendre à mes seins, mais il s’éloigna un moment et revint disposer une caméra numérique devant nous sur un trépied. Il la mit en marche avant de se pencher à nouveau sur moi. Les étapes de mon humiliation allaient être filmées!
Il prit mon soutien-gorge à deux mains et le remonta jusque sous mon menton. En temps normal, ma poitrine n’a rien d’extraordinaire (j’ai quarante ans et quatre enfants, d’accord?), mais à huit mois de grossesse mes seins gonflés étaient comme des melons, avec de gros bouts aux aréoles très larges et foncées. Il se mit à les caresser, à déposer des baisers partout sur eux et entre eux.
J’ai honte de dire que mes tétons se dressèrent et se durcirent sous un pareil traitement. Il en introduisit un dans sa bouche, commença à le sucer, je sentis sa langue en faire le tour puis ses dents le presser. En même temps, d’une main, il me massait l’autre sein et en pinçait le bout.
Mon lait commença à monter, il le savait et pompa plus avidement mon mamelon, je fermai les yeux et gémis en sentant la première giclée de lait maternel entrer dans la bouche de mon violeur. Il but soigneusement tout ce qui était sorti, puis fit subir le même traitement à l’autre sein pendant que sa main libre redescendait vers mon ventre, caressait ma touffe et atteignait mon sexe.
A ma grande horreur, je me rendis compte que ma fente était humide et prête à s’ouvrir, et il n’eut aucun mal à y enfoncer deux doigts d’un coup. Il se mit à les faire aller et venir tout en finissant ce qu’il faisait sur mon sein, puis s’écarta de moi et, sans sortir les doigts de mon sexe, alla s’agenouiller au pied de la table, devant mes cuisses maintenues écartées par les étriers.
Sa langue me pénétra sans que je puisse résister, je fus au bord des larmes en me rendant compte que moi, une épouse aimante et fidèle à mon mari, le père de mes quatre enfants, j’étais attachée nue devant un homme qui pouvait user de moi de toutes les façons qu’il voulait, et que je prenais plaisir à ce qu’il me faisait. Mon mari, de crainte de faire du mal au bébé, ne me touchait plus depuis des semaines, j’avoue que ça me manquait énormément, et voilà ce type me bouffait la chatte plus savamment que mon mari ne l’avait jamais fait.
La colère et l’humiliation que j’éprouvais ne faisaient qu’ajouter à mon plaisir. Je cédai une première fois et il le sentit, buvant ma mouille dégoulinante aussi soigneusement qu’il avait bu mon lait. Il se redressa pour contempler mon corps pantelant d’un air satisfait, puis il passa à la tête du lit et disparut de mon champ de vision, me laissant face à cette maudite caméra qui continuait à enregistrer mon supplice.
Attachée comme je l’étais, je ne pouvais pas tourner la tête suffisamment pour voir ce qu’il faisait, mais j’entendis qu’il me déshabillait, et essayai de me résigner à subir une nouvelle étape de ma souillure.