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L'orgasme de ma Cousine (t) ric

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- Ma Soeur Enceinte et épanouie (t) ric -

Ma Soeur Enceinte et épanouie

 

La vie avait changé, a la maison.

Tout tournait autour de ma Sœur qui nous était revenue enceinte de 7 mois.

Ses 20 ans et la transformation de son corps lui donnaient une allure qui m’enchantait.

Notre présence permanente à ses cotés avait eu pour effet de limiter un peu l’activité sexuelle, il faut hélas bien le dire, effrénée, que ma Cousine et moi entretenions.

 

Jusque là ma Sœur ne s’était rendue compte de rien, et c’était très bien.

Après tout, ma vie privée tout autant que celle de sa Mégane ne la regardait pas.

Les jours passant j’avais développé une sorte de fascination pour le corps de ma Sœur Vanina.

Ma Mère me disait que cela était normal et que cette transformation de corps de Femme n’étonnait pas que moi.

Ma sœur qui avait déjà une poitrine assez forte se déplaçait maintenant dans la maison avec littéralement deux obus au devant d’elle.

 

Elle avait bien sûr grossi globalement, mais à part son ventre qui la métamorphosait, le reste de son corps avait grossi harmonieusement, le haut de ses cuisses animait notamment ma curiosité, car Vanina n’était pas spécialement pudique et laissait souvent entrevoir ses formes.

 

Elle avait souvent avec ma Cousine des conversations lors desquelles elle se confiait autant des conséquences de son état que du manque de la présence de son ex petit ami, lui indiquant que certains réconforts lui auraient souvent été agréables.

 

Un soir qu'elle évoquait la venue de vergetures et que Mégane lui parla des vertus de certaines crèmes, je me proposai spontanément d’aller à la pharmacie et de lui en acheter, et c’est tout naturellement qu’à mon retour et muni de deux tubes de crème, je m’exclamai :

     «Allez hop, on essaie ça tout de suite», la prenant gaiement par la main et la dirigeant vers sa chambre tout en ajoutant un «tu viens Mégane »  ?

      

Vanina rouspéta un peu parce qu’elle se disait fatiguée et avait un peu sommeil.

Ma Cousine insista en lui disant que ce serait agréable, assimilable à un petit massage.

Alors elle se leva doucement et se laissa guider jusqu'à son lit.

 

Mégane mit une musique douce, alluma un ventilateur contrant ainsi la chaleur de l’été puis la fit s’allonger.

Je portai une attention particulière au contenu  de la crème en question en lisant la notice avec une attention simulée, tandis que ma sœur s’installait, très rassurée par la présence de ma Cousine qui lui disait que nous allions «bien nous occuper d’elle».

 

Puis, nous partageant les tubes de crème anti-vergetures, je m'enquis d’enlever les chaussons de Vanina, lui tournant le dos et m’installant la tête pudiquement tournée vers ses chevilles tandis que Mégane lui déboutonnait sa robe entièrement et dégrafait son soutien gorges.

 

Il apparaissait évident que ma Cousine s’occuperait donc de placer la crème a l’entour de ses seins tandis que je m’occuperais des jambes de ma sœur.

Il en fut ainsi, et, elle fermant les yeux, nous commençâmes l’étalement de l’onguent.

 

Mes doigts glissaient sur sa peau extrêmement douce, et je ne pouvais m’ôter de l’idée la vision des doigts de Mégane, prenant a pleine main chacun des magnifiques seins de ma sœur, ni de la sensation que cela pouvait déclencher.

 

D’abord distraitement, je me concentrai sur ses chevilles puis ses jambes, mais regardant de plus en plus souvent le miroir de l’armoire dans lequel se reflétaient les mouvements des seins de ma sœur sous l’effet du massage.

Ma Cousine faisait ses gestes doucement, et son sourire croisait parfois le mien dans la glace.

Vanina avait maintenant fermé les yeux, se laissant faire.

 

Elle était de nature douce, et je sentais sous mes doigts son corps se laisser aller.

Mégane, qui avait commencé debout s’assit d’un coté du lit et Vanina souriait alors un peu béatement, disant, tout dans un soupir que ce que l’on faisait était bien agréable.

Je lui dit que pour moi aussi, ça l’était, puis je me retournai, lui faisant face, cette fois, tout en dégageant complètement sa robe sur le coté.

 

J’eus une vue extraordinaire.

 

Le haut des cuisses de ma sœur, à la frontière desquelles se dessinait sa culotte blanche qui depuis longtemps n’avait plus les moyens de recouvrir le bas de son ventre, étaient un appel à Des mains  dons je pouvais facilement imaginer qu’elle mourait d’envie d’enfin se laisser glisser vers leur intérieur pour y ressentir leur douceur.

 

Je dus avoir le regard fixe sur le bas de son ventre,  car malgré moi je lui dis qu’elle était magnifique, ainsi abandonnée sous nos mains.

Mégane lui fit remarquer que sa poitrine était gonflée et ferme, mais qu’elle ne s’expliquait pas pourquoi la pointe de ses seins était aussi dure.

 

      - «Ne me dis pas que nos mains te font de l’effet, Vanina , tout de même », dit-elle en riant...

      - «Et bien tu sais , Mégane, je dois dire que le petit traitement que vous m’appliquez n’est pas sans effet » l’entendis-je répondre.

 

J‘intervins en lui disant que «si vraiment elle voulait des effets, personnellement je n’y étais pas fermé.»

 

Je me dis en cet instant que j’exagérais peut être un peu et que ma sœur allait certainement me dire de sortir de sa chambre, ce devait être la première fois que nos échanges viraient à la coquinerie.

 

Elle se leva sur son séant et s’exclama, mi rieuse, mi sérieuse :

     - «Non mais dis donc, toi ! Mais c’est qu’il a pris un air sérieux, en plus ! »

                       Arrêtes de bouger, lui dit Mégane, tu veux te détendre ou pas ?

     Oui, répondit Vanina, mais il fait des trucs avec ses doigts, là...

 

Mes doigts il est vrai lui gratouillaient le bas du ventre à ce moment, et l’atmosphère était vraiment détendue.

     De toutes façons, lui dis-je, étant enceinte, tu ne vas quand même pas te laisser aller à des pensées crapuleuse, chère petite sœur ?

 

J’adorais la provoquer, mais cette fois là, c’était délibérément pour orienter la conversation.

De plus, je me disais que Ma Cousine s’attardait beaucoup sur sa poitrine dont elle tenait maintenant un sein de ses deux mains tout en le pétrissant doucement.

Cela avait pour effet de le relever, le bout pointant au plafond, dégageant largement son aréole que je pouvais vraiment contempler.

 

     Dis Mégane, qu’est ce qu’il croit mon Frère, qu’il a une sœur complètement frigide  ? il y a des fois ou je me dis que même si c’est mon grand frère , faudrait l’éduquer, ce garçon...

 

Un rire nerveux nous parcourra tous, mais je n'arrêtais pas mon massage, aidé de cette crème, passant directement du haut des cuisses  au sommet du ventre, très ferme sous mes doigts.

Je massais de manière concentrique puis descendais sur les flancs et passai mes doigts volontairement entre l'élastique de sa culotte et sa peau en disant ;

     Il est gênant cet élastique de culotte à un endroit où tu as un début de vergetures. Si tu veux qu’on t’en mette partout, va falloir enlever ça.

 

Tout en gardant les yeux fermée, elle me dit «alors ça , c’est pas un problème, tu vois.»

Puis d’un coup de rein rapide et en un seul mouvement, elle enleva sa culotte.

Mégane a ce moment la lui relevait les bras, et moi je reprenais mon ouvrage sur les cotés des hanches bien dessinées, amenant mes mains enduites de crème sur l’intérieur des jambes.

Ma sœur, décidément pas pudique écarta les cuisses franchement en me disant «d’en mettre là» me disait elle, en me montrant l’aine, juste au bas du ventre.

 

Puis elle s’abandonna, fermant a nouveau les yeux.

Je pus tout a loisirs regarder le bas de son corps, son mouvement de jambe ayant bien écarté ses lèvres qui me montrait le détail de son sexe ouvert sans qu’elle n’en fut le moins du monde gênée.

 

Ma Cousine me regarda en souriant, puis d’une moue complice des lèvres me signifia quelque chose du genre «tu peux y aller maintenant...», puis elle dit que la lumière lui faisait mal aux yeux, alluma la lampe de chevet tout en me disant d’éteindre la lampe du plafond.

 

Revenant d’avoir éteint l’interrupteur prés de la porte, je considérai un instant la scène qui, il est vrai , avait un petit quelque chose de surréaliste . Ma sœur, les cuisses bien écartés et les bras relevés, ma Cousine lui caressant maintenant le visage avec tendresse, près du cou, et moi encore debout, les yeux rivés sur le sexe de Vanina, grand ouvert, tandis que je ne pouvais que constater mon érection maintenant des plus active, le tout dans une agréable ambiance de musique douce et une lumière tamisée.

 

Sans ouvrir les yeux ma sœur dit dans un souffle « Il est parti où Laurent  ? , c’était bien ce qu’il faisait»

Je me réinstallai, m’enduit très légèrement de cette crème puis repris ce qui était devenu mes caresses directement a l’intérieur de ses cuisses.

 

Mégane maintenant revenait sur le ventre et le lui prenait a pleines mains par les cotés, depuis le haut du corps, là ou elle était placée.

Il était maintenant impossible que ma sœur n’ai pas fait la différence entre mon massage de tout a l’heure et le touché de mes doigts maintenant.

 

Je la caressais.

 

Mes doigts longs se dirigeaient vers son entrejambe, désirant toucher ses lèvres, que je voyais plus larges que celles de ma Mégane, de là ou j’étais.

Je m’attardais volontairement au niveau de l’aine, juste à la jointure du haut de la cuisse et du pli de son ventre, et la vision des doigts de ma Cousine, descendant le bas du ventre de ma Sœur et s’approchant dangereusement de son clitoris dont le dessin était bien visible, bien qu’encore caché, avait quelque chose de très subjuguant.

 

Mes doigts s’approchèrent de l’antre de son sexe en même temps que les mouvements des doigts de ma Mégane commençaient à dégager le haut du Clito de Vanina

Ma soeur ne disait plus rien depuis un moment.

Je me mis le majeur dans la bouche, l’humectant bien, échangea juste un regard avec Mégane qui dégagea le clitoris de Vanina.

 

Puis je posai mon doigt sur son petit bout.

 

À  ce simple contact, elle lança son bassin en avant d’un mouvement sec, et comme mon doigt était bien tendu, il la pénétra légèrement, juste le temps que je sente qu’en fait elle mouillait déjà beaucoup.

 

Ma Cousine ne disait rien non plus, elle entrouvrait la bouche en souriant, puis maintenant se retourna, regardant avec moi l’entrejambe de Vanina et accentuant sa caresse du haut du clitoris, tour a tour le dégageant puis le faisant disparaître.

Elle faisait cela tout en écartant les jambes, elle aussi, et le fait de savoir ces deux femmes sans culottes, a portée de mes doigts me faisaient bander comme un fou.

 

Mon doigt était maintenant plein de mouille de ma sœur, et je vis Mégane se saisir de son clitoris entre ses doigts, le serrant et le masturbant lentement.

Alors j’en approchai les doigts et les frottai contre ce petit bout mis a nu.

 

Ma sœur était en ce moment branlée du clito par sa Cousine, dont le bout était caressé par son Frère. Je me disais cela tout en ressentant cette douleur de mon sexe encore serré dans mon Jean.

La situation devenait franchement incroyable.

 

De la main gauche , je défis ma ceinture,  me libérant complètement, mon membre maintenant libre, et rapprochant un peu mon corps du haut du lit tout en activant mes doigts maintenant sur le clitoris de ma sœur, Mégane me le présentant en le dénudant de plus en plus rapidement.

 

Vanina remuait un peu du bassin, lâchait de légers gémissement, entrecoupés de paroles qui voulaient dire «qu’est ce que vous me faites, là... ?»

 

C’est là que joignant deux de mes doigts, j’écartai d’abord ses larges lèvres,  puis les insérai doucement en elle , d’un centimètre au début, la caresse de son clitoris ralentissant, je le pénétrai plus au fond.

Elle pinça les lèvres et s’exclama «c’est trop bon ... » en ramenant ses bras vers le bas de son ventre et dirigeant ses mains mers son sexe maintenant trempé.

Je l’en empêchai, de la main gauche prenant son poignet et le posant sur ma cuisse, ses doigts tout près de mon sexe qui en ce moment se la jouait «l’érection de la mort qui tue»

 

L’ambiance dans la chambre de ma sœur était torride, surtout depuis que ma Mégane  se caressait la cuisse de la main gauche en même temps que serrant entre ses doigts le clitoris de ma sœur devenu vraiment très dur.

Mes deux doigts avaient commencé leur va et viens dans le vagin franchement trempé de Vanina.

 

Son énorme ventre s’agitait et je voyais ses seins vivre littéralement sous mes yeux.

Mes doigts en elle et la main gauche sur sa poitrine, j’avais les yeux rivés sur les cuisses de ma Cousine dont la robe de chambre était maintenant complètement relevée.

Je voyais ses doigts caresser son entrejambe sans bien distinguer avec précision ce qu’elle faisait.

 

Ma main droite pénétrait maintenant Vanina de ses doigts, ils glissaient dans une ambiance tiède et mouillée.

Elle gémit ouvertement quand elle se saisit de mon sexe, le serrant très fort en commençant à le branler.

 

J’étais dans un état de tension épouvantable, mes yeux allant de la Poitrine de ma soeur et ses mamelons érigés, aux cuisses de Mégane pour revenir au sexe mouillé de ma soeur, avec cette sensation de la pénétrer  bien a fond avec mes doigts tandis que j’observais Mégane qui avait fermé les yeux maintenant et ramené sa main à elle, ayant bien écarté les cuisses, écartant ses lèvres d’une main, elle caressait son clitoris de l’autre.

 

J’avais chaud, la main de ma sœur qui me tenait ses fort le pénis en érection, s'agitait de plus en plus vite, et je ne pu contrôler longtemps ce flux puissant qui me remonta tout au long du sexe alors qu’en même temps Vanina se laissa aller à un long râle de jouissance au moment où mon pouce se mit a triturer son clitoris devenu d’une incroyable fermeté.

 

Nous avions joui l’un et l’autre ensemble, comme une communion des sens parfaitement synchronisés sous le regard enjoué de notre Cousine.

 

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