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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

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- Aline et les toilettes (t) -

Bonjour ! Je m’appelle Marc et j’ai trente-quatre ans. Je suis marié aujourd’hui avec Aline, une jeune femme que j’aime et qui me comprend. A vrai dire, c’est la fille de mes rêves car elle me permet de vivre au quotidien mon fantasme d’adolescent. Vous savez, ces scènes qu’on imagine quand on se masturbe dans l’intimité de sa chambre, précautionneusement fermée à clé. Mon truc à moi commençait par une promenade à la campagne avec une cousine. On cheminait gentiment, l’air était pur, les petits oiseaux chantaient, le sentier fleurait un bucolisme conventionnel propice aux idylles de bon aloi… Quand abrupto la fille dit qu’elle a une envie pressante.

Elle cherche un petit coin pour se mettre à l’abri des regards. Elle s’arrête derrière un bosquet qui ne cache rien du tout. Là, elle s’accroupit, je la vois qui écarte sa culotte, et elle se met à pisser dans l’herbe. Elle pisse longtemps, parce qu’elle a beaucoup envie. Un joli jet, parabolique, cuivré et qui scintille au soleil. Moi, je la regarde faire. Combien de fois ne me suis-je pas joué cette scène, avec toujours la même excitation…

 

Hélas, ce n’est pas un goût évident à partager. Je l’ai appris à mes dépens étant jeune homme. La première fois que j’ai pénétré l’intimité d’une copine, c’était avec Marie-Claire, une étudiante brune sans façon. Elle m’avait invité chez elle, une piaule exiguë avec un coin cuisine et un coin toilette où se trouvait aussi le WC. Avant de faire ce pour quoi nous étions là, elle a voulu faire pipi. Elle s’est donc installée sur le water. Moi, j’étais assis nu sur le lit en face d’elle. Elle s’est mise à pisser. L’urine dégoulinait avec bruit : un chuintement au niveau du méat et des éclaboussures dans la cuvette. J’ai eu envie de toucher le beau liquide doré qui s’échappait de son ventre, comme on aime plonger la main dans l’eau d’une fontaine. J’ai cédé à ma pulsion. J’ai introduit mon bras entre les cuisses et j’ai touché la chatte pendant qu’elle pissait. Une claque magistrale a clôturé notre amour naissant !

 

J’ai rencontré Aline un peu plus tard. Une jolie rousse, avec une poitrine généreuse qui lui fait cambrer un bassin étroit. Elle a une peau que je trouve gaie, satinée et toute mouchetée, comme un emballage de fête. Cette fois, c’est elle qui est venue chez moi, un F2 que j’habitais à l’époque dans le 20ème à Paris. Et c’est moi qui, « avant de faire ce pour quoi nous étions là », ai fait pipi. Quand j’ai tiré la chasse, elle m’a dit depuis la chambre :

- Ne ferme pas la porte, j’ai envie aussi…

Elle est arrivée toute nue en trottinant et s’est installée, la porte ouverte. Elle maintenait les cuisses serrées, ce qui fait que je ne voyais rien, mais on entendait bien le sifflement du jet entre les petites lèvres. Elle pissait naturellement, sans pudeur ni impudeur. Je me laissais bercer par la douce musique, parfois suspendue et qui reprenait avec d’autres sonorités. Instruit par l’expérience, je suis resté sage mais sans doute mon trouble était-il perceptible. Aline a réalisé qu’elle faisait montre d’une familiarité peut-être choquante, même si nous étions chez moi pour faire l’amour.

- Excuse-moi, je suis sans gêne, me dit-elle en rougissant.

Je n’ai rien répondu. Elle s’est essuyée avec du papier toilette, me dévisageant d’un air équivoque, et nous sommes passés à des choses coquines mais plus convenables en somme, en jeune couple BCBG.

 

Comme on s’entendait bien, Aline venait souvent chez moi. Un jour qu’elle avait été aux toilettes, je l’ai entendue appeler :

- Chéri, apporte-moi un rouleau de papier, il n’y en a plus…

Je suis allé en prendre un dans le placard sous l’évier et tandis que je le lui tendais discrètement par la porte entrouverte, en chat échaudé qui craint l’eau froide, elle a ouvert en grand pour me dire comme contrariée :

- Eh bien, qu’est-ce qui t’arrive ? Je ne suis pas une créature angélique tu sais… les filles vont aussi au cabinet, ça te gêne ?

Elle s’était relevée du siège, la jupe troussée, la culotte aux genoux, les cuisses écartées sur sa touffe rousse où perlait un peu d’urine. Elle m’a pris des mains le rouleau de papier, en a arraché un morceau et s’est essuyée :

- Je ne te choque pas, j’espère ?

- Non, pourquoi dis-tu ça ?

- Tu as un air bizarre quand je vais au WC… je me sens coupable de je ne sais quoi… pourtant c’est normal !

- ???

- Tiens, tire la chasse pour moi et nettoie la cuvette, ça t’apprendra !

Dans la cuvette, une boule de papier bleu flottait légèrement sur un liquide jaune clair. L’odeur était tendre, avec un piment d’âcreté.

 

Aline m’intriguait. J’ai fini par me rendre compte que si elle ne passait tout son temps au WC, elle y séjournait quand-même des durées supérieures à la moyenne. La petite culotte sur les mollets, calmement installée, elle y restait les coudes sur les genoux et le menton dans la paume des mains. Et puis, elle y allait sans précaution. Ça m’a gêné, c’est vous dire, un soir qu’elle a fait pipi chez des amis : on aurait dit qu’elle faisait ça dans la salle de séjour, au milieu de tout le monde… Quand on revenait en voiture chez moi, je lui en ai parlé.

- Tu as raison, chéri, j’aurais pu être discrète. Mais tu sais, je me méfie toujours de la propreté des toilettes, alors je n’utilise pas le siège. J’ôte ma culotte et je me mets debout, jambes écartées au-dessus de la cuvette. C’est pourquoi tu as entendu ce bruit de cascade. Ça t’a fâché ?

Elle était gaie, contente de son espièglerie.

- Tu es sûre que tu n’as pas encore une petite envie ? ai-je risqué.

- Si justement, arrête-toi là sur le côté de la route.

Aline a ouvert la portière et s’est accroupie dans l’air frais de la nuit.

- Ça me fait froid aux fesses, dis-donc, tâte pour voir…

Je lui ai passé la main sous le derrière, ses poils m’ont gratté le dos de la main puis l’urine chaude m’a mouillé les doigts. C’était merveilleux de toucher ce petit jet hésitant. Aline s’est relevée radieuse :

- Tu aimes, chéri ? J’ignorais que cela te plairait ! Je suis assez cochonne, ça tu le sais. Mais ce qui m’excite le plus, c’est de faire pipi… tu comprends ?

 

C’est avec un vague sentiment de honte que lui ai dit que je la comprenais mais sans oser lui avouer que sa petite perversion correspondait à mon fantasme le plus cher. Le lendemain, avant de partir à l’université, j’ai laissé un message à Aline : « Quand tu feras pipi mon amour, fais-le debout, la culotte à mi-cuisse, pour bien la mouiller et attends-moi ». A mon retour, j’étais inquiet, mais Aline avait suivi mes instructions : sa culotte était encore humide, avec une grande auréole couleur blé d’or au bas du sexe. J’ai fait glisser l’étoffe sur ses cuisses. Sa petite touffe de rouquine avait bien conservé l’odeur d’urine.

- Et toi, chéri, tu n’as pas envie de pisser ? m’a-t-elle demandé soudainement.

- Oui, justement… pourquoi ?

Aline m’a pris alors par la main mais au lieu de me conduire au WC, elle m’a amené à la salle d’eau. On s’est déshabillés pour une douche. Là, elle s’est agenouillée devant moi, en soulevant des mains dans ma direction ses deux gros seins blancs et roux et elle m’a dit, l’air décidé :

- Vas-y, pisse dessus…

Elle avait mis la douche à couler et le bruit de l’eau m’a aidé. Après quelques incertitudes, j’ai réussi à lui pisser sur la poitrine. Elle s’est massée le corps de mon urine comme d’un parfum puis elle s’est retournée, me présentant sa croupe :

- Vas-y, un dernier jet dans la raie…

J’ai la vessie vide, mais cette idée de faire pipi sur son derrière m’a ravi. J’ai trouvé une dernière ressource pour lui mouiller les fesses et les cuisses. Et puis nous nous sommes couchés pour faire l’amour, se reniflant à l’envi, les sens affolés, dans une totale complicité.

 

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