Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne. C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allo Sandra, j’ai quatre nouvelles qui t’attendent au club.
- Merci de m’avoir appelée, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil car, je fais souvent chez lui d’intéressantes rencontres.
Comme toujours, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C.
Je glisse sur mes hanches un adorable slip ouvert qui me laisse prête à faire l’amour à tous moments.
J’enfile mes bas que j’accroche aux quatre paires de jarretelles en éprouvant un plaisir indéfinissable à caresser ces fibres qui font monter mon désir.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement excitant du nylon.
Puis, je prends dans un tiroir un préservatif féminin que je déplie avec précaution.
Je m’allonge sur le lit et l’enfonce profondément dans mon fourreau en fixant la corolle en latex autour de ma rosette.
Cette protection est magique, car je peux la laisser en place toute la journée sans la changer entre deux rapports.
Elle me permet aussi de voir la quantité de sperme recueillie à la fin de mes jeux.
Devant ma coiffeuse, je pose mes faux cils et ajuste sur ma tête une perruque blonde coupée au carré.
Enfin, je tire mon sexe vers l’arrière en le fixant avec un adhésif.
Dans la glace, je ne vois plus qu’un fin triangle de gazon soigneusement épilé avec juste en dessous un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.
Satisfaite du résultat, j’agrafe à ma taille une jupe marron à volants très courte, que j’assortis à un corsage plus clair.
Puis, je m’entraîne devant le miroir à mémoriser les poses et attitudes qui accentuent ma féminité.
Les fesses et la poitrine bien cambrées, je me transforme peu à peu mentalement et physiquement en une fille crédible et attirante.
J’aime sentir en marchant l’excitante tension du nylon sur mes cuisses.
Enfin prête, je quitte mon appartement juchée sur mes talons aiguilles.
Dans la rue, je soutiens le regard des hommes qui me dévisagent et n’hésite pas à les provoquer en accentuant mon déhanchement quand je les croise.
Par cette belle journée ensoleillée, mon corsage est largement ouvert attirant le regard des passants sur mes seins volumineux et lourds.
Ma jupe virevolte en découvrant mes cuisses à chacun de mes pas.
Le vent chaud qui s’engouffre dessous me fait ressentir des sensations très féminines.
Une certaine excitation me gagne lorsque j’entends mes talons résonner sur l’asphalte.
Je m’amuse à stimuler le désir des mâles qui m’entourent en m’arrêtant quelques secondes devant une vitrine pour ajuster mes jarretelles.
Je lis dans leurs regards qui se reflètent dans les vitres qu’ils me désirent vraiment et cela me procure beaucoup de plaisir.
Les femmes plus clairvoyantes, devinent ma double identité et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je leur adresse alors mon plus beau sourire en leur montrant que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées, elles ne savent plus alors quelle attitude adoptée.
J’arrive enfin au club et c’est Steve qui m’ouvre la porte.
- Tu es très excitante dans cette tenue, me dit-t-il en glissant sa main sous ma jupe.
- Sois patient, nous avons un tête à tête demain lui dis-je d’un regard prometteur en lui empoignant le sexe à travers son pantalon.
Je me rends compte qu’il bande comme un fou et je le quitte à regret.
- Envoie moi ta première protégée dans la chambre « chevalier d’éon » et dis lui de ne porter que ses dessous.
Laissant Steve à ses fantasmes, je monte l’escalier quatre à quatre.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente.
Le collant qui moule son sexe la rend provocante malgré elle.
Je remarque son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret qui témoignent de son manque d’expérience.
C’est donc avec amusement que je me décide à jouer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
J’ouvre mon corsage et lui dévoile mes seins comprimés dans ma guêpière pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant.
J’ai le temps d’enlever ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit en ne gardant que ma guêpière, mon slip ouvert et mes bas.
Je la mets en confiance en décalottant lentement son gland tout en le frottant contre le nylon de son collant.
Puis, je caresse sa queue et ses bourses en sentant la douceur de sa peau satinée sous mes doigts.
Je n’ai bientôt pas assez de mes deux mains pour contenir cette queue épilée qui se durcit et se dresse devant mes yeux.
Betty gémit de plaisir quand je commence à la masturber sur des rythmes différents.
Cela l’excite fortement et elle se met à trembler de désir.
Lorsque je vois perler quelques gouttes de sève sur son gland, je sais qu’elle ne tiendra plus longtemps.
Je l’aide à retirer son collant en lui chuchotant à l’oreille :
- Viens ma chérie avant qu’il ne soit trop tard.
Avec une lenteur calculée, j’écarte les jambes et la fente de mon slip pour lui montrer ma chatte.
Devant ce spectacle, Betty s’agite avec fébrilité en essayant de résister à ses pulsions.
- Prends moi maintenant, lui dis-je d’une voix chaude en l’encourageant du regard.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans mon fourreau.
Elle me baise avec fougue sur un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme.
Je cambre les reins pour m’empaler plus profondément sur son dard en serrant sa taille dans l’étau de mes cuisses pour qu’elle reste collée contre moi.
- Jouis maintenant ma chérie, lui dis-je en la maintenant fermement.
Le corps en arc de cercle, elle se tétanise quand je lui enfonce mon majeur dans l’Anus dilatés
Puis, elle explose dans de nombreux spasmes en m’inondant la chatte de toute la sève de ses vingt ans.
Pressant avec application son périnée et sa queue, j’extrais ses dernières gouttes de semence avant de la mettre sur le dos pour la prendre à mon tour.
Ravie de mon initiative, elle contemple ma queue en pleine érection dressée contre ma guêpière.
Sans un mot, elle plaque son sexe sur son ventre et m’offre son anneau palpitant de désirs.
En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est pratiquement vierge.
Je l’empale sans m’arrêter jusqu’à la racine de mon sexe.
Puis, je reste un instant immobile pour la laisser s’habituer au diamètre de ma verge avant de commencer à m’activer dans ses reins.
Sa respiration haletante et ses gémissements me montrent qu’elle prend visiblement son pied.
Très excitée et ayant ma queue fortement serrée dans son fourreau virginal, je ne tarde pas à exploser en elle.
Lorsque je me retire, elle essuie gênée le flot de sperme qui ruisselle de sa croupe en coulant sur ses cuisses.
- C’est ta première expérience Betty ?
- Oui, j’attendais ce moment avec impatience tout en le redoutant, me répond-t-elle timidement.
- J’aimerai te revoir si tu le souhaites, lui dis-je en la caressant.
- Je t’apprendrai à te maquiller, à choisir ta lingerie en t’initiant à d’autres jeux.
C’est avec joie qu’elle accepte ma proposition en se lovant contre moi.
Je la câline un moment avant de lui demander à regret de me quitter.
A peine rhabillée, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Je rentre immédiatement dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses pour me protéger.
- N’aie pas peur ma belle, me dit-t-elle en sortant une queue massive de son string brésilien.
Elle s’approche de moi en me laissant contempler l’épaisseur de son gland qui est toujours pour moi le gage d’un plaisir assuré.
Sans perdre de temps, elle me trousse sans retenue en glissant ses deux mains sous ma jupe.
Ne voulant pas lui céder trop vite, je fais tout pour ralentir sa progression.
Stimulée par ma résistance, Claudia devient plus entreprenante.
Quelques instants plus tard, ses caresses appuyées me déclenchent une érection spectaculaire et je la laisse s’engouffrer dans la fente de mon slip.
Surprise par la taille de mon clito, elle me dit :
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie.
Se rendant compte de son emprise sur moi, elle rajoute d’une voix autoritaire :
- Maintenant allonge toi sur le ventre.
Ses doigts inquisiteurs glissent le long de mon sillon en s’immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- C’est un préservatif spécial que j’ai mis pour te donner davantage de plaisir, lui dis-je en l’implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me répondre.
Puis, se plaçant entre mes cuisses, elle pose son gland turgescent contre ma rosette.
- Pousses dés que je commence à t’enfiler ma chérie, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Je l’aide de mon mieux, mais mon anneau résiste à la pression.
Claudia insiste et mes sphincters finissent par s’ouvrir sous la violence de l’assaut en avalant d’un coup son dard impressionnant.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo lorsque sa verge me fouille les entrailles sous tous les angles.
Son gland massif vient presser ma glande intime en majorant mon plaisir.
A chaque fois que Claudia se rue dans mes reins, j’entends le claquement excitant de son bassin sur mes fesses en sentant ses bourses cogner contre mon périnée.
Les reliefs et aspérités du préservatif finissent par produire leurs l’effets, car elle jouit la première en inondant mon ventre de puissantes giclées de foutre.
La sentant pour la première fois en mon pouvoir, je contracte longuement mes muscles intimes sur son sexe pour achever de la vider.
Devenue complètement passive, elle me laisse lui pomper ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi, toujours tenaillée par le désir.
Elles sont très féminines avec des jambes interminables et des cuisses fuselées.
Les yeux rivés sur mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition et commence à les masturber jusqu’à ce que leurs clitos atteignent une taille respectable.
- Couche toi sur le lit, dis-je à Natacha qui est la première à me montrer ses attentes.
Lui tournant le dos, j’engouffre son sexe dans ma grotte en m’allongeant sur elle.
Une fois complètement empalée, j’écarte les cuisses en relevant les jambes.
Puis, j’interpelle Sabrina en lui lançant un regard provocant :
- C’est le moment de nous rejoindre ma chérie,
Fascinée par la queue de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de se placer entre mes cuisses.
Très souple, elle a l’idée géniale de me faire une fellation d’enfer en m’embrochant lentement.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge dans mon ventre quand Natacha se retire partiellement.
Doublement sodomisée et pompée, je sens la sève monter irrésistiblement dans mes reins et j’explose rapidement dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Enfin calmée, je décide de m’occuper de Natacha.
- Tu vas jouir la première, lui dis-je en entreprenant un irrésistible massage fessier dont j’ai le secret.
Attentive, je suis sur son visage la montée de son orgasme en me trémoussant de plus belle sur son pivot de chair.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin qui la font craquer.
Tremblante de la tête au pied, je l’entends crier de plaisir lorsqu’elle décharge dans mes reins dans une succession de spasmes.
Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s’activer en moi en regardant le sperme de son amie s’échapper de mes fesses et couler sur sa queue.
Très excitée de vivre son fantasme, elle relève mes jambes sur ses épaules en m’empalant jusqu’à la racine de son sexe.
Elle sourit en voyant mes jambes gainées de nylon brasser l’air et témoigner du plaisir qu’elle me donne.
Reprenant mes esprits, je la fais basculer sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’inciter à me pilonner davantage.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux lui dévorer la queue.
Saisissant sournoisement un gode de dessous l’oreiller, je le vrille dans ses fesses pour l’embrocher plus facilement.
Surprise, elle se redresse pour tenter d’échapper à ce dard, mais je l’enfonce de plus belle dans ses reins en la faisant exploser dans des gémissements de plaisir.
Quand elle se retire de ma grotte, elle laisse échapper un dernier flot de sperme qui dessine sur mes bas d’étranges arabesques blanchâtres.
Avant de me lever, je place un rosebud dans mon œillet pour garder toute la sève que j’ai en moi.
Puis, je les raccompagne à la porte en entendant Natacha me proposer d’autres jeux en prévision de notre prochaine rencontre.
Restée seule, je remets de l’ordre dans mes dessous.
Je sors un slip propre de mon sac à main car mes ébats ont laissés des traces et j’enfile rapidement ma jupe car je suis en retard.
En redescendant dans le hall d’entrée, je croise une jolie fille assise dans un fauteuil qui semble attendre quelqu’un.
Mon attention est attirée par la bosse insolite qui déforme sa jupe à la naissance de ses cuisses.
Comme je la connais, je m’arrête pour lui demander :
- J’aimerai bien voir ce que tu as entre les jambes.
Nullement gênée par ma question, elle soulève sa jupe et me dévoile enfoui dans une débauche de lingerie un gode solidement attaché à sa taille.
Elle le redresse en l’agitant ostensiblement sous mes yeux.
Il est relativement court mais son diamètre impressionnant atteint neuf centimètres dans sa section la plus large.
- Vous, les travestis et transsexuelles me faites une concurrence déloyale et je me dois d’offrir des sensations fortes à mes clients, me dit-t-elle en souriant.
- Heureusement que la plupart des hommes préfèrent se faire sodomiser par une femme.
- Voilà pourquoi, j’utilise cet énorme gode qui se devine sous ma jupe et attire leurs regards.
- Je les rends très vite dépendants de moi quand je les défonce avec ce dard.
- Puis, les ayant suffisamment dilatés, je peux les fister longuement avant de les faire jouir.
- J’avoue prendre un certain plaisir à les dominer et à les entendre gémir comme des enfants.
Je me penche pour caresser ce phallus qui m’enflamme les sens et lui dit d’une voix altérée par le désir :
- Je viendrai te voir d’ici peu.
- J’attends avec impatience ta visite dans mon donjon où j’ai tout ce qu’il faut pour te combler, répond- t-elle en me fixant avec insistance.
- Après t’avoir prise et reprise plusieurs fois, je m’abandonnerai peut être à tes fantasmes si mes équipements spéciaux stimulent suffisamment ton imagination.
A son regard brûlant, je sais que je ne serai pas déçue et je la quitte pour aller rejoindre Mirella.
C’est une transsexuelle de la Jamaïque qui habite Paris depuis deux ans et que je vois régulièrement.
Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
- Tu es en retard, me dit-t-elle avec un certain agacement.
Je l’embrasse longuement pour me faire pardonner en lui pétrissant les seins.
Devenue plus souriante, elle me fait asseoir près d’elle et me sert une tasse de thé.
Au cours de la conversation, je décroise mes jambes en remontant ma jupe ultra courte pour qu’elle puisse voir les quatre paires de jarretelles qui maintiennent mes bas.
Puis, j’écarte légèrement les cuisses en dévoilant une partie de mon slip en satin rose.
Le renflement de mon sexe qui gonfle le tissu attire sa main comme un aimant.
Défiant Mirella du regard, j’immobilise son bras en l’emprisonnant entre mes cuisses.
Surprise par ma résistance, elle me prodigue d’irrésistibles caresses avec son autre main.
Très vite submergée par le plaisir, je m’ouvre à elle en m’offrant dans une totale impudeur.
Apercevant alors le rosebud ou bouton de rose qui garde l’entrée de ma grotte, elle contemple longuement le rubis en verre taillé qui est incrusté dans son socle.
Il brille de tous ses feux, animés par les contractions de mes muscles intimes.
- Ce bijou anal est du plus bel effet, me dit-t-elle admirative en me caressant l’intérieur des cuisses.
Tout à coup, son attention est attirée par une tâche blanchâtre qui macule mon bas.
- Qu’est-ce que c’est, me dit-t-elle d’un air pincé en la pointant du doigt.
- Laisses moi t’examiner, rajoute-t-elle en me déshabillant rapidement.
Elle admire ma lingerie en connaisseuse pendant que je m’allonge sur la table d’examen.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec une lueur trouble dans le regard.
Après m’avoir fixé les pieds dans les étriers, elle se place entre mes cuisses en jouant un moment avec le cône en acier planté dans mon fourreau.
Puis, elle le retire en enlevant également mon préservatif.
- Combien de queues as-tu prises dans les fesses aujourd’hui ? Siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle scandalisée.
Je sourie intérieurement en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais m’amuser un peu avec toi, rajoute-t-elle d’un air équivoque.
Elle lubrifie abondamment mon anneau et plonge trois doigts dans mes fesses pour me faire bander.
Elle les fait coulisser sur des rythmes lents et rapides tout en me masturbant efficacement.
Puis, quand elle me voit bien excitée, elle m’aide à me lever et m’entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange objet ayant l’apparence d’un cheval d’arçons.
- Mets toi en selle, me dit-t-elle d’un ton autoritaire.
Elle règle la hauteur pour que mes jambes soient bien tendues et bloque ensuite mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Lorsque je suis totalement immobilisée, elle appuie sur le bouton d’une télé commande qui déclenche l’ouverture d’une trappe.
- Tu as maintenant un plug en métal de vingt cinq centimètres pointé sur tes fesses, me dit-t-elle suavement.
- Il va t’empaler lentement et t’élargir progressivement l’anneau.
Après avoir écarté la fente de mon slip pour dégager ma rosette, elle appuie sur une autre touche et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon oeillet se contracte au contact froid de ce cylindre d’acier qui le transperce.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en continuant à me masturber d’une main experte.
Ses caresses appuyées lèvent mes dernières craintes.
Au début, le pal me dilate lentement les chairs en me donnant des sensations plutôt agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter redouble mon excitation.
Un moment plus tard, la poussée du pieu devient de plus en plus forte et je découvre un plaisir étrange mêlé de douleur.
Puis, vient le moment où j’ai la respiration coupée en ayant la nette impression d’être ouverte en deux.
Vingt minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai incliné le plug vers l’avant pour stimuler ton point G, m’explique Mirella.
- C’est pour cela que tu bandes magnifiquement, rajoute-t-elle en souriant.
- Ton anneau est maintenant ouvert au diamètre d’une bouteille, me dit-t-elle d’un air amusé.
Son propos me surprend et j’ai du mal à la croire.
Sans plus attendre, elle me lèche la queue pendant que l’engin plongé dans mes reins se met à vibrer intensément.
Je craque lorsqu’elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte tes fesses sur le pal, me chuchote-t-elle à l’oreille en voyant les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Je gémis doucement lorsqu’une coulée de sève épaisse et continue sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge.
Complètement sonnée par cette longue éjaculation, je contemple le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe et que Mirella recueille sur sa langue.
Un moment plus tard, elle me détache et me fait enfiler une craquante combinaison en satin rouge par-dessus ma guêpière.
- Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Elle ne tarde pas à me rejoindre.
En plus de son déshabillé, elle a fixé à sa taille un étonnant gode ceinture.
Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.
- J’espère que cela te comblera ma chérie, me dit-t-elle en le tenant à deux mains.
En fait, Mirella a choisi de porter une prothèse d’une taille comparable au plug précédent pour ne pas me décevoir.
Elle s’allonge prés de moi et m’embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins contre ma poitrine.
Puis, me mettant sur le dos, elle place deux cousins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance entre ses cuisses.
- Maintenant remonte ta combinaison ma chérie.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle m’écarte les cuisses en contemplant ma rosette largement ouverte par les dilatations précédentes.
Très expérimentée, Mirella enfonce son majeur dans mes fesses en le recourbant vers le haut pour stimuler ma prostate.
Elle la trouve rapidement et sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son doigt
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
- Tu aimes cela n’est ce pas ma belle ?
En même temps, elle me masturbe d’une main experte.
- Je vais t’enfiler maintenant ma chérie, me dit-t-elle en glissant son mandrin entre mes cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives en me pénétrant lentement sans me quitter du regard.
Puis, pressant fortement ses mains sur mes hanches, elle l’enfonce brutalement de plusieurs centimètres d’un coup.
Agrippée à mes épaules, elle donne un puissant coup de reins qui le fait rentrer entièrement dans mes fesses.
- Te voilà complètement défoncée ma chérie, me dit-t-elle avec cynisme.
Soudée à moi, elle se tortille avec une habilité diabolique en décrivant avec son bassin de larges mouvements circulaires.
- J’ai trouvé ton point G, me dit-t-elle avec assurance.
Les tressautements de mon gland qui laisse couler un mince filet de sève ne tardent pas à lui donner raison et l’incite à me pilonner avec toujours plus de précision.
Je deviens un pantin entre ses mains dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la coulée de lave qui monte en moi, j’explose en inondant ma guêpière d’un flot de sperme.
Peu après, Mirella détache son gode ceinture et réajuste ses jarretelles en me jetant un regard enflammé.
Puis, elle se masturbe avec un érotisme torride avant de me rejoindre sur le lit.
Décidée à la surprendre à mon tour, je l’allonge sur le dos.
J’enfile un mini bas en latex sur mon pied que je lubrifie abondamment et sans la quitter des yeux, je plonge mon orteil dans son anneau brûlant de désir.
Décrivant de lentes rotations, j’engage peu à peu une partie de mon pied dans sa grotte.
Le pressant dans ses mains, Mirella le fait coulisser un long moment dans son fourreau en gémissant de plaisir.
Peu après, changeant de registre, je décalotte son gland en le frottant sur le nylon de mes bas.
Elle tremble de désir lorsque lui faisant face, je m’empale à califourchon sur sa verge en poussant une à une des boules anales dans son oeillet.
Sa respiration devient haletante quand je bascule en alternance mon bassin d’avant en arrière en tournant lentement mes fesses sur sa queue.
Puis, je contracte mes sphincters qui deviennent une véritable pompe à sperme.
Enfin, je me trémousse jusqu’à ce qu’elle succombe à mes ardeurs en m’empalant de tout mon poids sur son sexe.
Quand elle explose en moi, le corps agité de nombreux spasmes, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup les boules anales de sa chatte.
Elle pousse un cri rauque et a un dernier soubresaut avant de s’immobiliser.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
19 janvier 2010 | Auteur: sandratvtg
Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne. C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allo Sandra, j’ai quatre nouvelles qui t’attendent au club.
- Merci de m’avoir appelée, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil car, je fais souvent chez lui d’intéressantes rencontres.
Comme toujours, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C.
Je glisse sur mes hanches un adorable slip ouvert qui me laisse prête à faire l’amour à tous moments.
J’enfile mes bas que j’accroche aux quatre paires de jarretelles en éprouvant un plaisir indéfinissable à caresser ces fibres qui font monter mon désir.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement excitant du nylon.
Puis, je prends dans un tiroir un préservatif féminin que je déplie avec précaution.
Je m’allonge sur le lit et l’enfonce profondément dans mon fourreau en fixant la corolle en latex autour de ma rosette.
Cette protection est magique, car je peux la laisser en place toute la journée sans la changer entre deux rapports.
Elle me permet aussi de voir la quantité de sperme recueillie à la fin de mes jeux.
Devant ma coiffeuse, je pose mes faux cils et ajuste sur ma tête une perruque blonde coupée au carré.
Enfin, je tire mon sexe vers l’arrière en le fixant avec un adhésif.
Dans la glace, je ne vois plus qu’un fin triangle de gazon soigneusement épilé avec juste en dessous un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.
Satisfaite du résultat, j’agrafe à ma taille une jupe marron à volants très courte, que j’assortis à un corsage plus clair.
Puis, je m’entraîne devant le miroir à mémoriser les poses et attitudes qui accentuent ma féminité.
Les fesses et la poitrine bien cambrées, je me transforme peu à peu mentalement et physiquement en une fille crédible et attirante.
J’aime sentir en marchant l’excitante tension du nylon sur mes cuisses.
Enfin prête, je quitte mon appartement juchée sur mes talons aiguilles.
Dans la rue, je soutiens le regard des hommes qui me dévisagent et n’hésite pas à les provoquer en accentuant mon déhanchement quand je les croise.
Par cette belle journée ensoleillée, mon corsage est largement ouvert attirant le regard des passants sur mes seins volumineux et lourds.
Ma jupe virevolte en découvrant mes cuisses à chacun de mes pas.
Le vent chaud qui s’engouffre dessous me fait ressentir des sensations très féminines.
Une certaine excitation me gagne lorsque j’entends mes talons résonner sur l’asphalte.
Je m’amuse à stimuler le désir des mâles qui m’entourent en m’arrêtant quelques secondes devant une vitrine pour ajuster mes jarretelles.
Je lis dans leurs regards qui se reflètent dans les vitres qu’ils me désirent vraiment et cela me procure beaucoup de plaisir.
Les femmes plus clairvoyantes, devinent ma double identité et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je leur adresse alors mon plus beau sourire en leur montrant que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées, elles ne savent plus alors quelle attitude adoptée.
J’arrive enfin au club et c’est Steve qui m’ouvre la porte.
- Tu es très excitante dans cette tenue, me dit-t-il en glissant sa main sous ma jupe.
- Sois patient, nous avons un tête à tête demain lui dis-je d’un regard prometteur en lui empoignant le sexe à travers son pantalon.
Je me rends compte qu’il bande comme un fou et je le quitte à regret.
- Envoie moi ta première protégée dans la chambre « chevalier d’éon » et dis lui de ne porter que ses dessous.
Laissant Steve à ses fantasmes, je monte l’escalier quatre à quatre.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente.
Le collant qui moule son sexe la rend provocante malgré elle.
Je remarque son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret qui témoignent de son manque d’expérience.
C’est donc avec amusement que je me décide à jouer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
J’ouvre mon corsage et lui dévoile mes seins comprimés dans ma guêpière pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant.
J’ai le temps d’enlever ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit en ne gardant que ma guêpière, mon slip ouvert et mes bas.
Je la mets en confiance en décalottant lentement son gland tout en le frottant contre le nylon de son collant.
Puis, je caresse sa queue et ses bourses en sentant la douceur de sa peau satinée sous mes doigts.
Je n’ai bientôt pas assez de mes deux mains pour contenir cette queue épilée qui se durcit et se dresse devant mes yeux.
Betty gémit de plaisir quand je commence à la masturber sur des rythmes différents.
Cela l’excite fortement et elle se met à trembler de désir.
Lorsque je vois perler quelques gouttes de sève sur son gland, je sais qu’elle ne tiendra plus longtemps.
Je l’aide à retirer son collant en lui chuchotant à l’oreille :
- Viens ma chérie avant qu’il ne soit trop tard.
Avec une lenteur calculée, j’écarte les jambes et la fente de mon slip pour lui montrer ma chatte.
Devant ce spectacle, Betty s’agite avec fébrilité en essayant de résister à ses pulsions.
- Prends moi maintenant, lui dis-je d’une voix chaude en l’encourageant du regard.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans mon fourreau.
Elle me baise avec fougue sur un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme.
Je cambre les reins pour m’empaler plus profondément sur son dard en serrant sa taille dans l’étau de mes cuisses pour qu’elle reste collée contre moi.
- Jouis maintenant ma chérie, lui dis-je en la maintenant fermement.
Le corps en arc de cercle, elle se tétanise quand je lui enfonce mon majeur dans l’Anus dilatés
Puis, elle explose dans de nombreux spasmes en m’inondant la chatte de toute la sève de ses vingt ans.
Pressant avec application son périnée et sa queue, j’extrais ses dernières gouttes de semence avant de la mettre sur le dos pour la prendre à mon tour.
Ravie de mon initiative, elle contemple ma queue en pleine érection dressée contre ma guêpière.
Sans un mot, elle plaque son sexe sur son ventre et m’offre son anneau palpitant de désirs.
En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est pratiquement vierge.
Je l’empale sans m’arrêter jusqu’à la racine de mon sexe.
Puis, je reste un instant immobile pour la laisser s’habituer au diamètre de ma verge avant de commencer à m’activer dans ses reins.
Sa respiration haletante et ses gémissements me montrent qu’elle prend visiblement son pied.
Très excitée et ayant ma queue fortement serrée dans son fourreau virginal, je ne tarde pas à exploser en elle.
Lorsque je me retire, elle essuie gênée le flot de sperme qui ruisselle de sa croupe en coulant sur ses cuisses.
- C’est ta première expérience Betty ?
- Oui, j’attendais ce moment avec impatience tout en le redoutant, me répond-t-elle timidement.
- J’aimerai te revoir si tu le souhaites, lui dis-je en la caressant.
- Je t’apprendrai à te maquiller, à choisir ta lingerie en t’initiant à d’autres jeux.
C’est avec joie qu’elle accepte ma proposition en se lovant contre moi.
Je la câline un moment avant de lui demander à regret de me quitter.
A peine rhabillée, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Je rentre immédiatement dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses pour me protéger.
- N’aie pas peur ma belle, me dit-t-elle en sortant une queue massive de son string brésilien.
Elle s’approche de moi en me laissant contempler l’épaisseur de son gland qui est toujours pour moi le gage d’un plaisir assuré.
Sans perdre de temps, elle me trousse sans retenue en glissant ses deux mains sous ma jupe.
Ne voulant pas lui céder trop vite, je fais tout pour ralentir sa progression.
Stimulée par ma résistance, Claudia devient plus entreprenante.
Quelques instants plus tard, ses caresses appuyées me déclenchent une érection spectaculaire et je la laisse s’engouffrer dans la fente de mon slip.
Surprise par la taille de mon clito, elle me dit :
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie.
Se rendant compte de son emprise sur moi, elle rajoute d’une voix autoritaire :
- Maintenant allonge toi sur le ventre.
Ses doigts inquisiteurs glissent le long de mon sillon en s’immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- C’est un préservatif spécial que j’ai mis pour te donner davantage de plaisir, lui dis-je en l’implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me répondre.
Puis, se plaçant entre mes cuisses, elle pose son gland turgescent contre ma rosette.
- Pousses dés que je commence à t’enfiler ma chérie, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Je l’aide de mon mieux, mais mon anneau résiste à la pression.
Claudia insiste et mes sphincters finissent par s’ouvrir sous la violence de l’assaut en avalant d’un coup son dard impressionnant.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo lorsque sa verge me fouille les entrailles sous tous les angles.
Son gland massif vient presser ma glande intime en majorant mon plaisir.
A chaque fois que Claudia se rue dans mes reins, j’entends le claquement excitant de son bassin sur mes fesses en sentant ses bourses cogner contre mon périnée.
Les reliefs et aspérités du préservatif finissent par produire leurs l’effets, car elle jouit la première en inondant mon ventre de puissantes giclées de foutre.
La sentant pour la première fois en mon pouvoir, je contracte longuement mes muscles intimes sur son sexe pour achever de la vider.
Devenue complètement passive, elle me laisse lui pomper ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi, toujours tenaillée par le désir.
Elles sont très féminines avec des jambes interminables et des cuisses fuselées.
Les yeux rivés sur mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition et commence à les masturber jusqu’à ce que leurs clitos atteignent une taille respectable.
- Couche toi sur le lit, dis-je à Natacha qui est la première à me montrer ses attentes.
Lui tournant le dos, j’engouffre son sexe dans ma grotte en m’allongeant sur elle.
Une fois complètement empalée, j’écarte les cuisses en relevant les jambes.
Puis, j’interpelle Sabrina en lui lançant un regard provocant :
- C’est le moment de nous rejoindre ma chérie,
Fascinée par la queue de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de se placer entre mes cuisses.
Très souple, elle a l’idée géniale de me faire une fellation d’enfer en m’embrochant lentement.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge dans mon ventre quand Natacha se retire partiellement.
Doublement sodomisée et pompée, je sens la sève monter irrésistiblement dans mes reins et j’explose rapidement dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Enfin calmée, je décide de m’occuper de Natacha.
- Tu vas jouir la première, lui dis-je en entreprenant un irrésistible massage fessier dont j’ai le secret.
Attentive, je suis sur son visage la montée de son orgasme en me trémoussant de plus belle sur son pivot de chair.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin qui la font craquer.
Tremblante de la tête au pied, je l’entends crier de plaisir lorsqu’elle décharge dans mes reins dans une succession de spasmes.
Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s’activer en moi en regardant le sperme de son amie s’échapper de mes fesses et couler sur sa queue.
Très excitée de vivre son fantasme, elle relève mes jambes sur ses épaules en m’empalant jusqu’à la racine de son sexe.
Elle sourit en voyant mes jambes gainées de nylon brasser l’air et témoigner du plaisir qu’elle me donne.
Reprenant mes esprits, je la fais basculer sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’inciter à me pilonner davantage.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux lui dévorer la queue.
Saisissant sournoisement un gode de dessous l’oreiller, je le vrille dans ses fesses pour l’embrocher plus facilement.
Surprise, elle se redresse pour tenter d’échapper à ce dard, mais je l’enfonce de plus belle dans ses reins en la faisant exploser dans des gémissements de plaisir.
Quand elle se retire de ma grotte, elle laisse échapper un dernier flot de sperme qui dessine sur mes bas d’étranges arabesques blanchâtres.
Avant de me lever, je place un rosebud dans mon œillet pour garder toute la sève que j’ai en moi.
Puis, je les raccompagne à la porte en entendant Natacha me proposer d’autres jeux en prévision de notre prochaine rencontre.
Restée seule, je remets de l’ordre dans mes dessous.
Je sors un slip propre de mon sac à main car mes ébats ont laissés des traces et j’enfile rapidement ma jupe car je suis en retard.
En redescendant dans le hall d’entrée, je croise une jolie fille assise dans un fauteuil qui semble attendre quelqu’un.
Mon attention est attirée par la bosse insolite qui déforme sa jupe à la naissance de ses cuisses.
Comme je la connais, je m’arrête pour lui demander :
- J’aimerai bien voir ce que tu as entre les jambes.
Nullement gênée par ma question, elle soulève sa jupe et me dévoile enfoui dans une débauche de lingerie un gode solidement attaché à sa taille.
Elle le redresse en l’agitant ostensiblement sous mes yeux.
Il est relativement court mais son diamètre impressionnant atteint neuf centimètres dans sa section la plus large.
- Vous, les travestis et transsexuelles me faites une concurrence déloyale et je me dois d’offrir des sensations fortes à mes clients, me dit-t-elle en souriant.
- Heureusement que la plupart des hommes préfèrent se faire sodomiser par une femme.
- Voilà pourquoi, j’utilise cet énorme gode qui se devine sous ma jupe et attire leurs regards.
- Je les rends très vite dépendants de moi quand je les défonce avec ce dard.
- Puis, les ayant suffisamment dilatés, je peux les fister longuement avant de les faire jouir.
- J’avoue prendre un certain plaisir à les dominer et à les entendre gémir comme des enfants.
Je me penche pour caresser ce phallus qui m’enflamme les sens et lui dit d’une voix altérée par le désir :
- Je viendrai te voir d’ici peu.
- J’attends avec impatience ta visite dans mon donjon où j’ai tout ce qu’il faut pour te combler, répond- t-elle en me fixant avec insistance.
- Après t’avoir prise et reprise plusieurs fois, je m’abandonnerai peut être à tes fantasmes si mes équipements spéciaux stimulent suffisamment ton imagination.
A son regard brûlant, je sais que je ne serai pas déçue et je la quitte pour aller rejoindre Mirella.
C’est une transsexuelle de la Jamaïque qui habite Paris depuis deux ans et que je vois régulièrement.
Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
- Tu es en retard, me dit-t-elle avec un certain agacement.
Je l’embrasse longuement pour me faire pardonner en lui pétrissant les seins.
Devenue plus souriante, elle me fait asseoir près d’elle et me sert une tasse de thé.
Au cours de la conversation, je décroise mes jambes en remontant ma jupe ultra courte pour qu’elle puisse voir les quatre paires de jarretelles qui maintiennent mes bas.
Puis, j’écarte légèrement les cuisses en dévoilant une partie de mon slip en satin rose.
Le renflement de mon sexe qui gonfle le tissu attire sa main comme un aimant.
Défiant Mirella du regard, j’immobilise son bras en l’emprisonnant entre mes cuisses.
Surprise par ma résistance, elle me prodigue d’irrésistibles caresses avec son autre main.
Très vite submergée par le plaisir, je m’ouvre à elle en m’offrant dans une totale impudeur.
Apercevant alors le rosebud ou bouton de rose qui garde l’entrée de ma grotte, elle contemple longuement le rubis en verre taillé qui est incrusté dans son socle.
Il brille de tous ses feux, animés par les contractions de mes muscles intimes.
- Ce bijou anal est du plus bel effet, me dit-t-elle admirative en me caressant l’intérieur des cuisses.
Tout à coup, son attention est attirée par une tâche blanchâtre qui macule mon bas.
- Qu’est-ce que c’est, me dit-t-elle d’un air pincé en la pointant du doigt.
- Laisses moi t’examiner, rajoute-t-elle en me déshabillant rapidement.
Elle admire ma lingerie en connaisseuse pendant que je m’allonge sur la table d’examen.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec une lueur trouble dans le regard.
Après m’avoir fixé les pieds dans les étriers, elle se place entre mes cuisses en jouant un moment avec le cône en acier planté dans mon fourreau.
Puis, elle le retire en enlevant également mon préservatif.
- Combien de queues as-tu prises dans les fesses aujourd’hui ? Siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle scandalisée.
Je sourie intérieurement en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais m’amuser un peu avec toi, rajoute-t-elle d’un air équivoque.
Elle lubrifie abondamment mon anneau et plonge trois doigts dans mes fesses pour me faire bander.
Elle les fait coulisser sur des rythmes lents et rapides tout en me masturbant efficacement.
Puis, quand elle me voit bien excitée, elle m’aide à me lever et m’entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange objet ayant l’apparence d’un cheval d’arçons.
- Mets toi en selle, me dit-t-elle d’un ton autoritaire.
Elle règle la hauteur pour que mes jambes soient bien tendues et bloque ensuite mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Lorsque je suis totalement immobilisée, elle appuie sur le bouton d’une télé commande qui déclenche l’ouverture d’une trappe.
- Tu as maintenant un plug en métal de vingt cinq centimètres pointé sur tes fesses, me dit-t-elle suavement.
- Il va t’empaler lentement et t’élargir progressivement l’anneau.
Après avoir écarté la fente de mon slip pour dégager ma rosette, elle appuie sur une autre touche et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon oeillet se contracte au contact froid de ce cylindre d’acier qui le transperce.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en continuant à me masturber d’une main experte.
Ses caresses appuyées lèvent mes dernières craintes.
Au début, le pal me dilate lentement les chairs en me donnant des sensations plutôt agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter redouble mon excitation.
Un moment plus tard, la poussée du pieu devient de plus en plus forte et je découvre un plaisir étrange mêlé de douleur.
Puis, vient le moment où j’ai la respiration coupée en ayant la nette impression d’être ouverte en deux.
Vingt minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai incliné le plug vers l’avant pour stimuler ton point G, m’explique Mirella.
- C’est pour cela que tu bandes magnifiquement, rajoute-t-elle en souriant.
- Ton anneau est maintenant ouvert au diamètre d’une bouteille, me dit-t-elle d’un air amusé.
Son propos me surprend et j’ai du mal à la croire.
Sans plus attendre, elle me lèche la queue pendant que l’engin plongé dans mes reins se met à vibrer intensément.
Je craque lorsqu’elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte tes fesses sur le pal, me chuchote-t-elle à l’oreille en voyant les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Je gémis doucement lorsqu’une coulée de sève épaisse et continue sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge.
Complètement sonnée par cette longue éjaculation, je contemple le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe et que Mirella recueille sur sa langue.
Un moment plus tard, elle me détache et me fait enfiler une craquante combinaison en satin rouge par-dessus ma guêpière.
- Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Elle ne tarde pas à me rejoindre.
En plus de son déshabillé, elle a fixé à sa taille un étonnant gode ceinture.
Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.
- J’espère que cela te comblera ma chérie, me dit-t-elle en le tenant à deux mains.
En fait, Mirella a choisi de porter une prothèse d’une taille comparable au plug précédent pour ne pas me décevoir.
Elle s’allonge prés de moi et m’embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins contre ma poitrine.
Puis, me mettant sur le dos, elle place deux cousins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance entre ses cuisses.
- Maintenant remonte ta combinaison ma chérie.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle m’écarte les cuisses en contemplant ma rosette largement ouverte par les dilatations précédentes.
Très expérimentée, Mirella enfonce son majeur dans mes fesses en le recourbant vers le haut pour stimuler ma prostate.
Elle la trouve rapidement et sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son doigt
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
- Tu aimes cela n’est ce pas ma belle ?
En même temps, elle me masturbe d’une main experte.
- Je vais t’enfiler maintenant ma chérie, me dit-t-elle en glissant son mandrin entre mes cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives en me pénétrant lentement sans me quitter du regard.
Puis, pressant fortement ses mains sur mes hanches, elle l’enfonce brutalement de plusieurs centimètres d’un coup.
Agrippée à mes épaules, elle donne un puissant coup de reins qui le fait rentrer entièrement dans mes fesses.
- Te voilà complètement défoncée ma chérie, me dit-t-elle avec cynisme.
Soudée à moi, elle se tortille avec une habilité diabolique en décrivant avec son bassin de larges mouvements circulaires.
- J’ai trouvé ton point G, me dit-t-elle avec assurance.
Les tressautements de mon gland qui laisse couler un mince filet de sève ne tardent pas à lui donner raison et l’incite à me pilonner avec toujours plus de précision.
Je deviens un pantin entre ses mains dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la coulée de lave qui monte en moi, j’explose en inondant ma guêpière d’un flot de sperme.
Peu après, Mirella détache son gode ceinture et réajuste ses jarretelles en me jetant un regard enflammé.
Puis, elle se masturbe avec un érotisme torride avant de me rejoindre sur le lit.
Décidée à la surprendre à mon tour, je l’allonge sur le dos.
J’enfile un mini bas en latex sur mon pied que je lubrifie abondamment et sans la quitter des yeux, je plonge mon orteil dans son anneau brûlant de désir.
Décrivant de lentes rotations, j’engage peu à peu une partie de mon pied dans sa grotte.
Le pressant dans ses mains, Mirella le fait coulisser un long moment dans son fourreau en gémissant de plaisir.
Peu après, changeant de registre, je décalotte son gland en le frottant sur le nylon de mes bas.
Elle tremble de désir lorsque lui faisant face, je m’empale à califourchon sur sa verge en poussant une à une des boules anales dans son oeillet.
Sa respiration devient haletante quand je bascule en alternance mon bassin d’avant en arrière en tournant lentement mes fesses sur sa queue.
Puis, je contracte mes sphincters qui deviennent une véritable pompe à sperme.
Enfin, je me trémousse jusqu’à ce qu’elle succombe à mes ardeurs en m’empalant de tout mon poids sur son sexe.
Quand elle explose en moi, le corps agité de nombreux spasmes, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup les boules anales de sa chatte.
Elle pousse un cri rauque et a un dernier soubresaut avant de s’immobiliser.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.