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- Les levres de sa femme sur ma chatte (t) -

Bonjour. Je m’appelle Sandra, j’ai 23 ans. Je suis secrétaire mais l’année dernière encore chômeuse. L’ANPE m’a proposé un stage dans un restaurant d’entreprise. C’était une formation rémunérée. On m’a présentée à un instructeur et aussi à cinq autres élèves, quatre hommes et une femme, entre 25 et 40 ans. On s’est divisés en deux groupes. Je me suis mise avec l’autre fille et un bonhomme pas mal de sa personne. On formait une bonne équipe, on travaillait dur, ce n’était pas facile.

A cinq hommes (avec l’instructeur) contre deux, les femmes avaient beaucoup de propositions coquines. Toutes les plaisanteries étaient basées sur le sexe. Je n’ai rien accepté mais au fur et à mesure, je m’excitais de plus en plus. C’était normal, on ne parlait que de cul à longueur de journée. Et puis l’autre fille a baisé avec un gars du second groupe. Malheureusement, son ami l’a su et elle a dû arrêter le stage. Là, je me suis sentie bien seule, les types m’excitaient pour deux.

 

Un matin qu’on était tête à tête à l’appareil à café, l’instructeur m’a donné des conseils avisés pour l’examen de fin de stage. Il m’a dit de m’habiller vachement sexy et de me laisser mater par les inspecteurs qui aiment bien les rousses pétillantes dans mon genre. Si je réussissais, je devais donner ma petite culotte aux gars du stage, en souvenir. Je me suis bien appliquée comme il avait demandé, ça m’a aidé. Les examinateurs avaient l’air de vieux cochons. J’ai commis pas mal d’erreurs et malgré tout, j’ai été reçue. On était que deux à être reçus ! Le lendemain, l’instructeur a organisé une petite fête sympa avec du champagne. Je suis montée sur la table et le type qui avait réussi l’examen avec moi m’a ôté la culotte. L’instructeur et les trois autres stagiaires étaient assis tout autour à rigoler. J’étais vraiment excitée. Ils ont découpé ma culotte en cinq et se la sont partagée avec des commentaires salaces. J’avais envie de baiser. Je me suis dit qu’en descendant cul nu de la table, ce serait ma fête. Je serrais les miches. Eh bien, non. Ils m’ont complimentée, c’est tout. J’ai voulu leur demander, mais je n’ai pas osé.

 

Après, je n’ai pas trouvé de boulot. J’ai un ami (un vrai : je ne couche pas avec !) qui a eu l’idée de faire paraître une petite annonce pour moi sur Internet. Il a envoyé une photo où j’étais en petit maillot de bain sexy à la plage. On a reçu réponse de trois Africains prétendument « surdimensionnés » qui me trouvaient à leur goût, avec des indications grivoises sur tout ce qu’ils comptaient me faire. Mon ami leur a dit qu’ils pourraient me faire tout ce qu’ils voulaient, sauf de la violence. Au début, je ne voulais pas de ce contact, mais mon copain m’a convaincue. Il leur a proposé de me rencontrer dans ma chambre, le samedi soir. Les trois Africains ont accepté. Ce qui les intéressait surtout, c’est que je n’aie pas peur d’en prendre de bien grosses. Il leur a expliqué l’adresse et qu’il serait à la porte à vingt heures pour leur ouvrir. Il les a attendus plus d’une heure, mais ils ne sont pas venus. En attendant, je m’étais déshabillée. J’étais complètement nue, immobile au milieu de la pièce, sans trop savoir que faire. Je cachais mes gros seins, en croisant les bras, honteuse… Mon ami s’est excusé en disant dit qu’il y avait beaucoup de plaisantins sur Internet.

 

Après, mon ami m’a trouvé un job dans une cantine. Je n’avais pas grand-chose à faire, mais le patron m’aimait bien. Il me reluquait toujours avec des yeux exorbités. Je suis très sensible des tétons. Quand je ne mets pas de soutien, le frottement du corsage les fait se dresser. Le patron appréciait visiblement de me voir comme ça. Un soir, il m’a demandé de rester après l’heure pour faire du rangement. Il était bien plus âgé que moi, mais ça ne me déplaisait pas. Je n’avais rien en dessous et il s’en est aperçu :

- Mais Sandra, vous n’avez pas de culotte !

- Non, Monsieur, j’aime me sentir à l’aise sans rien qui me gêne…

- Voyez-vous ça ! C’est que vous êtes imprudente ma petite. Vous pourriez m’exciter ! Je pourrais vous faire des choses !

- Oh Monsieur ! Vous savez, je suis jeune, mais je ne suis pas sûre que je vous plairais…

- J’ai bien envie de vous enculer ma petite… vous seriez d’accord ? parce que je ne veux pas d’ennuis…

- Ce qui m’ennuie, Monsieur, c’est que je ne l’ai jamais fait et que vous devez en avoir une énorme…

Je savais que les vieux adorent les vierges et aussi quand on leur dit qu’ils ont une grosse bite.

- Un cul à dépuceler, quelle joie ! Vous savez que c’est mieux de ce côté-là, il n’y a pas de surprises. Et puis, ça ne fait pas mal comme on dit. Je vous enduis l’anus avec de la pommade, avant. Ma queue n’est pas si épaisse, ça rentrera comme dans du beurre.

Je me faisais mentalement à l’idée d’être tringlée par le patron quand une femme est apparue :

- Alors, tu restes le soir au bureau avec des poufiasses pendant que je t’attends ?

En un clin d’oeil, la femme du patron s’est foutue à poil. Elle était bien pour son âge. Les seins tenaient pas mal. Elle n’avait pas beaucoup de cellulite. Ce qui m’a frappé, c’est qu’elle avait la chatte ouverte, avec un gros clito rose qui luisait.

- Mademoiselle, vous êtes une sotte !

La femme du patron a commencé à m’expliquer où voulait en venir son cochon de mari, ce que je savais parfaitement ! Ce faisant, elle me dégrafait le chemisier, l’air de pas y toucher. Un temps d’hésitation et c’est la jupe qui chutait.

- Vous n’êtes pas mal. Vous faîtes du combien : 85B ? J’aime bien vos seins en poire. Tournez-vous… un joli petit cul aussi ! Ca ne m’étonne pas que tu l’allumes ce pauvre vieux !

Sur ces mots, elle s’est approchée de ma chatte et l’a embrassée. Sa bouche était si douce, j’ai écarté les cuisses malgré moi.

- Tu ne connais pas l’amour, petite gourde !

Elle s’est mise à se branler devant moi. Elle malaxait son gros clito rose. Puis elle m’a saisi la main et l’a engloutie d’un coup dans son vagin. J’étais étonnée de la souplesse de sa chatte. Son vagin était d’un volume incroyable. J’avais la moitié de l’avant-bras dans son ventre. Elle a tremblé sur ses jambes. Elle a orgasmé très fort par saccades. J’avais l’impression qu’elle m’aspirait le bras pour me faire rentrer toute entière par son sexe dilaté.

- Voilà comment on jouit ma belle… allez, remballe tes gadgets !

Le lendemain, le patron m’a dit qu’il n’avait pas besoin de salope dans mon genre. Il m’a licenciée.

 

Je suis allée chez mon ami, me confier, me faire consoler peut-être… Je l’ai trouvé avec un garçon très mignon. Il était accoudé à la table de la cuisine et le jeune homme faisait entrer et sortir sa longue queue entre ses fesses ouvertes. Mon ami semblait apprécier le traitement : il bandait ferme. Bientôt, je l’ai vu éjaculer fortement, projetant de longues giclées blanchâtres contre le mur de la cuisine où elles ont coulé. J’étais excitée par le spectacle. Je savais que certains hommes s’enculaient mais je n’en avais jamais vu. Je me suis caressé le minou, mais ça ne me consolait pas vraiment :

- Tu sais, j’ai absolument besoin d’un job !

- Tu trouves que c’est le moment…

Il fallait que je me débrouille seule, je n’avais pas le choix. Heureusement, j’ai rencontré l’instructeur de mon stage de restauration. Il m’a présentée à son boss. J’ai fait un essai comme secrétaire. Ca a été vite fait : il m’a fait venir avec lui dans son grand fauteuil directorial où on a pris langue. Puis il m’a fait pencher sur ses dossiers, les nichons bien en vue. Ma jupe serrée ne cachait rien de ma croupe parée d’un porte-jarretelles. L’intérêt du boss était à son comble ! Il a baissé mon brésilien. Voyant mon anatomie, il m’a dit que, d’après lui, j’étais faite plus pour le peep-show. Il en connaissait un… j’ai dansé à poil quelques semaines pour des hommes qui se branlaient seuls. Je ne les voyais pas, mais ça m’excitait quand même. La seule chose qui me gênait, c’est que ça n’avait rien à voir avec le sexe que j’aime.

 

Finalement, j’ai décidé le grand jeu avec le boss. J’ai fermé la porte de son bureau à clé. Il fallait que ça se fasse ! Assise sur le bureau, j’ai écarté les jambes un max. Tout sourire, il a posé son gland à l’entrée de ma chatte. Mais c’était pour mon cul qu’il en bavait. J’en avait bien envie aussi. Je me suis placée à quatre pattes et d’un coup sec, il m’a planté son sexe entre les fesses. J’ai joui tout de suite tellement c’était subit ! J’ai joui en continu, en fait, serrant sa queue comme je pouvais. Il a bien aimé et moi également. Quand je me suis rhabillée, il m’a dit enfin que j’étais engagée comme secrétaire ! Une autre secrétaire m’attendait à la porte du bureau. Elle m’a demandé si ça allait. Puis elle m’a dit que si je voulais, elle avait de la pommade dans son bureau. Je lai suivie. Elle m’a fait signe de m’installer sur un divan :

- Mettez-vous là, je vais vous aider…

Je me suis allongée sur le divan, elle a mis une noix de pommade sur ses doigts et s’est approchée de moi. Je me suis demandée si elle allait vraiment étaler le produit sur mon anus. Mais oui, elle l’a fait.

- Il fait ça souvent ? j’ai demandé.

- Je crois que nous y passons toutes, de temps en temps…

J’ai senti que j’allais aimer mon travail !

 


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