Depuis le début de la soirée je l’avais remarqué. Sa démarche, son corps, ses petites fesses bien rondes et ses yeux. Il avait un regard doux. Je surveillais pour voir s’il n’y avait pas une demoiselle avec lui mais, il semblait être venu en solo.
Après quelques hésitations, je me décide enfin à aller l’aborder. Je me présente donc et il fait de même d’une voix qui ne va pas du tout avec son apparence. Par contre, ça lui donne une certaine virilité. Il s’appelle Carl.
La soirée passe et on discute de tout et de rien, je ne décroche plus de son regard et je bois ses paroles. Il est tellement intelligent et intéressant. Sans compter qu’il est très drôle. Comme toutes bonnes choses a une fin, la soirée se termine et c’est l’heure de rentrer à la maison. Carl me propose de venir prendre un verre chez lui pour bien terminer la soirée. Je n’hésite pas une seconde et je le suis.
Dans la voiture, je me colle sur lui en blottissant mon visage dans son cou. Timidement, je tâte le terrain. Je lui donne un baiser dans le cou et, lorsque je le vois sourire, je laisse ma main descendre le long de son ventre ferme jusqu’à son membre. Je le caresse un peu par-dessus le pantalon et je finis par le détacher en sentant son érection.
J’ai envie de le faire capoter un peu et je me sens très cochonne ce soir là. Alors, je détache ma ceinture et je me penche vers ce bon 8 pouces pour lui faire une fellation. Carl, qui est tout excité, arrive à peine à tenir son volant droit. Si un policier nous voyait, il croirait sûrement qu’il est en état d’ébriété. Ce qui n’arrête pas mon élan et je le suce de plus en plus vite. J’ai envie de goûter sa décharge, de la sentir couler dans ma gorge.
On arrive chez lui et il stationne sa voiture dans son entrée. Pas question que je m’arrête. J’enroule ma langue autour de son gland dans des gestes langoureux puis je me remets au va-et-vient. Il me tient fermement la tête. Sa respiration est de plus en plus forte et rapide. Je sais que je le tiens, je vais avoir son sperme chaud dans ma bouche. Dans un grand cri de satisfaction de sa part, je reçois enfin ma récompense.
On sort de l’auto et on entre chez lui. Tout au long de l’escalier, on s’embrasse, on se caresse tout en se déshabillant. C’était clair, on se voulait. Une fois en haut de cet escalier qui a semblé sans fin, on arrive dans le salon. Je le pousse sur le divan et je m’assois sur sa verge toujours aussi dure. Quel savoureux plaisir de le sentir tout au fond de moi. Sa grosse queue caresse mon intérieur et me procure des sensations que je n’ai pas souvent.
Je peux sentir son gland froler mon point G. Ma chatte en demande encore. C’est alors qui se lève en me tenant dans ses bras et m’emmène jusque sur la table de la cuisine. Il jette par terre tout ce qui pouvait nuire à une bonne pénétration et continue de me baiser comme un bête en chaleur. Il vient une autre fois mais il ne s’arrête pas. Ça m’excite follement et mon désir se multiplie.
Il me lèche les seins, me les mordille puis, il remonte vers mon cou qu’il embrasse de façon merveilleuse. Enfin, sa bouche termine sa course sur mon lobe d’oreille ce qui me procure un frisson. Je laisse aller des petits gémissements. Je le désire encore plus.
Cette fois, je le pousse, je descends de la table et me mets à 4 pattes par terre. Il ne se fait pas prier pour venir me pénétrer la vulve de toutes ses forces. Encore une fois, je sens mon point G s’exciter et je suis sur le bord d’exploser. Je le supplie de continuer encore plus fort, de me défoncer. Et dans un immense frisson et un cri bestial, je lui jutte dessus.
Mais ce n’est pas terminé, nous allons tous les deux dans la douche. Je me mets à genou devant lui et je prends sa belle grosse queue dans ma bouche pour bien la savourer. Il se tient si fort sur le rideau de la douche qu’il finit par le décrocher. Qu’importe, il me lève, m’accote sur le mur de céramique et me laboure l’intérieur. Le froid de la céramique rajoute à mon plaisir. Et, encore une fois, j’arrose mon partenaire de plaisir. Probablement excité par cette fontaine de jouissance, Carl ne tarde pas lui aussi à m’arroser de sa décharge. On a finit par se laver et on est aller dormir bien collé tous les deux… Vous savez ce qu’on a fait en se réveillant?!? À vous d’imaginer, mais ce fût un des meilleurs déj