Cette histoire s’est déroulée durant l’été 2003, vous vous souvenez l’année de la canicule. C’était l’après midi, j’étais dans un appartement, toute seule, il faisait super chaud – 30°C au bas mot. J’avais fermé les volets pour ne pas faire rentrer la chaleur, et je m’étais mise à l’aise pour ne pas trop souffrir de la température : je portais simplement un long tee-shirt qui me cachait ma petite
culotte. Même habillée comme cela, je transpirais à grosses gouttes. J’étais couchée dans le canapé, et je me souviens que je me demandais sérieusement si je n’allais pas me faire couler un bain tout froid pour me rafraîchir.
Et puis soudain, j’ai entendu la sonnette de l’appartement. Je suis allée ouvrir. Il s’agissait de deux plombiers en bleu de travail qui venaient réparer une fuite dans l’évier de la cuisine. Je les ai fait entrer, et je leur ai montré où se situait le problème. Ils se sont mis au travail, je pensais faire la conversation avec eux, mais ils n’avaient visiblement pas envie de discuter. Après avoir rapidement fait le nécessaire, ils m’ont demandé d’aller faire couler un peu d’eau pour voir si la réparation tenait.
Pour cela, je devais enjamber ces deux messieurs qui étaient toujours grosso modo couchés sur le sol, la tête dans le meuble de l’évier. Le problème était qu’ils allaient avoir une vue plongeante sur ma culotte s’ils regardaient en l’air. Je l’ai quand même fait, tout en surveillant leur réaction, on ne sait jamais s’ils avaient l’idée de me violer. J’ai bien fait, car j’ai vu le plus jeune donner un coup de coude à l’autre pour lui dire de regarder. Je suis certaine, que ce genre de chose leur arrive régulièrement
Une fois que nous avions la certitude que la réparation tenait, je leur ai proposé de boire quelques choses avant qu’ils ne s’en aillent. Ils se sont donc assis à table, et je leur ai servi une bière bien froide à chacun. Je ne me souviens plus exactement, mais je crois que j’ai pris un coca et je me suis assise avec eux. J’avais à peine commencé à boire ma canette, que je me suis rendue compte que la leur était déjà vide, alors je leur en ai proposé une seconde qu’ils ont accepté. Je me suis levée, je me suis dirigée vers le frigo. Avant même de pouvoir l’ouvrir, j’ai senti une grosse main se poser sur mes fesses. Je me suis retournée un peu surprise quand même, et ils étaient là, tous les deux, face à moi.
J’ai commencé à avoir un peu peur, car non seulement ils me bloquaient le passage, mais en plus leurs regards avaient changé. J’ai voulu me dégager pour les inviter à s’en aller, mais je n’ai pas pu passer de l’autre côté. Ils m’ont attrapé !
J’ai commencé à avoir réellement très peur qu’ils me violent car non seulement ils me tenaient fermement, mais en plus ils me faisaient très mal et ils essayaient de mettre leurs mains un peu partout. J’ai voulu crier, mais l’un d’eux m’a giflé violemment avant de me mettre sa main sur ma bouche pour me faire taire. Je me suis alors débattue comme j’ai pu en essayant de les gifler, en les mordant, en leur donnant des coups de pieds. A une ou deux reprises, j’ai bien cru que j’avais réussi, mais malheureusement pour moi ils m’ont rattrapé. C’était terrifiant, j’ai cru qu’ils voulaient me violer puis me tuer ! Ils ont fini par m’attraper de telle sorte que je ne pouvais plus rien faire – j’ai eu la peur de ma vie.
Ils m’ont alors emmené comme cela sur le canapé du salon pour me coucher dessus. Pour que je ne puisse pas m’enfuir, l’un me tenait les jambes, et l’autre le haut du corps. Ils étaient si forts, que j’avais beaucoup de difficultés à leur résister. C’est ainsi, que celui qui s’occupait de me tenir les pieds, n’a pas eu beaucoup de mal à m’écarter les cuisses. J’avais l’impression que ses bras s’appuyaient sur moi, lui laissant la possibilité de faire un peu ce qu’il voulait avec ses mains. L’autre par contre, je lui ai donné beaucoup plus de mal car il devait m’attraper les mains.
Au final, ils ont réussi, je ne sais pas comment, à m’enlever mon tee-shirt. Quand ce fut fait, celui qui me tenait le bas, a réussi à baisser mon soutien gorge. Du coup, son collègue, qui m’étranglait d’une main, à commencer à me caresser les seins avec l’autre tout en essayant de m’embrasser. Mon string n’est pas resté non plus très longtemps sur moi, l’un d’eux me l’a enlevé, et il a commencé à me doigter.
Evidemment, ils n’en sont pas restés là ! Même si par moment, j’arrivais à dégager mes jambes, celui qui me tenait les pieds avait réussi à baisser son pantalon pour sortir sa bite et me violer. Quant à l’autre plombier, il a réussi à me forcer à lui tailler une pipe en me faisant hyper mal au bras si je ne faisais pas ce qu’il demandait. Autant dire, que je mettais tellement débattue, que je commençais à ne plus avoir de force pour résister à mes deux violeurs !
Ils ont profité de mon passage à vide pour m’obliger à changer de position. Ils ont réussi à me mettre à quatre pattes sur le canapé, et tout en me tenant un bras dans le dos pour que je continue de leur obéir, l’un est passé par derrière pour me prendre en levrette, pendant que l’autre était devant moi pour que je le suce. J’ai bien fait une tentative de rébellion, mais j’ai bien cru qu’ils allaient me casser le bras !
Ensuite, ils m’ont assise dans le canapé, et ils sont montés debout dessus tout en s’appuyant lourdement sur moi. Ils me faisaient atrocement mal. Le but était que je mette leurs deux bites dans ma bouche en même temps, et ils ont réussi !
Après ça, ils m’ont recouché sur le dos pour me relever les jambes et me violer chacun leur tour. Celui qui ne me pénétrait pas m’étranglait à moitié pour se branler au dessus de ma figure, et me pénétrer la bouche quand il en avait envie.
Je sentais que mon calvaire touchait à sa fin car ils étaient moins virulents, ça tombait bien, ils m’avaient épuisé. Je ne résistais même plus, j’étais résignée. Alors ils ont voulu finir en beauté en me sodomisant. Bien évidement, ils n’ont pas eu beaucoup de mal à m’enculer car je suis naturellement très dilatée.
Le plus vieux a commencé à me sodomiser le premier. Voyant que sa queue rentrait comme dans du beurre, il a commencé à me traiter de salope, de pute, … ce qui a excité son copain qui m’a obligé encore une fois à le pomper en attendant son tour. Le mec m’a défoncé le cul, il me faisait extrêmement mal, ce qui semblait lui donner encore plus de plaisir. Heureusement pour moi, il n’a pas mis bien longtemps à m’éjaculer dans le fion.
Son copain a rapidement pris sa place. A son tour il me l’a mise bien profond. Comme si cela ne suffisait pas, celui qui venait d’éjaculer voulait que je lui nettoie son sexe en le léchant. Au point ou j’en étais, il suffisait qu’il me le demande pour que je le fasse, mais non, encore une fois, il a fallu qu’il me fasse mal, et je l’ai fait.
Je ne sais pas pourquoi, mais le plus jeune n’a pas balancé la purée dans mon anus, il a fallu qu’il éjacule sur mon ventre et mes seins. J’en avais partout, mais j’étais enfin débarrassée d’eux. Ils ont quitté la pièce en me laissant seule sur le canapé. J’étais épuisée.
Après de longues minutes, de récupération, je me suis levée pour retourner dans ma cuisine. Mes deux violeurs étaient là, entrain de siroter une bière.
- Alors les gars vous avez aimé ?
- Génial, tu es vraiment très douée.
- Vous aussi, j’ai pris un pied d’enfer
…
J’ai bu avec eux une bière, et nous avons discuté un peu ensemble.
Je pense que je vous dois une petite explication. Cette histoire m’est réellement arrivée, sauf qu’il ne s’agissait pas d’un viol comme vous l’avez peut-être cru. En effet, au cours d’un de mes petits délires de l’époque, je suis tombée sur des gens qui organisaient des sauteries un peu spéciales comme celle-ci. Ils proposaient de donner la possibilité à leurs membres de réaliser des expériences sexuelles hardcore. En l’occurrence, je rêvais de me faire violer – chacun son trip – et les deux hommes qui m’avaient rendu visite, mais que je ne connaissais pas, souhaitaient participer à une scène de viol. On nous a organisé un petit scénario pour prétexter la rencontre, et ça c’est fait.
Je tiens juste à préciser clairement à ceux à qui j’aurai éventuellement donné des idées :
# qu’il s’agissait d’un jeu sexuel (spécial, je vous l’accorde) entre personnes consentantes.
# le viol est un crime qui est puni par la loi.
A bon entendeur…