La sensation était inexprimable.
Je venais de me faire avaler tout entier par une chaleur moite, et l’extrémité de mon sexe, nu au fond du vagin de ma Cousine transmettait à mon cerveau des sensations fortes, extrêmes et d’une intensité jusqu’alors inconnue de mes sens.
Une sorte de peur m’envahit la seconde qui suivi ce ressenti.
Mégane venait de se réveiller, ma main sur ses seins et une partie de moi placée à un endroit parfaitement injustifiable.
Je n’avais aucune explication valide à donner à ma Cousine sur cette situation.
«Mon Dieu c’est toi», s’écria t-elle !
Tandis que je plaçai ma main sur son épaule pour m'appuyer et ressortir doucement de là ou j’étais importunément entré, avec la même force elle dit « Non ! », recula son corps davantage en me plaçant la main sur le dos sans se retourner, et m’attirant à elle.
Ce «Non !» me tétanisa, m’immobilisa.
Nous restâmes ainsi plusieurs minutes dans le silence de la pièce. Des minutes qui ressemblaient comme deux gouttes d’eau à des heures.
À ma grande surprise, je ne débandais pas.
Notre position, la situation, faisait que Mégane était là, prise par derrière par son cousin qui bandait encore comme un taureau en elle.
Était ce les pulsations de mon cœur, était ce son corps a elle qui s’animait intérieurement ? Je ressentais une pression régulière le long de mon sexe en elle, j’avais l’impression que mon érection augmentait encore, tant mon excitation était grande.
Lequel des deux devait parler en premier ? En tous cas personne ne bougeait, ne disait mot.
Elle me dit doucement.. «Depuis quand es tu en moi comme cela ?»
Je mentis.
«Je me suis réveillé quand tu as crié», répondis-je effrontément, n’ayant pas son regard à croiser.
Je ne t’ai pas vu grandir, mon Laurent, Nous ne devrions plus dormir ensembles depuis longtemps. Tu es un homme maintenant.
La conversation, si on peut appeler cela comme ça, était surréaliste, le Cousin, sa bite sous érection extrême fourrée dans sa Cousine, à la limite de l'éjaculation, la Cousine se pressant contre son Cousin, appuyant son corps contre le sien dans un mouvement de bras inconfortable, tout cela au milieu de la nuit, la petite sœur dormant dans sa chambre.
Elle dut lire dans mes pensées... «- tu réalises la situation ?» me dit elle
Oui mais... tu ne peux pas savoir combien c’est bon, Mégane . Je voudrais rester, enfin... continuer, parce que vraiment, je ne peux pas t’expliquer à quel point c’est agréable.
Elle avait reprit ses esprits. Sa voix me le montrait.
«Continues doucement» me dit elle.
Puis elle se cambra, m’offrant un accès délibéré à son sexe.
J'entrepris un mouvement lent, avec l’impression que mon sexe grossissait encore.
Au début elle ne bougeait pas, sa main s’était ôtée de mon dos pour se saisir de la mienne qu’elle pressait légèrement.
Alors elle remua elle aussi et c’est là que tout accéléra, sa pression sur ma main se faisant plus forte tandis que je la pénétrais à fond, elle, les reins relevés et présentant sa chatte maintenant ouverte en grand.
Mon sexe coulissait en elle puissamment et je l’entendais gémir, la bouche fermée retenant visiblement tout relâchement jusqu'à ce que sa main broie littéralement la mienne en même temps que je me sentis exploser en elle, pris de soubresauts et de tremblements qui me quittèrent difficilement.
Elle me tournait toujours le dos, resta ainsi un instant, puis d’elle même se libéra en avançant son corps doucement, me laissant dans l’inquiétude de croiser son regard.
Le bonheur extrême se présenta a moi lorsqu’elle se retourna, dessinant une large sourire sur son visage, prenant le mien entre ses deux mains et m’embrassant sur la bouche en s’exclamant doucement « Mais il est vraiment devenu un homme, ce petit Laurent»
Une véritable mutation s’opéra en moi cette nuit là.
Le fait qu’elle ait vécu cela aussi bien me donna une sûreté de moi extraordinaire.
Ni sentiment de culpabilité, de honte ou autres sentiments horrifiants.
Au réveil du matin et lors de la journée qui suivit, je regardais le Monde entier avec un sentiment de maturité indescriptible.
La Vie m’appartenait, le Monde m’appartenait, j’étais Fort, j’étais Mûr, j’étais bien.
La période de temps qui suivit cette nuit là fut riche d’une quantité d'événement, et décrire ici le détail des relations intimes avec ma Cousine serait petit, en comparaison de l’évolution elle même, de ma maturité sexuelle.
Je voyais le temps passer, ponctué d'attouchements, de plaisirs et d’orgasmes, qui nous étaient secrets, et bien plus que le plaisir du sexe lui même, je jouissais d’une complicité avec ma Cousine, dont elle même ne se doutait pas jusqu’où cela allait nous mener.
Bien loin de détériorer en quoi que ce soit nos rapports ou l’ambiance de la maison familiale faite de sérénité et d’amour, cela nous avait rapproché à un point inimaginable.
Cette complicité entre elle et moi, faite du plaisir que l’on se donnait mutuellement auquel s’ajoutait le secret immense autour de cette relation qui n’appartenait qu’a nous, avait fait de nous une sorte de monolithe construit d’intimité sans faille.
Les mois passant, j’allais au fil du temps, découvrir à quel point ma Cousine aimait le sexe, au travers des situations que mon imagination un brin perverse allait nous construire.
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