Nous pensions être seuls dans ce parking, et il semble que ce baiser, ces caresses devaient avoir une suite.
Finalement l’endroit s’y prêtait puisque nous étions garés de manière telle que l'arrière de la voiture, où nous étions debout, ne donnait pas vers les voies de circulations, mais vers la séparation à barreaux elle même située a environ 1m50.
Elle m’enlaça, donnant dos aux barreaux, m’embrassais en relevant sa jambe et mettant sa chaussure sur l’ouverture du coffre largement ouvert, offrant ainsi son intimité nue à une caresse inaboutie tout a l’heure.
En fait, ce silence, cette intimité de elle et moi, le contact de son corps, sa nudité relative, la sensation d’humidité entre ses jambes, faisaient que j’étais très excité, et que l’envie de sexe se faisait impérieuse.
J’entendis un léger bruit derrière elle.
Il semblait que la zone technique n’était pas vraiment déserte.
Je ne lui dis rien, car je caressais l’espoir que nous ne soyons pas seuls.
Sa jambe relevée m’offrait un accès total a son intimité, et si j’avais longtemps souri en entendant mes copains de Faculté théoriser sur le fait qu’il existait des Femmes dites «Vaginales» et d’autres «Clitoridiennes», c’est parce que je savais qu’il en existait aussi qui étaient vaginales ET clitoridiennes, et pour cause, ma Cousine en était.
Mon doigt maintenant excitait son clitoris autant qu’elle aimait, et je sentais son petit bouton devenir dur.
Nos différents ébats m’avaient montré qu’elle était dotée d’un clito que certains qualifieraient «hors du commun».
Lorsque je le lui caressais, il prenait une dimension telle que je pouvais le prendre, et le branler du bout des doigts comme on pourrait le faire avec un sexe d’homme.
J’adorais cela. la prendre entre mes doigts, les serrer légèrement, lui décapuchonner le clitoris, puis le cacher, et refaire ce geste délicatement tout en modulant l’enserrement des doigts.Fella
Je sais aussi qu’elle en raffolait.
En cet instant je m’adonnais à cette activité, lorsque par dessus son épaule, je vis au travers des barreaux apparaître deux Hommes, visiblement ouvriers de maintenance qui marchaient, avec l’air de ceux qui ont fini leur journée et souhaitent rentrer chez eux.
Je ne dis rien, activant mes doigts sur un clitoris à l’air visiblement enjoué, sa propriétaire ayant déposé sa tête sur mon épaule, les yeux cachés dans mon cou, et s’oubliant à quelques gémissements caractéristiques.
Lorsque je ralentissais mon mouvement, elle m’encourageait, d’un «non, je t’en prie, continue...» , et je savais ainsi qu’elle était dans un état second que je lui connaissais bien.
L’un des hommes nous vit et donna un coup de coude a son collègue, puis ils s’immobilisèrent.
Ce qu’ils voyaient n’était que le dos de ma Cousine, mais aussi sa cuisse découverte par le fait qu’elle était relevée, et puis... le mouvement de ma main.
En cet instant, elle me disait, «j’ai envie, j’ai envie, c’est bon, continue...» en dirigeant sa main vers mon sexe qu’elle sentait gonflé au travers du pantalon.
Elle mouillait énormément, comme a son habitude, oserai-je dire, et il me vint à l’idée en cette période de Noël, d’offrir un cadeau à ces hommes.
Alors en un mouvement de mes bras, je la retournai tout en la couchant à l’arrière du 4X4, merveille de véhicule au plancher plat lorsque l’on ouvrait le coffre.
Les pieds posés au sol, les genoux repliés et le corps bien a plat à l’intérieur, les yeux fermés vers le plafond, elle ne savait rien de la présence de ces hommes qui s’étaient rapprochés et qui étaient maintenant à un Mètre de moi , simplement séparés par les barreaux écartés entre eux d’environ 15cm.
Je m’allongeai vivement a coté d’elle tout en l’embrassant.
Nos langues s'entremêlèrent en même temps que de la main droite je déboutonnai le bas de sa robe jusqu’au dessus du ventre et lui écartai les jambes vraiment en grand.
Le simple poids du tissu fit le reste... elle fut nue, jambes écartée, la chatte trempée, le tout à un mètre des regards des hommes qui maintenant étaient tout contre la grille.
Je lui caressais le clitoris de manière experte, tour à tour l’enserrant de mes doigts, le mettant a nu puis le recouvrant, elle mouillait comme jamais et tout l’intérieur de ses cuisses satinées était recouvert de sa cyprine.
Mégane était souvent impatiente à l’orgasme, et elle commençait à me dire, au rythme de mes caresses «fait moi jouir, fait moi jouir»
Je n’en avais nulle intention et la présence des Ouvriers, complices silencieux, commençaient à m’inspirer tout a fait d’autres projets, car j'aperçus qu’ils s’étaient valeureusement pris en main, ayant posé leurs outils, et leurs sexes respectifs faisant maintenant l’objet de manipulations outrancières.
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