L’histoire que je vais vous raconter date maintenant de plusieurs années. J’étais à l’époque marié avec Ellen, une franco-italienne au verbe facile et, au tempérament de feu en particulier au lit. Lorsque je l’ai rencontrée, elle n’avait pas d’enfant mais le fils de son ex-compagnon dont elle s’était occupée dès l’âge de huit ans jusqu’au moment de sa séparation d’avec son père, alors qu’il en avait 18, continuait à la voir régulièrement, préférant visiblement son ex-belle mère à ses parents, lesquels passaient le plus clair de leur temps à se déchirer.
Il vivait presque chez Ellen, aussi tout naturellement, nous avons sympathisé et je l’ai pour ainsi dire « adopté ». Jean-Benoît, c’était son prénom, était un grand dadais de 19 ans, visiblement encore puceau, pétri de complexes malgré un physique que je qualifierais d’avantageux, non pas pour ses muscles, mais plutôt pour ses traits fins de mannequin, presque féminins.
Pas sportif pour deux sous, il passait le plus clair de son temps devant son ordinateur, assouvissant ainsi sa passion de l’informatique. Nous ne lui connaissions pas de copine, alors que tous ses copains avaient une chérie attitrée, ayant sans aucun doute toutes goûté au plaisir de la chair. J’avais remarqué que Jean-Benoît matait Ellen à chaque fois qu’il le pouvait, plongeant son regard soit dans son décolleté, soit dans son entrejambe, s’intéressant de plus en plus à la gent féminine mais n’osant s’attaquer aux filles qu’il côtoyait pourtant régulièrement dans le cadre de son club d’informatique.
Amusé, j’en parlais à mon épouse qui l’avait également remarqué mais ne savait comment réagir, et s’il fallait d’ailleurs réagir à des envies sommes toutes naturelles chez des jeunes de son âge. Les évènements prirent une tournure particulière un après-midi où Jean-Benoît et mon épouse se trouvaient seuls au bord de la piscine en train de profiter du soleil.
Le jeune homme, après s’être enduit d’huile solaire, proposa ses services à sa belle-mère qui bien entendu accepta. Jean-Benoît, sous le couvert de ces services, parcourut le corps d’Ellen de ses doigts, caressant sans en avoir l’air ses fesses protégées par un minuscule string, son ventre, ses seins, ses cuisses, bref tout son corps. L’abandon apparent de mon épouse entre ses mains mit son beau-fils en confiance aussi, tout penaud il finit par lui demander ce qu’il appela comme le plus beau cadeau du monde.
Sans méfiance, Ellen lui répondit qu’elle était d’accord si toutefois ce qu’il demandait restait raisonnable, s’attendant à l’achat de quelque objet. La surprise fut de taille lorsqu’il lui annonça :
- Hé bien voilà. J’ai lu sur Internet que dans certaines tribus d’Indonésie, le père déflorait sa fille avant de la donner en mariage. Ce doit être pour qu’elle apprenne avec quelqu’un en qui elle a toute confiance les gestes de l’amour. Moi aussi je ne connais rien aux filles et je suis beaucoup trop timide pour en avoir une. J’aimerais que tu fasses comme dans les tribus d’Indonésie et que tu me montres comment on fait l’amour et tout et tout car j’ai une totale confiance en toi et je sais que ça se passerait super bien.
Ellen faillit faire une syncope en entendant la demande de celui qu’elle considérait un peu comme son enfant mais, sachant qu’il risquait d’avoir un trop gros choc émotionnel en cas de réponse négative définitive, elle conserva son sang froid et lui répondit :
- Tu sais mon garçon, ce qui se fait dans les tribus d’Indonésie ne serait pas bien vu ici dans notre milieu. Ce serait un inceste passible de prison pour l’adulte qui se prêterait à une telle initiation. Je suis sensible à ta demande mais j’ai besoin d’en parler à celui qui est presque ton beau-père, tu comprends n’est-ce pas ?
- Je comprends Mam, mais tu sais nous ne sommes pas vraiment parents, je veux dire que nous n’avons pas de lien du sang, alors on ne peut pas parler d’inceste.
- C’est vrai tu as raison mais là, tu me prends au dépourvu et j’ai besoin d’y réfléchir à tête reposée. Je te promets d’en reparler le plus tôt possible.
Jean-Benoît se blottit alors contre Ellen, lui assurant que c’est avec elle et personne d’autre qu’il voulait apprendre.
Le soir même, Ellen, très mal à l’aise, me raconta dans le détail son après-midi, cherchant auprès de moi les arguments qui lui permettraient de faire comprendre à Jean-Benoît que son souhait ne pouvait qu’entraîner les pires complications.
Je dois préciser à ce stade de l’histoire qu’Ellen et Jean-Benoît éprouvaient constamment le besoin de se toucher et ils ne rataient jamais une occasion de terminer dans les bras l’un de l’autre. Je n’en éprouvais aucune jalousie mais cela avait le don d’agacer les parents du jeune homme qui le trouvaient trop affectueux avec Ellen alors qu’avec eux, il était beaucoup moins expansif.
Le plus calmement du monde, je faisais remarquer à mon épouse que leur comportement, leur besoin de se toucher constamment, était certainement un des facteurs déterminants dans la demande de Jean-Benoît. À mon avis, sans le vouloir et sans s’en rendre compte, elle avait attisé ce besoin charnel d’elle chez le jeune homme.
Je terminais en lui déclarant que d’un autre côté, vu la confiance et la complicité qui existait entre eux, personne d’autre qu’elle ne pourrait le faire devenir un homme dans les meilleures conditions. Stupéfaite, elle se tourna vers moi, les yeux écarquillés, comme quelqu’un qui n’en croyait pas ses oreilles. Je profitais de son silence pour rajouter :
- Ce serait le plus magnifique cadeau que tu ne pourrais jamais lui offrir, si tu étais d’accord bien entendu car pour moi, je serais ravi que tu en fasses un homme, de notre grand garçon.
Jusqu’à présent, nous n’avions invité dans nos jeux sexuels qu’un ou des partenaires imaginaires mais là, il ne s’agissait plus d’un jeu et encore moins d’imaginaire. Ellen parut complètement désarçonnée par mes paroles. Elle n’était ni fâchée, ni malheureuse, simplement déstabilisée, pensant certainement que j’allais rejeter en bloc cette idée d’imiter les tribus autochtones d’Indonésie.
Je m’approchais d’elle pour la prendre dans mes bras et, tout en la caressant tendrement, lui rappelais sa façon de prendre dans ses bras son petit protégé, comment il adorait caler sa tête contre sa poitrine, ou serrer son ventre contre le sien. Le faire devenir un homme allait être encore plus intense, leurs corps imbriqués l’un dans l’autre pour une communion complète et totale.
Je lui demandais de réfléchir aux sensations qu’elle ressentait lorsqu’elle plaquait Jean-Benoît contre son ventre, sur ses seins, qu’elle sentait la chaleur de son corps contre elle. Après plusieurs minutes, elle finit par reconnaître qu’effectivement elle éprouvait un bien physique à sentir son corps se serrer contre le sien, pas de l’excitation comme avec moi mais une grande plénitude. Nous nous endormîmes comme ça, dans les bras l’un de l’autre, en paix avec nous-mêmes.
Le lendemain, en me réveillant, je ne trouvais pas mon épouse dans le lit conjugal. J’allais me résigner à me lever lorsqu’elle apparut dans l’encadrement de la porte, un plateau de petit déjeuner dans les mains. Son magnifique sourire lui barrant le visage, elle me dit :
- Toi. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je suis allée chercher des viennoiseries. Bon petit déj !!!
Elle vint se blottir contre moi pendant que j’engloutissais mon petit déjeuner. Au fur et à mesure que j’approchais de la fin, sa main se fit plus câline entre mes jambes. La veille nous n’avions pas fait l’amour, aussi je sentais mon sexe se redresser de plus en plus rapidement. Mon épouse se laissa alors glisser entre mes jambes pour disparaître sous les draps. Je sentais sa bouche puis sa langue glisser sur mes cuisses en remontant vers mon sexe. Instinctivement, j’écartais mes jambes pour lui faciliter l’accès et, immédiatement, sa langue se posa sous mes couilles.
Je fermais les yeux pour mieux suivre sa progression sur toute la longueur de la hampe, le frein et enfin le méat. Après plusieurs allers et retours, elle ouvrit la bouche pour poser ses lèvres en corolle autour de mon gland et le sucer comme un sucre d’orge, tandis que sa langue accentuait sa caresse sur mon frein.
En peu de temps, je sentis des vagues de plaisir de plus en plus rapides déferler dans mon bas-ventre, mes jambes inconsciemment se raidissaient au rythme des spasmes, je demandais à Ellen d’arrêter car j’allais jouir dans sa bouche. Au contraire, elle accéléra ses caresses, ne m’autorisant à sortir de sa bouche que pour me dire :
- Mon amour. Laisse-toi aller. Vide-toi dans ma bouche, j’ai envie de te boire.
Instantanément j’explosai, expulsant un premier jet de sperme, puis un deuxième, un troisième et ainsi de suite jusqu’à l’apaisement. Dès la première giclée, Ellen m’enfonça au fond de sa gorge pour n’avoir qu’à déglutir les jets les plus épais. Elle ne me fit ressortir qu’à la troisième ou quatrième salve, pour la recueillir sur sa langue et avaler les suivantes en prenant le temps de goûter à ma saveur, sortant sa langue d’une manière affreusement excitante.
Les yeux encore dans le vague je lui lançais :
- C’était trop bon comme petit déjeuner. C’était en quel honneur ?
- C’est en l’honneur du mari conciliant, large d’esprit et qui connaît déjà un peu trop sa petite femme.
- Tu as repensé à notre conversation d’hier ?
- Oui bien sûr. Je ne sais quoi en penser pour être franche mais c’est vrai que ce serait un cadeau unique, qui resterait à jamais gravé dans sa mémoire et dans la nôtre aussi.
- Quoi que tu décides, je t’aime.
- J’espère que tu m’aimeras quoi qu’il arrive car moi je t’appartiens.
Le week-end se déroula sans histoires mais Ellen me fit jouir plusieurs fois dans sa bouche, se consacrant uniquement et toute entière à mon plaisir. Je ne pus m’empêcher de penser que toutes ces gâteries, ce besoin de me faire jouir sans se préoccuper de son propre plaisir, était peut-être un moyen pour ma chère épouse de se donner bonne conscience à mon égard, sa décision étant déjà prise de faire de son beau-fils un homme très prochainement.
Le dénouement
La semaine suivante se passa le plus normalement du monde. Le train-train habituel, voiture – boulot – dodo. Ellen pourtant paraissait préoccupée, ce qui me conduit à lui demander si tout allait bien, ce à quoi elle répondit :
- Ne t’inquiète pas. Tout va bien, mais es-tu toujours sûr pour Jean-Benoît. Il vient vendredi pour trois jours.
- Non seulement j’en suis sûr mais s’il vient vendredi, j’adorerais si ça se passait ce week-end.
- Tu aimerais voir, ou tu ne préfères pas ?
- J’aimerais voir si tu t’en sens capable, il n’y a rien de plus excitant et émouvant que de voir sa femme jouir des œuvres d’un autre mâle.
- J’adorerais que nous partagions ce moment tous ensemble.
Tout était dit. Ellen avait pris sa décision et ce serait ce week-end, peut-être même le premier soir de son arrivée, c’est-à-dire vendredi. Nous n’étions que le mercredi et déjà, j’aurais voulu être deux jours plus tard. Ellen, pendant ces deux jours, parut libérée. Le fait de m’avoir parlé lui avait sans doute permis d’accepter sereinement sa décision. Pendant deux jours, nous avons fait l’amour matin et soir, inconsciemment excités de ce qui allait se passer.
Enfin le vendredi arriva. Je m’aperçus pendant que nous faisions l’amour, juste avant le départ au boulot, qu’elle s’était soigneusement épilée la chatte, sacrifiant le minuscule sillon de poils qui trônait juste au sommet de ses grandes lèvres. Elle n’avait d’ailleurs plus aucun poil sur tout le corps, épilation intégrale donnant à sa peau une douceur incomparable.
Avant qu’elle ne file à la douche, je passais mes doigts sur tout son corps, un sourire aux lèvres, lui faisant comprendre sans avoir à parler que j’avais vu la préparation de son corps en vue du cadeau. Elle me dit comme pour s’excuser :
- Si tu aimes, je resterai toujours comme ça pour toi.
Je me contentais de répondre qu’effectivement j’adorais et que le petit allait se régaler.
Le grand soir arriva et comme d’habitude, Jean-Benoît au courant de rien débarqua à la maison avec ses petites affaires, chaudement accueilli par Ellen comme par moi-même d’ailleurs. Il parut étonné de notre accueil plus chaleureux que d’ordinaire mais ne fit aucune remarque.
Chacun vaqua à ses occupations jusqu’à l’heure du repas où, une fois n’est pas coutume, c’est un traiteur qui livra des plats cuisinés. De plus en plus étonné, Jean-Benoît demanda s’il avait oublié quelque chose, fête, anniversaire ou autre, aussi nous dûmes lui assurer que c’était un week-end comme un autre, simplement une envie de manger autre chose sans avoir à se prendre la tête.
À la fin du repas, alors que nous étions tous les trois affalés dans les canapés, Ellen et Jean-Benoît encore côte à côte, à se faire des papouilles tantôt sur le front, tantôt sur les bras ou le dos, Ellen s’adressant à moi me dit :
- Tu sais mon cœur ce que m’a demandé le petit comme cadeau. Tu es toujours d’accord ?
Jean-Benoît, écarlate, tourna la tête vers moi, pour le moins inquiet des mots que venaient de prononcer sa belle-mère. Je répondis en plantant mes yeux dans les siens :
- J’aurais aimé qu’il me demande à moi mais quoiqu’il en soit, je n’ai pas changé d’avis. Vous devriez monter dans sa chambre, à moins que vous ne préfériez rester là.
Ellen se leva immédiatement et prenant son beau-fils par la main, elle déclara :
- Ce sera mieux si on monte. Tu nous rejoins quand tu veux n’est-ce pas mon grand ?
Jean-Benoît, dépassé par les évènements, balbutia un timide oui bien sûr et disparut derrière sa belle-mère.
Je les entendis monter les escaliers puis ouvrir la porte d’une des chambres, laquelle ne se referma pas. J’entendis alors des voix mais sans percevoir ce qu’elles disaient, aussi je décidais de monter à mon tour mais sans me faire remarquer.
J’arrivais rapidement dans le couloir tout près de la chambre du petit. J’entendais maintenant distinctement Ellen et Jean-Benoît converser. Mon épouse se renseignait pour savoir s’il avait déjà embrassé une fille, s’il en avait déjà touché etc. etc.
J’entendis qu’il lui répondait n’avoir jamais embrassé une fille avec la langue, aussi le silence se fit et, penchant discrètement la tête, je vis Ellen se pencher vers lui pour lui prendre les lèvres. Un baiser sage d’abord, puis lorsque les lèvres se sont jointes pour ne plus se quitter, j’ai vu qu’Ellen avait glissé sa langue dans la bouche du jeune homme pour lui faire découvrir ce qu’était un baiser profond.
Jean-Benoît, envoûté par les sensations que lui procurait sa belle-mère, gardait sa bouche grande ouverte et Ellen léchait littéralement l’intérieur de sa bouche tandis qu’il poussait des petits cris de plaisir. De la bave coulait à la commissure de ses lèvres, rendant le spectacle encore plus irréel.
Enfin Ellen s’assit sur le lit puis s’y coucha, en demandant à son protégé de s’approcher pour continuer à l’embrasser. Tandis qu’il l’embrassait Ellen lui prit la main pour la guider vers son entrejambe, en faisant remonter sa robe sur son ventre. Elle n’avait pas mis de culotte et son sexe m’apparut dans toute sa nudité.
Ellen posa la main inexperte sur son ventre, le laissant découvrir lui-même le coquillage convoité. Je commençais à bander ferme mais restais dans le couloir, attendant le moment propice pour entrer.
Jean-Benoît m’avait complètement oublié, il murmurait entre deux baisers :
- Oh Mam, c’est trop bon. Laisse-moi sucer ta langue encore et puis ton ventre, ta peau est douce, j’ai envie de l’embrasser.
À ces mots, alors que sa main s’était posée bien à plat sur la fente et qu’un doigt commençait à ouvrir les deux grandes lèvres, il se laissa glisser vers le ventre d’Ellen qui ne s’attendait pas à une telle initiative. Elle essaya de le retenir mais c’était déjà trop tard, Jean-Benoît avait posé son nez sur la chatte, qu’il reniflait comme un petit chien en quête de friandises.
Instinctivement, Ellen releva ses jambes, forçant son protégé à se caler entre ses cuisses. Rapidement il se recula pour admirer la chatte de sa belle-mère qui commençait à suinter. Intrigué par le liquide qui s’échappait du con excité, il en recueillit avec le doigt pour le porter à ses lèvres, puis tout de suite, il le fit glisser dans l’ouverture en écartant avec son autre main les grandes lèvres pour découvrir l’entrée du fourreau luisant, déjà prêt à accueillir toute intromission.
Ellen se mordait les lèvres, subissant avec délices les caresses maladroites du jeune homme. Elle le laissait faire, découvrir par lui-même, car elle était déjà sur le point de jouir tant la situation était excitante. Elle pencha alors sa tête de côté pour cibler l’encadrement de la porte où elle me vit en train de lui sourire. C’est le moment que choisit Jean-Benoît pour sortir sa langue et comme il l’avait fait dans la bouche un peu plus tôt, il investit la chatte, léchant le sillon sur toute sa longueur, cherchant le fameux bouton dont il avait entendu parler ses copains, lapant comme un jeune chien.
S’en fut trop pour Ellen qui, cherchant mon regard, laissa tout à coup le sien basculer en arrière pour ne m’offrir que le blanc de ses yeux. En même temps, une longue plainte s’échappa de sa bouche grande ouverte tandis que sa main appuyait sur la tête fouineuse pour maintenir la bouche au contact de son sexe. Jean-Benoît, docilement, continua à laper sur toute la longueur des chairs, obligeant Ellen à le repousser doucement pour terminer sa jouissance.
Encore dans les « vaps » elle demanda à Jean-Benoît de se déshabiller pour s’allonger à ses côtés. C’est ce qu’il fit à la vitesse de l’éclair, me faisant découvrir une longue queue fine, bien plus longue que la mienne mais beaucoup moins épaisse. A peine allongé, Ellen se mit à genoux entre ses jambes et commença à lui lécher l’intérieur des cuisses, lui demandant de replier ses genoux comme elle l’avait fait.
Sans hésitation Jean-Benoît s’exécuta, entièrement en confiance avec sa belle-mère. N’y tenant plus, elle ouvrit la bouche et goba les deux bourses à peine velues, les suçant tour à tour avec un bruit obscène.
Son garçon n’arrêtait plus de râler et de lui dire que c’était trop bon, qu’il avait peur de jouir.
Ellen devait sentir aux spasmes de la queue dans sa main qu’effectivement, l’éjaculation était proche mais, au lieu de ralentir, elle embouchât le gland pour le téter, tandis que ses mains coulissaient sur la hampe et trituraient les couilles du jeune puceau.
En un éclair :
- Mam. Arrête Mam je vais jouir. Aaahhhhhhh non, je jouiiiiiisssssss. Encore, jusqu’au bout……….. s’il-te-plait, ouiiiiiiiiiii.
Ellen continua à le pomper pour extraire les dernières gouttes de sperme. Elle se tourna vers moi alors que je m’étais avancé dans la pièce pour mieux voir la fellation puis en ouvrant la bouche, elle me montra le flot de sperme qui noyait sa langue. Elle la referma et je la vis déglutir, ses yeux dans les miens, toujours souriant.
Elle s’écarta un peu pour me montrer sa main en train de branler la jeune queue. À ma grande surprise, il n’avait pour ainsi dire pas débandé. Ravie, elle se coucha sur lui pour le faire basculer et l’entraîner au-dessus d’elle. Jean-Benoît ne bougeait pas, Ellen le fit glisser pour remonter vers sa bouche afin qu’elle puisse le sucer encore un peu et le faire durcir un maximum, le petit adorait se faire sucer car Ellen dût insister pour le repousser et le faire quitter sa bouche.
Je l’entendis lui parler à l’oreille sans comprendre, mais Jean-Benoît l’attrapa sous les genoux pour se les caler sur les épaules, dégageant ainsi l’entrée vers sa chatte en pleine effervescence.
Ellen passa sa main entre leurs corps pour attraper son sexe puis, en penchant sa tête de côté pour planter ses yeux dans les miens, elle positionna le gland dans l’entrée en le bougeant un peu pour bien écarter ses chairs trempées.
- Vas-y mon garçon dans quelques secondes tu seras un homme car tu auras baisé ton ex belle-mère. C’est notre cadeau à Greg et à moi. Regarde mon amour, cette jolie queue qui s’enfonce dans ma chatte.
- Oh Mam. Merci mam, merci Greg. C’est trop bon dedans. Ça chauffe de partout, on dirait que ma tête va exploser.
Lentement comme le lui avait demandé Ellen, Jean-Benoît s’est laissé descendre, enfilant en douceur mon adorable épouse, heureuse d’offrir sa chatte en cadeau à son beau-fils, et d’en faire un homme.