Je devais me rendre, pour affaire, dans une ville à 80 kilomètres de chez moi, mais, suite à un accident, j’étais dépourvu de véhicule. Sur un réseau social bien connus, une vieille amie, Sylvie me proposas de faire la route ensemble. Quel démon me fit lui donner rendez-vous pour le départ à mon bureau plutot qu’à mon domicile ? Toujours est il qu’à l’heure de notre rendez-vous, Sylvie m’appelas pour me dire qu’elle aurait une trentaine de minutes de retard. Pour tuer le temps, je lus quelques histoires érotiques sur internet, ce qui eu pour effet de me chauffer passablement .Au moment ou elle arriva, je n‘avais pas eu le temps de me masturber
mais ça aurait été utile, tans mon érection était douloureuse.
Je chargeais mon sac dans le coffre de la petite voiture de Sylvie, et nous partîmes. Etait ce ma propre tension sexuelle qui émis des ondes ? Notre conversation pris rapidement un tour intime.
- Mon mari ne me touche plus, me dis Sylvie, en réalité, la dernière personne avec qui j’ai jouis, c’était toi !
Dans la mesure où nous n’avions jamais rien fait, elle et moi, cette déclaration me surpris.
Sylvie est une belle blonde un peu dodue dans la quarantaine et j’avoue avoir phantasmé quelques fois sur elle, mais il y a loin du phantasme à sa réalisation, parfois…
- Oui, reprit-elle, je me caresse souvent en pensant à toi, en fait, depuis la première fois ou je t’ai rencontré, j’ai envie de toi !
- Confidence pour confidence, ça m’arrive aussi.
- Vrai ?
- Oui.
Nous étions sur l’autoroute, et Sylvie tourna pour nous garer sur le premier parking venu. Aussitôt sa petite voiture arrêtée, elle se tourna vers moi :
- Des années que j’ai envie que tu m’embrasses, dit-elle.
- Alors, qu’est ce qu’on attend ?
Hésitante, elle approcha sa bouche de la mienne, je l’effleurais doucement, puis nous nous embrassâmes de plus en plus passionnément. Je posais la main sur sa cuisse un peu forte et la fit remonter, surtout dans le but de vois jusqu’ou Sylvie était prête à aller. Elle écarta les jambes sans hésitation pour me laisser accès à sa chatte. Je découvris au toucher une culotte trempée et massais doucement ses grandes lèvres au travers du fin tissus humide, tentant d’en appréhender le dessin, puis écartais la dentelle par l’élastique d’une cuisse et pausais mon pouce sur son clitoris. Elle serra brusquement les cuisses, emprisonnant ma main, qu’elle retira bientôt. Se penchant sur la bosse qui ornait mon pantalon, elle me déboutonna et fit sortir avec quelque peine il est vrai, mon membre, qu’elle goba illico, m’enveloppant de sa chaleur. Elle serrait de la main la base de ma queue et, me fit éjaculer rapidement, avalant sans broncher toute ma semence.
Puis, elle se redressa :
-Les hommes qui ont joui sont plus endurants ensuite, dit-elle en souriant et en redémarrant.
J’allumai une cigarette, et nous parvînmes rapidement à destination. Sans perdre de temps, nous nous retrouvâmes dans une chambre d’hôtel.
Tandis que je retirais mes chaussures, Sylvie se rendis à la salle de bain, et, sans fermer la porte, s’assis sur les toilettes, jupe troussée et culotte sur les cheville. Quand elle se rendit compte que je l’observais, elle rougit, ce qui est attendrissant quand on pense que moins d’une demi-heure avant, elle me suçait avec ardeur.
Je la déshabillais avec tendresse, me dévêtis également, et l’allongeais sur le dos pour la lécher longuement, pratique que j’apprécie au plus haut point ! Après avoir embrassé ses grandes lèvres, particulièrement charnues, je la pénétrais avec ma langue et tournais follement sur son clitoris, puis, n’y tenant plus, je posais mon gland à l’entrée de sa grotte trempée. Je frottais un moment mon gland sur ce clitoris offert, et entrait en elle d’une lente poussée. Je pris ses genoux au creux de mes bras, position que j’affectionne car elle permet une intromission vraiment profonde !Elle jouis immédiatement, mais moi, ayant jouis peu de temps auparavant, je me montrais endurant, déclenchant encore deux orgasme chez Sylvie. Durant le dernier, elle fondit en larme.
Lorsque je roulais à coté d’elle après avoir jouis enfin, je lui demandais la raison de ses larmes. Dans un doux sourire humide elle me répondit
- Je pleurais de bonheur, mais aussi et surtout sur tout le temps qu’on a perdu, toi et moi.