Ce constat me dérangea profondément et je détachai mon regard de ses formes un instant, croisant mes jambes en mettant ma cheville gauche sur mon genou droit, dissimulant ainsi la forme de mon sexe maintenant impossible à cacher.
S’agit- il de mimétisme inconscient ? Mégane en fit autant.
Sa jambe droite allongée et tendue, elle mit négligemment sa cheville gauche au niveau de son genou me faisant apparaître le plat de son pied.
Ce petit geste eu une conséquence terrible.
Il dégagea un peu plus le pan gauche du peignoir de sa cuisse montrant ainsi l’aine, et me montra clairement que ma Cousine ne portait pas de culotte ce soir là.
Comme si cela ne suffisait pas à enflammer mes sens, elle bailla en portant la main a la bouche et renversa sa tête en arrière, fermant les yeux.
Sa poitrine, faite d’un très valeureux 95D se gonfla, et tirant davantage le haut du peignoir, en dégagea encore le coté gauche, ce qui eu pour effet de me montrer un début de toison dont j'eus le temps de voir qu’il était taillé et finement entretenu.
Elle resta deux ou trois secondes ainsi, la tête renversée sur le haut du dossier du canapé, les bras tendus en croix, s’étirant.
Sa poitrine était alors naturellement remontée, un bord d’aréole apparaissant tandis que se dessinait la fermeté du mamelon au travers de l’épaisseur du tissu du peignoir.
Je cru devenir fou.
Ca n’était plus une érection, que j’avais, c’était une douleur, une tension énorme au niveau du sexe, l’estomac noué.
Je n’étais pas bien du tout.
Cette soirée a clairement été le moment de l’acceptation au plus profond de moi que le corps de ma Cousine m’excitait, et créait en moi un désir sexuel fort et incontestable.
C’est pour cela que je m’en souviens encore comme si c’était hier.
De cet instant, une obsession se construisit en moi : Je devais la toucher.
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