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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Patricia avant Pénétration (rp) -

Je vous présente ma femme Patricia.

Eh oui ! ... Le Noir et Blanc, lol...  Et alors ? "The Artist " a bien remporté tous les Oscars à Hollywwod film en Noir et blanc, alors je me suis dit qu'on était dans le coup...

Donc, rien que pour vos yeux, ma petite salope aimant les grosses queues se présente à vous... Séance photo juste avant séance Sexe... C'est bien vrai qu'elle a aimé que je la lui mette, ce jour là...

Mais ca n'est pas tout, je l'ai contrainte à me raconter son wek-end fou... Celui ou, alors que j'étais absent pour des raisons professionnelles il lui est arrivé toutes ces choses incroyables.

Tous les détails au bas de cette page, et racontés par elle même sous la contrainte.

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C’est vraiment parce que Eric mon mari m’oblige à raconter cette journée, parce que pour moi c’est une humiliation sans bornes.

Tout a commencé bizarrement.

Cet incident du palier… de ceux dont on rigole quand ca arrive aux autres, mais quand vous vivez ca… C’est la honte, quoi.

Eric venait de partir pour la journée, pensant rentrer tard, et j’étais encore en nuisette. Les adieux classiques, baiser, caresses rapides de sa main sur mon sexe encore un peu humide de notre nuit, et me voilà seule dans l’appartement  avec notre petite Chatte câline et joueuse.

Du moins le croyais-je, car encore sous ma douche, j’étais en train de me dire que je ne l’avais pas vue au réveil.

Je devais en avoir le cœur net. Sortant de la douche et m’essuyant rapidement avec une serviette, c’est nue dans l’appart que je me met à la recherche de Minette.

Mon Dieu ! et si en partant, Eric ne l’avait pas vue sortir ? Cette idée fut fulgurante et c’est sans trop réfléchir que je couru à l’entrée, ouvrit la porte, et... Elle était là, ma Minette…au haut de la première marche.

Évidemment je me hâtai de faire les trois pas qui nous séparaient pour la prendre dans mes bras.

C’est là que le malheur arriva.

Au moment ou je la pris dans mes bras… Clac !

C’est le bruit que fait une porte à verrouillage automatique qui se ferme et vous laisse nue sur un palier d’immeuble, votre chatte dans les bras.

Seule. Trois portes sur le palier : La mienne, Celle de ma voisine Célibataire en vacances, et la dernière… celle du P’tit Vieux qui vit seul.

Vieux par l’âge, mais très vif quand il s’agit de plonger ses yeux dans mon soutien gorges quand nous nous croisons dans l’escalier.

Pas le choix. Obligé de sonner a sa porte.

Il ouvrit.

Je n’avais jamais vu des yeux s’écarquiller ainsi ! Ses lunettes tombèrent par terre !

Je le vis ouvrir la bouche sans qu’aucun son ne sorte et je crus un instant assister à une mort par arrêt cardiaque.

Je lui expliquai rapidement ce qui m’arrive et fis un pas en avant.

Il leva la main, m’en empêchant. J’étais là, les fesses nues coté palier, ma chatte sur mes seins, cachant un peu ma poitrine et le sexe complètement à nu face à cet homme d’au moins 70 ans, soit, mais tout de même…

J’étais sciée : il m’empêchait de rentrer !

Il ouvrit la bouche : « Je crois qu’il va falloir négocier, Belle enfant »

Et voilà que ce vieux pervers me disait m’accepter chez lui à condition que je lui accorde certaines faveurs !

Je commençais a le traiter de tous les noms, lui ne disant mot, se reculant pour mieux me regarder.

Je lui dis clairement que Non ! il ne me toucherait pas !

Il me dévisagea, puis lentement il ferma la porte.

C’est à ce moment que j’entendis un groupe de jeunes qui montaient les escaliers.

Au moins 4 ou 5 mecs, parlant fort et rigolant de leur dernière virée.

Pas le choix . Je frappai encore a sa porte. Il ouvrit alors que les jeunes étaient juste a l’étage en dessous.

Je le poussai littéralement, laissant s’échapper Minette, entrai, puis me plaqua les fesses contre sa porte. J’étais là, parfaitement nue, mes seins pointant depuis mon mètre 75 vers le visage de ce petit homme .

Il s’avança : « Vous êtes ici chez moi. Et chez moi, chère madame , je fais ce que je veux ! »

Avec une incroyable rapidité, il ferma ses trois verrous, m’écarta de la porte et me plaqua au mur, juste à coté d’un tabouret.

« Croyez vous que vous avez un choix , là maintenant ? »

Je n’arrivai qu’à bredouiller un faible « il faut téléphoner à un serrurier » …

Sa main droite se plaqua sur mon ventre, je fermai les yeux en pinçant les lèvres, car l’idée de mon fantasme inassouvi depuis toujours se formait en cet instant à mon esprit : Me faire prendre par un Vieux devant une assemblée d’hommes plus jeunes, tous en érections et se branlant furieusement.

Voilà maintenant que ce vieux  Con descendait ses doigts plus bas, à l’orée de mon sexe nu.

Ma chatte rasée était à un centimètre de ses doigts.

J'avais beau me pincer davantage les lèvres, tenter de penser à autre chose, je me sentais devenir humide.

Alors que Éric m'avait littéralement labourée une bonne partie de la nuit, je mouillais maintenant comme une vraie salope sous les doigts de ce Vieux, et ce, à peine avait il commencé à me toucher.

Le voila maintenant qui posait son doigt sur mon clitoris. Une vraie décharge électrique me parcourra.

"Non de Dieu, il me parait bien dur, ce clito " s'exclama t-il, pour une Femme sensée lutter contre moi ...

Il me couvrit de honte quand il me pénétra en explosant de rire quand il constata à quel point mon corps me trahissait.

C'était clair : Je mouillais à fond, et le mouvement de ses doigts, entrant, et sortant en moi transmettais a mon cerveau un plaisir inavouable.

Malgré moi , mon corps bougeait, allant chercher ses deux doigts, projetant ma chatte mouillée au devant de ses va et viens.

Je ne vis pas que de sa main gauche, il dégagea son sexe tendu.

C'est lorsque je sentis une chaleur inhabituelle se présenter dans ma fente que je réalisai la situation.

Il était en train de me prendre contre le mur, sa bouche sur mes seins tendus, son sexe me pénétrant maintenant sans vergogne.

Je sentis brusquement la dureté de son membre entrer en moi et me ramoner furieusement tandis que le plaisir monta en moi, exprimant le frottement des chairs suivant la pénétration de ce sexe que mon corps, il faut bien le dire attendait.

Alors que je ne connaissais pas ce vieillard plus que cela, il me murmura mon prénom à l'oreille..."je sais à quel point tu n'es qu'une salope, Patricia, tu la sens bien, ma bite ? Dis que tu la sens ! Dis le, Chienne ! "

Je m'entendis répondre que oui, je la sentais et que oui, je la désirais au fond de moi.

Son rythme devint  plus rapide, puis il se retira brusquement, m'agrippant aux cheveux et me tirant vers le bas.

Le brusque vide créé lorsque son sexe se retira de moi me coupa le souffle, et je me sentis sans force, lorsque mon visage se retrouva malgré moi face à son sexe tendu.  C'est seulement là que je considérai l'ampleur de l'objet et compris pourquoi je le sentais si fort en moi.  Le sexe de mon vieux voisin était énorme !

Je n'eu pas d'autre choix que de le prendre en bouche pour sentir entre mes lèvres ce membre respectable par sa dimension.

Il me frustra lorsqu'il se retira sans que je comprenne pourquoi. Incompréhension qui ne dura pas longtemps, lorsque, les yeux fermés, enfermée dans mon plaisir, je pris à la face toute la chaleur de son sperme.

Ce connard se payait le luxe d'une éjac faciale à plus de 70 ans sur le visage de sa voisine de 33 ! .

La suite fut rapide, il se recula, me traita de Chienne en chaleur en me mettant sur le dos , couchée à plat sur la moquette de son entrée. Étourdie, je le sentis me doigter a nouveau, ne commandant plus les réactions de mon corps  qui courait après cet orgasme qui n'arrivait pas, me contorsionnant, recherchant se doigts, les voulant au plus profond de moi.
Et alors que j'y étais presque, alors que les vagues de plaisir commençaient a se montrer, il arrêta brusquement tout, me repoussant du pied.

"Et alors, sale pute, tu croyais vraiment que j'allais t'autoriser à jouir ? Ca suffit maintenant, passe ton coup de fil, et casse toi.

Tous les jours quand tu me croiseras, je veux que tu me dises "Merci Monsieur" ! Y compris quand tu seras avec ton mari ! , et je te ferai venir quand je veux. Tu es ma Pute gratuite a partir de maintenant, si tu ne veux pas que je dis a tout l'immeuble que non seulement tu te balade a poil dans les escaliers, mais que tu voulais jouir sous ma bite après que tu aies pris mon foutre sur la gueule !
Et je te préviens ! La prochaine fois tu avales ! ".

Je ne sais pas si je lui en voulais plus du désir inassouvi qui était encore au fond de moi, ou de ce qu'allait être mon avenir dans cet immeuble maintenant.

Il me jeta une grande serviette de bain sur le corps et alla se planter devant sa télé.

Je n'avais qu'une hâte, c'était de partir d'ici, d'en finir avec cette histoire de serrurier et de porte claquée puis de me rendre à la gare du RER pour rendre cette visite promise à ma soeur en banlieue, en essayant de m'ôter de l'esprit que ce sale vieillard aille raconter à Éric qu'il s'est vidé en moi et que j'y ai pris du plaisir.

Il était midi passée, lorsque je me retrouvai dehors, le problème réglé, le corps encore endolori, et cette frustration du plaisir non atteint bien ancrée en moi, bien plus que l'idée d'avoir été traitée plus bas que terre, pire que la plus salope des Putes de tout Paris.

C'est une fois dans le RER que mon téléphone sonna. La voix d'Éric au téléphone, qui m'annonçait qu'il rentrait plus tôt. Il a bien du sentir que j'étais bizarre, réitérant plusieurs fois  "tu es sure que ca va ? ".

Je dois dire que l'après midi avec ma soeur me revigora un peu, et en fait j'avais hâte de rentrer et de me retrouver chez moi, dans les bras d'Éric.

Je ne me doutais pas que le retour sur Paris serait lui aussi irracontable.

Pour résumer, je passai une heure de transport avec en face de moi un Mec qui passa son temps à me mater, au point que je ne savais plus comment me tenir.

Je n'avais pas pu changer de place, ce foutu train était bondé, plein a ras bord, impossible de se déplacer.

Ca devenait vraiment limite lorsque ce connard trouva le moyen de se rapprocher de moi.

Puis enfin, nous arrivâmes en gare  !

J’admets que ce fut comme une libération, et je m’empressai d’assembler mes affaires, de m’en saisir et de me diriger vers le couloir de circulation.

Beaucoup de monde, dans ce train, et tous ces gens avaient déjà envahi la coursive, au point que j’eus des difficultés à m’insérer dans la file.

Ce ne fut pas le cas de mon voisin de compartiment qui se plaça juste derrière moi et qui se plaqua littéralement contre mon dos, poussé il est vrai par  tout ce monde agité, maintenant que le train ralentissait.

Il ne s’agissait maintenant plus de mon imaginaire qui s’égarait, et je pouvais sentir très bien son membre sur le bas de mes reins.

Voilà que ce pervers était proprement en train de se branler sur le haut de mes fesses en profitant d’une cohue qui le servait bien.

Je pouvais sentir la dureté de son sexe qu’il faisait circuler entre mes fesses au travers de ma jupe et je me dis que cela était vraiment insupportable. Aussi d’un mouvement de main tentai-je de le repousser sans me retourner.

Plus petite que lui, ma main se plaqua quelque part sur son ventre, et je poussai autant que je pus.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je compris qu’il se saisit de ma main et la déplaça directement sur son  membre que je sentis être d’une dureté incroyable. Je n’arrivais même pas à dégager ma main qu’il tenait dans la sienne, la frottant sur son sexe et enserrant celui ci de mes doigts.

Je crus devenir folle, et étais complètement interdite, à la fois de surprise, et aussi je dois dire, de l’impression que cela déclenchait en moi.

Comment une situation aussi scandaleuse pouvait-elle créer chez moi  du désir à ce point ?  Je me voulais révoltée, et mon  corps aimait cela, comme deux entités se battant l’une contre l’autre, mon esprit prude regrettant que je sois incapable de crier au scandale, et mon entrejambe mouillé  de désir et d’envie de pénétration.

Il finit par me lâcher, mais la suite fut plus terrible encore.

À l’intérieur même du train se trouvait une marche a franchir se trouvant au niveau des essieux, avant d’atteindre la plate forme près des portes, tout cet espace étant bourré de monde. Ainsi dus-je m’y placer et me trouver un peu  au dessus de mon bourreau, lui tournant toujours le dos dans une ambiance d’arrivée de train en gare faite de brouhaha, de légère bousculade et de bruits venant de tous part.

Il fit alors glisser sa main depuis l’arrière de ma cuisse gauche, tout doucement jusqu’au haut de mon entrejambe. Ce contact fut pour moi comme une déflagration et je serrai mes cuisses l’une contre l’autre très fort. Mais l’attente fut plus longue que je n’espérais, et je dus me relâcher.

C’est là qu’il remonta encore sa main jusqu'à atteindre ma culotte qui à ce stade était trempée, et je ressenti une honte sans borne lorsque ses doigts  me touchèrent la vulve au travers du coton de mon sous-vêtement  mouillé.

Je me sentis un instant vaciller lorsque sa caresse s’appuya et qu’il écarta le tissu pour insérer son doigt avec une précision diabolique jusqu’à passer  au devant de mon sexe, bloquant l’écartement de mes cuisses de son poing.

De son majeur, il caressait maintenant mon clitoris que je sentais comme une pointe avide de sensation sous son doigt. Je me mordis les lèvres jusqu’au sang lorsque  les passages de son doigt s’accélérèrent, aidés de ma cyprine abondante qui l’aida à s’insérer doucement en moi, sans brutalité.

Je crus mourir en cet instant.

Les va et viens de ses doigts sur mon clitoris, alternant avec leur passage dans ma plus profonde intimité m’amenèrent à la limite d’un orgasme dont il était hors de question qu’il se manifesta.

Le train stoppa enfin, la foule tassée s’agita et je sentis le retrait rapide de ce doigt inquisiteur.

Je trouvai le courage de me retourner dans le but d’assener un regard vengeur, mais dans la bousculade de descente du train, c’est a peine si je pus voir la silhouette de cet homme s’en aller d’un pas pressant.

Je n’étais que honte de la tête aux pieds.

Humiliée de ce plaisir imposé par la dictature de mes sens dont je n’avais su assurer aucun contrôle.

Moi Patricia, m’être faite doigtée par un inconnu dans un Train ! 

Cette idée me répugnait autant que le plaisir qui venait de m’être ordonné .

 

Je retrouvai Éric enfin, et il ne comprit sans doute pas pourquoi, à peine arrivée à la maison, je me jetai littéralement sur son sexe.

 Pas moins de trois orgasmes de suite finirent par me calmer un peu, ne manquant pas de m’interroger sur ma libido mal contrôlée ces dernières 24 heures.

 Ma journée du Dimanche ne fut pas sans surprise.

Tout commença par une banale lessive en début d’après midi.

Je sortis mon linge de la machine, afin de le mettre à sécher sur le balcon.

Je me disais qu’avec ce petit vent, je pourrai ranger mon linge en début de soirée

La petite brise s’intensifia et le fil à linge se rompu.
Le vent emportant avec lui, le fil, mes culottes, mes soutiens gorges !

Panique à bord !
Je regardais s’éloigner mes dessous sans pouvoir faire grand-chose, je ne pouvais que constater qu’ils prenaient manifestement la direction du chantier qui est à coté de mon appartement.
Un chantier qui me distrayait, surtout ceux qui y travaillaient.

Pendant la semaine je regardais les allées-venues des ouvriers, mais en cette fin d’après midi, le chantier était déserté.

Il allait reprendre Lundi prochain.

C’est ainsi que je me dis que dans un sens, j’ai de la chance car, le fait qu’il n’y a personne me donne l’opportunité d’aller récupérer mes sous-vêtements qui se sont déposés en plein milieu du terrain vague.
Du troisième étage de mon balcon, j’analyse la situation : on est Samedi, il est 14 heures, il n’y a personne sur le chantier et aux alentours, il va falloir que je profite de cela pour récupérer mes affaires.

 Le tout est de savoir comment faire puisque le chantier est fermé
Mais plutôt que de ne rien faire, je suis déterminée à y aller.

Il ne fait pas trop froid, malgré la brise, et je me dis que je peux très bien y aller comme ça, de toute façon personne ne me verra avec cette jupe indécente qui, à tout moment, peux faire découvrir au premier passant mes charmes intimes, il est vrai.

Mais pouvais-je faire autrement ? toutes mes culottes étaient maintenant quasiment en pleine rue… encore heureux qu’elles soient allé se poser sur ce terrain de chantier, parce  que mes culottes sur le trottoir, devant la porte d’entrée de mon immeuble…franchement… ca ne m’aurait pas plut du tout.
Je prévint donc Éric. “je descend un instant ramasser “un truc”, et je reviens... m’écriai-je
Je sus beaucoup plus tard que cette petite phrase allait être a l’origine de ... beaucoup de choses assez affolantes.

Me voila devant la grille entourée de tôles qui délimitent le chantier, rien à faire, c’est verrouillé, impossible d’entrer.
Cependant je ne peux admettre d’être aussi prête de mes sous-vêtements sans pouvoir agir, alors je persévère, j’insiste, il faut dire que je suis une personne têtue qui, quand elle a décidé de quelque chose, ou quand elle a envie de quoi que soit, rien ne peux me faire revenir sur mes projets. Je suis inébranlable.

Branlable peut être, me disais-je en repensant a mes mésaventures d’hier, mais inébranlable tout de même.

C’est alors que je fais le tour du chantier, et la, la chance me sourit enfin, je trouve un passage assez discret, je peux donc m’y faufiler, mais je veille bien à ce que personne ne me voit roder par ici.

Il n’y a pas un instant à perdre, pas question que la nuit ne me surprenne ici…, pas d’hésitation possible, j’entre d’une façon franche et rapide.

Je me dirige vers la baraque des ouvriers car, c’est à ce niveau, en plein milieu du chantier que se sont posés mes dessous affriolants.

Victoire, j’avais enfin mis la main sur mes sous-vêtements !

Mais c’est une victoire criée trop vite : je sens des regards, comme une présence… je me retourne…Trois mecs s’approchent de moi.
Ils sont virils, baraqués et poilus, l’un d’entre eux est même tatoué de partout.
Le pire c’est leurs yeux, ils sont remplis de perversités.
Tels des hommes n’ayant pas vu de femmes depuis plusieurs semaines.

Ils ne sont manifestement pas la pour rigoler avec moi. Mais que faisaient ils donc sur ce chantier un samedi après midi alors qu’ils sont censés avoir fini leur semaine ?
Avaient-ils un peu trop bu ?
Toujours est-il qu’ils étaient autour de moi, j’étais coincée, inutile d’essayer de fuir.

Fuir n'était pas vraiment le mot, je ne me sentais pas en faute, mais la situation était pour le moins particulière..

Voilà deux minutes , j’étais chez moi en train de buller, et à cause d'un coup de vent , je me retrouve face à trois types pas Tibulaires (mais presque, lol), mes culottes à la main, et la chatte à l'air sous ma jupe.

Instinctivement, je cachai mes culottes… mais où ? Je fermai donc le poing, esquissai un vague sourire d'un hochement de tête a l'attention des gorilles, et me dirigeai vers la sortie.

- “Hep hep hep, la p'tite dame, elle va ou comme ça .?”

Je ne m'arrêtai pas et dis “bonsoir messieurs, je ne faisais que passer”…

Mais usant d'une véritable stratégie de guerre ou plutôt digne d'une meute de loups face au gibier, l'un des trois, parcourant un vaste cercle, alla se poster devant le passage par lequel j'étais entrée, tandis que les deux autres venaient vers moi.

Le gardien du passage était un petit mec genre Portugais, jean et maillot, parmi les deux géants un Grand noir au regard lubrique, tandis que le troisième, très typé Arabe me fixait de ses yeux au laser qui m'avaient déjà déshabillé de bas en haut

Non, ça n’allait pas,  je commençais a ne pas être tranquille du tout.
Mais Bon sang, ou était Éric en cet instant ! ?

Je répétai que je ne restais pas là et demandai a leur copain de me laisser passer, ce à quoi le grand Noir me répondit que personne ne m'empêchait de partir mais que rien n'empêchait un petit dialogue non plus…

C'était curieux… physiquement ils étaient “limite menaçant” par leur attitude, mais la voix du Black, puissante et calme me rassurait.

Il s'approcha de moi, vraiment très près et me demanda ce que j'avais a la main, en même temps que les deux autres , eux aussi s'approchèrent.

Je parlai vaguement de mon linge qui était tombé lorsqu'il me prit la main pour prendre doucement mes 3 culottes et les regarder, tandis que les deux autres connards éclatèrent de rire.

Il se passa quelque chose de curieux… le Noir les regarda … un seul regard… et ils semblèrent fondre littéralement  créant un silence pesant.
Je profitai pour commencer a reculer et me diriger vers la sortie, mais mes culottes étaient entre les mains du mec, je n'allais pas fuir ainsi…

Il tendit le bras qui tenait mes culottes, et je pensais qu'il me les rendais, mais il se saisit de mon poignet et m'attira vraiment très proche de lui, tandis que son autre main se plaça directement sur mon sexe nu, sous ma jupe, tout d'abord à plat, en même temps que les deux autres mecs se positionnèrent derrière moi, tout cela en silence.

Un très grand moment de solitude m'envahit.

Texte en cours de rédaction. Repasser ultérieurement pour la suite…

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