Nous ne pouvions pas le faire, nous ne devions pas le faire, pourtant nous voulions tellement, nous étions tellement excités que rien ne pouvait nous empêcher de faire l’amour.
Charles devait retourner vers son épouse, je le savais très bien, mais pourtant, je ne voulais que lui.
Toute la soirée je ne pensais qu’à lui faire l’amour, mais tous ces gens autour de nous nous en empêchaient.
Lorsque nous ne sommes retrouvés enfin seuls, ma chatte se mouilla
soudainement et tout ce qui me passait par l’esprit était quand aurais-je le plaisir de sentir sa belle grosse queue au fond de moi.
Heureusement, Charles avait la même idée que moi.
Notre dernier invité était à peine parti que déjà il avait commencé à m’embrasser et à serrer ma poitrine entre ses grandes mains.
Chacune de ses caresses m’envoyait un courant électrique d’une puissance encore inconnue.
Je n’avais qu’une idée en tête : qu’il me mette le plus tôt possible et qu’enfin cesse la douleur que je sentais entre mes cuisses.
Nous nous embrassions passionnément, comme pour nous signifier à quel point nous nous étions manqués l’un à l’autre.
Je sentais son sexe se gonfler contre mon ventre.
Il était prêt et moi aussi.
D’un geste rapide, il fît glisser ma robe, dévoilant ma plantureuse poitrine.
Il se mit à embrasser mes mamelons, les rendant aussi dures que sa verge.
Lorsqu’il descendu plus bas et ce mit à me manger, le jus de ma chatte se fit encore plus chaud.
N’en pouvant plus, je saisis sa queue, la suçant quelque instant afin de m’assurer de son ardeur et sans plus attendre, je me retournai afin de lui faire comprendre qu’il était temps qu’il me prenne.
Charles, en bon baiseur, saisi sa queue bandée et me l’enfonça du plus profond qu’il pouvait.
Jamais il m’avait été aussi dur.
Dieu que c’était bon de le sentir ainsi.
Je savais qu’il aimait ça par ses gémissements et ses remarques cochonnes.
Lui, à m’entendre lui demandé de me mettre encore et encore, savait qu’il avait touché un point faible.
Plus sa grosse queue s’affairait à me fourrer, plus j’étais mouillée et plus le mouvement de va-et-vient, au départ lent et maintenant très rapide, me rendait folle.
Charles saisi mes mamelons entre ses doigts du plus fort qu’il le pouvait, mais moi je ne sentais rien tant le plaisir que me procurait sa queue m’excitait.
Lorsqu’il m’entendit jouir d’un plaisir obscène, Charles savait qu’il n’avait qu’une chose à faire, me forcer à le sucer jusqu’à ce qu’il vienne car c’était ce qu’il l’excitait le plus.
Me retournant d’un geste brusque, il me fît signe de me mettre à genoux, ce qui je fît sans chigner.
Il ne le savait pas, mais sucer cette belle grosse queue me procurait tellement de plaisir que je le fît du mieux que je pu.
Y allant doucement au départ, je continuais avec l’aide de ma main, tout en continuant le même rythme langoureux qu’il aimait tant.
Le jeu de ma langue et de mes doigts eut tôt fait de le faire monter au septième ciel et moi, en bonne maîtresse, j’avalai jusqu’à la dernière goutte et j’arrêtai de le sucer lorsqu’il arrêta de gémir de plaisir.
Charles se rhabilla, ramassa sa mallette et repartit à la maison.
A-t-il baisse sa femme ce soir là? Je n’en ai aucune idée, mais une chose est certaine, ce n’était sûrement pas à elle qu’il pensait s’il la prit ce soir-là!