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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

Intelligence artificielle

- Une Rousse incendiaire (t) -

François était réputé pour être un conducteur prudent. A 45 ans, il était fier d’avoir un bonus de 50% qui faisait, de lui, un chauffeur émérite. Il pensait à cela en mettant son pardessus, ravi de rentrer, de bonne heure, à la maison. Il décida d’écouter ses messages, à distance, des fois que Sophie se serait décidée de faire la paix, avec lui. La messagerie s’enclencha, le laissant stupéfait !


- François, j’ai décidé de te laisser. J’ai décidé de te confirmé que c’est terminé, entre nous ! je retourne chez mes parents, cette fois-ci ! Adieu !
- Pfffff ! tout cela pour une petite sortie, la veille, avec ses copains ? Et encore, il était rentré de bonne heure (juste à une heure du matin !) car c’était l’anniversaire de son meilleur ami que Sophie détestait, cordialement!

Contrarié, il monta dans sa voiture, faisant rugir de colère le moteur ! Mal lui en prit ! Il venait de franchir un feu orange, mais roulant trop vite, ne put s’arrêter à temps. Il n’eut que le temps de donner un rapide coup de volant pour tenter d’éviter un véhicule élancé, venant sur sa droite ! Brrrg ! Patratras !

Excédé, il sortit s’excuser, se demandant si la personne était blessée ? Ouf ! heureusement, la jeune femme n’avait rien. Ils se rangèrent rapidement, pour établir un constat, François s’excusant de sa maladresse qui aurait pu être pire et offrit un café à la personne pour se remettre de ses émotions. Il savait pourtant combien c’était dangereux de conduire sous l’effet de la colère ! Sophie avait le chic depuis quelques temps pour le pousser à bout ! Il n’y avait plus un seul jour où une dispute semblait jaillir entre eux, bêtement. La jeune femme le remercia, s’excusant elle aussi, d’avoir démarré trop vite puis signa le constat, sans faire de difficulté.

Une fois, les documents remplis, il appela son assureur, lui demandant s’il pouvait passer, immédiatement. Une jeune femme lui répondit, d’une voix fraîche, lui rappelant qu’ils fermaient l’agence à 19 heures. Il regarda, d’un air navré, son aile droite écrasée puis reprit le volant, en manifestant une prudence, soudain, exagérée, s’interdisant de penser à Sophie, en conduisant. Il règlerait ce problème, en l’appelant, de retour à la maison.

Quand il pénétra chez son assureur, Marc s’excusa, étant déjà occupé, par une cliente. Ils se connaissaient depuis de longues années. L’assureur s’avança, lui tendant la main, cordialement :
- Excuse moi, François, je suis déjà en entretien. Accepterais-tu que mon associée, que je viens de prendre, s’occupe de votre dossier ?
- Heu pourquoi pas ! je vais m’installer en attendant, le temps de lui préparer mes papiers
- Ah je l’entends arriver !!! fit Marc, lui adressant un clin d’œil de connivence, sur lequel, François s’arrogea, mentalement.

Il perçut un bruit de talons, nerveux, frappant le sol. Quand il leva la tête, une belle femme brune, souriante, se tenait devant lui, la tête un peu penchée, en l’observant. Ramassant sa pochette, François ne put s’empêcher de mâter ses jambes, qu’elle avait fort belles ! Humm avec une associée pareille, pas de danger de s’ennuyer, pensa-t-il, amusé, intérieurement

Elle s’avança, vers lui, lui tendit la main et l’invita à la suivre, dans le bureau du fond. Fasciné, il suivait la courbe de ses hanches qui dansaient lui donnant, brusquement, le tournis! Une envie irrépressible lui vint l’esprit de lui effleurer les fesses, qu’il s’interdit de penser, dans un soupir. Elle ouvrit la porte du bureau, le faisant passer devant elle. Accidentellement, il sentit son sein frôler son bras.

Heureusement, elle le fit s’asseoir, lui permettant de cacher une érection malencontreuse. Elle ouvrit le dossier, lui posant quelques questions sur l’accident, le félicitant sur son sens du civisme, durant toutes ces années, sur la route.

- Vous êtes un conducteur émérite ! Comme cet accident n’est que de la tôle froissée, je vais arranger votre dossier, de façon à prouver que cette personne roulait trop vite. Vous en serez quitte à perdre votre franchise, je suis désolée !
- A combien se monte-t-elle ? demanda-t-il, en la fixant, ayant surpris une lueur qu’il connaissait que trop bien, dans son regard noisette
- A 1500 F environ
- Bigre ! c’est une jolie somme quand même. N’y a-t-il vraiment rien à faire ?
- Dring !!!!! allo ? demanda-t-elle, d’une voix légèrement rauque Elle lui jeta un regard, en souriant, mystérieusement puis acquiesça, en disant au revoir à son interlocuteur. Son associé s’en allait et lui demandait de bien vouloir fermer, le bureau. Elle souriait, rêveusement, en le fixant.

Elle se leva, contourna le bureau, en l’observant, puis posa ses fesses sur le coin, en croisant, sous son nez, ses longues jambes superbes. Sa jupe qui était remontée, découvrait le triangle de son minuscule slip noir. Elle continuait de balancer ses jambes, d’un air fripon. François sentit monter une bouffée d’adrénaline, tout d’un coup. Il plaisait à cette femme qui respirait la sensualité, par tous les pores de la peau! Il était prêt à parier sa main droite que celle-ci avait une petite idée, derrière la tête!

Il hésita, brièvement, puis tendit la main, effleura sa cheville, puis son mollet, remontant sur son genou, tout en la caressant. Elle ne disait rien, se contentant de lui sourire, mystérieusement, l’incitant à continuer.

A quel jeu voulait-elle jouer? Cherchait-elle seulement à l’allumer? Cela devait l’exciter de se sentir seule avec lui. Il percevait l’odeur troublante de son corps. Cette fille devait avoir une sacrée montée d’hormones!

En une seconde, il sut ce qui lui restait à faire. Il se leva, la fit mettre, face à face, devant lui puis remonta sa jupe, lui arrachant presque sa culotte. Elle émit un léger cri de surprise. Puis, il la fit asseoir sur le bureau et s’installa, dans le fauteuil, l’observant, les yeux à demi plissés, d’un air attentif.

- Montre-moi ce que tu sais faire, dit-il, d’une voix plus rauque
- Comme tu voudras! roucoula-t-elle, en riant

Elle se mit, à croiser puis décroiser les jambes, faisant remonter sa jupe, avec arrogance. Il suivait avec intérêt le tissu qui semblait raccourcir, sur ses cuisses, régulièrement.

Elle se pencha, en avant, croisa les mains sur ses genoux, puis s’amusa, à écarter les jambes, rythmiquement, penchant la tête, en même temps, ce qui n’avait pour effet, que de lui laisser entrevoir un éclair de chair blanche et un buisson sombre paraissant le narguer.

François se mit à déglutir avec difficulté. Ce petit jeu commençait à l’exciter, furieusement. Plus vif qu’elle, il lui retint les mains, les retirant de ses genoux, frustré par ce spectacle qu’elle lui cachait. L’intérieur de ses cuisses était si blanc qu’elles lui rappelaient, curieusement, la blancheur du lait. Il tendit la main pour lui caresser mais plus prompte, cette fois-ci, elle remonta ses jambes, dévoilant, un trop bref instant, le velouté de son sexe.

Elle le fixa, ironique, puis s’agenouillant, sur le bureau, remuant son bassin avec insolence, mima une danse du ventre sensuelle, retirant un à un, les boutons de nacre de son chemisier. Il évalua rapidement la quantité à retirer et pesta, silencieusement. Il y en avait bien une vingtaine! Il allait devoir attendre un bon quart d’heure qu’elle se désape! Il sentait des élancements douloureux dans son bas ventre et se retenait difficilement pour ne pas lui sauter dessus et lui faire son affaire. Il bandait comme un âne! Il tenta de l’influencer:

- Tu ne peux pas accélérer?
- Humm non, j’aime prendre mon temps! à moins que tu ne veuilles m’aider?
- Je risquerai d’être moins tendre…
- Un peu de violence ne me déplait pas, tu sais…
- Dans ce cas, pourquoi pas !

En deux secondes, il fut, sur elle, attrapa son chemisier, de chaque coté, puis tira, d’un geste sec, faisant grimacer la jeune femme. Tous les boutons rendirent l’âme, en une seconde!

Frondeuse, elle le fixa, prenant ses seins, entre ses paumes, comme pour lui offrir, puis entreprit de se les caresser, en les malaxant, sous le nez de François. Celui-ci sentit son sexe se durcir, douloureusement, comprimé , déjà, dans son pantalon.

Il se rapprocha, ne la quittant plus des yeux. Elle bascula, en arrière, remontant, une à une, ses jambes, sur ses épaules, le faisant basculer vers elle. Excité, comme un diable, il la voyait se caresser la poitrine, provocante. Il décida de passer à l’attaque! Cette petite garce l’avait suffisamment excité! A lui de lui faire monter la tension!

Il agrippa ses cuisses, solidement, rapprochant ses fesses, dangereusement, de son bas ventre, tout en maintenant, ses jambes élevées, sur ses épaules. Elle n’était plus en position de bouger mais plutôt de subir ce qu’il voulait. Il glissa ses mains sur ses globes laiteux, gonflés comme il aimait, lui pétrit, avec douceur, pour l’amadouer puis se penchant dessus, entreprit de lui sucer, un à un, avec application. Il avait une assez bonne connaissance des femmes pour savoir que cela la rendrait encore plus brûlante de désir. Si elle n’avait voulu que l’allumer, cette fille allait être servie!

Elle commença à pousser quelques soupirs de plaisir quand elle sentit sa bouche vorace gober la pointe de son sein. Il pinça l’autre téton, continuant de lui pomper avec vigueur, le sein. Ceci eut le don d’enflammer la belle qui commença à se tortiller, sous lui. Il glissa une main curieuse entre ses cuisses. Elle mouillait comme une chienne lubrique! François retint un sourire. Il ouvrit d’un geste vif sa braguette et son sexe turgescent, se mit à jaillir comme un diable, sortant de sa boite. Inutile de s’encombrer de slip ou caleçon à notre époque. Rien de mieux un service trois pièces prêt à l’emploi !

Il prit, à pleine main, sa queue, raidie d’impatience puis la fit glisser, lentement, entre ses lèvres trempées de cyprine. Il la sentait prête à l’accueillir mais il sourit. A son tour, de s’amuser, cette fois-ci! Il posa juste le bout de son gland, à l’orée de sa chatte humide puis remonta jusqu’au clitoris qu’il caressa, pour l’exciter, avant de redescendre, dans un va et vient, affolant. Ceci la rendit folle de désir. Elle se mit à gémir, à l’appeler, à se presser contre lui, comme une chienne en chaleur, avide d’un mâle pour la combler:

- Oh viens! viens! prends moi! je n’en peux plus!
- Humm je ne te sens pas vraiment prête à m’accueillir
- Si! allez, baise moi!tu me rends folle à me faire languir ainsi…

Amusé, il rapprocha ses fesses de son bas ventre, chercha d’un doigt fureteur, l’entrée de sa chatte puis d’un mouvement vif, la pénétra, sans plus de façon!

- Wahhhhhhh hummm tu es aussi chaude qu’une lave en fusion
- Ouiii! Baise moi, bien au fond! j’ai trop envie de toi!

Ce fut un voluptueux échange de soupirs, durant quelques minutes, chacun assouvissant son désir, dans cette étreinte sauvage. Puis il se retira, brusquement, la fit descendre du bureau, la retourna, lui faisant poser les mains, à plat dessus, l’obligeant à se pencher, en avant. Trop affamée, elle n’osa se rebeller, se laissant faire. Il repoussa sur le haut de ses reins, sa jupe, la troussant avec vélocité, glissa son doigt entre ses cuisses, entreprit d’humecter son anus, en le caressant avec douceur. Apprivoisé, celui-ci se détendit, peu à peu.

Avait-elle conscience combien elle était provocante, offerte, ainsi, les fesses ouvertes, prête à l’accueillir? Il glissa son sexe gonflé d’impatience, entre ses fesses, fit quelques allers et retours, lentement, histoire de la préparer, puis serrant son gland, entre ses doigts, en posa le bout sur sa rosette, appuya légèrement, commença à la pénétrer, centimètre par centimètre, faisant mine de se retirer, à chaque fois, la faisant crisper ses pieds, derrière son cou, pour le retenir.

Elle s’arquait, se cambrait, ondulait sous ses coups de boutoir, avide de plaisir, tentant d’obtenir sa jouissance. Mais il se recula, brusquement, se contrôlant à grand peine, remis son sexe mécontent dans son pantalon puis lui jeta, en la regardant, à peine:

- La suite se fera chez moi! Je ne suis pas un sauvage qui baise! A tout à l’heure…si tu me trouves, évidemment !

La porte claqua, brusquement, lui faisant comprendre qu’il venait de quitter le bureau. Désorientée, elle se précipita à la fenêtre pour le voir démarrer! Ho! le mufle! Comment a-t-il osé la laisser ainsi en plan! Furieuse, elle commença à se rhabiller, rapidement, nouant, d’un geste sec, son chemisier devenu inutilisable. Vite! ses escarpins!? Zut! il en manquait un! Bon sang! où était-il passé? Elle dut se mettre à quatre pattes sous le bureau pour le retrouver! Grrrrr! Il ne perdait rien pour attendre! Elle était arrivée à la porte quand elle réalisa qu’elle en oubliait son adresse! Vite! Où était ce maudit constat? Ah le voilà! Un bref coup d’oeil lui appris qu’il résidait au 15 Bd Hoffmann! Elle se munit d’un plan, par précaution, au cas où elle s’égarerait.

Le moteur de sa voiture se mit à rugir d’impatience avant de partir sur les chapeaux de roues!Tout en conduisant, elle glissa une main tremblante, entre ses cuisses entrouvertes, espérant calmer ce feu qu’il avait allumé. Il allait le payer cher!

Enfin, elle arriva devant chez lui, se gara, puis claquant la portière, se dirigea vers le grand portail de fer forgé, cherchant son nom parmi les sonnettes. Heureusement, il n’y en avait que trois! Elle eut beau chercher, il n’y avait pas son nom! Qu’est-ce que ça voulait dire? Enervée, elle sonna, à chaque nom, cherchant à avoir plus d’informations. Personne ne semblait le connaître! C’était incompréhensible! Déboussolée, elle remonta, dans son véhicule, n’osant y croire. A quel jeu cet homme s’amusait-il?

II. Marlène relut le dossier, cherchant vainement une information utile, pouvant la mettre sur la piste de cet homme. Rien ! Dépitée, elle décida de retourner au bureau. Il devait bien y avoir quelque dans son dossier d’assurance. Après la démonstration, qu’il venait de lui faire, pas question de laisser échapper, un tel amant !

Une fois dans le bureau, elle chercha son dossier suspendu. Ouf ! Tout était là ! Elle savait qu’elle devait chercher dans son assurance Habitation. Son instinct la guidait aussi sûrement que le nez au milieu de la figure. Ouf ! Elle ne s’était pas trompée ! Il avait bien une autre résidence : une maison à la campagne, dans les Ardennes. Elle avait 45 km à parcourir. Elle imagina la tête qu’il ferait, en la voyant, ironique, sur le pas de la porte. Elle referma le dossier, la rangea puis ferma le bureau à clé.

Arrivée à la voiture, elle demeura interdite. Il y avait un post-it. Posé en évidence, sur son pare-brise ! Intriguée, elle l’ouvrit :

 » Désolé Marlène mais je crois avoir oublié de vous communiquer mon adresse. Il vous suffit de me téléphoner sur mon portable pour que je vous guide à moi « .

Ah ! Ah ! Il la prenait vraiment pour une idiote? Il allait voir un peu ! Elle repartit aussitôt sur la route, se dirigeant vers sa maison de campagne. S’il croyait la décourager ainsi!

Quand elle arriva, enfin, elle découvrit un nouveau post-it. Sur la porte entrouverte :

 » Entrez, la porte est ouverte, Marlène  »

Elle pénétra dans une pièce immense, blanchie à la chaux, où un feu de cheminée brûlait. Où était-il passé ? Un bref coup d’oeil à la cuisine : vide ! Un escalier de bois l’incita à monter à l’étage supérieur. Trois portes l’attendaient. Emme hésita puis ouvrit la première. Un nouveau post-it. L’attendait, qu’elle lut avec avidité :

 » Déshabillez-vous entièrement et passez à coté  »

Ouf ! Il était bien là ! Amusée, elle enleva puis fit voler ses vêtements, en un tour de main, les replia avec soin, sur une chaise puis sortit sur le palier. Un nouveau post-it. était collé sur la porte :

 » Poussez cette porte, entrez et détendez-vous  »

C’était une salle de bain magnifique, recouverte d’un carrelage aux tons pastels d’un vert marbré. Les chromes des robinets étaient dorés. Un bain chaud lui avait été préparé. Des pétales de roses dans l’eau flottaient. Elle sourit, attendrie. Quelle charmante attention !

Elle entra dans l’eau, légèrement, parfumée, puis ferma les yeux, un instant, se laissant envahir d’une douce torpeur. Marlène décida de s’accorder un bon quart d’heure à se baigner. Après tout, une femme ne doit-elle pas se faire désirer ? L’esprit en ébullition, sachant ce qui l’attendait, elle ne put s’empêcher de se caresser, doucement, préparant son sexe, à de nouvelles voluptés. Une fois lavée, reposée, elle sortit de l’eau, se couvrant le corps d’une épaisse serviette de bain. Elle ressortit de la salle de bain, calmement, se dirigeant vers la troisième pièce. Rien dessus mais la porte était entrouverte. Une légère lumière baignait la pièce. Elle entra…

Il était installé, nonchalamment, le corps totalement dénudé, un sourire aux coins des lèvres.

- Entrez, ma chère. Savez-vous combien j’ai hâte de vous déguster ?
- Je m’en doute. Pensiez-vous que j’allais renoncer ?
- Non, j’étais certain de vous revoir. Vous êtes une femme qui ne renonce pas aussi facilement…
- En effet, vous ne vous êtes pas trompé !
- Laissez tomber votre serviette. C’est un piètre rempart à votre nudité, face à ce qui vous attend. Il se leva, de dirigeant vers elle, dénouant lui même, les plis de sa serviette qui chuta, doucement, à ses pieds.

Marlène sentit les battements de son coeur, brusquement, s’accélérer. Il était là, debout, devant elle, l’observant ironiquement. Elle posa ses mains, derrière son cou, en l’attirant, déposant un long baiser sur ses lèvres. Elle sentit ses bras se refermer sur elle et sa queue se dresser, contre son bas ventre, à nouveau, impatiente. Plus question de brûler les étapes, cette fois-ci. Elle avait bien l’intention de déguster cet homme ensorcelant.

Elle posa ses mains, sur son torse, en le caressant, voluptueusement, du bout des ongles. François ne put s’empêcher de frémir, le corps agité de longs frissons. Elle dirigea sa main aventureuse entre ses jambes, prenant le temps de descendre doucement, mettant à rude épreuve, sa patience. Il bandait, nerveusement, lui laissant l’initiative de ce programme, ma foi, alléchant.

Amusée, elle le fit asseoir sur une chaise puis partit chercher son sac, laissé dans l’entrée. Elle en sortit trois foulards. En deux minutes, elle lui attacha les poignets puis les pieds, qu’elle fixa, solidement. Puis elle se campa, devant lui, soulevant ses seins, en coupe, le caressant le visage avec, avant de lui présenter, à l’entrée de sa bouche, comme deux beaux fruits appétissants.

Bien entendu, François ne se fit pas prier et commença à lui lécher, humectant ses mamelons, un à un, avant de s’y attaquer, en lui mordillant, légèrement. Elle laissa échapper un soupir, pouvant combien sa poitrine était sensible. Elle se recula, ne voulant pas capituler, trop vite. Elle lui releva le menton, lui mordant la bouche, lui arrachant un gémissement de surprise. La sauvage !

Qu’elle était belle avec ses petites taches de son, couvrant son visage et ses bras, délicatement. Ses yeux avaient une étrange teinte verte, en l’embrassant. Sa longue chevelure flamboyante l’avait caressé, le faisant frissonner, doucement. Il n’avait jamais possédé de rousse parmi ses conquêtes. Celle-ci semblait déterminée à le surprendre, spécialement. De plus, il n’était pas désagréable de lui laisser l’initiative, pour l’instant,. Il reprendrait les rênes quand il faudrait.

Il ferma, les yeux, en sentant sa langue le lécher. Son cou y passa puis son torse et enfin ses tétons qu’elle se mit à aspirer. Sa langue descendit ensuite, vint fouiller son nombril, avant de glisser le long de ses cuisses, largement ouvertes. Sa queue se dressait, quémandant ses caresses. Qu’attendait-elle ? Il ne pouvait s’empêcher de se laisser submerger par une certaine impatience…

- As-tu de la musique ? chuchota-t-elle
- Bien sur, près de la table de nuit. Tourne le bouton doré simplement

Elle se dirigea vers l’appareil, tortillant, d’un air provocant, son beau petit cul, aux fesses voluptueuses. Elle revint vers lui, en dansant, lascivement, glissant ses mains sur ses cuisses, caressant son corps par instant, frôlant, subtilement, son sexe, agité, impatient. La diablesse ! Combien de temps allait-il devoir attendre avant de la posséder ?

Ensuite, elle s’assit sur le lit, croisant ses jambes, tout en se caressant sous son nez ! de l’autre main, elle se pinçait les tétons, s’amusant à les triturer. Il l’observait , la voyant de plus en plus, excitée. Cette fille mourrait d’envie d’être baisée ! Comment l’inciter à venir s’empaler sur son pieu dressé, affamé ? Il retint un sourire. Une idée venait de lui traverser l’esprit. Mais cela allait-il marcher avec elle ? Il tenta, le tout pour le tout, en se raclant la gorge.

- Humm Quel charmant spectacle. C’est ce que je préfère : voir une femme se caresser, longuement. Je craignais que tu ne veuilles me baiser immédiatement…
- Ah oui ? Crois tu passer à coté, avec moi ?
- Heuu Disons que je préfèrerai attendre. On se connaît à peine. Restons-en aux amuse gueules pour l’instant !
- Ah ! Ah ! Ah ! tu es trop drôle, toi ! Crois-tu que j’ai fait tout ce chemin, en pleine nuit, uniquement pour me contenter de caresses ?! Figure-toi que j’aime ce qui est consistant comme ton sexe, par exemple !

Une lueur inquiétante venait de s’allumer dans son regard. Il était certain qu’elle allait refuser d’en rester là. Elle s’avança, tout près de lui, plongeant deux doigts dans sa chatte trempée de cyprine, puis lui fit lécher, observant sa langue lui nettoyer le bout des doigts, avec satisfaction. Au moins n’avait-elle pas affaire à un homme coincé !

Puis elle s’accroupit sur ses cuisses, s’amusant à se frotter sur sa bite, la mouillant de sa ligueur, glissant dessus, avec malice, s’excitant sur lui, comme une femelle en chaleur. Elle voulait le voir bander comme jamais ! Puis elle le baiserait comme elle le voudrait, autant qu’elle en aurait envie, jusqu’à en être totalement rassasiée ! Elle avait envie de s’amuser avec lui. Elle se releva, légèrement, observant, sardonique, sa queue bandée comme un arc, le gland agité d’impatience…Hummm Cet homme était à point malgré ses dires !

Elle attrapa sa queue mouillée, agitée de soubresauts, puis la fit glisser, entre les lèvres de sa chatte affamée. Cette queue était un morceau de roi dont elle n’avait nulle intention de se priver ! Elle la fit se poser à l’entrée de sa grotte d’amour, la faisant tourner autour de l’entrée, follement excitée, observant amusée, son air suffoqué.

- Nonnnn protesta-t-il, mollement, pour la forme
- Oh mais si ! mon chéri ! tu ne m’échapperas pas, cette fois-ci. Ta belle queue me fait bien trop envie ! Si tu savais toutes les idées qu’elle m’inspire !
- Ahhhhhhh Espèce de petite salope ! Protesta-t-il mais trop tard…
- Hummmm Ohlala Comme elle est bonne !

Marlène venait de s’empaler sur lui, sans prévenir, faisant glisser sa queue, jusqu’au fond d’elle, appréciant son épaisseur et sa longueur, avec une joie féroce. Cette belle queue était vraiment faite pour elle ! Elle glissait dessus, prenant appui, sur les épaules de François, montant et descendant avec volupté, le corps embrasé de désir. C’était fabuleux de le sentir impuissant à se retirer, d’être obligé de se laisser faire, de le goûter, de le prendre, de le posséder à volonté, en profitant de lui.

Des vagues commencèrent à l’envahir, faisant dresser ses seins comme des obus. Ses tétons étaient exacerbés, eux aussi, cherchant les caresses. Sa chatte s’était mise à le gober, l’avaler, se laissant envahir d’un plaisir incroyable. Elle montait, descendait, se tortillait, ondulait sur lui, se frottait, se déchaînait, le souffle, de plus en plus court, emportée par des vagues de plaisir, qui brusquement la soulevèrent la submergèrent, l’emportèrent, la laissant le corps agité de longs frissons. Puis son corps s’apaisa, la laissant épuisée, sur cette queue délirante, dont elle venait de se repaître ave un plaisir affolant….

- Peux-tu me détacher maintenant ? demanda François, bien déterminé à obtenir son plaisir, lui aussi
- Bien sur, je ne peux plus rien te refuser, après le plaisir que je viens de prendre, rétorqua Marlène, la voix moqueuse

Celui-ci s’était relevé, se frottant les poignets, impressionnant, s’approchant d’elle, avec sa virilité dressée. Marlène avait compris que c’était loin d’être terminé avec cet homme ; que lui aussi allait assouvir son désir.

Sans un mot, il l’a repoussée, sur le lit, la faisant s’agenouiller, son beau cul offert. Il lui a longuement léché les fesses, triturant son sexe encore engorgé de plaisir, puis doucement, a léché son anus, la faisant tressaillir de plaisir, humectant et préparant sa grotte secrète. Un doigt humide est venu la fouiller, puis un second, a forcé son passage, tout en la caressant, la préparant à accueillir sa belle queue raidie de désir. Elle aime ce plaisir, se cambre, s’offre à lui, impudique, l’attend, frémissante, ouverte…

Il a posé son gland, devenu nerveux, pressant ses douces chairs, puis lentement, s’est enfoncé en elle, en soupirant de bien être. Enfin ! Elle est étroite, bien serrée et son gland a du mal à se frayer un passage dans son fin boyau de chair. Il humecte, à nouveau, son anus, de sa salive… Voilà, ça glisse mieux, maintenant. Hummm qu’elle est bonne cette petite cochonne!

François lui a agrippé les hanches, allant et venant, maintenant, au fond d’elle, en accélérant le rythme. Il a beaucoup trop envie d’elle. Un désir âpre lui mord le bas ventre. Le cul accueillant de cette petite rouquine est un véritable délice ! Son plaisir, monte, monte, vertigineusement. Il est tout près d’y arriver ; ferme les yeux, se mord les lèvres, tentant de se calmer mais rien n’y fait. Cette fille est trop excitante à déguster !

François accélère ses coups de boutoir, lui arrachant des gémissements qui l’excitent encore plus…Voilà, il est fin prêt à jouir en elle…Ses bourses se sont contractées ; son sexe palpite au fond de son boyau de chair étroit ; il aimerait rester encore au fond d’elle, la queue solidement emprisonnée mais c’est devenu impossible. Dieu que c’est bon d’être au fond d’elle ! Comme elle l’excite ! François a fermé les yeux, sous la violence du plaisir qui l’envahit, le submerge, l’emporte…Soudain son sperme vient de jaillir, bouillonnant au fond d’elle, en de longues giclées blanches…

Il ne s’était pas trompé… Cette rousse incendiaire était bien un véritable cadeau du ciel !

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