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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Découvrant le Plaisir (t) -

Auteur : Ivan Ribeiro Lagos

Avant la fin de la saison, la jeune fille avait éclipsé toutes les autres débutantes. C´est alors qu´elle annonça sa décision d´épouser Lord Schiffer. Yvonne qui avait tout d´abord été enthousiasmée en apprenant la nouvelle, déchanta lorsqu´elle vit le fiançé de sa soeur. Lord Schiffer lui parut très vieux et peu attirant, ses cheveux étaient gris, il était légèrement bedonnant et s´exprimait d´un ton sentencieux.

- L´aimes-tu vraiment, Geneviève ? Avait-elle demandé à sa soeur aînée.

Celle-ci avait haussé les épaules avec désinvolture, tout en arrangeant sa coiffure devant le miroir de leur chambre.

- Lord Schiffer est très riche et il occupe une position importante dans le monde politique. Elle était bien décidée à trouver un époux qui lui ferait mener une vie confortable et lui ouvrairait les portes de la société……

Yvonne sa soeur n´avait pas une telle position. Elle ne revait que de galants cavaliers prêts à affronter un dragon pour sauver l´élue de leurs coeurs. Or Yvonne ne pouvait imaginer Lord Schiffer en train d´accomplir de pareils exploits. Après tout, songea-t-elle avec un soupir résigné, si Geneviève désirait vraiment l´épouser; tout était pour le mieux. Leur mariage fut célébré en grande pompe, ce fut le mariage de l´année, un grand nombre d´invités se pressaient dans l´église. La celébration s’acheva. Puis Geneviève partie en voyage de noces avec Lord Schiffer.

- Comment sa soeur, qui était si ravissant, pouvait-elle aimer un homme assez vieux pour être son Père ? Remarqua Yvonne avec une moue désapprobatrice. Sans doute aurait-elle tôt fait de regretter sa décision !

Cinq ans plus tard et, voilá qu´au moment où on l´attendait, le moins Geneviève, plus jolie que jamais, faisait sa réapparition !

- Tu n´as jamais été aussi belle Geneviève ! Murmure Yvonne, sa soeur ne put réprimer un sourire.

- Et maintenant que mon deuil est terminé, j´ai bien l´intention de profiter de la vie…..

- Ton Deuil ? S´exclama sa mère, que veux-tu dire ?

- Réellement maman ! Ne lisez-vous donc jamais les journaux ? Schiffer est mort…..

- Je suis dérsolée ! Exclama sa mère.

Depuis de la mort de son époux, le bilan de ses relations masculines étaient un désastre. Elle avait le chic pour attirer les chasseurs de fortunes, les dragueurs fauchés, plus quelques ivrognes de temps à autre pour faire bonne mesure. Des qu´il s´agissait des hommes, elle était d´une faiblesse totale.

* * * * * * * * * * * * * * *

Le propriétaire de  » Ma Maison « , l´accuellit à l´entrée du petit restaurant en terasse. Elle se laissa embrasser une fois sur chaque joue puis, tout en promenant un regard d´aigle sur la clientèle pour ne pas rater une tête à saluer, emboîta les pas au garçon qui la pelotait vers sa table. Joélle, une de ses amies les plus intimes, était déjà là. Les deux amies s´embrassèrent en s´effleurant les joues, puis geneviève s´enquit auxieusement :

- Je ne suis pas en retard au moins, ma choute ?
- Pas de tout. C´est moi qui suis arrivée en avance.

Après avoir admirées leurs toilettes respectives, elles échangèrent les « Tu es superbe » de rigueur et tournèrent les yeux vers les autres tables. Elles gravitaient dans les mêmes cercles et partageaient les mêmes centres d´intérêt: Toilettes, argent, sexe. En autre, aucune d´elles n´avait d´enfant. Geneviève était stérile, et Joelle n´en voulait pas. Joélle lançait les modes. Elle pouvait faire ou défaire un couturier, un restaurant, un artiste, un traiteur, si Joélle apposait le sceau de son approbation sur une personne ou une chose, c´était gagné pour eux. Elle avait au style, les bras long et une forte personnalité. Elle avait une peau foncée et une voix très douce. La gentillesse se lisait dans ses yeux bruns, la sensualité sur ses lèvres charnues.

- Je vais te dévoiler un secret, un secret que je ne livre qu´à mes très bons amis. Son amie attendit, tandis que geneviève marquait son effet d´une pause théâtrale. Finalement, elle annonça d´une voix triomphante.

- Je voudrait faire l´amour avec toi………

A un moment leurs regards se sont croisés. elle a eut envie de lui dire « Je t’aime » mais aucun son n’est sorti de sa bouche. Elle parlait avec les yeux, et Geneviève pense qu’elle comprenait.

Geneviève passe la langue sur ses lèvres voluptueuses, essayant de garder son calme. Mais sa voix débordait d´émotion.Elle paraissait affectée, au bord de la crise de nerf. Son amie Joélle l´écouta attentivement en triturant entre deux doigts une boucle blond platine. Elle le fixait des yeux bleux protubérants en se mordant la lèvre inférieure. Elles échangèrent des sourires chaleureux. Puis Joélle lui confessa :

- J’aime les femmes comme j’aime le chocolat ou alors une promenade au clair de lune, parce que c’est bon, parce que ça me plait, parce que j’en ai envie. Je pense aussi que je me suis bien acceptée désormais… sans même faire d’analyse : Je n’en avais pas vraiment pas besoin. J’ai depuis toujours ressenti un trouble diffus lorsque je me trouvais tout prêt d’une copine. C’était plus fort que moi, cette impression d’être comme au bord d’un précipice, inexorablement attirée par le vide. Ca m’en donnait le tournis.

Alors son amie Joélle l´invitait à un déjeuner chez-elle le lundi suivant. Le lendemain lorsqu´elle fut installée au volant de sa Mercedes. elle poussa un long soupir. Les rayons du soleil, extremement chaud dans la voiture caressaient ses cuisses. Elle posait sa main sur l’une d’elles, et caressait aléatoirement la peau chaude et lisse. Ses doigts remontèrent vers son sexe, il était entre-ouvert, humide, chaud. Elle avait pris soin de s’épiler la vulve et ses abords, seuls subsistait un triangle de toison situé haut sur le pubis. L’épilation était parfaite, le passage des doigts se faisait sur des zones lisses, agréables à caresser.
La journée commençait bien, elle demarra et s´éloigne. Elle se rassurait finalement en se disant qu’ elle avait déjà franchi le seuil du non-retour en acceptant ce rendez-vous, elle avait répondu « Oui » non pas sur un coup de tête mais après une mûre réflexion. De toute façon, Geneviève avait envie de faire l’amour avec une femme. Depuis longtemps. Elle était excitée par ces révélations, d’exprimer ses désirs. Elle voulait partager des moments intenses de caresses, de gestes d’amour, d’intuitions féminines. Qui plus qu’une femme serait capable de savoir le plaisir qu’elle pourrait procurer ou recevoir pendant un acte d’amour ?

Vingts minutes plus tard, elle arrivait sur Alphaville dans l´opulent résidence de son amie Joélle. C’était une agréable après midi ensoleillée de Juillet, il faisait chaud. Les odeurs du sol et des plantes remontaient amplifiées.
Plusieurs jardiniers mexicains travaillaient sur la pelouse nette comme un tapis-brosse. Un autre mexican vint ouvrir la portière.Une fois devant chez elle, Geneviève s’approchait de la porte et elle fit retentir la sonnette de sa maison. La porte s’ouvrit et elle vit Joélle derrière la porte. Elle avait l’air surprise de la voir. Il l’aperçoit et lui lance un sourire de satisfaction en la voyant arriver.

Elle portait comme convenu une jolie robe d’été. L’excitation pointa à l’idée qu’elle ne portait probablement aucun sous-vêtement en dessous. Joélle la fit alors entrer dans sa maison. Geneviève devinait les formes de son corps sous sa robe. La fluidité du tissu amplifiait la grâce naturelle, qu’elle dégageait en marchant. C´était assez impressionnant pour une celibataire. Il n’était pas très grand mais il était superbement équipé. Il y avait un superbe salon avec un grand divan en cuir noir placé devant une immense télévision. Le salon était séparé de la cuisine par une sorte de bar en marbre. Elle pouvait voir également grâce à une porte ouverte un immense lit recouvert de draps en satin. Il s’agissait de la chambre de Joélle… La salle de bain possédait une très grande baignoire circulaire. Il y avait moyen d’y installer plus d’une personne…

- Tu devais poser une pancarte « foyer de travailleurs immigrés en situation irrégulière ». Plaisanta Geneviève.
- Pas un seul qui parle un mot de français ou d´anglais. Dit Joélle souriente. C´est magnifique, quelle paix !
- J´imagine ! Murmura geneviève suivant son amie dans l´immense salle de séjour.

Un original de Picasso trônait au-dessus de la chaminée de marbre, les murs étaient décorés d´un éventail varié de toiles de maîtres. Les deux femmes étaient de bonnes amies. Joélle était une jolie jeune femme. Elle avait des yeux bruns, des cheveux noirs mi-longs. Elle était mince mais avait de belles formes. Elle mesurait environ 1 mètre 75. Dans un sens, elle me ressemblait assez bien d’un point de vue physique aussi. Elle s’habillait généralement avec de belles robes courtes et des débardeurs. Elle, si froide, si stricte, si hautaine, paraissait soudain presque pitoyable et retrouvait âme humaine. Elle était très sexy… Elle parlait doucement, elle sourit. Elle passa une main dans mes cheveux, ses caresses redoublèrent dans les cheveux et son cou. Son parfum était agréable, frais, compromettant. Ses lèvres se lièrent. La glace était brisée. Elle embrassait très bien et diffusait une agréable sensation. Ses mains étaient parties à la découverte des formes de chacune. Elle se recula, la regarda intensément et lui dit doucement :

- J’ai envie de toi maintenant ! tout de suite !

- Tu ne perd rien pour attendre !

- Viens !
- Viens t’asseoir près de moi Geneviève…

Mais cette promiscuité la rendait nerveuse, extrêmement nerveuse, Joélle lui prit la main pour la calmer, la rassurer. Cool chérie, n’aie pas peur, nous sommes ensemble toutes les deux pour passer d’agréables moments. Elles sont retombées dans les bras l’une de l’autre. Elles se sont retrouvées sur le canapé, à se caresser, s’embrasser. Joélle a hasardé un bisou aux coins de ses lèvres. Comme si elle n’attendait que ça, sa bouche a cherché la sienne, dans une offrande totale, elle s’abandonnait. Geneviè a senti son cœur palpiter un peu plus vite dans ma poitrine comme à chaque fois : je l’adorais.
Elle se sont déshabillées mutuellement en se câlinant. La bouche de Joélle dessina un « oh ! » d’admiration en découvrant le corps de Geneviève, ses seins, ses hanches, son minuscule triangle, son pubis épilé. Elle ne fit pas tomber sa robe, au contraire, elle approcha ses lèvres de mon sein gauche et entrepris une découverte du bout de sa langue. Geneviève était très excitée, sa main parcourait sa chevelure. Son corps réagissait à ses caresses, ses mamelons s’étaient durcis, sa peau recevait des caresses et la retransmettait avec une volupté insoupçonnée les effets des mains baladeuses.

Joélle voulait revoir et surtout toucher le sexe de Geneviève. Elle voulait sentir Joélle contre elle. Elle se sont câlinée un bon moment, se caressant de nombreuses fois, elle avait remontée ses pieds sur le canapé, les cuisses largement écartées, la tête rejetée en arrière, et deux doigts de sa main droite qui tantôt s’agitaient sur son bouton d’amour, tantôt plongeaient dans son intimité, sa main gauche allant de son téton gauche a son téton droit et vice versa.
Geneviève la laissa faire, s’agenouilla a son tour sur le canapé, cuisses écartées, et entreprit de faire comme Joélle ! Elle se regardaient, toutes étonnées de la tournure des évènements ! Des seins fermes, généreux, un ventre légèrement ondulé, des hanches larges, un pubis large, une toison présente mais particulièrement entretenue rase et nette, des cuisses lisses et dorées, Joélle est aussi très belle…

Elle finie par s’écrouler sur Joélle, après un orgasme supplémentaire. Joéllee commença a taquiner les tétons de Geneviève avec la langue, elle sentait ses mains dans ses cheveux. Geneviève dirigea ses baisers vers le ventre de Joélle en pensant au plaisir qu’elle prenait lorsqu´elle lui mangeait le clito ! Elle atteignit bientôt le bas ventre de Joélle, elle joua avec ses lèvres intimes, puis se jeta sur son bouton, qui était tout rouge et sorti de sa prison ! Tout était trempé ! Elle en profitait et Joélle, au son de ses gémissements appréciait ! Et elle le lui disait.
- Oui continue Geneviève ! C’est bon, j’adore ! Bouffe moi bien ! C’est super comme tu me suce !
- T’aime te faire sucer finalement ! Ma Joélle ! Petite salope ! Tu es trempée ! Je vais encore te faire jouir !
- Oui ! Continue ! Mais donne moi ton minou ! J’ai une grosse faim de ton minou ! .
Elles se mirent en position de 69, et Geneviève sentit les lèvres et la langue de Joélle sur son bouton. D’un coup de langue expert elle entreprit de forcer son intimité. Elle démarra doucement par le bord des lèvres puis petit à petit et plus précisément elle ouvrit le puit afin de recueillir le liquide sucré de son sexe. Joélle avait tenté de lui administrer sa même felation, mais le plaisir devint intense et égoïstement elle se soumit à Geneviève et aux assauts de cette langue. Son clitoris ne fut pas oublié. Elle le mouilla, le roula entre ses lèvres, le fit grandir, émerger de mon joli abricot, puis le caressa du bout des doigts.

Geneviève redressait difficilement sa tête pour venir fouiller dans la raie des fesses, langue en avant. Joélle se pencha en avant et le mouvement permis de découvrir l’orifice rosé de son petit trou. Elle salivait un peu et vint passer un peu d’humidité sur l’étroit anneau. Sa langue commença une caresse circulaire puis entreprit une perforation. Joélle semblait apprécier, sa croupe ondulait sous les assauts de sa langue. Elle mouillait encore plus et approchait un doigt du petit anneau amadoué. Son doigt pénétra sans difficulté et déclencha un râle de sa partenaire. Elle l’astiquait encore plus vite afin de mieux entendre ses sons ô combien excitants.

- Humm… je le sens bien… il me remplit bien.
- Oh oui !! C’est vrai…Enfonce-toi bien à fond… je jouis… oui… je viens… ah… c’est trop bon ! »

Joélle lui dit que c’était bon entre deux respirations courtes et vint finalement s’empaler sur son doigt entier, elle cria, lui dit de mettre deux doigts dans son vagin, elle s’executa et la branla encore plus fort. Joélle se mit à émettre des râles de plus en plus forts, elles partirent a nouveau dans un orgasme ! Elles restèrent dans les bras l’une de l’autre un long moment encore, toute étonnées de leur nouveau jeu ! Elle se parlairent un moment, se disant qu’elles avaient adorée toute les deux ! Et se prometairent de recommencer ! Il y avait une nouvelle complicité entre elles !

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