A 18 ans, Sophie était une jeune femme épanouie, jolie et intelligente. Elle venait de rentrer en première année de droit à l’université du Havre.
Sophie habitait encore chez ses parents, à Sainte Adresse, dans la banlieue résidentielle. La maison de style belle époque donnait sur un joli jardin, vert et bien entretenu. Elle était vaste et décorée avec goût, une véritable maison de famille. Rien ne semblait pouvoir troubler la quiétude familiale, car tout souriait à cette famille: le frère aîné avait quitté le foyer pour intégrer l’ESCP à Paris et, désormais en stage à la City, faisait la fierté de son père. Sophie elle aussi savait ce qu’elle voulait faire: du droit, des affaires, et si possible travailler pour un cabinet américain à Paris, « au moins pour l’expérience ».
Rien, absolument rien n’avait donc pu troubler cette famille et aucun des deux enfants n’avait réellement fait de crise d’adolescence ou n’avait donné de fil à retordre aux parents. C’était un portrait idéal de famille: parents notables et BCBG, enfants brillants, tous au golf le week-end avec Articho, le labrador beige rien ne manquait au tableau !
Sophie était une jeune femme tranquille, discrète et que certains pouvaient imaginer prude ou coincée. Elle avait une vie particulièrement réglée: l’université, 2 vraies amies, le golf du Havre et depuis peu, une voiture. Si son frère avait une petite amie depuis quelques années, les parents de Sophie ne lui ont connu aucun amoureux.
Comme tout adulte ou adolescent, Sophie avait pourtant une vie sexuelle ou plutôt une activité sexuelle fluctuante. Elle était pudique, au point de soutenir à sa meilleure amie qu’elle ne s’était jamais masturbée, et que jamais cela ne lui viendrait à l’esprit ! Sophie laissait donc transparaître le profil lisse, d’une jeune fille presque ennuyeuse.
Le temps passait, et Sophie obtint son bac S avec mention. 18 ans: à cette occasion, ses parents lui offrirent une automobile, et étant devenue étudiante, lui posèrent une ligne de téléphone et d’internet à haut débit dans sa chambre. Le vide de sa vie sentimentale commençait à se faire sentir, surtout Sophie avait remarqué que l’intensité de ses fantasmes et l’impériosité de ses désirs de masturbation n’en étaient que plus forts.
Sophie sous ses allures si sages aimait à se caresser dans des lieux insolites, ce qui décuplait le plaisir: par exemple elle parvenait à se masturber en cours sans que personne ne le remarquât en croisant les jambes et en contractant ses cuisses à intervalles réguliers. Elle allait rarement jusqu’à l’orgasme au lycée, en revanche dans l’environnement anonyme de la fac, elle poussait les limites plus loin. Elle le faisait aussi dans les transports en commun, en particulier dans le corail qui l’emmenait voir ses amies à Paris. Elle avait aussi réussi à se porter à l’orgasme dans un bus du Havre en glissant un de ses doigts sous sa jupe courte, et sous sa petite culotte (l’excitation provoquée par cette audace fit que la jouissance vint particulièrement vite, 1-2 minutes.) Bref, un manque commençait à s’installer: il était grand temps de tomber amoureuse.
Une série d’événements devait contrarier les plans de Sophie, et lui faire prendre une tangente qu’elle n’aurait jamais imaginée un seul instant.
Début juillet, Sophie traînait à la maison, désœuvrée mais satisfaite, majeure, son bac en poche et avec mention ! En août, toute la famille devait partir en Corse. Aujourd’hui, elle devait être seule toute la journée, elle se leva tard et paressa assez longuement en peignoir dans la maison: petit déjeuner devant la télé, musique à fond puis elle passa tout de même une robe d’été, légère. Passé 13 heures, Sophie se mit à regarder Eyes Wide Shot en DVD, et le film l’excitant un peu, elle se mit à se caresser de temps à autres. Etant affalée sur le divan, elle sentit soudain la truffe froide d’Articho passer sous sa robe, et effleurer longuement sa cuisse pour buter sur sa petite culotte ! Surprise, elle se redressa vivement et éloigna ce paisible toutou. Il faudra seulement ne pas oublier de le nourrir, et c’est sûrement ce que demandait Articho. Sophie se replongeait dans le film et continuait de se caresser, pas trop activement, pour étaler le plaisir sur des dizaines de minutes. Mais son excitation montait, et elle ne pouvait s’empêcher de penser à Articho. Plus précisément, elle se remémorait une scène dont elle avait été témoin dans la rue à Paris. Alors qu’elle marchait Rue du Commerce, elle remarquait un gros chien qui attendait son maître dans la rue. Le chien avait un début d’érection et une partie de son sexe était apparent. Simultanément, elle croisa le regard d’une femme rivé sur le sexe du chien. Ca l’avait frappée: pour elle qui a un chien, et bien le sexe canin n’a strictement aucune signification sexuelle. Mais cette femme qu’elle a croisée, elle, avait été troublée: de toute évidence elle avait envisagé même inconsciemment la « possibilité » d’un rapport entre le chien et elle. C’est cela qui revenait à la mémoire de Sophie et qui par ricochet la troublait à son tour. Et si oui, elle aussi se mettait à imaginer les possibilités de rapport sexuel entre un chien et une femme. Elle tentait de se l’interdire intellectuellement, elle repoussait ces pensées mais dans le même temps sa masturbation s’accélérait. Un moment de doute l’assaillait. Elle se lançait, et appelait Articho qui vint presque aussitôt nonchalamment. Pas très assurée, elle souleva sa robe et attendit: rien. Articho était là, la tête entre les genoux de Sophie, mais il ne réagissait pas. Décidément, le contact de tout à l’heure était bien fortuit. Du coup, Sophie attrapa la tête du chien et la colla contre sa culotte. Rien ne se produisit non plus. Frustrée, et convaincue que rien ne se passerait, elle alla chercher un peu de son miel pour le faire sentir au chien. Il lécha son doigt mais ne fit aucun rapport entre ce doigt et l’origine de ce miel ! Sophie arrêta là l’expérience.
Cet incident allait néanmoins agir sur Sophie comme cette dernière partie de touche pipi avec son frère a pu stimuler ses fantasmes pendant des années. En fait, elle était bien décidée à réessayer. Pour autant lorsqu’elle se masturbait, elle n’imaginait encore aucune scène contre-nature avec Articho.
10 jours plus tard, le moment était à nouveau venu de relancer l’expérience: à nouveau seule, elle était nue sous la même robe. Sophie était dans un état d’excitation permanent depuis la veille. Elle se coucha sur son lit sur le dos, laissant à l’extérieur ses jambes entre ouvertes si bien que son minou était à hauteur pour Articho, qu’elle avait fait venir. Elle s’était à peine touchée mais déjà, elle mouillait abondamment et le chien avait l’air plus intéressé. Elle était sur le dos, les jambes largement ouverte, tremblante de désir. Et d’emblée, Articho colla sa truffe froide à l’entrée de son vagin ce qui fit instantanément frémir Sophie. Frémir de plaisir bien sûr, mais surtout frémir d’excitation, frémir de briser un tabou. Cependant, Articho se retira bien vite, certes intrigué, mais visiblement il ne comprenait pas la finalité de la manœuvre ! Cette fois, Sophie était déterminée à aller jusqu’au bout. Elle descendit toute nue les 2 étages, dévalant les marches 4 à 4, et se précipita vers la cuisine. Elle ouvrit les placards: miel, confiture, Nutella. Elle prit le grand pot de miel et remonta chancelante d’excitation. Sophie étendit en toute hâte une serviette de bain sur son lit et s’enduisit seulement le pubis d’un peu de miel et rappela Articho. Son excitation était à son comble. Aussitôt, le chien se mit à lécher son mont de vénus, ce qui failli la faire chavirer. Cela marchait ! Sophie était tellement excitée que tout aurait pu s’effondrer autour d’elle sans que cela puisse la faire dévier de sa route. Très vite le chien avait absorbé le miel et en redemandait. Le coeur battant à 1000, Sophie se décida à briser un nouvel interdit: elle s’enduisit alors toute la vulve de miel, et les petites lèvres et le clitoris. Articho léchait sans relâche, à rythme régulier, sans être très rapide. De sa langue il aplatissait les grandes et les petites lèvres, les écartait, relevait le repli de son clitoris. La langue râpeuse du chien provoqua chez Sophie un puissant orgasme, le plus puissant qu’elle n’ait jamais connu. Toujours sous le coup de l’excitation, elle en voulait encore, elle remit du miel, mais désormais à l’intérieur son vagin et peu à l’extérieur. La langue d’Articho rentrait littéralement à l’intérieur de son minou, ressortait, et pénétrait à nouveau le plus loin possible, provoquant un plaisir indescriptible, une extase totale. Sophie se retirait un peu sur le lit, se redressait, mais le chien suivait, imperturbable. Elle cherchait la position optimale pour capter au maximum cette onde de plaisir, pour jouir, et enfin l’orgasme explosa en elle, tel une déflagration. Pour la toute première fois, Sophie poussa un cri en jouissant. Un cri rauque, animal, que tout le monde dans la maison aurait pu entendre. Un cri rauque, animal
Sophie comprit bien la portée de son acte. Un chien: cela s’appelait d’un nom qu’elle n’osait pas prononcer et qui commençait par un Z ! Cela dit, elle n’était pas perturbée. Ce qu’elle a fait n’était pas si grave à ses yeux: il ne s’agissait que de miel, de coups de langue en fait elle s’était masturbée au moyen de son chien, mais sans considérer qu’elle avait eu un rapport avec lui. C’est ce qu’elle voulait croire, en tous cas, elle recommença plusieurs fois mais au fur et à mesure, c’était l’engrenage, il lui en fallait plus. Et puis elle avait noté un bout d’érection chez Articho: le bout de son sexe, pointu, rose et gluant pointait en dehors de son fourreau et exerçait sur elle une attraction croissante.
A part cela, elle vivait normalement, voyait ses amis et jouait régulièrement au golf avec eux comme si de rien n’était.
Ce dimanche, ses parents étaient partis, et Sophie était bien décidée à tenter une autre expérience: faire jouir Articho. Le masturber. Excitée depuis plusieurs jours à l’idée de passer à l’acte, de franchir une nouvelle barrière, elle mit Articho sur le dos et commença à le cajoler, à le caresser en insistant lourdement sur ses parties génitales. Au bout d’un moment, le sexe du chien apparu en entier. C’était étrange, cela ne ressemblait absolument pas à ce qu’elle imaginait: pointu, mais épais et rose-rouge, avec une multitude de petits vaisseaux sanguins à la surface de la peau. Passée la surprise, Sophie masturba le chien qui secrétait en permanence une sorte de liquide translucide ce qui lubrifiait parfaitement les mouvements de sa main. Elle avait le bas-ventre en feu, elle se sentait mouiller abondamment. Sophie était nue sous sa jupe et pour la première fois de sa vie il lui semblait que son miel coulait franchement le long de ses cuisses, ou était-ce de la transpiration ? Mais pas question d’aller au-delà de la masturbation du chien, surtout ne pas aller au-delà. Au bout d’un moment, Articho éjacula puissamment et longtemps. Sophie fut surprise par la quantité impressionnante de sperme qui sortait par saccades de l’animal. Elle imaginait pourtant qu’il en était de même pour les hommes (n’oublions pas qu’elle n’avait fait l’amour que quatre fois, et qu’à chaque fois son partenaire jouissait en elle.) L’essentiel du sperme arriva sur la poitrine du chien, et au comble de son excitation, Sophie n’y résista pas et s’assit à califourchon sur lui, frottant son minou contre le sperme, et se masturba ainsi jusqu’à l’orgasme, s’enduisant le sexe, ses lèvres, son pubis, son clitoris de sa semence chaude et visqueuse tandis que la pointe gluante du pénis glissait désormais le long de son anus et arrivait parfois jusqu’à l’entrée de sa grotte. Juste avant de jouir Sophie avait même pu sentir le pénis d’Articho reprendre du volume et s’introduire légèrement dans son vagin ! Mais l’orgasme vint très vite et tout s’arrêta alors à ce stade.
En allant se doucher, toute groggy, ses jambes la tenant à peine, Sophie comprit que cela ne s’arrêterait probablement plus là. Il y avait un mouvement irrésistible en elle. Même si elle rejetait cette idée avec force, Sophie savait qu’elle essaierait de fait de s’accoupler avec le chien. De se sentir dominée par cette puissance animale. Et cela lui faisait franchement peur, elle se sentait salie, perverse, oui pervertie. Elle qui, il y a deux semaines encore était si sage, comment avait-elle pu en arriver là ? Elle ne put s’empêcher de faire le parallèle avec son fantasme d’adolescente avec son frère: mais le cap de la masturbation mutuelle, encore un peu innocent, était désormais atteint, et elle franchirait l’ultime tabou de se faire prendre par un animal. La dégradation absolue. Comment en était-elle arrivée là ? Etait-elle soudainement devenue perverse ?
Elle se mit à considérer le chien comme le démon, le diable, et elle, jeune fille quasiment vierge, elle allait forniquer avec le diable: c’était une question de jours.
Voilà, mais lorsqu’il est question de diable et de démons, les anges ne sauraient être loin. Alors que Sophie pensait de plus en plus à franchir l’ultime limite qui sépare les hommes des animaux et attendait le moment propice où elle serait seule pour plusieurs jours dans la maison, elle tomba tout simplement amoureuse d’un charmant jeune homme ! Ayant de bons amis en commun, ils sortirent rapidement ensemble, et cette relation allait non seulement épanouir Sophie, mais révéler à son entourage quelle jeune fille délicieuse elle était. Surtout, cette relation sauva en fait Sophie de son huis clos étouffant et malfaisant de ses désirs. Bien sûr, personne ne saura jamais rien de ses expériences canines mais d’ailleurs s’est-elle déjà masturbée ?
Fin alternative, inachevée et improbable:
Il restait une semaine avant le départ en vacances, et Sophie voulait absolument rester seule à la maison avec Articho. Elle ne pensait plus qu’à ça, elle était littéralement obsédée par cette décision radicale. Son état était indescriptible: une boule de désir et d’angoisse permanente dans son ventre, des caresses incessantes, son minou était constamment humide. Sophie réduisait sa vie sociale au maximum, et lors de quelques parties de golf, elle se révélait totalement absente. Sans la moindre motivation, elle qui aime tant ce sport
Il lui fallait la maison à elle seule, pour toute la journée: pas question de prendre le moindre risque d’être découverte. Tant que ses parents étaient là rien n’était possible, mais cela ne l’empêchait pas de préparer soigneusement l’événement. Elle avait choisi l’endroit: sa salle de bain était parfaite car pas de moquette, ou alors le cellier ? Non, la salle de bain lui semblait être plus sure. Sur Internet, elle comprit qu’il fallait se protéger de 2 choses: de l’étreinte du chien en passant des chaussettes épaisses sur les griffes des pattes avant, et du noeud qui gonflait à la base du pénis et venait se bloquer à l’intérieur du vagin. Cela elle ne le voulait pas: d’une part, étant presque vierge, elle avait peur de souffrir, et d’autre part, elle ne voulait pas rester liée au chien.
Tout était prêt, elle aussi était psychologiquement prête et décidée, et elle n’y tenait plus. Mais sa mère ne semblait pas vouloir s’éloigner suffisamment de la maison pour qu’elle se lance, et les jours passaient inexorablement avant le départ pour la Corse. Quand enfin sa mère lui annonça la nouvelle qu’elle attendait tant: mercredi, elle rejoindrait l’équipe féminine senior du club au golf de Deauville où se tiendrait un entraînement en vue d’une compétition.
La veille, Sophie ne put tout simplement pas fermer l’il de la nuit. Elle était fébrile, et ses doigts tremblaient sur le clavier de son ordinateur. Elle venait de trouver un … Internet de récits érotiques dans lesquels étaient relatées les expériences les plus folles
Le lendemain matin, sa mère semblait s’éterniser à partir ! Enfin elle entendit le claquement des clubs de golf, du sac que l’on charge dans le coffre de la voiture. Elle était seule. Seule face à elle, face à ce désir fou, brûlant et destructeur. Face à sa conscience elle se remémorait les pénis luisant de sperme qui venait glisser le long de ses fesses, qui venait chatouiller ses petites lèvres, qui s’introduisit même brièvement dans son minou, sa chatte plutôt. L’excitation était telle que ses pensées se faisaient plus violentes: elle ne pensait plus à son minou ou sa foufoune, termes bien trop innocents désormais. Elle voulait sentir sa chatte emplie de ce sexe massif, inhumain, remplie de ce flot fantastique de semence. Elle était comme enfiévrée, ses membres étaient faibles, tremblants, son esprit était confus. Bon, allons-y !
Sophie avait préparé la veille la salle de bain: elle enleva le tapis et déplaça la petite étagère afin d’avoir toute la place nécessaire. Elle fit tomber sa chemise de nuit pour être totalement nue. Elle se regarda dans sa glace, et se rendit compte de sa beauté, de la finesse de sa silhouette. Sophie était vraiment une jeune fille gracieuse.
Elle descendit les deux étages langoureusement, nue, potentiellement exposée à la vue de ses voisins. Elle trouva Articho dans la cuisine qui l’accueillit de quelques lèches sur sa main, et l’amena dans sa chambre par le collier. Son coeur s’emballait soudainement, sa grotte était submergée d’humidité, mais était-elle si sure ? Elle passa un doigt sur son petit bouton de plaisir, et sentit comme de l’électricité en elle ! Le moment était venu.
Elle se dit qu’il fallait d’abord exciter le chien et elle le coucha à nouveau sur le dos. Il se laissa faire. Elle passa sa main sur son torse, et descendit sur son sexe. Elle pétrissait son pénis encore rentré et fin, elle caressa ses testicules mais remonta à nouveau vers le pénis qui commençait à gonfler. Bientôt il sortit enfin de son antre, Sophie commença des mouvements masturbatoires pour l’amener à sa taille maximum. Et quelle taille ! Il était plus long que celui de son jeune ami, et beaucoup plus épais. En revanche, l’extrémité était plus fine plus pointue que le gland d’un homme ce qui l’assurait d’une pénétration progressive
Le chien commençait à suinter ce liquide translucide, et Sophie en enduisit son pénis. Ne se maîtrisant désormais plus, elle ne put s’empêcher d’en appliquer sur son clitoris et sur son visage. Le mécanisme satanique était en marche, la roue tournait, inexorablement, vers la luxure. Elle entraîna alors le chien vers la salle de bain, de son museau il exigeait que les caresses continuent. Sophie passa alors les chaussettes sur les pattes avant, tout était prêt…