C’est une journée d’été sur Paris, comme il peut y en avoir au mois d’août, très chaude et écrasante. Ayant fait un tour pour tenter de trouver un peu d’air, je reprends le métro pour traverser Paris. Je m’assoie sur le strapontin. Trois personnes sont dans le wagon. Une station plus loin, une jeune femme entre dans
la rame et s’assoie sur le strapontin en face mais de l’autre coté. Elle porte une jolie robe à fleurs rouge et de fins escarpins à talons qui lacent ses pieds bien faits. Elle a de beaux cheveux longs quelle noue en une queue de cheval laissant apercevoir le début du galbe de son sein sur le coté de sa robe. Elle me lance un regard de ses grands yeux verts et me sourit furtivement.
Un peu plus loin, les touristes affluent dans la rame. Nous devons tout deux quitter nos strapontins et nous regrouper contre la porte opposée. Au fur et à mesure que les passagers entrent dans la rame, elle se rapproche de moi. La pression augmentant la voila maintenant le dos collé à moi. Elle se retourne rapidement. Je lui sourie.
Elle dégage un doux parfum de vanille qui m’enivre et son cou appelle mes baisers. Je me surprends à rêver de son corps. Mes pensées ne me laissent pas de glace et je sens mon corps réagir.
Soudain, au détour d’un virage ou nos corps s’entrechoquent, je sens quelque chose d’inhabituel. La main de la belle placée dans son dos cherche et jauge mon désir. Elle trouve l’entrée de mon pantalon et avec habileté arrive directement au but et s’empare de mon sexe qui gonfle en quelques secondes. Je pose une main sur sa taille pour la garder contre moi, souhaitant que mes voisins n’aient pas l’idée saugrenue de baisser les yeux.
Ses petits doigts virtuoses parcourent mon gland et s’attardent sur les zones érogènes qui font monter en moi le désir. De ma main droite, je remonte discrètement sa robe et passe en dessous. Réussissant à franchir l’obstacle du string, j’entreprends de pénétrer un doigt dans cet écrin de chair brûlante et trempé. Je rêve de pouvoir y venir tout de suite, de pouvoir fusionner avec elle. Elle contracte son vagin sur mon doigt et se rapproche pour que je puisse explorer les profondeurs de son corps.
Quelques minutes plus tard, profitant des cahots du métro, son rythme s’accélère. Je ne tiens plus en place. Sa main enserre mon sexe et dans un doux mouvement de va et vient, obtient de moi plusieurs jets de ma semence bouillante. Mes jambes flagellent, mes yeux se ferment ma main se crispe sur sa hanche.
Elle se retourne souriante, battant au passage mon visage de ses cheveux et me lance : c’est là que je descends, au revoir ! Je me précipite pour remonter la fermeture de mon pantalon, n’osant regarder les dégâts. Je la suis du regard alors quelle disparaît dans les couloirs du métro. Trois stations plus loin je souris encore en pensant à ce qui venait de m’arriver.