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- Une fantaisie africaine -

Stewart James possède plus d’argent, qu’il ne pourrait en dépenser dans toute une vie. Regardant à travers le hublot de son jet privé, il sourit, songeur, à l’idée de sa défunte mère, qui lui a légué toute sa fortune. Neuf mois auparavant, Stewart n’étatit encore qu’un représentant pour une chaîne de la côte est, vendant du savon, trop fier pour demander de l’argent à sa mère. Il n’était pas très sociable, donc peu efficace dans son job, aussi vivait-t-il dans l’attente du prochain chèque. Les femmes, dont il louait les services deux fois par mois dans le but de le piétiner, étaient généralement trop chères, trop grossières et brutales. Les couronnes sur ses dents prouvent l’extrême violence de sa dernière rencontre. Or tout ce que désirait Stewart depuis toujours, c’était un gentil piétinement, délicat, mais constant, pour une durée … d’au moins deux heures. Et de préférence par des femmes, qui ignoreraient tout du fait de le piétiner. Il gisait fréquemment sur sa couche, dans son trou infesté de rats, fantasmant sur des scènes variées de nombreuses femmes le piétinant. Mais aucune d’entre elles ne lui semblait réalisable. Du moins jusaqu’à maintenant.

 

Stewart avait un fort penchant pour la peau noire. Bien qu’il n’ait jamais été foulé aux pieds par une femme noire, il se souvenait d’entrer en érection juste en feuilletant les pages du  » National Geographic « , un de ces petits luxes qu’il se permettait, avant son héritage. Salivant à l’évocation de ces femmes africaines indigènes, marchant pieds nus en toutes circonstances, Stewart se reposait, éveillé dans la nuit, rêvant d’une file inimterrompue de pieds féminins calleux, marchant sur lui. Louée soit mère, Stewart était à présent multi-millionaire, et sur le point de réaliser son rêve. Ayant obtenu l’autorisation de pénétrer au coeur de l’Afrique noire, pour nourrir des populations isolées et affamées, Stewart avait fait remplir son avion de caisses de denrées alimentaires. En arrivant en Afrique, il avait engagé une équipe cinématographique locale, chargée de filmer son aventure philantropique, néanmoins à fort caractère sexuel.

Son plan était simple. Arriver dans un village avec son équipe. Repérer les deux plus grandes huttes ou structures fermées suffisament élevées pour s’y maintenir debout. Il s’enfermerait, lui-même et une paire d’assistants dans l’une de ces huttes. Personne n’aurait l’autorisation d’y pénétrer durant l’exécution des préparatif. Des couvertures seraient étendues le long des portes et fenêtres, afin d’empêcher quiconque d’aprcevoir quoi que ce soit à travers les ouvertures. Le village devait festoyer comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Lors des préparatifs, toutes les femmes du village recevraient un bain et des soins pédicures (Stewart ne pouvait souffrir la vue d’ongles négligés), complétés par l’application d’une laque rouge corail (Lors de son escale au Kenya, Stewart avait engagé deux assistantes féminines chargées d’accomplir cette tâche). Des tables croulant de nourriture seraient dressées dans une hutte réservée aux hommes. Il serait fait de même dans la hutte réservée aux femmes. Cepandant les assistants devaient y creuser une petite tranchée peu profonde le long des tables, suffisament longue, pour que Stewart puisse s’y étendre nu, et l’enterrer partiellement. Sur son sexe apparent, devait être placée une mince couverture de latex, peinte de façon à ressembler à une racine émergente. Il serait alors recouvert de terre. Un équipement complet de caméras et d’éclairages était censé capturer l’évènement, afin de le montrer à des fans aux Etats Unis. Et quiconque entrerait dans la hutte, ne verrait que des éclairages brillants, de larges caméras et une longue table garnie de toutes sortes de nourritures. A peine si quelqu’un remarquerait la petite racine émergeant de la saleté, à coté de la table. Juste comme Stewart l’avait planifié. La tranchée était creusée de telle manière, que le visage de Stewart était juste en dessous du bord de la longue table. Sa tête était inclinée de façon qu’il puisse tout observer, et sa bouche émergeait au niveau du sol, dans l’espoir que quelques pieds malpropres l’écrasent. Sa face était dissimulée par la longue nappe de plastique, qui pendait à trois pouces du sol. Le reste de son corps, hormis sa racine, était enterré. Gisant là depuis environ une demi-heure, attendant que l’interprète ait fini de relayer ses instructions sur la manière d’organiser la file d’attente, ou dont les mères d’enfants de moins de douze ans (qui étaient gardés à l’extérieur de la hutte) auraient à remplir leurs assiettes pour elles-même et leurs enfants, Stewart était tout sourire. Il n’avait jamais ressenti une telle excitation, ni même une telle frayeur. Dans quelques moments, des femmes noires, qu’il n’avait jamais rencontré, allait lui infliger le piétinement de sa vie. Etait-il prêt ? Serait-il découvert ? Comment réagiraient-elles en ce cas ? S’écarteraient-elles avec horreur ? Le feraient-elles cuire pour le dîner ? Ou bien tout simplement l’ignoreraient-elles ?

Soudain, Stewart entendit des voix féminines de l’autre coté de la porte. La large porte de la hutte s’ouvrit et Stewart les vit par dessous la nappe : une longue file de grands et beaux pieds noirs. Des pieds qui n’avaient jamais connu de chaussures. Des pieds aux jolis ongles ornés. Et de dures plantes tannées, souillées d’avoir marché dans la poussière, après avoir été baignées. Les femmes bavardaient entre elles avec excitation, n’ayant plus de doutes devant le formidable étalage de nourriture. Stewart commençait déjà à apprécier ce spectacle, ayant toutes les difficultés du monde à empêcher une érection battante. Sa  » racine  » n’était déjà plus couchée, mais dressée vers son visage, dissimulé sous la table, comme pour le dénoncer de son petit jeu. Ses propres pieds et ses jambes avaient été enterrées plus profondément, ainsi lorsque les femmes firent mouvement, un pas lent à la fois le long de la table, il eut d’abord la sensation légère d’être piétiné à travers des coussins. Cela prit environ trois minutes pour que la première femme entrée dans la hutte n’atteigne sa  » racine « . La file, tout au long de la table, progressait très lentement. Plus lentement que Stewart ne l’avait imaginé. Ce qui ne faisait qu’ajouter à l’anticipation de son plaisir. Sa  » racine  » oscillait rudement à présent, mais Stewart n’y prêta pas attention. I l regardait la file ininterrompue. C’était presque une danse. Elles marchaient de coté, lentement, prenant tout leur temps pour se servir leur nourriture, bavardant paisiblement, mais avec grand enthousiasme. La première femme de la file fut aussi la première à l’atteindre. Il vit sa plante de pied, sale, ridée et cuireuse s’élever au dessus de lui, et s’abattre bien à plat sur sa  » racine « . Crush! WOA! Quelle sensation! Meilleure qu’il ne l’imaginait. Alors qu’elle balançait le poids des son corps d’un pied sur l’autre, Stewart sentit son érection palpiter contre ses plantes. Pouvait-elle le remarquer ? Peut-être qu’il n’aurait jamais du entreprendre une telle chose. Trop tard maintenant. Il sentit qu’il était sur le point de décharger. Alors qu’elle descendait de son sexe, pour continuer vers son abdomen, il était certain qu’elle avait du remarquer que quelque chose bougeait. Elle avait du ressentir la tension de ses muscles et se rendre compte que ce sur quoi elle marchait de tout son poids, n’était pas en réalité le sol poussiéreux. Tandis qu’il tentait d’écarter la perspective d’être découvert, perspective qui le rendait presque fou de tension, Stewart s’étonna de la légèreté de son poids. C’est une brise pensa t-il. C’est seulement à cet instant qu’il remarqua la minceur de toutes ces femmes. Ses pensées furent péniblement interrompues, lorsque la prochaine femme de la file rencontra la  » racine  » sur son chemin. Cette femme, manifestement impatiente, irritée par la lenteur de sa prédecesseuse, occupait tout simplement son temps à déterrer la  » racine  » : avec ses doigts de pieds. A peine avait-il remarqué la première paire de jambes féminines qui était passé sur lui, mais il était fasciné par ces longs et larges orteils, si joliment ornés d’une laque rouge corail, qui semblaient s’ennuyer dans son érection. Il espérait apercevoir son visage. L’avait-elle mis à jour ? Savait-elle que ce n’était pas réellement une racine ? Si oui, elle n’en laissait rien paraître. Peut-être qu’elle savait tout et essayait de le torturer jusqu’à la jouissance. Peut-être qu’elle appréciait cela, parce que maintenant elle assaillait littéralement la  » racine « , la martelant de la plante de son pied, la frappant à travers le sol, comme si elle tentait de l’extirper. Puis elle changea de tactique, en utilisant son talon pour la frotter. Quoi qu’il en soit, Stewart était sexuellement électrisé. Elle marcha alors de tout son poids, avec son talon large et rond sur la tête de la  » racine « , vacillant quelques instants dessus, puis en descendit, libérant du même coup un jet de semence incontrôlé à travers le sol. AAAAAIIIIIE : foutu ! Il attendit un tumulte indigné qui ne vint pas. Comme le leader de la file avançait toujours sur lui, ses doigts de pieds larges et sales atterirrent brutalement sur ses lèvres. Quelle sensation. Tandis que la troisième femme de la file venait juste d’atteindre la  » racine « , et stationnait dessus, et que la seconde restait fermement debout sur sa poitrine, la première avait ses doigts de pieds dégoûtants pressés sur ses lèvres, les agitant frénétiquement. Stewart était au paradis. Lentement la file continua d’avancer sur de lui.. Un pas à la fois. Il devint si relaxé, qu’il ne remarqua pas la couverture en latex de sa  » racine  » glisser, chaque fois qu’une femme la heurtait, marchait dessus, trébuchait sur elle, ou l’enterrait sous ses pieds. En fait, avant que la dixième femme n’ait atteint son visage, son érection était complètement dévoilée, bien que couverte de saleté, mélange de poussière et de transpiration, palpitante et perceptible à quiconque marchant le long de la table. Mais personne ne semblait y préter attention, comme si rien ne clochait. Pourtant de plus en plus de femmes marchait dessus, trépignant, la martelant, et même la frottant carrément dans la poussière avec les plantes de leurs pieds. Et le défilement des orteils était sans fin. Il n’avait jamais vu autant d’orteils féminins en un même lieu. Stewart vit défiler des doigts de pieds de toutes sortes, lons, larges, forts, jeunes, vieux, souillés, tous noirs, tous ornés de laque écralate. Et ils semblaient tous aboutir sur ou près de sa bouche. Il réalisa, que son regard commençait à se troubler, de tant d’intense contemplation. A environ un mètre de lui en bas de la file, une femme fit tomber un morceau de croissant beurré. Il gisait là tranquille, jusqu’à ce qu’une rangée d’orteils s’applatisse dessus, y laissant ses empreintes. Elle avait de grands pieds, au moins dix pouces. Très larges avec de longs orteils. Et à la délicieuse surprise de Stewart, grâce à l’enduit de beurre, le croissant resta collé à ses doigts de pieds et à sa plante. Tout en appréciant le lent piétinement le long de sa sexe et de ses côtes, Stewart observa ce pied, sous lequel était écrasé le croissant, approcher de plus en plus de son visage. A environ six pouces de celui-ci, elle dut se rendre compte qu’elle avait quelque chose de collé sous pied, car elle leva de sur sa poitrine et remua vigoureusement ses orteils, jusqu’à se que le morceau se décolle et tombe. Alor qu’elle continuait son chemin, Stewart se focalisa sur ce morceau de croissant. Qu’il semblait délicieux, reposant là, tout applati, excepté les sillons qu’y avaient imprimés les doigts de pieds de cette femme. Cela lui donna faim. Comme lisant dans ses pensées, un autre pied surgit, poussant le morceau de croissant le long du sol jusqu’à le faire reposer sur sa joue, tandis que les doigts de pieds s’arrêtaient contre ses narines. Savait-elle ce qu’elle venait de faire ? Après qu’elle ait bougé, Stewart fit bouger les muscles de ses joues, jusqu’à ce que le morceau de croissant atterisse entre ses lèvres. C’était délicieux. Un petit peu sablonneux. Mais il sentit son sexe trassaillir d’une tel acte.

Par la suite, il compta pas moins de 47 paires de pieds faisant chemin sur lui, et eu trois éjaculations en vingt minutes. Quand la dernière femme quitta la hutte et que ses employés eurent fermé la porte de la hutte, il réalisa qu’il avait joui pas moins de treize fois. Alors qu’il gisait là, entendant l’interprète parler au dehors, il se rendit compte qu’il n’était plus qu’une masse rompue et souillée. Aprés tout, ce lon et lent piétinement continu étatit devenu de plus plus douleureux. Après une heure, il aurait voulu ne pas être là, n’étant pas certain de supporter l’épreuve jusqu’à ce que la dernière femme eut quitté la hutte. Ces côtes étaient meurtries, certaines peut-être rompues, ces muscles abdominaux, sa poitrine, son visage et son membre piétinés au dernier degré. Ce petit paquet de chair gisait là, inerte, dans une flaque de nourriture, de saleté et de semence ecrasées et mélangées. Son sexe et ses côtes nécessiteraient des soins médicaux attentifs. Il se demandait s’il pourrait encore pisser. Mais il était vivant. Il était heureux et satisfait.

Après avoir été nettoyé, soigné, bandé et habillé, il sortit. Le soleil de la fin d’après midi brillait encore. Les hommes et les enfants s’étaient regroupés autour d’un feu, appréciant le déroulement d’un rituel tribal. L’interprète s’approcha de lui, accompagné de trois femmes.  » Mister Stewart « , dit-il,  » Ces femmes m’ont demandé de vous dire que vous pouvez revenir avec plus de nourriture et qu’elles vous montreront comment elles étranglent les serpents avec leurs doigts de pieds « . Là, les femmes regardèrent toutes leur propres pieds ornés, puis Stewart, de manière trouble, puis l’interprète pour qu’il continue leur requête.  » Leurs orteils sont très forts, très bons pour déterrer les racines « . Là les femmes regardèrent Stewart et rirent d’une voix rauque, avant de s’en aller.

Traduit de l’anglais par Gendi.

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