Auteur : sandratvtg
Je rencontre Barbara régulièrement et c’est toujours avec impatience que j’attends sa visite.
Nous aimons la lingerie et adorons nous travestir pour mettre en scène nos fantasmes.
C’est une merveilleuse maîtresse qui n’a aucun tabou et adore les jeux de rôles.
Elle s’abandonne totalement quand elle se trouve en confiance et affiche une exceptionnelle féminité tant physique que
mentale.
- Je porte un lingerie craquante qui va te plaire, me dit-t-elle d’un air coquin.
Impatiente, je dégrafe un bouton de son corsage et m’aperçoit qu’elle a utilisé tous les artifices de la féminité pour se
rendre plus belle et désirable.
J’admire un instant sa jupe ultra courte qui laisse apparaître le pli de ses fesses. C’est un véritable appel au viol
d’autant que je vois dépasser ses jarretelles qui tendent ses bas à coutures.
Elle porte des bottes de lit à talons aiguilles d’où sortent deux cuisses fermes et fuselées.
Elle s’approche de moi avec un verre d’eau et un comprimé de viagra dans la main.
- Tu en auras bien besoin ma chérie si tu veux me donner du plaisir toute l’après midi. J’ai déjà pris le mien en partant
de chez moi et je sens qu’il commence à me faire de l’effet, me dit-t-elle en me couvant d’un regard brûlant.
Excitée par ses paroles, je tombe à ses genoux et remonte avec sensualité mes mains le long de ses jambes pour lui retirer
sa culotte en satin.
Sa queue plaquée vers l’arrière jaillit d’un coup sous mes yeux.
Je lui glisse un slip très sexy, fendu en son milieu qui met en valeur sa magnifique érection et expose opportunément ses
fesses.
La tête sous sa jupe, je lubrifie généreusement sa grotte d’amour.
- Ecarte maintenant les cuisses ma chérie, je vais t’assouplir l’œillet, lui dis-je.
Elle me sourie et ouvre ses jambes avec grâce pour m’aider à lui enfiler un plug.
Je l’enfonce avec douceur dans son fourreau en l’entendant étouffer un soupir de plaisir.
Assise devant la glace, elle fait crisser ses bas et frotte voluptueusement ses cuisses l’une contre l’autre.
Les yeux fermés, elle contracte ses fesses pour sentir vivre le jouet plongé dans son intimité. Je ne résiste pas à l’envie
de la trousser en sentant ma queue se durcir quand je lui palpe les seins.
Soulevant à nouveau sa jupe, ma main effleure ses jarretelles et se glisse dans la fente de sa lingerie pour saisir son
sexe rigide qui me fait découvrir ses attentes.
Elle frissonne de plaisir quand j’embrasse ses cuisses à la hauteur de ses bas et que je mordille tendrement le plug planté
dans son ventre.
Prise d’une pulsion subite, elle se lève très excitée et se place devant moi, un gode surgi de nulle part à la main.
Elle admire à son tour ma guêpière rouge en dentelle noire sur laquelle sont accrochés très haut des bas à coutures de même
couleur.
Elle contemple un instant ma verge tendue et tremblante de désir.
Elle se place derrière moi et enroule tendrement son bras sous mes seins avant de me chuchoter à l’oreille :
- Je vais moi aussi t’élargir la rondelle ma belle.
En équilibre instable sur mes talons aiguilles, elle me renverse facilement sur le lit cul par dessus tête
Sans que je puisse réagir, elle plaque mes jambes contre ma poitrine et écarte mes cuisses pour dégager ma rosette. S
aidant de tout son poids, elle m’enfonce d’un coup puissant le pal lubrifié dans les reins.
Une douleur vive me traverse les entrailles lorsque mes chairs s’écartent brutalement pour lui laisser le passage. Barbara
m’adresse un sourire triomphant quand elle me voit désespérément battre l’air avec mes jambes gainées de nylon pour tenter
d’échapper à son emprise. Habilement, elle tourne lentement le gode de droite à gauche et exerce de petites pressions très
précises sur ma glande. Epinglée comme un papillon, je me recroqueville sur le pieu qui m’empale et le saisis à deux mains
pour lui montrer comment me donner un plaisir maximum.
- Regarde comment je prends mon pied pour reproduire les gestes qui me font jouir, lui dis-je.
Emoustillée par ce spectacle, Barbara me contemple un moment et apprend vite la manière de me fouiller le ventre.
Après m’avoir donnée de longues minutes de bonheur qui me laissent au bord de l’orgasme, elle m’enfonce cet énorme sexe
jusqu’au ras des fesses en finissant de le pousser avec sa paume de main.
- Te voilà bien farcie ma belle, me dit-t-elle d’une voix aguichante en empoignant ma queue.
A peine l’a-t-elle prise en main que je décharge un flot de sperme épais sur ses doigts.
Ma libido apaisée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage et s’apprête à retirer sa
jupe en me jetant un regard en coin.
Je reste sous le charme lorsqu’elle la fait glisser sensuellement à ses pieds en me dévoilant ses dessous.
Harnachée comme une courtisane, elle est sûre de sa féminité et une lueur d’excitation brille sous ses paupières
lorsqu’elle se rend compte de l’effet qu’elle produit.
Je l’admire un moment, ses yeux et lèvres maquillés, son visage poudré, et sa longue perruque blonde qui lui va à ravir.
Elle porte un corset en satin rose et noir, un slip assorti et des bas fixés par dix jarretelles excitantes qui stabilisent
les coutures pour qu’elles restent droites lors de nos ébats.
Campée sur ses bottes satinées à talons aiguilles, je la sens prête à céder à mes moindres caprices.
La taille bien prise dans son corset qui met sa croupe en valeur, elle virevolte et se frotte amoureusement contre moi.
Lorsque je l’enlace et l’embrasse à pleine bouche, elle presse vicieusement son genou entre mes jambes en me déclenchant une
forte érection. Je craque devant cette merveilleuse salope qui connaît si bien mes envies.
Elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tenant la queue.
Elle s’allonge sur le dos, très provocante et ouvre lentement ses cuisses en me fixant d’un regard de braise.
Impudique, elle écarte malicieusement la fente de son slip et retire le plug pour que je la baise.
- Viens maintenant, j’en meurs d’envie m’avoue-t-elle d’une voix enflammée.
Avec fébrilité, je contemple son anneau qui palpite d’impatience et s’ouvre comme une fleur. Sa queue dressée tremble
d’excitation à quelques centimètres de mon visage.
- Prends moi et fais moi jouir avant que je m’occupe de toi, ajoute-t-elle d’un air prometteur.
- Avec surprise, elle se laisse bander les yeux car je souhaite qu’elle se concentre sur ses plaisirs avenirs sans
anticiper sur ce que je lui réserve.
La voyant s’abandonner, je ne résiste pas à l’envie de prendre son sexe en bouche pour maintenir sa magnifique érection.
Puis, je lui attache les chevilles et les poignets aux quatre angles du lit.
Sans défense, elle attend en souriant la suite des événements.
Je la laisse patienter pour qu’elle fantasme sur ce que je vais lui faire.
C’est donc avec un plaisir mêlé de craintes qu’elle attend immobile dans le silence…
Saisissant un vibromasseur, je stimule son gland et m’attarde sur son frein jusqu’à ce que je recueille sur mes doigts
quelques gouttes de sève que je dépose sur ses lèvres.
Puis, ma main, recouverte d’un gant lubrifié introduit progressivement un, deux, puis trois doigts dans sa grotte à la
recherche de sa glande intime.
Je la trouve facilement et Barbara gémit de plaisir quand je la masse avec insistance.
La queue gonflée de désir, elle cambre les reins pour m’aider à mieux l’explorer.
J’en profite pour glisser le long de son membre un anneau pénien qui va garantir durablement sa rigidité.
Troublée par sa forte érection, j’ai une envie irrésistible de m’empaler sur elle.
Lui faisant face, je m’assois sur son ventre et prend son sexe en main pour le guider dans mes fesses. Je creuse mon dos au
maximum quand je m’empale sur son cylindre de chair en sentant ses bourses me cogner l’intérieur des cuisses.
Enfoncée jusqu’à la racine de son membre, je reste un moment immobile pour éviter qu’elle n’éjacule trop vite.
Les mains posées sur ses seins sublimes, j’entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui
l’affolent et la laissent pantelante au bord de l’orgasme.
J’attends qu’elle se calme avant de l’exciter à nouveau. Je la serre avec mon muscle anal et fais tourner mon bassin en me
servant de sa queue comme pivot. Le souffle court, Barbara m’implore d’une voix suppliante :
- Doucement ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite, je veux te baiser encore un moment.
Lui accordant un instant de répit, je lubrifie un gode de bonne taille qu’elle ne peut pas voir. Elle se tétanise quand je
le presse à l’entrée de sa grotte. Surprise, la bouche ouverte, la poitrine haletante, elle se laisse sodomiser sans bouger.
Après une courte résistance, je pousse le pal d’une manière lente et continue pour l’enfoncer profondément dans sa grotte.
Elle partage avec moi ce moment de plénitude féminine, totalement possédée par ce membre généreux.
Je le remue avec perversité dans ses fesses jusqu’à ce que je la sente prête à exploser.
Attentive à ses moindres tressaillements, je la laisse le plus longtemps possible au bord de l’orgasme.
Quand je la vois s’agiter frénétiquement, je sais que le point de non retour est atteint.
Je pousse alors le gode à fond dans son cul en le vrillant pour la faire décharger.
Une vague de plaisir l’emporte, et je sens fuser son sperme en jets puissants dans mes fesses.
- Ne bouge plus ma chérie et laisse moi te vider complètement, lui dis-je en contractant puissamment mes sphincters pour
pomper ses dernières forces.
J’attends qu’elle reprenne ses esprits pour introduire mon sexe brûlant dans sa bouche.
Elle l’avale rapidement et gobe au passage mes bourses avant de buter contre mon ventre.
Avec gourmandise, elle lèche mon gland et creuse ses joues pour mieux m’aspirer.
La queue tendue, je ne résiste pas longtemps et ma sève fuse en giclées lourdes et épaisses dans sa gorge en lui
éclaboussant les lèvres.
Totalement apaisée, je peux à nouveau me concentrer sur elle.
Je sors du tiroir de la table de nuit un plug gonflable vibrant très efficace.
Après l’avoir enfoncé dans ses fesses, je gonfle rapidement le ballonnet pour lui comprimer la prostate.
Très réactive, sa glande d’amour se défend et laisse échapper un mince filet de sperme sur son bas.
- Ton clito coule trop tôt ma chérie, essaye de te retenir, lui dis-je en souriant.
Plusieurs fois de suite, j’amplifie le volume du ballonnet et le dégonfle dés que la tension semble trop forte.
S’habituant à ce jeu, elle me demande des pressions plus importantes.
Chaque insufflation supplémentaire lui écrase un peu plus les chairs et devient difficilement supportable.
Barbara respire de plus en plus fort et contracte ses muscles intimes pour résister à ces tensions internes. Elle râle de
plaisir lorsqu’elle sent vibrer le jouet dans ses entrailles. Très excitée, elle s’agite et tire sur ses liens.
Ses contractions anales se rapprochent et deviennent plus fortes, je décide alors de la faire jouir à ma manière.
- Laisse moi t’achever ma belle, je vais extraire ton sperme goutte à goutte, lui dis-je.
Allongée entre ses jambes, j’applique le vibromasseur sur son frein.
Dans un premier temps, je contrôle la lente coulée de sa sève en arrêtant les vibrations dés qu’une goutte de liqueur perle
à la surface de son gland et l’applique à nouveau jusqu’à ce que sorte la suivante.
La voyant au bord de l’orgasme, je la laisse souffler un instant avant de gonfler le plug aux limites extrêmes.
Barbara résiste un moment et mobilise ses muscles intimes pour contenir la pression.
Soudain, elle pousse un cri déchirant et se relâche d’un coup, car elle ne peut plus s’opposer à cette force phénoménale
qui lui dilate l’intérieur.
Je diminue la tension et lui dit :
- Maintenant ma chérie serre le ballonnet plusieurs fois de suite avec tes sphincters et tu jouiras du cul.
Suivant mes conseils, je vois qu’elle contracte ses fesses en cadence en se tordant de plaisir. Quelques secondes plus
tard, son sperme s’écoule en un jet continu et régulier sur son corset.
- Vide toi complètement ma belle, lui dis-je d’une voix douce en effleurant son frein d’un doigt jusqu’à l’épuisement de
ses réserves.
Peu de temps après, je détache ses liens et lui enlève son bandeau.
Nous faisons une longue pause pour récupérer des forces avant de reprendre nos jeux.
Laissant Barbara allongée sur le dos, je me place à genou face à elle en posant ses bottes à talons aiguilles sur mes
épaules.
La pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui finit par céder rapidement à mon ardeur.
Aspirée par son cul sublime, ma queue s’engouffre entièrement dans ses fesses.
Je suis fascinée par son anneau qui se déroule sur ma hampe quand je me retire et s’enroule à nouveau dessus quand je
m’enfonce dans ses reins.
Je la masturbe lentement en lui décalottant le gland à chaque coup de poignet. Mes yeux sont rivés aux siens lorsque je
coulisse dans ses reins en lui pressant la queue. Elle finit par jouir en déversant des giclées de sperme sur son corset.
Comblée par cet orgasme et très reconnaissante, elle s’active à son tour pour m’achever.
Elle m’adresse un sourire de courtisane expérimentée qui sait que je ne vais pas pouvoir lui résister longtemps.
Elle ondule du bassin et contracte ses muscles profonds maintenant bien entraînés qui me serrent puissamment le sexe. Au
moment crucial, elle m’enfonce sournoisement un doigt dans l’anus qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans
ses reins.
Je me retire doucement de ce nid d’amour et abandonne quelques gouttes de sperme sur la dentelle de son slip ouvert.
Quelques instants plus tard, avec un regard pervers, Barbara me prend la queue et la frotte voluptueusement contre ses
cuisses gainées de nylon.
Ce contact des fibres soyeuses sur mon gland m’électrise et je m’abandonne à ce massage qui ne tarde pas à me faire bander
à nouveau.
Quand elle me sent vibrer sous ses doigts, elle remonte sa main vers le triangle de mes cuisses qui s’ouvrent tremblantes
de désir.
Elle mordille tendrement mes bourses en me massant le gland du bout des doigts.
Saisissant un gode imposant et très irrégulier, elle le pointe sur mon anneau en exerçant de petites pressions successives
pour m’exciter l’anus.
- Tu vas sentir chacune de ses sculptures te rôder la pastille, me souffle-t-elle avec excitation.
Elle écarte mes fesses pour forcer mon passage.
Avec un sourire pervers, elle visse le gode dans mon oeillet qui s’élargit démesurément.
J’éprouve du plaisir en sentant les grosses veines de ce sexe me défoncer la pastille.
Experte, elle m’empale lentement sans me lâcher des yeux en tournant le gode pour que je sente son relief tourmenté me
masser les entrailles.
Quand elle voit mon regard se voiler, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite.
Je resserre les jambes et les frotte l’une contre l’autre pour jouir au mieux de la situation.
J’emprisonne ainsi le gode et sa main qui fouillent les moindres replis de ma muqueuse.
- Ecarte les cuisses et laisse moi finir de t’ouvrir le cul ma chérie car il reste encore plusieurs centimètres à
t’enfiler, dit-elle en me pilonnant la rondelle.
Elle se trouble quand elle voit les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland. Elle redouble alors
d’efficacité et m’enfonce toujours plus loin ce sexe infernal.
Déchaînée, elle colle ses lèvres sur les miennes pour étouffer mes plaintes avant de me poignarder le ventre de violents
coups de poignet.
Avec un frisson d’excitation, elle m’embroche jusqu’à la garde. Dans un état second, j’ouvre et ferme alternativement les
cuisses quand je l’entends me dire :
- Je vais maintenant m’empaler sur toi.
Elle me chevauche en me tournant le dos et s’enfonce lentement sur ma queue qui disparaît peu à peu dans sa grotte toute
mouillée de plaisir.
Puis, à deux mains, elle saisit le pieu planté dans mes fesses pour me fourrager le cul de plus belle. Elle voit mon anneau
se contracter fréquemment et sait que je vais bientôt perdre ma semence.
Il lui reste peu de temps pour agir. Elle décrit avec le gode de larges mouvements circulaires pour déclencher mon orgasme.
En même temps, elle me caresse les bourses et ondule du bassin en me serrant puissamment la queue.
Mes cuisses se mettent à trembler et j’essaie vainement de retenir mon sperme avant d’exploser dans son cul.
Barbara gémit de plaisir quand elle sent ma sève fuser en elle. Reconnaissante, elle remue doucement le gode dans mes
entrailles pour prolonger mon plaisir.
Ne me laissant aucun repos, elle me retourne sur le ventre et relève ma nuisette sur mes seins pour contempler ma guêpière.
Sa main caresse mes cuisses gainées de bas et ornées de jarretières.
Son désir s’accroît quand elle voit vivre par la fente de mon slip ouvert le gode qui tressaute encore de mon dernier
orgasme.
Impatiente de jouir en moi, elle le retire en exposant mon petit trou déjà très dilaté à ses instincts lubriques.
- J’ai à mon tour une envie folle de te baiser, me dit-t-elle.
Stimulée par cette vue, le sexe dressé, elle me pénètre avec lenteur.
Barbara s’arrête dés que la couronne de son gland passe mon anneau et me chuchote à l’oreille :
- Cambre toi davantage mon ange pour que je puisse t’enfiler à fond.
La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée du plaisir précédent, je fais ressortir ma croupe et contracte mon anneau
pour lui serrer la queue.
Son gland étant passé, elle s’enfonce d’un coup dans mon ventre.
Elle écarte mes fesses pour rendre plus efficace ses puissants coups de reins qui me font frissonner de plaisir. Totalement
allongée sur moi, elle m’excite en me mordillant l’oreille et la nuque.
- Te voilà bien prise ma belle, me souffle-t-elle.
Son bassin soudé à mes fesses, elle continue à me labourer les chairs avec ardeur.
Totalement comblée, je vis pleinement le moment présent. Je me sens dans la peau d’une femme qui sait qu’à tout moment elle
peut terrasser la queue qui la fouille et la faire décharger quand elle veut en elle.
J’éprouve ce sentiment de toute puissance quand je pompe Barbara avec mes fesses en la voyant succomber peu à peu. Au
moment que je choisis, elle s’effondre sur mon dos en m’inondant de son foutre.
Prenant notre temps, nous remettons de l’ordre dans notre lingerie et je tire sur mes bas pour aligner les coutures. Je
vois alors couler de mes fesses de longues traînées de sperme qui glissent sur mes cuisses et s’infiltrent dans ma
jarretière.
- Tu m’as mise la dose mon ange, lui dis-je admirative pendant qu’elle m’essuie l’entrejambe et me tamponne l’œillet avec
une serviette pour absorber le trop plein de sève.
Puis, nous restons allongées face à face en évoquant la manière la plus rapide pour jouir.
C’est l’association plug gonflable et vibromasseur qui à de loin notre préférence.
L’ensemble est une véritable pompe à sperme à laquelle personne ne résiste bien longtemps. Tête bêche, nous reprenons la
séance en s’excitant mutuellement le gland avec un vibro pour bander à nouveau.
Sachant bien ce qui nous fait vibrer l’une et l’autre nous nous donnons du plaisir sans aucune retenue.
Je la masturbe et lui pompe le sexe pendant qu’elle m’applique les mêmes gâteries sur un registre différent.
Je saisis un gode de taille moyenne pour la pénétrer, alors qu’elle me plante un gros calibre dans les fesses.
Je l’encule avec douceur en recherchant ses points faibles tandis qu’elle m’empale d’une manière plus virile en me
fouillant avec une telle virtuosité qu’elle m’arrache rapidement les premiers cris de plaisir.
J’essaye de garder ma lucidité pour me concentrer sur son orgasme, mais je sens qu’elle veut me faire jouir la première.
On s’engode ainsi longuement en voyant nos queues se durcir.
Lorsqu’elle me fouille les reins, je sens bien qu’elle s’enfonce plus loin que d’habitude et devant mon regard étonné, elle
me dit :
- Je ne t’ai encore jamais prise avec un tel monstre ma chérie.
Devant cette surenchère, nos corps ne font plus qu’un, et nos queues tremblent de désir en perdant un peu de sève à chaque
stimulation.
Barbara sait que j’adore l’orgasme anal et aime également sentir ma semence couler doucement dans sa gorge.
Pour ces raisons, elle remue lentement le gode en le tournant vicieusement dans mon fourreau pour me faire jouir du cul.
Puis, elle stimule la couronne de mon gland avec son doigt jusqu’à ce que je décharge longuement dans sa bouche.
Peu de temps après, Barbara ne peut plus résister au vibromasseur que j’applique sournoisement sur son frein et laisse
fuser sa liqueur en jets épais sur mes seins.
Elle me regarde en souriant éponger succinctement son sperme qui recouvre ma guêpière.
J’écarte ses cuisses pour lui enlever le gode. Il me résiste sans doute retenu par ses contractions anales. Mais, je finis
par le retirer en lui arrachant une plainte.
A mon tour, je sors le mandrin que j’ai toujours en moi et qui me colle aux entrailles du fait de son immobilisation
prolongée.
Barbara me regarde d’un air coquin et rie en voyant ma tête quand je retire avec précaution de mes fesses ce pieu qui n’en
finit pas.
Tu aurais pu prendre une taille en dessous, lui dis-je en regardant avec stupeur l’énorme pal qu’elle a osé utiliser.
Je rumine ma revanche et l’embrasse fougueusement pour distraire son attention.
Puis, j’écarte ses cuisses avec douceur et place sournoisement le gode géant contre mon genou en le rentrant de quelques
centimètres dans ses fesses.
Les seins dressés, elle cambre ses reins pour tenter d’amortir le choc et me regarde avec stupeur. Je contemple son visage
qui exprime tour à tour la surprise, la douleur et le plaisir quand j’appuie fortement et de manière continue mon genou sur
cet énorme sexe en le voyant disparaître progressivement dans la fente de son slip.
Je l’embroche longuement en lui caressant la queue jusqu’à ce que l’envie de me baiser la reprenne.
En pleine érection, elle retire le gode de son intimité bien décidée à reprendre l’initiative.
- Après ce que tu viens de me faire subir, je vais te violer sans scrupule me dit-t-elle en me renversant sur le dos.
Je me laisse faire et ne le regrette pas. J’aime lorsqu’elle me lèche et gobe mes bourses pendant que l’un de ses doigts me
pénètre doucement l’anus.
De son autre main, elle me masturbe avec lenteur en tirant à fond sur mon frein
Au bout d’un moment, me voyant suffisamment excitée, elle me dit d’une voix trouble:
- Donne moi tes fesses mon ange.
Je les écarte à deux mains et lui offre mon anneau resté largement ouvert par les jeux précédents.
Soumise, je relève les jambes et elle me saisit les chevilles pour me pénétrer avec plus d’efficacité. Elle m’encule d’un
grand coup de rein jusqu’à la racine de son sexe.
Ainsi, à sa guise, elle m’ouvre les cuisses, plie mes genoux, place mes talons aiguilles à la hauteur de mon visage pour me
prendre de toutes les façons en cherchant surtout à me clouer avec son dard.
Pilonnant mon oeillet, elle ne me quitte pas des yeux et suit la montée de mon orgasme.
Totalement prise, je vois mon sexe se durcir en sentant le désir me tarauder les reins. J’accompagne chacun de ses coups de
boutoir en me cambrant pour mieux m’empaler. Barbara m’entend gémir de plaisir et sourie très satisfaite d’avoir enfin
trouvé mon point sensible qu’elle perfore avec précision en accélérant la cadence.
Elle m’achève en me masturbant jusqu’à ce que j’éclabousse ma guêpière de longues giclées de sperme. Lorsqu’elle sort de
mes fesses, je croise mes jambes autour de sa taille pour l’immobiliser. Je serre ainsi sa queue entre mes cuisses et la
laisse reposer un instant sur mon ventre. Puis, je la branle d’une main pour la vider à mon tour. J’ai la sensation de me
masturber et de jouir une nouvelle fois quand sa sève se mêle à ma semence en fusant en jets épais sur ma lingerie. Epuisée,
elle s’effondre sur moi en m’écrasant les seins, le corps agité de ses derniers spasmes.
Sandra.