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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

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- Ma belle soeur et l’alcool (t) -

A une certaine époque (j’étais beaucoup plus jeune) avec Claude ma femme, nous sortions chaque week-end en boite. Pas d’enfant, pas de soucis, pas d’horaires, la liberté ne durant qu’un temps, nous en profitions au maximum.
Mon beau frère partais sur des chantiers à l’étranger, il s’absentait souvent quelques semaines voir plusieurs mois.

 

Nous emmenions souvent ma belle soeur Sylvie en virée la sortant ainsi de sa solitude un peu forcée. C’était une petite femme aux cheveux châtain clair, vive, bavarde, pas spécialement jolie mais assez sexi, s’habillant court et possédant une poitrine très avantageuse.
Ce soir là, le rendez-vous était fixé assez tôt dans un bistrot que nous fréquentions assidûment. Ce lieu de débauche était servi par une nana pas farouche qui savait retenir les clients en mettant « la sienne ». Elle s’affairait avec ses dix bras, une extraterrestre au service.

Le vendredi soir, ce troquet nous servait de lieu de regroupement et les potes s’y rendaient pour planifier la fin de semaine et sucer de la glace. Sylvie était déjà là à notre arrivée.
L’apéro jaune et la bière pression coulaient à flots. En ces temps moins fliqués sur les routes il n’était pas rare d’en ramener « une » à la maison. Trois grammes c’est finalement assez peu d’autant que l’herbe à nigauds parachevait le travail de démolition.
Lors, ma belle sour s’était fringuée à la limite de la décence et de l’honnêteté pour une femme mariée : une mini jupe noire s’ouvrant d’une simple pression assortie d’un débardeur ouvert qui lui, nous la mettait « la pression ».

Succès garanti auprès des buveurs de fond, elle se fait draguer bêtement par les alcoolos de service. Pas très fins il faut dire, la casquette en plomb ça n’aide pas à montrer son intelligence ni à se placer pour tirer son coup après l’avoir bu.
Sylvie se met quelque pastis derrière la cravate, elle est de toutes les tournées et vide son verre d’un trait sans respirer. A notre entrée, elle nous accueille de gros bisous parfumés à l’anis.

Le bruit des conversations est infernal dans l’exiguïté de cette pièce fermée, les soifards ont un niveau sonore impressionnant. La musique marche à fond, Balavoine nous dit qu’il s’appelle Henri. La fumée acre opacifie la scène, et me brûle les yeux. Ca pue, c’est bruyant mais l’ambiance me plait, les copains sont sympas.
Bien sur, je la suis au pastaga mais, si elle est en tête à mi course, son petit gabarit me donne un avantage certain sur elle dans le final. Et puis, je conduis donc je fais quelques impasses bénéfiques à ma lucidité et à ma clairvoyance.

Je ne la drague pas vraiment car Claude ma femme, est par là qui se chauffe au blanc cassis, non pas qu’elle soit jalouse mais avec la femme de son frérot .elle n’apprécierait pas
Je ne fais rien non plus pour éviter les petits contacts électrisants qui passent entre nous dès que nous bougeons car nous sommes tassés l’un contre l’autre par la foule du bar. Un bon buveur boit debout, ça descend mieux.

Au bout d’un moment je pige qu’elle est raide, je vois le niveau atteint par l’alcool au fond de ses yeux verts, et je comprends que si elle est encore debout c’est parce qu’elle est coincée le long du comptoir.
Elle se penche vers moi et me crie dans l’oreille qu’elle a besoin d’aller aux toilettes.
Comme je suis mûr aussi pour aller saluer Monsieur Jacob Delafon, je lui propose de l’accompagner jusque là.

Oui, je sais, habituellement elles y vont entre filles mais ce soir, y’en a pas, donc .
On se sort comme on peut du bar, je cramponne Sylvie qui menace de s’écrouler à chaque pas. Au fond du petit couloir, nous atteignons non sans mal les toilettes. Y’en a deux porte contre porte. Sylvie s’engouffre dans la première et je me réserve la seconde.
Je n’ai pas le temps de me sortir l’outil que j’entends un fracas de l’autre côté du mur et une bordée de jurons qui me feraient rougir si je n’avais pas tant bu.
Je rentre popaul à l’abri et tente de savoir ce qui a pu se passer. La porte est bouclée mais en insistant, et en l’encourageant, Sylvie a raison de la serrure et m’ouvre.
Elle est affalée dans ce WC et ne sait plus trop où elle en est. Elle me demande de l’aider à uriner.

Je prends un gros coup de chaleur, et deviens très raide. L’aider équivaut à tout mater .
Elle risque de faire sous elle si je ne l’aide pas. Je lui propose par pudeur et pour être bien sur de mon coup d’aller chercher Claude. Refus catégorique de l’alcoolique en crise de parano et de delirium. C’est moi ou rien.

Comme y’a pas de place pour deux, je la sors dans le couloir et entreprend de dégrafer la mini. C’est trop facile je tire, ça vient pouf c’est sur ses chaussures et elle est en slip devant moi. J’apprécie au passage sa plastique de jeunette. Je l’aide à se tourner et je la fait pénétrer dans l’étroit réduit. Je ferme la porte et la cale contre le mur. Je lui descends le dernier rempart de pudeur qui nous séparait encore. Culotte baissée, je l’assieds sur le siège. Elle ne me regarde même pas et s’épanche sans rougir. Je mate comme un fou sa petite touffe d’où sort un jet bruyant. Pas grand-chose à voir. Lorsqu’elle en a terminé, je lui tends un peu de papier pour qu’elle s’essuie mais elle me demande de le lui faire.
OAA ça se corse ! Comment m’y prendre ?

Je l’aide à se mettre debout, elle vacille mais tient bon. Elle n’a pas l’air très fraîche, les yeux peignés en arrière et la lippe tombante.
Je lui demande d’écarter les jambes et comme elle n’y arrive pas because la culotte sur les pompes, j’enlève la culotte !

Jambes écartées, elle se laisse essuyer le minou en râlant petit peu. Anesthésie comme elle est, je me demande ce qu’elle ressent ? Est-elle vraiment saoule ou profite-t-elle des circonstances pour jouer avec moi? J’essuie et essuie encore.
Bien sur avec la trique que j’ai, je materais tous les chats du quartier. Je la lui glisserais bien en douce façon gentleman. Pourtant, ce n’est quand même pas le moment de la sauter même si, visiblement, elle ne demande que ça. Je lui remets donc sa jupe à contre cour. Elle ne dit rien déçue je pense. Nous revenons vers la salle du café.

Je laisse passer une occase pareille je suis vraiment con, tout le monde voudrait la sauter à force d’allumer et moi je l’envoie balader !
Je me rends compte arrivé dans le bar que j’ai oublié de pisser et de lui remettre sa petite culotte qui est dans ma poche. Tant pis pour moi, tant mieux pour elle.
Ca n’a pas l’air de la gêner, ce break lui a fait du bien, elle se remet à plaisanter et à boire.
Je m’assure auprès de Claude que sa soirée se passe bien en oubliant de lui raconter cet épisode. Elle est partie au tarpé et je la dérange dans son élan vers la déchéance.
De retour au comptoir, je me fais alpaguer par les potes qui me remplissent dare-dare mon verre. Ils ont repéré notre absence et essaient de me sortir les vers du nez. Je fais la carpe en ignorant les quolibets.

Sylvie se frotte dans mon dos, attrape une de mes mains et se la glisse discrètement sous la minijupe. C’est chaud, sans équivoque.
Que suis-je venu faire dans cette galère ? Je me suis bien tenu jusqu’à présent, qui suis-je pour résister à la tentation ? Je lui enfile juste un petit doigt pour dire que je ne suis pas bégueule et que je la reçois. Elle me plait bien dans ce rôle de salope provocatrice tant pis pour mon beauf, ça ne sortira pas de la famille.

- tu fais une collection ? Me demande-t-elle.
- Je préfère sans ! lui dis-je comme si j’avais fait exprès de garder sa culotte.

Ca la laisse perplexe, voir songeuse. La soirée continue à dérouler ses brèves et ses galéjades toutes extraordinaires et bien sur inventées de toutes pièces. Il fait bon papoter pour ne rien dire d’autre que des conneries. Sylvie m’a un peu oublié, mais elle rode autour, guette le bon moment ou le dernier.

Plus tard, elle revient me solliciter pour les toilettes, c’est on ne peut plus clair, l’heure est venue, ma volonté a nettement faiblie depuis le dernier épisode.
Elle me refait le même plan dans le couloir à tituber comme une ivrogne. Cette fois je la guide en la drivant d’un doigt précis glissé dans la raie de ses fesses. De nouveau je me retrouve à lui virer la jupe mais avant de l’asseoir, je la pelote d’une main experte, je la branle et elle n’a pas de problème crois moi pour écarter les cuisses. Elle a le poil disparaître, la plantation éparse, on jurerait qu’elle a mis du désherbant. Quelle drôle de chatte, bizarre à caresser.
Elle doit croire en dieu, car elle l’appelle les yeux dévotement retournés vers le plafond.
Elle attendait le ramonage depuis un moment car elle grimpe aux rideaux à la vitesse grand V. Mon beauf aura moins de travail lorsqu’il va rentrer, j’aurai déjà dépoussiéré les salles et les annexes.

Je l’attaque par derrière comme son nom l’indique. Une manie chez moi, je pense que si une fille accepte ça d’emblée, c’est un signe encourageant pour qu’elle accepte ensuite d’assouvir tous les fantasmes qui me traversent perversement la tête.
Pas de bol, pas d’accord, pas de préservatif, pas pensé. Ni elle ni moi !
Je suis trop con, je n’ai pas le sésame et bien qu’elle soie ouverte, je ne peux la conquérir . Y’a plus qu’une soluce ! Nous tombons d’accord sur le protocole. Elle a tellement pompé ce soir qu’un verre de plus ne peut plus lui faire de mal. Surtout un verre à liqueur !
Elle se tourne, se baisse, s’assied sur le siège et me suce d’une langue gourmande et vipérine. Elle me fait l’alphabet sur le bout de la pine. Ses mains activent l’affaire et je rends les armes non sans avoir résisté un moment à son savoir faire. Ca part en live, bouche, cheveux, front, yeux, débardeur, je suis étonné de voir toutes mes réserves y passer et se répandre si grassement en giclées généreuses.

Avec toute cette précipitation, je n’ai même pas pensé à lui déballer les seins qui me font fantasmer depuis toujours. T’es vraiment pas dans ton état normal pauvre tâche ! Me voici assouvi mais pas rassasié. Elle a plutôt l’air satisfaite de son coup.
Ca fait un moment qu’on est là et déjà, à deux ou trois reprises, des gens sont venus secouer la poignée de la porte. Heureusement c’est un deux places et on n’a pas été dérangé, mais il serait peu prudent de continuer à traîner dans le secteur, fatalement, on va nous chercher et nous trouver. Y’a dix minutes, ça m’excitais, à présent ça me fait flipper.
Je me rebraguette vite fait après m’être essuyé la queue avec sa culotte (pas gonflé le mec), et je la laisse à sa toilette en remontant à l’abreuvoir. Parole, elle est pas encore sortie si elle veut avoir l’air digne.

Vous me croirez pas, mais y’a jamais rien eu d’autre. Jamais nous n’en avons reparlé, jamais je n’ai vu ses seins, jamais je ne l’ai baisée, jamais je n’en ai parlé à Claude. J’étais juste là le jour de l’offre. Comme quoi, y’a pas de forteresse inviolable.

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